Climat : pourquoi le GIEC n’est pas crédible

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Climat : pourquoi le GIEC n’est pas crédible

Publié le 18 janvier 2012
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Le GIEC continue à être présenté aujourd’hui encore comme la référence en matière de sciences du climat. Une désinformation manifeste, que cet article dénonce.

Un article de Jean-Pierre Bardinet

Voici en introduction un texte plein de sagesse du physicien et enseignant-chercheur à Polytechnique, Serge Galam, sur le renversement de la preuve :

« Il est plutôt surprenant que celui qui affirme détenir la vérité voit ses paroles prises pour argent comptant quand celui qui réclame une preuve de cette affirmation non démontrée scientifiquement doit, pour être écouté, apporter la preuve que la vérité défendue sans preuve est fausse. Les techniques, la méthodologie, toute notre approche expérimentale et nos constructions théoriques ont été inventées pour prouver l’existence de ce qui existe. En revanche, il est impossible de prouver l’inexistence de ce qui n’existe pas… La preuve ne peut porter que sur quelque chose d’existant. Dans le débat sur le climat, j’insiste sur le fait que je parle bien d’absence de preuve, et non de doute, à propos de la responsabilité humaine en matière de réchauffement. De même, à propos de la question de savoir si nous sommes dans une phase longue de réchauffement ou de refroidissement. Le doute implique une croyance. Or, en termes scientifiques, soit j’ai la preuve, soit je ne l’ai pas. Il n’y a pas de place pour la subjectivité dans la validité d’un résultat scientifique. Il est urgent de savoir dire : « scientifiquement, on ne sait pas ». Aujourd’hui je ne dis pas que je doute de la responsabilité humaine, je dis qu’il n’y a pas de preuve de cette responsabilité. C’est un fait, pas une opinion. »

 

Aspects structuraux

La solution est imposée

Dans ses statuts, rédigés par l’UNEP (United Nations Environment Program), il est demandé au GIEC de travailler sur le Réchauffement Climatique Anthropique (RCA).

Donc, avant même que le GIEC n’ait commencé ses travaux, on lui impose la solution : il y a réchauffement (ce qui est vrai, mais il est minime : +0,7°C en 150 ans, non linéaire et une seule fois en phase avec le CO2, sur 1980-1998), et il est anthropique.

Donc, mécaniquement, les dirigeants du GIEC vont tout faire pour justifier cette solution, et ils n’ont pas hésité à utiliser de la science fausse, comme, par exemple, le modèle d’effet de serre d’Arrhénius, qui avait été réfuté par les physiciens de son époque (expérience de Wood), et que le GIEC a fort opportunément sorti de son chapeau, ou encore d’inventer un nouveau processus physique, le forçage radiatif, qui a la propriété étonnante de violer la seconde loi de la thermodynamique, sans que cela ne pose problème au GIEC…

 

La bureaucratie règne en maître et la science est dévoyée

Une fois que le rapport scientifique est rédigé (compilation de nombre de publications judicieusement sélectionnées), le résumé pour les décideurs est préparé entre les dirigeants du GIEC et les représentants des gouvernements.

Il est négocié mot par mot, à la virgule près, selon les bonnes habitudes du Grand Machin Onusien. De ce fait, le résumé pour les décideurs gomme toutes les nuances, toutes les interrogations, tous les aveux de méconnaissance que l’on peut trouver dans le rapport scientifique. Puis, il est publié et présenté en grande pompe aux États, aux institutions internationales, et aux médias du monde entier pour qu’ils relayent la bonne parole « GIECquienne » aux peuples de toute la planète.

Après ce faste clinquant et fort onéreux, les scientifiques sont priés de mettre le rapport scientifique en conformité avec le résumé pour les décideurs, qui a force de loi divine. Et leur rapport ainsi remis dans la Ligne du Parti est publié plusieurs mois après le résumé pour les décideurs. Jamais la science n’avait été ainsi dévoyée (sauf avec le lyssenkisme, cousin proche du dogme du RCA) et jamais son éthique la plus élémentaire n’avait été ainsi foulée aux pieds.

 

Les dérives de fonctionnement du GIEC

Le rapport de l’IAC (Inter Academy Council), mandaté pour auditer les procédures et l’organisation du GIEC, est particulièrement critique. Outre le manque de transparence, point commun à toutes les enquêtes sur la science du climat, le rapport note notamment que :

  • il n’y a pas de processus formel de sélection des auteurs
  • il n’y a pas de lignes directrices quant aux compétences scientifiques et techniques requises
  • les auteurs principaux ont le dernier mot sur leur chapitre au détriment des réviseurs
  • si des vues divergentes ont été proposées, elles ne sont pas documentées

 

En plus de la critique très sévère sur les processus de rédaction du GIEC, on trouve aussi plusieurs recommandations, dont, notamment, celles-ci :

  • mettre en place une politique rigoureuse pour éviter les conflits d’intérêts des personnes qui participent aux rapports, incluant le président et les vice-présidents
  • permettre aux réviseurs d’exercer leur autorité, pour s’assurer que les commentaires soient pris en compte par les auteurs et que les controverses soient transparentes dans les rapports
  • indiquer si les probabilités d’un événement ou d’un scénario donné sont basées sur des mesures, une opinion d’expert ou des modèles
  • limiter la durée des mandats pour le président et les vice-présidents à un seul rapport

 

Le GIEC a toujours affirmé que ses rapports étaient basés sur des processus rigoureux et « non orientés ». Mais l’IAC indique clairement que ce n’est pas le cas.

Depuis cet audit, le GIEC aurait dû mettre en application les recommandations de l’IAC, mais il n’en a rien été (hormis quelques changements mineurs). Et Rajendra Pachauri est resté président… tout comme les vice-présidents.

Notons que le GIEC applique les règles de l’ONU, qui ne sont en principe pas applicables ici : représentation de tous les pays membres et parité homme-femme, au détriment du choix des meilleurs experts mondiaux

La journaliste d’investigation Donna Laframboise a récemment sorti un ouvrage : The Delinquent Teenager who was mistaken for the world’s top climate experts, qui met en exergue tout ce qui est inacceptable dans le fonctionnement du GIEC (par exemple, 30 % des sources sont de la littérature grise, ou encore nombre d’experts sont des étudiants n’ayant jamais publié et n’ayant pas encore obtenu leur diplôme).

 

Quid des annonces et des prévisions cataclysmiques et des données d’observation ?

En 2005, l’ONU annonçait 10 millions de réfugiés climatiques pour les prochaines années.

On les attend toujours… même si l’ONU essaye d’attribuer au RCA plusieurs centaines de milliers de réfugiés, alors que les causes de ces départs sont en général la guerre, la pauvreté, l’insécurité, les régimes dictatoriaux qui pillent les ressources de leur pays et affament leur peuple, ou tout simplement des catastrophes naturelles, comme il s’en produit depuis des millénaires (tempêtes, cyclones, inondations…). L’ONU n’a pas encore osé attribuer un certain quota de réfugiés aux tsunamis, mais cela reste du domaine du possible, car certains médias l’ont déjà fait sans aucun scrupule…. sur ordre ou par bêtise ?

Le GIEC annonçait une montée continue de T, qui devrait être une conséquence de l’augmentation du taux de CO2 : on attend toujours, car T est stable depuis 1999, donc depuis 13 ans, ce qui commence à être significatif, et ce, malgré l’augmentation continue du taux de CO2 troposphérique (mesures au Mauna Loa – taux actuel de CO2 environ 390 ppm).


(source)

On ne connaît pas la part de CO2 anthropique dans le taux global, car l’analyse isotopique ne permet pas de conclure avec un degré de confiance suffisant. Certaines estimations considèrent que ce taux anthropique est marginal, compte tenu des énormes quantités de CO2 qui sont échangées de manière naturelle, d’autres qu’il est significatif, mais la question reste ouverte en l’absence de données fiables.

Notons que :

Jamais le taux de CO2 n’a engendré un réchauffement climatique au cours de l’histoire climatique de notre planète. Chaque réchauffement a été suivi, avec un retard de 800 ans à quelques milliers d’années, d’une augmentation du taux de CO2, et jamais l’inverse. La seule période connue de covariation significative CO2-T a été la courte période 1980-1998, ce qui n’est absolument pas suffisant pour en déduire une relation de causalité physique CO2-T, comme le GIEC a osé le faire…

La durée de vie du CO2 dans l’atmosphère est de l’ordre d’une dizaine d’années, et non pas d’un siècle ou plus, comme d’aucuns voudraient nous le faire croire.

Le CO2 est indispensable à la photosynthèse, donc à la vie, et une réduction à moins de 200 ppm aurait de graves conséquences sur la végétation, les cultures, et toute la chaîne alimentaire. Mieux vaut un taux supérieur à 300 ppm qu’un taux inférieur à 200 ppm…

L’Arctique devait se réduire comme peau de chagrin : il est toujours là, et sa glace se reconstitue en hiver. Certes, il a perdu de l’étendue de mer de glace à la fin de chaque été boréal depuis le début des mesures, en 1979, avec une fonte particulièrement forte en 2007, mais les causes en sont à rechercher au niveau local. Deux explications sont possibles : des courants marins chauds qui remontent vers le Nord, et les Anticyclones Mobiles Polaires estivaux plus fréquents, ce qui augmente les retours vers le pôle Nord d’air chaud du sud.


(source)

L’Antarctique devait se réchauffer : il ne le fait pas, et même se refroidit très légèrement (il est à toujours extrêmement froid, et donc sa fonte n’est pas envisageable)

Sa mer de glace a gagné, au cours de l’hiver austral, environ 1,7 million de km2 en 2009 et 2011, et la tendance est plutôt à la hausse par rapport aux années 1978-2007. Notons toutefois que la péninsule nord-ouest (2 % du continent Antarctique) se réchauffe et perd de la glace, sans doute à cause d’éruptions sous-marines récurrentes.


(source)

Les océans devaient monter à plus de 3mm/an (certains, comme le Grand Prophète Al Gore, annonçaient même, sans sourciller, +6 m en 2100) : ils sont en phase de stabilisation (mesures satellitaires Jason et Topex)

Les océans devaient gagner beaucoup de chaleur : ils n’en gagnent pas (publication de Spencer) et le GIEC recherche avec acharnement où est cette sacrée chaleur perdue, mais refuse étrangement de remettre en cause ses modèles numériques… (Source)

Le flux IR quittant la haute atmosphère devait suivre les prévisions des modèles numériques : une publication de Spencer et Braswell, qui ont analysé les données satellitaires sur plusieurs années (2000-2011) montre que le flux réel est bien supérieur aux prévisions.


(source)

Les points chauds des Tropiques devaient être LA preuve de la pertinence du modèle de l’effet de serre du GIEC : les nombreuses mesures satellitaires et par ballon n’en ont jamais trouvé. Bien au contraire, les mesures montrent que les températures tropicales en altitude (1O km environ) sont plus basses que ce que les modèles prévoyaient.


(source)

Dans ses premiers rapports, le GIEC affirmait que la baisse d’écart de T entre les pôles et les Tropiques allait diminuer le nombre et l’intensité des tempêtes. Il a fait un beau virage à 180°, en annonçant avec les trompettes médiatiques que les événements extrêmes étaient en augmentation à cause du réchauffement climatique anthropique. Curieux, non ? Un jour c’est blanc, le lendemain c’est noir, sans aucune justification ? En fait, quand les températures d’un pôle diminuent, les anticyclones mobiles polaires sont plus fréquents et plus intenses (plus de 1030 hPa), ce qui génère des dépressions plus fortes. Et réciproquement, quand les températures polaires augmentent.

Voyez ce document du climatologue français Marcel Leroux.

 

Théorie de Svensmark et projet CLOUD du CERN

Svensmark et son équipe ont élaboré une théorie très intéressante et novatrice sur le rôle des rayons cosmiques pour la formation des nuages dans la troposphère : le flux de rayons cosmiques dépend, sur les longues périodes de temps, de la position du système solaire dans la Voie Lactée.

Ce flux est modulé en fonction du vent solaire généré par l’activité du soleil. Quand le soleil est actif (taches nombreuses), le vent solaire est plus intense et bloque une partie du flux GCR – Galactic Cosmic Rays-, ce qui a pour effet de réduire la formation des nuages d’altitude et de basse troposphère, donc de réchauffer la planète, et inversement.

Svensmark et son équipe ont procédé à des expérimentations en laboratoire (projet SKY), qui ont permis de conclure favorablement, avec des limitations, sur le rôle de catalyseur des rayons cosmiques pour la formation d’aérosols.

Un projet de grande envergure a été lancé au CERN, le projet CLOUD, avec la participation de 17 institutions de divers pays (Allemagne, Portugal, Finlande, Autriche, Suisse, Italie, USA. et Russie).

Une première série d’essais a mené à la publication d’un article dans Nature, revue scientifique connue pour ses positions très orientées en faveur du GIEC.

L’article a été proposé le 9 septembre 2010 et publié le 24 août. 2011. Comme CLOUD pose problème aux modélisations du GIEC, les discussions bilatérales ont été longues et difficiles, ce qui laisse à penser que des compromis ont été négociés, afin de ne pas pénaliser l’image du GIEC.

Voici, de manière synthétique, les résultats de CLOUD :

        1. A plusieurs km d’altitude, la présence de vapeur d’eau et d’acide sulfurique permet la création d’agrégats qui vont engendrer la formation de gouttelettes d’eau liquide. Le taux de formation de ces agrégats est augmenté d’un facteur de 2 à 10, voire plus, par les rayons cosmiques (GCR – Galactic Cosmic Rays).
        2. En basse troposphère (altitude de l’ordre de 1 km), la présence de vapeurs d’acide sulfurique et d’ammoniaque, même avec un flux GCR ne suffit pas à expliquer la formation des nuages bas. En effet la nucléation observée pour la basse troposphère dans l’enceinte CLOUD se produit à des taux d’un dixième à un millième plus faibles que dans la réalité, même avec un apport GCR.
        3. Il existe donc, pour la basse troposphère, des vapeurs nucléantes qui ne sont pas identifiées, et cette identification fera l’objet d’une recherche expérimentale dans la suite du projet CLOUD.
        4. Le processus adopté par les modèles numériques pour la nucléation en basse troposphère, qui ne prenait en compte que l’acide sulfurique et l’ammoniaque, est donc erroné.

       

      Conclusion

      Si l’on ajoute les courriels des ClimateGates I et II, montrant que « the Team » (la petite équipe de scientifiques ayant la plus grande influence au sein du GIEC) s’occupe plus de politique que de science, en faisant tout pour défendre la cause.

      Tout ceci nous montre que le GIEC n’a plus aucune crédibilité scientifique. Le plus terrible dans cette saga, c’est que ses travaux, qui font hélas office de référence mondiale, ne montrent avec les modèles numériques que des prévisions climatiques cataclysmiques, que les médias font sans cesse caisse de résonance en noircissant le tableau, et que les politiques mettent en place des mesures aussi contraignantes qu’onéreuses pour le contribuable (taxes carbone, réglementations, normes, subventions pour le renouvelable…).

      En attendant des actions encore plus contraignantes et onéreuses… qui sont retardées pour cause de crise économique et financière…

      Il n’y a pas d’équivalent du GIEC dans les autres disciplines scientifiques : cela ne présenterait aucun intérêt et risquerait d’asservir la science à une science officielle, comme ce fut le cas avec le lyssenkisme. Alors, pourquoi avoir créé une structure politico-scientifique comme le GIEC, si ce n’est pour utiliser de la science fausse comme caution afin de faire passer des idées radicales et de les faire mettre en application ?

      Le GIEC a été créé dans ce but sous l’égide de l’ONU, du PNUE et de l’OMS, car il fallait qu’il puisse avoir une influence planétaire et qu’il puisse, de par ses travaux orientés unilatéralement dans le sens anthropique, justifier la création d’une gouvernance écologique mondiale, dirigée par un petit groupe d’écologistes intégristes.

      Cette saga du GIEC est le plus grand scandale planétaire de notre époque.

      Il est plus que temps de dissoudre le GIEC, qui ne sert plus à rien, d’arrêter de faire du catastrophisme permanent, d’arrêter cette propagande de la peur et de la culpabilisation en nous lavant le cerveau avec des prévisions aussi cataclysmiques que fausses, d’arrêter ce delirium carbonum qui pénalise nos économies, et de laisser la science travailler tranquillement, sereinement, sans aucun lien avec les écologistes radicaux et les politiques.

      Sur le web

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  • Ayn Rand dans son livre « Atlas Shrugged » (La Grêve pour la version Française) avait déjà décrit ce qu’on observe actuellement avec le Giec.
    La science dévoyée devient la norme.

  • L’escroquerie du GIEC n’est pas sans rappeler celle du bon Docteur Knock. Ou comment, en jouant sur la peur et l’ignorance, un pseudo-scientifique prend le pouvoir sur une population !
    Le plus atterrant dans cette histoire: le suivisme, la complicité, l’incompétence de nos médias

  • Et c’est ainsi que Contrepoints.org réinventa le « Gish Gallop ».

    Au risque de vous décevoir, absolument toutes les affirmations de cet article ont été démystifiées.

    Voici donc un article qui décrit exactement la ligne éditoriale de « marchandising of doubt » de votre blog, et vous propose même d’autres mythes à perpétuer que vous avez oubliés :
    http://www.skepticalscience.com/climate-Gish-Gallop-of-epic-proportions.html

    Au plaisir de lire les nouvelles inepties de vos prochains articles…

    • C’est renverser les choses : si les tenants de la théorie du réchauffement causé par l’homme ont perdu toute crédibilité, c’est justement en voulant faire croire qu’ils maitrisaient tous les aspects du climat. C’est très loin d’être le cas, et les trous à remplir dans la théorie restent infiniment plus vastes que les éléments sensés l’établir (quelques arbres fossibles).

    • @ Papy
      Tout ce qui est écrit est exact et vérifiable :
      – Les données d’observation sont fournies par les meilleures sources, et donc non réfutables
      – Le mode de fonctionnement du GIEC est tiré de ses statuts, donc là encore non réfutable
      – L’enquête d’investigation de Donna Laframboise s’appuie sur des sources fiables, comme, par exemple, l’audit de l’IAC

      Donc votre critique est nulle et non avenue.

      Evidemment, je comprends que Skepticalscience ait d’autres arguments plus ou moins fumeux, car ce site a pour objet de fournir des arguments (biaisés) pour contrer ceux qui ne sont pas d’accord avec les conclusions du GIEC. Et donc, si ce site est votre unique source de référence, je comprends que cet article objectif vous fasse pousser des boutons, ce dont je suis positivement ravi…

  • Peut-on avoir un exemple de désinformation de pensée-unique?

  • Bardinet dans toute sa splendeur. Rien que son couplet sur la théorie de Svensmark montre

    Fin du trolling.

  • Ce commentaire de Robert (qui n’en est pas à son coup d’essai) est carrément diffamatoire.

    Le modérateur doit impérativement le retirer,

    Quand au site PU; il n’avalise rien du tout. Il se contente d’expliquer le contenu des articles que Robert n’aime pas, au public.

    J’ajoute, comme tout le monde le sait, que G et T ne proposent aucune théorie. ils se contentent de critiquer un certain nombre de descriptions bidons de l’effet de serre, à partir d’arguments scientifiques.
    Quant à la théorie de Svensmark (oui là, il y en a une), elle est en bonne voie de vérification. Merci.

  • On ne peut rien pour vous… si vous ne savez pas lire (y compris le contenu des liens « sources »).

  • C’est vrai que c’est une resucée: la treizième fois qu’on vous dit que les températures n’augmentent plus.

  • Vous pourriez très bien avoir mis vous même les liens de votre pseudo pour faire de la diffamation. Vu le nombre de mythomane qui traînent sur le net…

    • Oui ph11, connaissant Robert de longue date, c’est une hypothèse assez plausible.
      Je ne vois pas le webmaster de ce site s’amuser à modifier les noms des sites indiqués par les visiteur.

      Depuis des années, Robert traîne son acrimonie sur tous les forums qui parlent du climat avec un seul objectif en tête : Discréditer le site Pensée-Unique et diffamer son auteur tout en restant bien caché sous son pseudo anonyme.

      et faute du moindre argument scientifique, bien sûr.

      Oui. Un bien triste sire. Vraiment.

  • Comme dit plus haut, voilà encore un « Gish Gallop » d’anthologie

    Une accumulation massive de contre-vérités et de désinformation.

    « Le GIEC annonçait une montée continue de T, qui devrait être une conséquence de l’augmentation du taux de CO2 : on attend toujours, car T est stable depuis 1999, donc depuis 13 ans, ce qui commence à être significatif, »

    Quadruplement faux. 1) La plupart des organismes qui produisent des données de T montre un réchauffement depsuis 1999. 2) Etant donné la variabilité inter-annuelle, il faut plus que 13 ans pour se prononcer sur la tendance de fond. 3) Il y a d’autres facteurs qui agissent sur le climat, comme par exemple l’activité du soleil: il y a eu un maximum entre (en gros) 2002 et 2004 et un minimum très marqué entre 2008 et 2010, ce qui forcément biaise la tendance de fond sur une période si courte. 4) Les modèles climatiques montrent clairement que la variabilité naturelle induit des période de refroidissement sur quelques années même dans un contexte global de réchauffement induite par les GES. Il est donc faux de prétendre que le GIEC annonce une montée continue des température !

    Références:
    http://www.woodfortrees.org/graph/best/from:1999/to:2010.2/plot/best/from:1999/to:2010.2/trend

    http://www.gfdl.noaa.gov/blog/isaac-held/2011/04/27/9-summer-is-warmer-than-winter/

    http://iopscience.iop.org/1748-9326/6/4/044022

    http://www.agu.org/journals/jd/jd1122/2011JD016263/

  • Et on continue dans les accumulations de contre-vérités:

    « Jamais le taux de CO2 n’a engendré un réchauffement climatique au cours de l’histoire climatique de notre planète. »

    Wishful thinking…

    http://blogs.nasa.gov/cm/blog/whatonearth/posts/post_1262067702260.html

    « Chaque réchauffement a été suivi, avec un retard de 800 ans à quelques milliers d’années, d’une augmentation du taux de CO2, et jamais l’inverse. »

    Celà ne concerne que le dernier million d’année. Les mécanismes en jeu n’ont rien à voir avec la situation actuelle. En l’occurence, il s’agit de l’échange d’un pool constant de CO2 entre les océans et l’atmosphère sous l’influrence des forçages orbitaux. Or, à l’heure actuelle, on augmente le pool global de CO2 sans changement notable de forçage orbital…

     » La seule période connue de covariation significative CO2-T a été la courte période 1980-1998, ce qui n’est absolument pas suffisant pour en déduire une relation de causalité physique CO2-T, comme le GIEC a osé le faire… »

    Faux. Les considérations physiques qui sous-tendent l’importance des GES dans l’évolution climatique ne sont pas basée sur de simples corrélations, mais bien sur des études de laboratoire sur le comportement radiatif du CO2 et autres GES… Personne (à part quelques illuminés) ne conteste cette base physique…

    http://www.drroyspencer.com/2009/04/in-defense-of-the-greenhouse-effect/

  • Et ça continue de plus belle:

    « la durée de vie du CO2 dans l’atmosphère est de l’ordre d’une dizaine d’années, et non pas d’un siècle ou plus, comme d’aucuns voudraient nous le faire croire. »

    Si tous les atomes de votre corps se renouvellent chaque année, ce n’est pas pour autant que vous ne vivez qu’un an !

    Oui, pris individuellement, on peut dire qu’une molécule de CO2 ne reste dans l’atmosphère que pendant environ 5 ans. Mais elle est remplacée par une autre à travers le cycle du carbone… Le taux de CO2, lui reste inchangé pendant des centaines d’année suite à une injection exogène (i.e en dehors du cycle normal du carbone) de CO2.

    • alors là, c’est fort. Non seulement votre niveau scientifique semble assez faible, mais en plus vous avez perdu tout bon sens. Vous ne comprenez donc pas que la durée de résidence dans l’atmosphère est un paramètre essentiel ? que si la durée moyenne de résidence est de 5 ans ou d’un siècle, ça change tout, parce que ça veut dire que la force respectives des mécanismes d’entrée et de sortie est bien plus grande dans le premier cas que dans le second ?
      Si vous cessez de renouvelez vos molécules, vous êtes mort en largement moins d’un an.

      Arrêter donc de vouloir donner des leçons, vous n’avez pas le niveau.

      • « Vous ne comprenez donc pas que la durée de résidence dans l’atmosphère est un paramètre essentiel ? que si la durée moyenne de résidence est de 5 ans ou d’un siècle, ça change tout, parce que ça veut dire que la force respectives des mécanismes d’entrée et de sortie est bien plus grande dans le premier cas que dans le second ? »

        strawman…

        Ce qui est faux dans la proposition de M. Bardinet, c’est de prétendre que le GIEC se trompe sur la la durée de vie du CO2 dans l’atmosphère.

        Un simple coup d’oeil à l’AR4 montre parfaitement que les différentes notions de durée de vie et du taux de renouvellement sont pris en compte par les climatologues. Du reste, c’est tellement basique que c’est mis dans le glossaire:

        http://www.ipcc.ch/pdf/glossary/ar4-wg1.pdf

        [CO2] turnover time is only about four years because of the rapid exchange between the atmosphere and the ocean and terrestrial biota. However, a large part of that CO2 is returned to the atmosphere within a few years. Thus, the adjustment time of CO2 in the atmosphere is actually determined by the rate of removal of carbon from the surface layer of the oceans into its deeper layers. Although an approximate value of 100 years may be given for the adjustment time of CO2 in the atmosphere, the actual adjustment is faster initially and slower later on. »

        La technique de désinformation est simple: on prend les 100ans de l’ « adjustment time » et on prétend qu’il s’agit du « turnover time » histoire de faire passer les climatologues pour des idiots. Mais comme vous pouvez le lire, le GIEC n’a jamais mis en avant un temps de renouvellement de 100ans…

  • « Les océans devaient gagner beaucoup de chaleur : ils n’en gagnent pas »

    Faux.

    Lire cette publication toute récente:

    http://www.ocean-sci-discuss.net/8/999/2011/osd-8-999-2011.pdf

    Et consulter les dernières données de la NOAA:

    http://www.nodc.noaa.gov/OC5/3M_HEAT_CONTENT/

  • Une grave erreur qui discrédité les tenants de la thèse anthropique, a été leur insistance, il y a déjà des années, à vouloir faire croire : la science est fixée, ça ne fait plus de débat.

    Et ça, de tout évidence, c’est faux. Pourquoi donc l’avoir prétendu ?

    • Il y a débat sur les lois de la gravitation et de leur compatibilité avec la mécanique quantique. Est-ce que celà remet en cause l’application des lois de la gravitation ? Est-ce que ça empêche d’envoyer des fusées dans l’espace ou de faire voler des avions ? Pareil pour le SIDA: quelques dissidents continuent de prétendre que son origine n’est pas à rechercher dans le VIH. Faut-il arrêter toute prévention parce qu’il y a encore débat ?

      Vous essayer de nous faire croire que parce que la science progresse et évolue en permanence, aucune application pratique de la science ne devrait être faite. La belle affaire ! Le fait que la température a augmenté sur le XXe siècle, que la majorité de ce réchauffement est d’origine anthropique, et que le réchauffement va se poursuivre sur le XXIe siècle ne fait plus débat: ça a été accrédité par l’écrasante majorité des associations de scientifiques tout autour du monde.

      Cet histoire de débat et de « concenssus scientifique » n’est qu’un piège réthorique que vous utilisez à défaut d’arguments scientifiques pertinents.

      • « ça a été accrédité par l’écrasante majorité des associations de scientifiques tout autour du monde.  »

        Pourquoi êtes vous là à vous exciter alors ? C’est donc plié et les maitres de la sciôôônce révélée feront ce qu’ils voudront du monde face à quelques « petits barbus révisionnistes ».

        « Faut-il arrêter toute prévention parce qu’il y a encore débat ? »

        Certainement pas mais ce qui est proposé pour le sida marche ou est pertinent.

        Les écolos alignent les contre-exemples avec la contre performance de l’Allemagne, les pays du nord qui délocalisent leurs production de Co2, les hordes de bobos réchauffistes qui ne changent pas d’un iota leurs comportements (tient, vous aussi vous avez un ordinateurs et quelques milliers d’objets ?).

        Un peu comme si les médecins prônaient les partouzes géantes sans protection pour contrer le SIDA ou venaient faire du prosélytisme anti-SIDA une seringue contaminée dans le bras.

        Les fusées volent, on ne ne meurt quasi plus du SIDA en occident mais la seule fois ou l’augmentation des courbes de CO2 ont été vaguement infléchies c’est à cause des crises économiques.

        Vos champions de l’écologie on la shooteuse contaminée dans le bras mon pauvre et il demandent qu’on fasse pareil !
        http://www.autogas-fuer-alle.de/images/umwelt/klima_graf02.gif

      • Ce sont vos copains qui se sont créés eux-mêmes ce piège en tentant de faire passer en force « la science est fixée, ça ne fait plus débat ». Tant pis pour eux et tant pis pour vous. Encore une fois, s’ils avaient l’esprit scientifique, cette tentative ne leur serait même pas venue à l’esprit (comme vous l’expliquez vous-même si bien mais trop tard, puisqu’ils se sont déjà trahis, il y a fort longtemps).

        • C’est un piège, parce que si il est prétendu qu’il y a débat, et que la recherche doit continuer, eh bien vous diriez qu’il vaut mieux attendre d’avoir plus de résultats…Il y a débat => attendons des éclairsissements => ne faisons rien. Il n’y a pas débat => ce sont tous des menteurs => ne faisons rien. Pile je gagne, face tu perds…

  • « L’Arctique devait se réduire comme peau de chagrin :  »

    Cette phrase ne veut rien dire

    « il est toujours là et sa glace se reconstitue en hiver. »

    Oui, l’arctique (à savoir la région autour du pôle), ne risque pas de partir ! 🙂

    « Certes, il a perdu de l’étendue de mer de glace à la fin de chaque été boréal depuis le début des mesures, en 1979, avec une fonte particulièrement forte en 2007, »

    2011 a été équivalent à 2007

    « mais les causes en sont à rechercher au niveau local. Deux explications sont possibles : des courants marins chauds qui remontent vers le Nord, et les Anticyclones Mobiles Polaires estivaux plus fréquents, ce qui augmente les retours vers le Pôle Nord d’air chaud du Sud. »

    Intéressant, un mécanisme qui concerne la moitié du globe (transfert de chaleur de l’équateur vers le pôle nord) ne serait donc que « local » ?

    Et vos explications ne font que repousser le problème plus loin: pourquoi ces phénomènes se seraient-il mis en branle justement sur les 30 dernières années, et ce de façon plus en plus marquée ?

    • « pourquoi ces phénomènes se seraient-il mis en branle justement sur les 30 dernières années, et ce de façon plus en plus marquée ?  »

      Le fond du problème est bien le temps qui passe.
      L’homme du XXIe siècles à quoi comme recul avec la précision des instruments d’aujourd’hui ? Ah oui, les satellites qui font des mesures, le font depuis 1979…
      Avant cela, on ne pouvait compter que sur les thermomètres au sol. Il y en avait beaucoup aux USA, en Europe et au Japon, mais très peu dans le reste du monde. Et le très peu devient, rare, plus on remonte dans le temps vers le début du XXe siècles.
      Cela c’est pour les terres. En mer, il y avait quelques mesures (qui valent ce qu’elles valent) faites sur les routes commerciales maritimes. C’est à dire rien de significatif statistiquement au niveau mondial pour la première moitié du XXe siècles sur 70% de la surface du globe. Au deux pôles, il n’y avait rien.
      Remontons plus loin, il existe des mesures de température terrestre dans la seconde partie du XIXe, mais là aussi elles sont sans signification statistique au niveau global, car trop mal réparties et trop insuffisantes.
      Avant 1850, il n’y a plus rien comme mesure…
      Tout le reste ce sont des reconstructions avec des méthodes diverses et variées, les cernes des arbres quand il y en a d’assez vieux, des sédiments dans les lacs, quelques carottages de glace aux pôles, etc. etc…
      Des scientifiques ont décidé, contre tout bon sens scientifique, que ces reconstructions valaient les mesures directes, que de leur « précision » on pouvait connaître le passé.
      Beaucoup de scientifiques proposent des reconstructions du passé. Certains donnent même des couleurs et des voix à des dinosaures morts il y a 80 millions d’années. Cela fait frissonner et amuse les enfants qui regardent des documentaires à la télévision.
      Les températures reconstituées avec une précision au dixième de degré d’y il a 1000 ans pourraient éventuellement alarmer les personnes n’ayant aucun bagage scientifique, les warm et ceux qui veulent effrayer leurs contemporains à des fins de pouvoir politique et économique. Mais que des personnes de formations scientifiques puissent porter un quelconque crédit à ces « reconstructions de températures » me dépassent totalement.
      Avant 1850, on ne sait rien des températures sur Terre. On peut peut être donner des ordres d’idées, dire : il devait faire plus chaud à ce moment là dans ce coin-ci, ou plus froid là à cette époque.
      Tout le reste, c’est du pipi de chat.

    • Intéressant, un mécanisme qui concerne la moitié du globe (transfert de chaleur de l’équateur vers le pôle nord) ne serait donc que « local » ?
      —————————————
      Pas local, semi global
      ; cela fait 100 ans que l’hémisphère nord tire le sud dans le RC parce que tous les ICU se situent dans le Nord; par ex. si on traduit toute l’énergie brûlée par les hommes en chaleur, celle-ci suffit à faire fondre le volume de glace nécessaire pour expliquer la montée du niveau de la mer constatée

  • « Sa mer de glace a gagné, au cours de l’hiver austral, environ 1,7 million de km2 en 2009 et 2011, et la tendance est plutôt à la hausse par rapport aux années 1978-2007. Notons toutefois que la péninsule nord-ouest (2% du continent Antarctique) se réchauffe et perd de la glace, sans doute à cause d’éruptions sous-marines récurrentes. »

    Sans queue ni tête.

    On laisse passer vraiment n’importe quoi sur contrepoint. Le nivellement par le haut ? vraiment ?

    On parle de « mer de glace » (banquise, en bon français !), puis de la péninsule antarctique (une partie du continent) où ce sont les glaciers qui sont en retrait (rien à voir avec la banquise, donc), puis on invoque des « éruption sous-marines récurentes » qui donc ferait fondre les glaciers sur la terre ferme ?

  • Warmichou,
    que penses-tu de cela
    http://www2.cnrs.fr/presse/communique/1894.htm

    où l’on peut lire ceci : « En observant la décroissance de l’émission gamma dans un autre nuage (fig. 2), les chercheurs ont estimé la durée et l’intensité de cette éruption, commencée il y a environ quatre siècles et qui s’est terminée au début du XXè siècle. Pendant trois cents ans, le trou noir supermassif de notre Galaxie a donc été un million de fois plus lumineux qu’actuellement. »

    • Et vous, que pensez-vous de ceci:

      http://www.wunderground.com/hurricane/2010/cosmicrays_40Kago.png

      pendant 1000 ans, durant la dernière glaciation, le champs magnétique terrestre a fondu de 90%, laissant passer des quantités de GCR… Résultat des courses, pas de changement climatique notable…

      Sans compter, bien sûr, que depuis les années 60, on constate une augmentation des GCR (ce qui devrait produire un refroidissement), alors que les températures ont augmentés sur la même période. Le sommet c’est que le maximum est atteint en 2009-2010, alors que la température globale n’a jamais été aussi élevée !

      • Warmichou,
        tu n’as pas répondu à ma question, par contre tes données m’intéressent; faudrait voir tout cela mais quantifié; est-ce que tu as des références?

  • Warm : « Le taux de CO2, lui reste inchangé pendant des centaines d’année suite à une injection exogène (i.e en dehors du cycle normal du carbone) de CO2. »
    ————————
    Non, c’est FAUX, tu mens !
    La moitié du CO2 anthropique (ce que tu appelles dans ta novlangue de charlatan « injection exogène ») est absorbée dès la première année, ça, même les réchauffistes sont obligés de le reconnaître. D
    onc l’histoire de « durée de vie » du CO2 – que même le GIEC ne sait pas définir vu que la notion de « durée de vie » n’a jamais existé en physique, juste la demi-durée de vie – de 100 ans voire de « centaines d’années », ça n’a rien à voir avec la réalité (à savoir une demi-vie de 1 an) et encore moins avec la science, c’est de la pure propagande réchauffiste.

    • « La moitié du CO2 anthropique (ce que tu appelles dans ta novlangue de charlatan « injection exogène ») est absorbée dès la première année, ça, même les réchauffistes sont obligés de le reconnaître. »

      Oui, la moitié est directement et sans délai « avalé » par les puits de carbone (les océans). Ce processus n’apparait donc pas lorsque l’on mesure le taux atomsphérique à un instant T, et donc en quoi est-ce un mensonge de prétendre que le taux de CO2 atmosphérique reste constant suite à une injection de CO2 ? Je vous l’accorde, je devrais dire « diminue très lentement », mea culpa.

      « onc l’histoire de « durée de vie » du CO2 – que même le GIEC ne sait pas définir vu que la notion de « durée de vie » n’a jamais existé en physique, juste la demi-durée de vie – de 100 ans voire de « centaines d’années », ça n’a rien à voir avec la réalité (à savoir une demi-vie de 1 an) et encore moins avec la science, c’est de la pure propagande réchauffiste. »

      Quand à vos problème de définition, c’est justement ce à quoi sert un glossaire: celui de l’AR4 définit clairement les notions de « temps de vie », « temps de renouvellement », « temps d’ajustement pour lever tout ambiguïté sur le terme. Lisez l’article sur « lifetime », vous trouverez également la notion de demi-vie, qui s’applique aux décroissances exponentielles.

      La réalité physique du problème, c’est que si on stoppe toutes les émissions de CO2 anthropique, le taux de CO2 atmosphérique ne va pas retourner au niveau pré-industriel en 10 ans, ce qu’on pourrait croire si on lit le billet. Trouvez moi donc une publication qui prétend le contraire !

      • Warm : « en quoi est-ce un mensonge de prétendre que le taux de CO2 atmosphérique reste constant suite à une injection de CO2 ? Je vous l’accorde, je devrais dire « diminue très lentement », mea culpa. »
        —————-
        Dire que « ça diminue très lentement » en insinuant que « ce serait des centaines d’années » alors que ça diminue de moitié (!) dès la première année, c’est ça le mensonge ! Tu veux quoi, un dessin pour comprendre la différence entre 1 an et « des centaines d’années » ???

        ——————–
        « Quand à vos problème de définition, c’est justement ce à quoi sert un glossaire: celui de l’AR4 définit clairement les notions de « temps de vie », « temps de renouvellement », « temps d’ajustement pour lever tout ambiguïté sur le terme. Lisez l’article sur « lifetime », vous trouverez également la notion de demi-vie, qui s’applique aux décroissances exponentielles. »
        ——————–
        Le GIEC n’a jamais défini clairement ce qu’est la « durée de vie » du CO2, cesse de mentir. C’est simple, si c’est le cas, montre nous où et comment. Pour l’instant, tout ce que tu as montré, c’est de nouveaux bobards pour couvrir d’anciens bobards. La demi-durée de vie, tout le monde sait ce que c’est, ou devrait, vu que c’est enseigné en seconde, la « durée de vie », ça n’existe que dans la pseudo-science réchauffiste, CQFD.

        ————————–
        « La réalité physique du problème, c’est que si on stoppe toutes les émissions de CO2 anthropique, le taux de CO2 atmosphérique ne va pas retourner au niveau pré-industriel en 10 ans, ce qu’on pourrait croire si on lit le billet. Trouvez moi donc une publication qui prétend le contraire ! »
        ————————–
        Quelle réalité physique ?? Pour l’instant, tout ce que tu as montré, c’est des chiffres générées par les modèles (en fait, UN SEUL, ultrasimpliste et utilisé par le GIEC pour pondre la fable de la durée de vie de centaines d’années du CO2) et des affirmations gratuites sorties du chapeau. Des études qui montrent des temps de demi-durée de vie du CO2 de quelques années à 30 ans max (ce qui contredit totalement la fable que tu colportes), basées sur diverses méthodes et mesures, il y a en au moins 10 recensées par Segalstad et discuté déjà depuis longtemps. Mais évidemment, quand une étude aboutit à des conclusions qui ne collent pas à tes résultats, c’est que ça n’existe pas.

        • « Dire que « ça diminue très lentement » en insinuant que « ce serait des centaines d’années » alors que ça diminue de moitié (!) dès la première année, c’est ça le mensonge ! Tu veux quoi, un dessin pour comprendre la différence entre 1 an et « des centaines d’années » ??? »

          ———

          N’importe quoi… Pas une seule étude scientifique n’étaie votre position… Rendez-vous compte ! A vous lire (peut-être que vous vous exprimez mal, aussi, c’est une possibilité !), si aujourd’hui on arrêtait d’émettre du CO2, l’année prochaine, il n’y en aurait plus que 200ppm l’année prochaine, soit moins que le taux pré-industriel ! Allons, mon petit MiniTAX, essuyez la bave que vous avez aux lèvres et restez un peu sérieux !

          Vous continuez à essayer de nous faire confondre le temps de vie d’une molécule de CO2 dans l’atmosphère avec la durée d’une perturbation du taux de CO2 atmosphérique. Ce sont deux choses différentes. Même si le taux de CO2 est constant, il y a un renouvellement continu des molécules de CO2, ne serait-ce que par l’activité biologique (photosynthèse-respiration). Ce qui module la concentration, c’est le flux vers les puits de carbone (essentiellement les océans profonds), qui est très faible.

          • Warm : « Pas une seule étude scientifique n’étaie votre position… »
            —————————-
            Bah si, il y a un paquet d’études publiées dans les meilleures revues, il suffit de googler Segalstad pour retrouver les liens. Ce n’est pas parce que tu n’as rien cherché que ça n’existe pas. Vu que t’es même pas fichu de comprendre une phrase simple, je ne vais quand même pas faire tout le boulot pour toi, autant donner de la confiture aux cochons.

            —————————-
            « A vous lire (peut-être que vous vous exprimez mal, aussi, c’est une possibilité !), si aujourd’hui on arrêtait d’émettre du CO2, l’année prochaine, il n’y en aurait plus que 200ppm l’année prochaine, soit moins que le taux pré-industriel ! »
            ———————
            Je n’ai jamais dis une telle stupidité, apprend d’abord à lire au lieu de passer ton temps à mentir.

            —————————–
            « Vous continuez à essayer de nous faire confondre le temps de vie d’une molécule de CO2 dans l’atmosphère avec la durée d’une perturbation du taux de CO2 atmosphérique. »
            —————————–
            Le fait que la moitié des émissions humaines de CO2 dans l’atmosphère disparaît dès la première année concerne bien « le temps de vie » du CO2 dans l’atmosphère (que le GIEC n’a jamais défini précisément, mais bon, soit), alors arrête ton enfumage avec des diversions grotesques.

            Pour résumer la théorie de la « durée de vie du CO2 » avancée par le charlatanisme climatique (et dont Warm fait le perroquet), quand on émet 100 molécules de CO2, 50 molécules sont absorbées dès la première année (chose que même les bigots réchauffistes sont obligés de reconnaître) et puis les 50 autres restent dans l’air pendant « des centaines d’années », ouais monsieur ! Eh oui, la « science » climatique est aussi mauvaise que ça…

  • Warm : « 2) Etant donné la variabilité inter-annuelle, il faut plus que 13 ans pour se prononcer sur la tendance de fond. 3) Il y a d’autres facteurs qui agissent sur le climat, comme par exemple l’activité du soleil: il y a eu un maximum entre (en gros) 2002 et 2004 et un minimum très marqué entre 2008 et 2010, ce qui forcément biaise la tendance de fond sur une période si courte. »
    ——————————-

    C’est bête que notre bigot réchauffiste ait oublié de se renseigner auprès d’un « éminent climatologue », un certain… Edouard Bard, grand prêtre de l’Eglise de Climatologie au pedigree climato-catastrophiste impeccable :

    « Les opinions divergentes sur le réchauffement global pourraient être départagées dans un futur proche car nous entrons actuellement dans la phase descendante du cycle solaire. D’ici à 2006, l’influence des gaz à effet de serre dominera si l’on en croit la plupart des spécialistes. Si [les solaristes] ont raison, alors la baisse d’activité solaire pourrait ralentir un peu le réchauffement ».
    Edouard Bard dans la Recherche n°352 avril 2002

    • « C’est bête que notre bigot réchauffiste ait oublié de se renseigner auprès d’un « éminent climatologue », un certain… Edouard Bard, grand prêtre de l’Eglise de Climatologie au pedigree climato-catastrophiste impeccable : »

      ?? La citation d’ E Bard prédit totalement la situation qui a prévalu: minimum solaire très marqué avec température globale record en 2010, ce qui montre bien « l’influence dominante des GES ». Et il dit également que la baisse d’activité solaire « pourrait ralentir un peu le réchauffement », ce qui a bien été le cas. Pour l’influence solaire récente, lire le récent papier de Foster et Ramstorf:

      http://iopscience.iop.org/1748-9326/6/4/044022

      • Warm : « ?? La citation d’ E Bard prédit totalement la situation qui a prévalu: minimum solaire très marqué avec température globale record en 2010, ce qui montre bien « l’influence dominante des GES ».  »
        ——————–
        Bard n’a rien prédit du tout, il propose juste un test de la théorie réchauffiste, et on a maintenant tout pour soumettre ce test à l’épreuve des fait. Et il n’y a pas de « température globale record » en 2010, arrête d’affabuler et de raconter des bobards à la pelle.

        —————————————
        « Et il dit également que la baisse d’activité solaire « pourrait ralentir un peu le réchauffement », ce qui a bien été le cas. Pour l’influence solaire récente, lire le récent papier de Foster et Ramstorf: »
        —————-
        Punaise, tu n’es même pas fichu de comprendre une phrase simple, c’est du délire !
        Bard a dit que « SI les solaristes ont raison, ALORS la baisse de l’activité solaire pourrait ralentir un peu le réchauffement », il n’a pas dit que « l’activité solaire pourrait ralentir un peu le réchauffement ».

        Donc vu que tu reconnais toi-même que l’activité solaire a ralenti un peu le réchauffement (en fait, le réchauffement ne s’est pas « ralenti », il est aux abonnés absent depuis la date de la citation de Bard, càd statistiquement NUL mais bon, on n’en est plus à ça près avec les distorsions réchauffistes), ça veut dire que les solaristes ont eu raison.
        Bref, Bard a voulu parier sur une réfutation des solaristes en proposant de laisser l’observation « départager les opinions », chose assez rare dans au sein du charlatanisme réchauffiste pour être signalée. Et il a perdu, les faits ont tranché, point barre, tes pathétiques contorsions, tes périodes climatologiques sorties du chapeau des modèles et tes multiples mensonges et diversions n’y changent rien.

    • Warmichou,
      Je rajouterai que les carbocentristes ont toujours besoin d’une rétroaction positive robuste, c’est celle de la vapeur d’eau dont on ne maîtrise nullement toutes les facettes toujours via ces vilains nuages qui nous empêchent de modéliser comme on voudrait

      • Selon la citation de Bard :

        « Les opinions divergentes sur le réchauffement global pourraient être départagées dans un futur proche car nous entrons actuellement dans la phase descendante du cycle solaire.
        D’ici à 2006, l’influence des gaz à effet de serre dominera si l’on en croit la plupart des spécialistes.
        Si [les solaristes] ont raison, alors la baisse d’activité solaire pourrait ralentir un peu le réchauffement »

        Un ralentissement du réchauffement prouverait selon Bard en 2002 que les solaristes ont raison.

        Warm estime quant à lui : « Et il dit également que la baisse d’activité solaire « pourrait ralentir un peu le réchauffement », ce qui a bien été le cas. »

        Warm estime donc que le réchauffement s’est ralenti. Par conséquent, selon Bard cela prouve que les solaristes ont eu raison.

        Il considère que cela est en conformité avec les déclarations de Bard mais il oublie que Bard ne donnait pas son opinion sur ce qui allait se produire mais sur un fait qui s’il se produisait donnerait raison aux solaristes.

        Les alarmistes quant à eux deviennent des partisans malgré eux de la variabilité naturelle : il faut une variabilité naturelle renforcée pour expliquer que l’augmentation du CO2 n’ait pas tous les effets prévus.
        Je ne suis pas du tout un spécialiste mais il me semble qu’il y a clairement une modification de leur discours sur ce point.

        La variabilité des températures dépendant des variations d’activité solaire dans le dernier rapport du Giec n’était-elle pas très inférieure (c’est à dire d’un autre ordre de grandeur) que celles attribuées au CO2 ? Ou c’est ma mémoire qui me fait défaut ?

        Comment pourraient-elles aujourd’hui annuler ou réduire sensiblement la hausse liée au CO2 ?

        Bon, je viens de me rendre compte que je répète un peu ce que disaient MiniTax et the Fritz. Mais peut-être que ça rentrera mieux !

        • ça ne rentrera. Warm est dépourvu de bon sens et il est nul en science, il ne peut tout simple pas comprendre que c’est arguments ne valent pas un clou.

  • Au niveau de la durée de vie du CO2 comment se fait il que les analyses isotopiques montrent que le CO2 d’origine anthropique est de plus en plus présent dans l’atmosphère ?

    • Je préfère m’intéresser à la question de l’évaluation de l’importance respective des facteurs.

      J’ai trouvé la réponse à ma question dans Wikipedia :

       » En 2007, le quatrième rapport du GIEC estime que le forçage radiatif dû aux gaz à effet de serre produits par l’activité humaine est dix fois plus important que celui dû au rayonnement solaire ».

      Avec un rapport de un à dix, comment le soleil aurait-il pu contrer le réchauffement lié au CO2 sur la dernière décennie ?

      • Il n’a rien contré du tout, le cycle solaire de 11 ans envirion a une légère influence sur les températures. Quand on calcul des tendances sur 20-30ans, cet effet est lissé. Mais si on calcul des tendances entre un pic d’activité solaire, et un creux d’activité, soit sur mois de 10 ans, eh bien on a moins de réchauffement qu’attendu. Mais pas aucun réchauffement, juste un ralentissement ! Car en effet, l’effet solaire est très réduit par rapport au forçage des GES.

        Mais je ne me fais pas de soucis, au prochain épisode El Nino, quand la température globale battera un nouveau record, tous les sceptiques seront parfaitement au point sur ces notions, et saurons minimiser ce « coup de chaleur » en nous disant qu’il a eu lieu pendant un maximum solaire, et qu’il faut prendre en compte la variabilité inter-annuelle avant de tirer des conclusions 🙂

    • Eh bien c’est pas très compliqué de comprendre que plus on crame de pétrole et de charbon (et on en crame de plus en plus), plus ça se voit dans l’atmosphère. Pas besoin d’analyse isotopique …
      Mais « de plus en plus » ça ne veut pas dire « beaucoup ».

    • Robert : « Au niveau de la durée de vie du CO2 comment se fait il que les analyses isotopiques montrent que le CO2 d’origine anthropique est de plus en plus présent dans l’atmosphère ? »
      ————————————–
      Tu racontes des bobards, les analyses isotopiques ne montrent rien de tel, elles n’ont en aucun cas la précision nécessaires pour distinguer le flux d’émissions anthropiques qui ne compte que pour 3% dans le flux naturel. Et le fait que le CO2 augmente ne justifie en rien « une durée de vie de centaines d’années » qui est pour l’instant une affirmation sortie du chapeau contredite par les faits (cités ci-dessus).

      Un bobard répété mille fois ne devient pas une vérité, sauf pour un environnementeur.

      • Je vous rappelle également que l’on mesure une baisse (infime, mais mesurable) du taux d’oxygène atmosphérique, baisse qui correspond pil poil à la hausse du CO2, ce qui démontre que le CO2 provient d’une combustion, et pas, par exemple, du dégazage océanique…

        Et votre flux naturel, il est en équilibre. Il s’agit d’un cycle fermé. A l’équilibre, le taux de CO2 atmosphérique ne change pas: il en est émis autant (respiration, dégazage des océans) qu’il en est absorbé (photosynthèse, reprise du CO2 par les océans)… Les émissions anthropiques changent la donne: la preuve, le taux de CO2 atmosphérique augmente, et pas qu’un peu !

        • Warm : « Je vous rappelle également que l’on mesure une baisse (infime, mais mesurable) du taux d’oxygène atmosphérique, baisse qui correspond pil poil à la hausse du CO2 »
          —————————
          Non, c’est FAUX, tu mens, encore et encore.

          • Non, c’est FAUX, tu mens, encore et encore.

            Lire à ce sujet cet article de vulgarisation:

            http://blogcritics.org/scitech/article/atmospheric-oxygen-levels-fall-as-carbon/

          • Warm : « Lire à ce sujet cet article de vulgarisation:
            http://blogcritics.org/scitech/article/atmospheric-oxygen-levels-fall-as-carbon/ ? »
            ——————-
            Voici ce que l’auteur même de l’étude dit dans TON lien :
            ‘ »A reasonable estimate for how much O2 has been lost since the beginning of the industrial revolution can be based on the estimated loss due to fossil-fuel emissions, which can be calculated from records of the amount of each fuel type burnt and its combustion ratio. Such records are not readily available online, but I have figures handy ».

            Ainsi donc, l’auteur nous avoue que cette soi-disant baisse de l’O2 est en fait une « ESTIMATION basée des séries historiques de consommation de fossiles » , séries qui, tenez-vous bien « ne sont pas facilement disponibles en ligne » (comprenne qui pourrait ce que voudrait dire « facilement disponible »), ce qui donc interdit toute possible de réplication et de vérification de ses résultats, pourtant, une pierre angulaire de la science sur laquelle pissent les réchauffistes.
            « Traduit » fidèlement par Warm, « estimation raisonnable » devient « mesures qui correspondent pile poil », admirez l’artiste !

            En clair, Warm prétend démontrer que la hausse de CO2 vient de l’homme grâce aux ESTIMATIONS de la baisse de O2 calculées en se basant sur l’hypothèse que … la hausse de CO2 vient de l’homme, super exemple de démonstration circulaire que seul un bigot réchauffiste puisse oser.

            Conclusion, Warm est un clown. Mais ça, on le sait déjà.

  • Voyez mon commentaire à Papy, qui s’applique à vous également.
    L’article est une synthèse très accessible, et tout ce qui y est écrit est non réfutable. Mais peut-être n’avez-vous rien compris? Relisez-le tranquillement, et faites un effort avec vos petites cellules grises…

  • Je me demande s’il ne nous faudrait pas un peu de « Warmifuge »…..

  • ——————
    « Bah si, il y a un paquet d’études publiées dans les meilleures revues, il suffit de googler Segalstad pour retrouver les liens. Ce n’est pas parce que tu n’as rien cherché que ça n’existe pas. Vu que t’es même pas fichu de comprendre une phrase simple, je ne vais quand même pas faire tout le boulot pour toi, autant donner de la confiture aux cochons. »
    ———————–

    Non, les études dont vous parlez concerne le temps d’ajustement et pas le temps de temps de vie atmosphérique global… mais lisez les définitions de l’AR4 !!

    « Turnover time (T) (also called global atmospheric lifetime) is the
    ratio of the mass M of a reservoir (e.g., a gaseous compound in the
    atmosphere) and the total rate of removal S from the reservoir: T = M
    / S. »

    Opposé à

    « Adjustment time or response time (Ta ) is the time scale
    characterising the decay of an instantaneous pulse input into the
    reservoir. »

    Il est dit clairement:

    « In simple cases, where the global removal of the compound is
    directly proportional to the total mass of the reservoir, the adjustment
    time equals the turnover time: T = Ta. […]. In more complicated cases, where several reservoirs are involved or where the removal is not proportional to the total mass, the equality T = Ta no longer holds. Carbon dioxide (CO2) is an extreme example. Its turnover time is only about four years because of the rapid exchange between the atmosphere and the ocean and terrestrial biota. However, a large part of that CO2 is returned to the atmosphere within a few years. Thus, the adjustment time of CO2 in the atmosphere is actually determined by the rate of removal of carbon from the surface layer of the oceans into its deeper layers. Although an approximate value of 100 years may be given for the adjustment time of CO2 in the atmosphere, »

    Si vous me présentez des études sur « Ta » quand je parle de T, vous comparez des pommes et des poires. Pour Ta, le GIEC admet totalement qu’il s’agit d’un temps court, c’est écrit noir sur blanc (4 ans), donc pas de contradiction avec vos études, sauf preuve du contraire.

    D’apré vos élucubration, on ne devrai pas avoir de CO2 dans l’atmosphère, puisque, il en disparaît chaque année. Le simple fait que le taux de CO2 reste constant si les conditions « bio-climatiques » constantes (pas de changement de forçage solaire, biomasse constante, pas de volcanisme etc…) montre que vous avez tort.

    ——————–
    « Je n’ai jamais dis une telle stupidité, apprend d’abord à lire au lieu de passer ton temps à mentir. »

    Vous avez dit texto: »Dire que « ça diminue très lentement » en insinuant que « ce serait des centaines d’années » alors que ça diminue de moitié (!) dès la première année, c’est ça le mensonge ! Tu veux quoi, un dessin pour comprendre la différence entre 1 an et « des centaines d’années » ???

    Je lis bien « ça diminue de moitié dès la première année ». Le ça renvoyant explicitement à ma proposition d’avant concernant le taux de CO2 dans le cas d’arrêt des émissions. Comme vous le dites, ça sous entend sans ambiguïté que le taux de CO2 diminuerait de moitié dans le cas de l’arrêt des émissions. Ce qui est effectivement stupide. Mais si vous voulez dire autre chose, il faut l’écrire clairement. Si on arrêtait les émissions de CO2 complètement aujourd’hui, quel taux atmosphérique y aurait-il dans 1 ans ?

    —————-
    Le fait que la moitié des émissions humaines de CO2 dans l’atmosphère disparaît dès la première année concerne bien « le temps de vie » du CO2 dans l’atmosphère (que le GIEC n’a jamais défini précisément, mais bon, soit), alors arrête ton enfumage avec des diversions grotesques.
    ———–

    Bah si, le GIEC définit ces notions, cf glossaire. Allez, je remets le lien:

    http://www.ipcc.ch/pdf/glossary/ar4-wg1.pdf

    ——————
    Pour résumer la théorie de la « durée de vie du CO2″ avancée par le charlatanisme climatique (et dont Warm fait le perroquet), quand on émet 100 molécules de CO2, 50 molécules sont absorbées dès la première année (chose que même les bigots réchauffistes sont obligés de reconnaître) et puis les 50 autres restent dans l’air pendant « des centaines d’années », ouais monsieur ! Eh oui, la « science » climatique est aussi mauvaise que ça…
    ————–

    Et d’après votre science, le CO2 disparaît de l’atmosphère en quelques années… En tout cas vous n’avez pas dit autre chose plus haut ! Donc répondez clairement. Si on cesse toute émission, quel serait le taux de Co2 atmosphérique dans un ans ? dans 10 ans ? dans 100 ans ?

    La position concensuelle (celle qui est mise dans le rapport du GIEC), c’est qu’il y aura une diminution « rapide » tout d’abord (rapide, mais pas au point que vous le décrivez, disons une perte de 60% du taux induit sur 100ans, soit par exemple si les émissions ont fait grimper de 100ppm le taux de Co2, il serait ramené à 40ppm d’exédent après 100ans d’arrêt. C’est tout de même une bonne nouvelle, parce que celà veut dire que ça vaut la peine de réduire les émissions !

    Mais les 40% restant sont récalcitrants, et certaines études montre même qu’il est possible que cette quantité résiduelle reste sur des échelles milléanaires, et qu’il faudrait attendre que l’érosion (silicate weathering) face son office. Lors du PETM (un « pulse » chaud au début de l’ère tertiaire), le taux de Co2 est grimpé en flèche sur 10’000 ans, et il a mis 150’000 ans pour retourner à sa valeur d’origine…

    • Warm,
      l’altération des silicates qui va vider l’atmosphère du CO2 est une invention de Laurent Bopp qui comme beaucoup de gens ont eu besoin un moment de se greffer sur la mode climatologique pour publier
      Les altérations sont ainsi souvent considérées comme un puits: c’est faux, l’altération des carbonates est une source, l’altération des silicates n’est ni une source, ni un puits envers le système atmosphère – hydrosphère . L’altération des silicates ne fait que fournir les ions calcium qui permettront éventuellement la fabrication de calcite ou d’aragonite par le monde biologique, qui lui, constitue le seul puits, à condition que la sédimentation veuille bien fossiliser matières organiques et carbonates. La teneur en calcium de l’eau de mer n’est d’ailleurs pas le facteur limitant à cette pompe biologique: il y en a 4 à 5 fois plus que d’ions carbonates ; c’est donc la disponibilité du CO2 qui gouverne, aussi bien sur les continents en favorisant le développement de la végétation, que dans le milieu aquatique en fournissant le carbone sous ses diverses formes moléculaires nécessaires au développement de la biomasse.

      • @the fritz
        J’ai mentionné en passant l’érosion sans plus de détail. Dans le contexte de la discussion, ce qu’il faut retenir c’est que c’est un processus très lent actif sur les échelles géologiques. Votre intervention renforce ce point de vue, à savoir que le taux de CO2 diminue « à condition que la sédimentation veuille bien fossiliser matières organiques et carbonates. « 

    • Warm : « Non, les études dont vous parlez concerne le temps d’ajustement et pas le temps de temps de vie atmosphérique global… mais lisez les définitions de l’AR4 !! »
      ——————-
      J’ai bien donné des études sur « le temps d’ajustement » (de quelques années), selon toi.
      Or selon ta propre citation de l’AR4, le GIEC parle AUSSI de temps d’ajustement (« adjustement time ») mais de 100 ans, valeur basée sur du vent puisque cette valeur « approximative » (dixit le GIEC, admirez la « settle science ») suppose une croyance sur des mécanismes hypothétiques de séquestration dans les profondeurs des mers dont personne ne sait rien : « thus, the adjustment time of CO2 in the atmosphere is actually determined by the rate of removal of carbon from the surface layer of the oceans into its deeper layers. Although an approximate value of 100 years may be given for the adjustment time of CO2 in the atmosphere, »

      Conclusion, ton histoire de « temps de vie atmosphérique » (quoi que ça puisse vouloir dire, puisqu’encore une fois, c’est une notion sortie du chapeau de manière totalement confuse par le GIEC et qui n’a jamais été définie nulle part dans aucun manuel de physique) démontre que tu n’as strictement aucune idée de ce que tu racontes. CQFD.

      ———————————–
      Warm : « Je lis bien « ça diminue de moitié dès la première année ». Le ça renvoyant explicitement à ma proposition d’avant concernant le taux de CO2 dans le cas d’arrêt des émissions. »
      ———————————–
      Bah non, le « ça » renvoie à la quantité de CO2 émise par l’Homme qui ne fait que 3% du total, PAS le total, gros naze !
      Tu n’es qu’un analphabète, pas étonnant que tu gobes n’importe quelle foutaise réchauffiste.

      ——————————–
      Warm : « Bah si, le GIEC définit ces notions, cf glossaire. Allez, je remets le lien:
      http://www.ipcc.ch/pdf/glossary/ar4-wg1.pdf »
      ———————————————–
      Voyons voir la définition dans le glossaire du GIEC, ah oui, c’est vachement clair la « durée de vie » façon GIEC, ouais… Mais hé, c’est la « science » climatique !
      « Lifetime : Lifetime is a general term used for various time scales
      characterising the rate of processes affecting the concentration of
      trace gases. The following lifetimes may be distinguished:
      Turnover time (T) (also called global atmospheric lifetime) is the
      ratio of the mass M of a reservoir (e.g., a gaseous compound in the
      atmosphere) and the total rate of removal S from the reservoir: T = M
      / S. For each removal process, separate turnover times can be defi ned.
      In soil carbon biology, this is referred to as Mean Residence Time.
      Adjustment time or response time (Ta ) is the time scale
      characterising the decay of an instantaneous pulse input into the
      reservoir. The term adjustment time is also used to characterise the
      adjustment of the mass of a reservoir following a step change in
      the source strength. Half-life or decay constant is used to quantify
      a fi rst-order exponential decay process. See response time for a
      different defi nition pertinent to climate variations.
      The term lifetime is sometimes used, for simplicity, as a surrogate
      for adjustment time.
      In simple cases, where the global removal of the compound is
      directly proportional to the total mass of the reservoir, the adjustment
      time equals the turnover time: T = Ta. An example is CFC-11, which
      is removed from the atmosphere only by photochemical processes
      in the stratosphere. In more complicated cases, where several
      reservoirs are involved or where the removal is not proportional to
      the total mass, the equality T = Ta no longer holds. Carbon dioxide
      (CO2) is an extreme example. Its turnover time is only about four
      years because of the rapid exchange between the atmosphere and
      the ocean and terrestrial biota. However, a large part of that CO2 is
      returned to the atmosphere within a few years. Thus, the adjustment
      time of CO2 in the atmosphere is actually determined by the rate
      of removal of carbon from the surface layer of the oceans into its
      deeper layers. Although an approximate value of 100 years may be
      given for the adjustment time of CO2 in the atmosphere, the actual
      adjustment is faster initially and slower later on. In the case of
      methane (CH4), the adjustment time is different from the turnover
      time because the removal is mainly through a chemical reaction with
      the hydroxyl radical OH, the concentration of which itself depends
      on the CH4 concentration. Therefore, the CH4 removal rate S is not
      proportional to its total mass M. »

      • ———————————–
        Warm : « Je lis bien « ça diminue de moitié dès la première année ». Le ça renvoyant explicitement à ma proposition d’avant concernant le taux de CO2 dans le cas d’arrêt des émissions. »
        ———————————–
        Bah non, le « ça » renvoie à la quantité de CO2 émise par l’Homme qui ne fait que 3% du total, PAS le total, gros naze !
        Tu n’es qu’un analphabète, pas étonnant que tu gobes n’importe quelle foutaise réchauffiste.

        ————

        Arrêtez, MiniTAX, vous vous enfoncez… si le « ça » concernait les émissions, étant donné que l’on part de l’hypothèse qu’on les réduirait à zéro (« en cas d’arrêt des émissions, écrit noir sur blanc), votre phrase « ça diminue de moitié dès la première année » n’a AUCUN sens ! Vous nous dites que si les émissions s’arrêtaient complètement, les émissions diminueraient de moitié ? Ou alors que même en cas d’arrêt, le taux de Co2 continuerait d’augmenter, mais 2x moins vite (ah dans ce cas, c’est clair que le retour à la normale va prendre du temps !) ? Ou alors vous voulez dire que le taux atmosphérique diminuerait de 50% de l’ajout de la dernière année d’émission ? En 2010, la concentration de CO2 a augmenté de 2.1ppm, donc une année après l’arrêt des émission le taux passerait de 391.8 à 390.75. Et vu que la décroissance est, d’après vous, exponentielle (notion de demi-vie), une année d’après on aurait une diminution 2x moindre qui amènerait le taux à 390.23… Si c’est c’est votre conception d’une décroissance rapide, alors on est d’accord 🙂 🙂 .

        Bref, faites nous un calcul clair. Aujourd’hui on est à un taux de 392ppm. On suppose qu’on arrête brusquement tout émission. A combien sera-t-on dans un an ?

    • Warm : « Donc répondez clairement. Si on cesse toute émission, quel serait le taux de Co2 atmosphérique dans un ans ? dans 10 ans ? dans 100 ans ? »
      ————————
      Ca personne ne sait, surtout pas les réchauffistes. Ta question est aussi stupide que « dites moi quand Jésus va ressusciter ? ».
      En science, quand on ne sait pas, bah on ne répond pas, point barre.
      Il n’y a que les réchauffistes qui sont convaincus qu’ils ont la réponse parce qu’il y a un prétendu « consensus » (qui n’existe que dans leur fantasme), preuve que leur théorie n’a rien à voir avec la science et tout à voir avec la religion.

      • Quand on ne sait pas, on donne une estimation. Vous avez déjà commencé à le faire, puisque vous trouvez stupide de prétendre que si on arrête les émissions, le taux de CO2 atmosphérique diminuerait pas de 50ppm en une année…

        • Oulah, il y a un « pas » de trop dans ma dernière phrase…

          Allons, MiniTAX, Vous avez sûrement une réponse précise à ma question, puisque vous écructez que le GIEC se trompe complètement avec son CO2 qui reste 100ans dans l’atmosphère, et que vous avez lu des dizaines d’étude à ce sujet. Si il se trompe complètement, c’est que vous pensez que la diminution est beaucoup plus rapide, donc vous avez une idée bien précise !

          Remarquez que plus vous répondrez un taux de diminution élevé, plus cela confortera les politiques d’intervention pour la réduction des émission. Si il suffisait de 1 an d’arrêt pour effacer de l’atmosphère d’un coup 30 année d’émission, par exemple, le problème du réchauffement global est largement résolu: on fait un moratoire d’un an tous les 30ans et on garderait ainsi le taux moyen constant !

          • Warm : Si il suffisait de 1 an d’arrêt pour effacer de l’atmosphère d’un coup 30 année d’émission, par exemple, le problème du réchauffement global est largement résolu
            ————————
            Le strawman débile de « 1 an d’arrêt pour effacer 30 ans », c’est toi qui l’a pondu, personne d’autre.
            Puisque tu veux à tout prix une estimation, vu que 0,5 ppm de CO2 est absorbé chaque année de manière incontestable (ce qu’on émet chaque année correspondrait à une hausse de 1ppm de CO2 de l’air, or on ne CONSTATE qu’une hausse de 0,5 ppm), l’arrêt de toute émission de CO2 entraînerait une baisse de 0,5ppm/ an, c’est largement plus crédible que tes élucubrations sur une durée-de-vie-dont-on-ne-sait-toujours-pas-la-définition de « centaines d’années ». De toute façon, ça reste du domaine des affirmations infalsifiables donc ça n’a rien à voir avec la science. Mais moi au moins, je sais faire la différence, contrairement aux bigots comme toi.

            Quant au réchauffement global, il n’a jamais été un problème, sauf dans le cerveau malade des réchauffistes dans ton genre. Personne n’a jamais été mort du changement climatique, personne ! Aucun humain, animal ou plante n’a eu sur son registre de décès comme cause : réchauffement global, ça n’existe quand dans la propagande de la FARCE.
            Donc la seule bonne façon de résoudre un non-problème, c’est de ne donner aucune solution, même si ça fera bien mal au cul de tous les parasites du carbone et tous ceux qui dépendent de l’industrie du catastrophisme pour soutirer du fric aux contribuables.

    • Warm : « La position concensuelle (celle qui est mise dans le rapport du GIEC), c’est qu’il y aura une diminution « rapide » tout d’abord (rapide, mais pas au point que vous le décrivez, disons une perte de 60% du taux induit sur 100ans, soit par exemple si les émissions ont fait grimper de 100ppm le taux de Co2, il serait ramené à 40ppm d’exédent après 100ans d’arrêt. C’est tout de même une bonne nouvelle, parce que celà veut dire que ça vaut la peine de réduire les émissions ! »
      —————————-
      Non, tu mens !
      On SAIT que la moitié du CO2 émis par l’homme est absorbée dès la première année tout simplement par l’observation : il suffit comparer le total des émissions anthropiques (données officielles disponibles partout) et la mesure de CO2 dans l’atmosphère. Si toutes nos émissions restent dans l’atmosphère, la hausse de CO2 mesurée à Mauna Loa devrait être de 1 ppm/an, or on ne constate qu’une hausse de 0,5 ppm/an. C’est là d’où vient la conclusion, chiffrée et incontestable, « de l’absorption de moitié dès la première année » et non pas du charabia que tu as inventé de toutes pièces.

      • Arrêtez, MiniTAX, vous vous faites du mal !

        Le fait que 50% des émissions exogènes sont absorbée par l’océan ne laisse en rien présager de l’évolution future. Parce que, encore une fois, si c’était le cas, eh bien il serait impossible d’avoir un taux stable de CO2 dans l’atmosphère, les océans soustrayants très efficacement le CO2 ramenant le taux à zero en quelques dizaines d’année. Or ce n’est pas le cas: il existe un équilibre océan /atmosphère qui dépend de la pression partielle de CO2 (et de la température, et d’autre facteurs, mais restons simple). Si on augmente la pression partielle de CO2, plus de CO2 va pouvoir passer dans les océans, et un nouvel équilibre s’établit (plus de CO2 dans l’atmosphère, plus de CO2 (bon, il ne va pas rester sous cette forme, mais simplifions) dans les océans. En cas d’arrêt des émissions, si c’était le seul phénomène en cause, les océans n’ont aucune raison d’abosber plus que ce que l’équilibre ne le permet. Pour être juste, il faut du temps pour que l’équilibre s’établisse, et on peut donc s’attendre à ce que le taux baisse de manière conséquente sur quelques dizaines d’année, le temps que les couches supérieures des océans soient effectivement « gavé » de tout le CO2 possible.

        • Warm : « Le fait que 50% des émissions exogènes sont absorbée par l’océan ne laisse en rien présager de l’évolution future. »
          —————————
          Le fait que tu inventes une « durée de vie du CO2 » (que tu es incapable de définir clairement) « de centaines d’années » (que tu es incapable de justifier), non plus et à fortiori, ne laisse en rien présager de l’évolution future.
          De toute façon, je ne prétends pas connaître l’évolution future, contrairement aux fanatiques réchauffistes comme toi et tes stupides prétentions à la certitude, donc ton strawman à la noix, poubelle.

          • Laisse pisser le mérinos. don’t feed the Troll. Pourquoi te faire du mal a essayer de convaincre un obtus comme Warm, dont le niveau en science est a peu près nul et qui est totalement dépourvu de bon sens ? En plus, il exploitera la moindre erreur que tu pourra faire (et tu en fera forcément, tout le monde en fait) comme la preuve que tu te trompe sur tout, donc qu’il a raison sur tout.

          • @P,
            Je ne cherche pas à convaincre un dérangé comme Warm, c’est un escroc et un serial-menteur qui n’est là que pour sa propagande, je doute que quoi que ce soit puisse convaincre un tel fanatique.

            D’un autre côté, si on laisse notre troll répandre ses bouses (cf l’activité solaire selon Bard, la durée de vie de « centaines d’années » du CO2, etc, etc, etc, etc…) sans personne pour lui fourrer sa tête dedans, il va brailler partout victoire en disant « voyez, personne n’a relevé mes bouses, donc c’est une vérité de la science climatique ».

          • bah, un troll qui hurle que personne ne l’a contredit dans des post long comme le bras et pleins de références qu’il ne comprend même pas lui-même, tous les internautes savent ce que ça vaut … 😛
            Ce serait plus rigolo d’exiger de lui un article réchauffiste 🙂

  • En fait, à y bien réfléchir, il nous faudrait une très forte dose de Warmifuge….

    • J’ai une meilleur idée. On pourrait exiger de lui qu’il nous ponde un article réchauffiste en contrepoint de celui-ci, avec interdiction de commenter celui-ci tant que son article n’est pas sorti.

      • « On pourrait exiger de lui qu’il nous ponde un article réchauffiste en contrepoint de celui-ci, avec interdiction de commenter celui-ci tant que son article n’est pas sorti. »

        Très bonne idée, à appliquer tout de suite.
        Parce que les bouses de Warm, ça va bien un moment…

      • @ P et MiniTax
        Oui, cela lui avait été proposé par Yves Pelletier sur son site « Réchauffement Médiatique »,

        Mais nous n’avons toujours rien vu venir. Evidemment, passer de la position de démolisseur à celle de constructeur, ce n’est pas évident!

        Kenavo

  • Warm : « Lire à ce sujet cet article de vulgarisation:
    http://blogcritics.org/scitech/article/atmospheric-oxygen-levels-fall-as-carbon/ ? »
    ——————-
    Voici ce que l’auteur même de l’étude dit dans TON lien :
    ‘ »A reasonable estimate for how much O2 has been lost since the beginning of the industrial revolution can be based on the estimated loss due to fossil-fuel emissions, which can be calculated from records of the amount of each fuel type burnt and its combustion ratio. Such records are not readily available online, but I have figures handy ».

    Ainsi donc, l’auteur nous avoue que cette soi-disant baisse de l’O2 est en fait une « ESTIMATION basée des séries historiques de consommation de fossiles » , séries qui, tenez-vous bien « ne sont pas facilement disponibles en ligne » (comprenne qui pourrait ce que voudrait dire « facilement disponible »), ce qui donc interdit toute possible de réplication et de vérification de ses résultats, pourtant, une pierre angulaire de la science sur laquelle pissent les réchauffistes.
    « Traduit » fidèlement par Warm, « estimation raisonnable » devient « mesures qui correspondent pile poil », admirez l’artiste !

    En clair, Warm prétend démontrer que la hausse de CO2 vient de l’homme grâce aux ESTIMATIONS de la baisse de O2 calculées en se basant sur l’hypothèse que … la hausse de CO2 vient de l’homme, super exemple de démonstration circulaire que seul un bigot réchauffiste puisse oser.

    Conclusion, Warm est un clown. Mais ça, on le sait déjà.
    ———————————–

    Vous ne lisez pas l’article en entier… On a des MESURES depuis une vingtaine d’année. Le passage que vous citez ne concerne que l’extrpolation au taux pré-industriel pour calculer la perte totale jusqu’à aujourd’hui. Contrairement au CO2, on a pas de mesure suffisament précise pour l’O2 qui remonte avant les années 70…

    Vous pouvez lire l’introduction de cette thèse q

    lire par exemple cette présentation:

    d’où est tiré ce graphique:

    http://protonsforbreakfast.files.wordpress.com/2010/03/oxygen-depletion.jpg

    Le taux d’oxygène atmosphérique diminue, c’est un fait expérimental reproduit par plusieurs groupe de recherche à travers le monde…

    • Oulah, j’ai posté trop vite

      Je voulais vous présenter cette thèse qui traite de la mis en place d’un système de mesure continu de l’oxygène atmosphérique au Jungfraujoch (suisse):

      http://homepage.agrl.ethz.ch/~pasturm/sturm05phdthesis.pdf

      L’introduction est intéressante:

      « The second powerful approach to constrain the partitioning was developed by Keeling and Shertz [1992] and is based on measurements of atmospheric oxygen (O2). O2 and CO2 are exchanged in relatively xed stoichiometric ratios during the burning of fossil fuels as well as during photosynthesis and respiration by plant, animals, and bacteria. By contrast, dissolution of CO2 in the ocean has no eect on atmospheric O2. Therefore, only uptake or release of CO2 by the biosphere will leave an imprint on atmospheric O2. By knowing the fossil fuel emissions and the exact values of the stoichiometric ratios, one can separate on timescales of a few years the total CO2 uptake into land and ocean components, as shown graphically in Figure 1.3. »
      Strictly speaking, this method can only distinguish between net non-biological ocean uptake
      and net biospheric uptake, which includes both the terrestrial and marine biosphere. »

      • Quand vous parlez de rapports stoechiométriques CO2 vs O2 pour la diminution du dioxygène, j’espère que vous n’oubliez pas que lors de la combustion d’une mole de carbone, une mole d’O2 (deux moles d’O) va disparaitre pour le carbone, mais aussi 1/2 mole d’O2 va disparaitre pour faire de l’eau.
        Vous la comptez la demi mole d’O2 pour faire de la vapeur d’eau ?

        • Ma question ne vous intéresse pas ?

          Vous comptez une mole d’O2 en moins dans l’atmosphère pour une mole de CO2 ajoutée lors d’une combustion ou vous comptez 1,5 mole en moins ?

    • Warm : « Le taux d’oxygène atmosphérique diminue, c’est un fait expérimental reproduit par plusieurs groupe de recherche à travers le monde… »
      ————————————————
      Et ??? Ca diminue et les mesures existent depuis 20 ans, soit (faut voir la tronche de l’incertitude des mesures aussi, c’est à se tordre de rire). D’ailleurs, je n’ai pas dit le contraire.
      Mais ça n’a rien à voir avec la carabistouille que tu as pondue, à savoir qu’on aurait mesuré « une baisse (infime, mais mesurable) du taux d’oxygène atmosphérique, baisse qui correspond pil poil (sic) à la hausse du CO2″.
      Même un camelot de St Ouen n’exagèrerait et ne mentirait pas autant que toi. Mais bon, venant d’un bigot réchauffiste, quelle surprise !

  • Puisque tu veux à tout prix une estimation, vu que 0,5 ppm de CO2 est absorbé chaque année de manière incontestable (ce qu’on émet chaque année correspondrait à une hausse de 1ppm de CO2 de l’air, or on ne CONSTATE qu’une hausse de 0,5 ppm), l’arrêt de toute émission de CO2 entraînerait une baisse de 0,5ppm/ an, c’est largement plus crédible que tes élucubrations sur une durée-de-vie-dont-on-ne-sait-toujours-pas-la-définition de « centaines d’années ».
    ———————-

    Merci MiniTAX pour votre réponse ! Donc en gros, pour perdre les 100ppm exédentaires de CO2 dans l’atmosphère, il faudrait… 200ans (0.5ppm/an), ce qui il est vrai est à des année lumière des 100ans mentionné dans le glossaire de l’AR4…

    On progresse 🙂

    • « Donc en gros, pour perdre les 100ppm exédentaires de CO2 dans l’atmosphère, il faudrait… 200ans »

      « Exédentaires » dans le cas où il n’y aurait pas de variabilité de CO2 atmosphérique, ce pourrait être vrai, mais c’est faux puisque des mesures directes de CO2 ont mis en évidence cette variabilité et que de nombreux articles scientifiques soutiennent ces mesures :

      * PNAS 2008: A role for atmospheric CO2 in preindustrial climate forcing. Thomas B. van Hoof et al. PNAS September 30, 2008, 105 (39)
      * Biogeosciences 2008: CO2 radiative forcing during the Holocene Thermal Maximum revealed by stomatal frequency of Iberian oak leaves; García-Amorena et al.; Biogeosciences Discuss., 5, 3945-3964, 2008
      Oceanic processes are responsible for high atmospheric CO2; warmer currents – more CO2
      * SCIENCE 2008: Atmospheric CO2 and Climate on Millennial Time Scales During the Last Glacial Period; Jinho Ahn, et al. Science 322, 83 (2008)
      + 90 ppm CO2 rise by redistribution of carbon from the deep ocean to the atmosphere during deglaciation
      * SCIENCE 2007: Marine Radiocarbon Evidence for the Mechanism of Deglacial Atmospheric CO2 Rise Marchitto et al. SCIENCE Published Online May 10, 2007; Science DOI: 10.1126/science.1138679
      * SCIENCE 2007: Southern Hemisphere and Deep-Sea Warming Led Deglacial Atmospheric CO2 Rise and Tropical Warming Stott, et al. Science 318, 435 (2007);
      Antarctic temperatures fit to the historical CO2 contour but not to Mauna Loa and ice core reconstructions
      * Geophysical Letters 2006: Antarctic Temperatures over the past two Centuries from Ice cores; Schneider et al. Geophys. Res. Lett., 33, L16707, doi:10.1029/2006GL027057.
      An approx. 65 years Climate Cycle (50-80 years) (selection of papers)
      * Shen, C. 2008; Variability of summer precipitation over eastern China during the last millennium
      Clim. Past Discuss., 4, 611–643, 2008 p. 623

      * Grosfeld et al 2007; The impact of Atlantic and Pacific Ocean sea surface temperature anomalies on the North Atlantic multidecadal variability; Tellus August 2007
      * Moss et al. 2006 Evidence of Multi-decadal Salinity Variability in the Eastern Tropical North Atlantic
      * POLYAKOV , I. V. et al. Variability of the Intermediate Atlantic Water of the Arctic Ocean over the Last 100 Years, J O U R N A L O F C L I M A T E, V OL . 17, N O . 23, 2004
      * Klyashtorin L.B. et al. 2003; On the Coherence between Dynamics of the World Fuel Consumption and Global Temperature Anomaly E&E, VOLUME 14 No. 6 2003
      * Weisheimer, A. 2000, Niederfrequente Variabilität großräumig atmosphärische Zirkulationsstrukturen in spektralen Modellen niederer Ordnung; Ber. Polarforsch. 356 (2000) ISSN 0176 – 5027 p. 18
      * Kovalev, A. V. 1998; The Black Sea Zooplankton: Composition, Spatial/Temporal Distribution and History of Investigations Tr. J. of Zoology 23 (1999) 195-209 p. 201
      * Schlesinger, M.E. and Ramankutty, N. 1994. An oscillation in the global climate system of period 65-70 years. Nature 367, 723-726
      Notes

    • Warm : « Merci MiniTAX pour votre réponse ! Donc en gros, pour perdre les 100ppm exédentaires de CO2 dans l’atmosphère, il faudrait… 200ans (0.5ppm/an), ce qui il est vrai est à des année lumière des 100ans mentionné dans le glossaire de l’AR4…
      On progresse 🙂 »
      ———————
      Non, on n’a pas progressé d’un pouce vu que tu ne comprends strictement à rien et que tu mélanges tout et n’importe quoi.
      Les 100 ans mentionnés par l’AR4, c’est une valeur au doigt mouillé (selon les propres aveux du GIEC) et qui concerneRAIT le temps que ça prendDRAIT pour revenir à la valeur AU MOMENT de l’émission, càd maintenant, pas pour revenir à la valeur préindustrielle de 280ppm. Tu n’es qu’un âne !

      • « es 100 ans mentionnés par l’AR4, c’est une valeur au doigt mouillé (selon les propres aveux du GIEC) et qui concerneRAIT le temps que ça prendDRAIT pour revenir à la valeur AU MOMENT de l’émission, càd maintenant, pas pour revenir à la valeur préindustrielle de 280ppm. Tu n’es qu’un âne  »

        Non, il s’agit bien d’un retour à l’équilibre. Si on lit le rapport, on voit très bien que c’est cette notion qui est retenue. Il est clair que le glossaire ne risque pas d’aller dans plus de détail, ce n’est pas son rôle !

        On peut lire dans le chapitre 10 (FAQ 10.3) de l’ar4:

        « The concentration of a greenhouse gas in the atmosphere depends
        on the competition between the rates of emission of the gas
        into the atmosphere and the rates of processes that remove it from
        the atmosphere. For example, carbon dioxide (CO2) is exchanged
        between the atmosphere, the ocean and the land through processes
        such as atmosphere-ocean gas transfer and chemical (e.g.,
        weathering) and biological (e.g., photosynthesis) processes. While
        more than half of the CO2 emitted is currently removed from the
        atmosphere within a century, some fraction (about 20%) of emitted
        CO2 remains in the atmosphere for many millennia. »

        on retrouve les 100ans du glossaire…

        Et plus loin on peut lire:

        « Complete elimination of CO2 emissions is estimated to lead to a slow decrease in atmospheric CO2 of about 40 ppm over the 21st century. »

        Depuis l’AR4, on a fait des progrès dans la modélisation de l’évolution du cycle du carbone (les travaux d’Archer), et je vous donne un scoop, c’est bien mieux dans l’AR5

  • Bonjour,

    j’ai deux questions:

    1) quelle est la part de CO2 anthropique dans le CO2 total ?

    2) quelle est la part de l’efficacité du CO2 total (et donc du CO2 anthropique) dans l’effet de serre (part par rapport aux autres GES dont la vapeur d’eau) ?

    • 1) les émissions de CO2 ont augmenté le taux pré-industriel d’environ 40% (de 280 à 390ppm). Un tel taux n’a jamais été vu sur terre depuis 600’000 ans au moins…

      Voilà une vidéo de la NOAA qui illustre cette évolution:

      http://www.youtube.com/watch?v=H2mZyCblxS4

      si vous la regardez en HD et en plein écran, vous pourrez y lire les références… La vidéo date déjà un peu, on a dépassé les 390ppm !

      2) quelle est la part de l’efficacité du CO2 total (et donc du CO2 anthropique) dans l’effet de serre (part par rapport aux autres GES dont la vapeur d’eau) ?

      La vapeur d’eau est le principal gaz à effet de serre, mais son taux dans l’atmosphère dépend de la température. Si il fait trop froid, la vapeur d’eau condense (les nuages) et retombe (la pluie). Le CO2, lui, s’accumule dans l’atmosphère.

      • Mince, vous avez mal lu ma question 1)
        je n’ai pas demandé la concentration atmosphérique de CO2, mais la part du CO2 anthropique dans la CO2 total sur la planète. J’espère que vous savez qu’il y a des échanges entre l’atmosphère, l’océan et la partie terrestre (minérale) quand même.

        Ensuite, vous n’avez pas répondu non plus à ma seconde question: la part de l’efficacité de la vapeur d’eau dans l’effet de serre (efficacité absolue ou relative par rapport à celle du CO2).

        Pour lutter contre le réchauffement climatique dont parle le Giec, les ingénieurs du Giec n’ont-ils jamais pensé à diminuer les émissions humaines de vapeur d’eau ?
        Ce serait aussi une bonne idée, non ? Peut-être même aussi bonne que diminuer les émissions humaines de CO2 ?
        On pourrait même taxer les émissions de vapeur d’eau et créer un marché de crédit d’émission ? Qu’en pensez-vous ?
        Après tout, pollueur/payeur: les gens qui émettent de la vapeur d’eau payent.
        D’ailleurs, lors d’une combustion d’une mole d’alcane à n C, il y a émission de n moles de CO2 et de n moles d’eau (vapeur).
        En taxant toute combustion, on taperait les mêmes pollueur, non ?
        One stone two birds. ^^

        Prochaine étape: taxer la respiration, une combustion lente qui émet que façon insolente du CO2 et de l’H2O

        • « Mince, vous avez mal lu ma question 1)
          je n’ai pas demandé la concentration atmosphérique de CO2, mais la part du CO2 anthropique dans la CO2 total sur la planète. J’espère que vous savez qu’il y a des échanges entre l’atmosphère, l’océan et la partie terrestre (minérale) quand même. »

          Pas clair votre question, si vous parlez d’échanges, c’est que vous parlez de flux, pas de quantité totale. La réponse est simple. 100% de l’augmentation de la concentration de CO2 atmosphérique est d’origine anthropique (émissions + changement d’utilisation des sols).

           » Ensuite, vous n’avez pas répondu non plus à ma seconde question: la part de l’efficacité de la vapeur d’eau dans l’effet de serre (efficacité absolue ou relative par rapport à celle du CO2). »

          Ce qui nous intéresse, c’est l’augmentation de l’effet de serre, pas de l’effet de serre lui même. La vapeur d’eau ne joue pas de rôle direct dans cette augmentation, elle joue uniquement un rôle indirect au travers de l’augmentation de la température (positive feedback). Vous pouvez ajoutez toute la vapeur d’eau que vous voulez dans l’atmosphère, elle se retrouvera en quelques mois dans les océans, et donc elle ne joue aucun rôle dans l’augmentation primaire de l’effet de serre radiatif. Son rôle n’est que secondaire: augmentations des GES non précipitable => augmentation de la température => augmentation de la vapeur d’eau => encore plus d’augmentation de la température.

          « Pour lutter contre le réchauffement climatique dont parle le Giec, les ingénieurs du Giec n’ont-ils jamais pensé à diminuer les émissions humaines de vapeur d’eau ? »

          Etant donné que tout combustion produit aussi de la vapeur d’eau, de tout façon, réduire les émissions, c’est réduire la vapeur d’eau. Mais les émissions de vapeur d’eau lié à la combustion ne joue aucun rôle dans l’évolution de la concentration de vapeur d’eau dans l’atmosphère. Comme dit plus haut, cela dépend uniquement de la température..

        • une mole d’alcane à n C, il y a émission de n moles d’eau
          —————————————–
          l’alcane non, …mais l’eau ferrugineuse oui

          Pandy , continuez comme cela ; il va craquer

        • question très claire au contraire. L’Homme compte pour environ 5 à 10 % des émissions de CO2 ( http://acces.inrp.fr/acces/terre/CCCIC/ressources/bio_synth12 ). Par ailleurs le stock total de combustibles fossiles qu’on pourrait cramer représente environ 10% du stock déjà présent dans les océans. Et contrairement à ce qu’affirme Warm il est parfaitement impossible de quantifier la part de l’Homme dans l’augmentation du CO2 atmosphérique, même si il est assez logique de considérer que cramer des fossiles ça se voit un peu.

          • « L’Homme compte pour environ 5 à 10 % des émissions de CO2 »

            Toutes les émissions naturelles sont compensée par des absorption du même ordre de grandeur. La preuve, durant les 1000 ans avant la révolution industrielle, le taux de CO2 a fluctué entre 275 et 285ppm. Donc les émissions naturelles sont parfaitement compensées par les absorptions naturelles (en dehors de forçage radiatif, paramètres orbitaux, fluctuation solaire).

            « Par ailleurs le stock total de combustibles fossiles qu’on pourrait cramer représente environ 10% du stock déjà présent dans les océans. »

            Et alors ? à l’échelle du millénaire, le stock des océans profonds reste bien sagement où il est.

            « Et contrairement à ce qu’affirme Warm il est parfaitement impossible de quantifier la part de l’Homme dans l’augmentation du CO2 atmosphérique, même si il est assez logique de considérer que cramer des fossiles ça se voit un peu. »

            Si. Par des méthode indirecte (quantification des émissions), par les mesures isotopiques, et par la mesure de la diminution du taux d’oxygène (cf plus haut).

          • Raisonnement tellement stupide que vous êtes vous même obligé de reconnaitre qu’il est faux juste après l’avoir énoncé…

            Appliquons le à une rivière pour rire :
            « Toutes les arrivées naturelles sont compensée par des sorties du même ordre de grandeur. La preuve, durant les 1000 jours avant la crue de 1910, le niveau de la Seine n’a fluctué qu’entre la cote 275 et la cote 285. Donc les arrivées naturelles sont parfaitement compensées par les sorties naturelles (en dehors de la pluie, de l’évaporation ). C’est donc la preuve que la crue de 1910 a été provoquée par le berger inconnu qui a pissé dans l’Yonne en amont de Paris »
            D’ailleurs une analyse isotopique aurait permis de prouver la présence d’urine humaine en amont de Paris en 1910, et une analyse ADN aurait même pu confondre le délinquant. Mais la technique n’existait pas à l’époque.

            « Et alors ? à l’échelle du millénaire, le stock des océans profonds reste bien sagement où il est.  »
            Heureux de le lire. Celle-là je la garde pour la fois où vous nous ferez peur avec le grand dégazage du CO2 marin.

            PS : si vous savez distinguer une molécule de CO2 « humaine » et une autre « naturelle », je pense que le Nobel est pour vous. Personne ne sait encore faire …

    • Ci-dessus, vous avez la théorie des alarmistes…

      En réalité, parmi les scientifiques qui n’ont rien à vendre et qui ne sont pas politisés, personne ne se risque à des certitudes Puisqu’il n’y a aucune preuve définitive et que l’on ne connait pas la variabilité du CO2 atmosphérique dans le temps et dans l’espace.
      La vapeur d’eau représente 95% des gaz « à effet atmosphérique », la Terre n’étant pas entourée d’une serre. Cela représente entre 1% et 4% de l’atmosphère, donc un rapport de 1 à 4 et cela varie constamment dans le temps et dans l’espace. Quant à l’efficacité du CO2, qui ne représente que 0,039% de l’atmosphère ou 1% à 3% des gaz à « effet atmosphérique », elle n’est pas connue non plus.
      On estime que le taux de CO2 sur Terre était 100000 fois plus important au début de notre planète et a lentement diminué depuis.
      Tout cela est théorique et imprécis à l’image de la science humaine en général.
      Méfiez-vous de ceux qui disent tout savoir. Interrogez-vous sur ce que vous tenez pour sûr et certain ici bas, et faites le compte…

      • « En réalité, parmi les scientifiques qui n’ont rien à vendre et qui ne sont pas politisés, personne ne se risque à des certitudes Puisqu’il n’y a aucune preuve définitive et que l’on ne connait pas la variabilité du CO2 atmosphérique dans le temps et dans l’espace. »

        Vous vous contredisez, puisque plus loin vous nous dites qu’au début de notre planète, le taux de CO2 était 100000 fois plus important. Donc, c’est bien que vous croyez qu’on peut connaître le taux de CO2 du passé, et même des milliards d’années auparavant ! Sans allez jusque là, on a une bonne image pour les dernières centaine de millier d’années, cf vidéo plus haut. Quand à la variabilité spatiale, le CO2 est un gaz « bien mélangé », dont la concentration s’égalise et est constante partout si on est loin des sources d’émissions. Là encore, regardez la vidéo et voyez comme le pole sud et Mauna Loa évoluent de concert…

        « La vapeur d’eau représente 95% des gaz « à effet atmosphérique », la Terre n’étant pas entourée d’une serre. Cela représente entre 1% et 4% de l’atmosphère, donc un rapport de 1 à 4 et cela varie constamment dans le temps et dans l’espace.  »

        Eh oui, et c’est pour ça que la vapeur d’eau ne constitue pas un forçage radiatif primaire, puisque c’est un GES précipitable.

        « Quant à l’efficacité du CO2, qui ne représente que 0,039% de l’atmosphère ou 1% à 3% des gaz à « effet atmosphérique », elle n’est pas connue non plus. »

        Si. La valeur de 1.2° pour 2x CO2 est unanimement reconnue. Même par Spencer et Lindzen. Quand au fait qu’il y ai très peu de CO2, je vous signale que l’expérience CLOUD dont il est question dans le billet démontre l’importance d’élément à l’état de trace, de l’ordre du ppb, pour la formation des nuages induit par les rayons cosmiques. Donc si vous croyez que cet effet est important, vous devez être convaincu que des éléments 1000x à 100’000x moins abondant que le CO2 joue un rôle !

        « On estime que le taux de CO2 sur Terre était 100000 fois plus important au début de notre planète et a lentement diminué depuis. »

        Et ? Le soleil était bien moins lumineux, aussi…

        « Tout cela est théorique et imprécis à l’image de la science humaine en général.
        Méfiez-vous de ceux qui disent tout savoir. Interrogez-vous sur ce que vous tenez pour sûr et certain ici bas, et faites le compte… »

        Ici, je ne vois que des intervenants qui ont la certitude que la « théorie du réchauffement global » est fausse. Je ne vois pas d’incertitude et de doutes…

        • « ici, je ne vois que des intervenants qui ont la certitude que la « théorie du réchauffement global » est fausse. Je ne vois pas d’incertitude et de doutes… »
          Non.
          Nous disons qu’elle n’est pas vraie, ce qui est scientifiquement différent ; mais je suppose que tu ne sais pas faire la différence, vu que tu n’as aucune notion de science. Contrairement à moi ou à Jacques Duran ( http://www.pensee-unique.fr/auteur.html )

          Et non seulement nous pouvons dire que cette théorie n’est pas vraie, mais nous pouvons faire plus : une bonne théorie c’est une théorie « falsifiable » comme on dit en franglais, c’est à dire une théorie qui produit des prédictions et des proposition d’expérience qui permettent de l’invalider ; or nous constatons que les maigres prédictions faites sont justement invalidées par la réalité (par exemple les fameux points chauds tropicaux annoncés n’existent pas).

          Try again. Peut-être que tous ces efforts finiront par produire de la bonne science, et peut-être même que les conclusions de la science correctement faite rejoindront les délires religieux du culte du Desastre RCA (après tout c’est déjà arriver que la science donne une justification à des prescriptions religieuses), mais en attendant … fait pas chier, Prêcheur.

          Notez bien qu’il ne s’agit pas de nier que l’augmentation de CO2 dans l’atmosphère, ni que l’homme y a une part, ni que cela produit de « l’effet de serre » en plus, avec un effet en terme de température. effet qui est surement quelque part entre carrément rien et la transformation de la Terre en une planète comparable à Mars (ou inversement, pourquoi pas, un nouvel Eden ). Le pur bon sens indique qu’on est certainement plus proche de rien que de la grosse cata/ grand miracle, et aucune théorique solide ne vient contredire ça. Mais bon, on verra bien …

          • P: « Notez bien qu’il ne s’agit pas de nier que l’augmentation de CO2 dans l’atmosphère, ni que l’homme y a une part, ni que cela produit de « l’effet de serre » en plus, avec un effet en terme de température. effet qui est surement quelque part entre carrément rien et la transformation de la Terre en une planète comparable à Mars (ou inversement, pourquoi pas, un nouvel Eden ) »

            Tout à fait.
            Cependant, c’est plutôt sur Vénus que l’on trouve un effet de serre diabolique, des températures dantesques et une pression atmosphérique kafkaïenne (presque 100 fois celle sur Terre).

            Mars est au contraire froid avec une PA très faible, donc très peace & love niveau effet de serre.
            Un paradis pour les zécolos échauffistes: envoyons-les là-bas. 😉
            Cécile Duflot, Eva Joly et notre ami Warm dans le même vaisseau spatial avec un aller simple ( + Noël Mamère pour faire deux couples).

            • En fait, la température de 460°C au sol sur Vénus n’a rien à voir avec un effet quelconque du CO2. Elle est due à la très forte pression (environ 80 atm). En altitude, quand P=1 atm, T est semblable à celle de notre planète dans les basses couches de sa troposphère.

          • « Et non seulement nous pouvons dire que cette théorie n’est pas vraie, mais nous pouvons faire plus : une bonne théorie c’est une théorie « falsifiable » comme on dit en franglais, c’est à dire une théorie qui produit des prédictions et des proposition d’expérience qui permettent de l’invalider ; or nous constatons que les maigres prédictions faites sont justement invalidées par la réalité »

            Soyez plus précis: qu’est ce qui est invalidé ?

          • Je crois qu’on aurait plus vite fait de lister ce qui n’est pas invalidé … mais voyez plutôt http://www.pensee-unique.fr/

        • « Vous vous contredisez, puisque plus loin vous nous dites qu’au début de notre planète, le taux de CO2 était 100000 fois plus important. »
          Je ne me contredis jamais puisque je prends bien soin de dire que tout cela est théorique et imprécis.

      • je viens de faire un petit calcul qui me fout la chair de poule ; il y a 700 Gt de C dans l’atmosphère ; bon an mal an le volcanisme injecte 0,1 Gt de C dans l’atmosphère et la biomasse en prélève 0,1 Gt qui sédimente dans les sols et le fond des océans , ce qui représente l’équilibre avant la fâcheuse intervention humaine ; si jamais la tectonique des plaques et le volcanisme s’arrêtaient, on ne sait jamais – cela fait 4 milliards d’années que la Terre se refroidit – , et bien , il nous resterait 7000 ans à vivre, avant que tout le carbone soit sédimenté et fossilisé au fond des océans ; nous envoyons actuellement , on va pas pinailler, 7 Gt/ an de C en l’air ; cela rallonge notre espérance de vie de 70 ans chaque année ; mettons que nous avons encore 100 ans de consommation de fossiles devant nous ; cela fait encore 7000 ans grappillés ; alors Warmichou, espérons que ce CO2 diminue le plus lentement possible ; nous pensons à nos enfants ; et souvenons nous qu’au crétacé, quand le taux de CO2 se comptait , non en centaines, mais en milliers de ppm, la Terre était peuplée de dinosaures et dans les océans pullulaient le plancton qui a donné la craie , d’où le nom de crétacé

        • C’est bien que vous abordiez le problème du taux minimum de CO2. Un article vient de sortir à ce sujet:

          http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1365-2745.2011.01905.x/full

          « Our simulations indicate a reduction in the capacity of the terrestrial biosphere to weather continental silicate rocks by a factor of four in response to successively decreasing [CO2]a values (400, 280, 180 and 100 p.p.m.) and associated late Miocene (11.6–5.3 Ma) cooling. Marked reductions in terrestrial weathering could effectively limit biologically mediated long-term carbon sequestration in marine sediments.

          5. These results support the idea of terrestrial vegetation acting as a negative feedback mechanism that counteracts substantial declines in [CO2]a linked to increased production of fresh weatherable minerals in warm, low-latitude, active orogenic regions. »

          A l’échelle de temps géologique, il y a fort heureusement un « mécanisme de blocage » qui empêche le CO2 atmosphérique de disparaître…

          « souvenons nous qu’au crétacé, quand le taux de CO2 se comptait , non en centaines, mais en milliers de ppm, la Terre était peuplée de dinosaures et dans les océans pullulaient le plancton qui a donné la craie , d’où le nom de crétacé »

          Oui, et le niveau des mers était 100m plus haut qu’aujourd’hui…

          • Oui, et le niveau des mers était 100m plus haut qu’aujourd’hui…
            ———————————–
            Il ne l’a pas dit , mais placé comme cela dans la discussion , cela veut certainement dire que le CO2 était responsable de 100 m de plus du niveau de la mer
            Warm, de deux choses l’une, ou tu ne sais pas que la température n’a rien à voir la dedans , mais que c’est l’acticité des rides océaniques , et là t’es excusable,mais tu ferais mieux de la fermer, ou alors t’es au courant et t’es condamnable , parce que t’es qu’une ordure

    • @Sandy
      Vos questions sont pertinentes.
      Pour la première, voyez ce document pages 7 et suivantes, qui présente la publication d’OIe Humlum et al et les travaux de Murry Salby.

      http://dropcanvas.com/#wJc9FpE34332em

      Pour la seconde question, je vous renvoie sur la publication de Gerlich et Tscheuscher, que vous trouverez dans le document suivant: http://arxiv.org/pdf/0707.1161.pdf

      J’en ai fait une petite synthèse dans http://dropcanvas.com/#wJc9FpE34332em
      note 6

      Cordialement

    • @Sandy Vos questions sont pertinentes.

      Pour la première, voyez ce document pages 7 et suivantes, qui présente la publication d’OIe Humlum et al et les travaux de Murry Salby. http://dropcanvas.com/#wJc9FpE34332em

      Pour la seconde question, je vous renvoie sur la publication de Gerlich et Tscheuscher, que vous trouverez dans le document suivant: http://arxiv.org/pdf/0707.1161.pdf

      J’en ai fait une petite synthèse dans http://dropcanvas.com/#wJc9FpE34332em note 6

  • Merci aux trolls d’attirer l’attention sur cet article. Sans eux il serait moins lu. Or ce qui compte c’est que des membres du public voient que la version qu’on trouve partout est tout sauf incontestée.

    C’est comme un noeud coulant.

    • on voit surtout une bande de fanatiques malpolis qui passe leur temps à insulter plutôt qu’à argumenter 🙂

      • Bien bien. Continuez d’attirer l’attention sur le débat. Merci.

      • C’est bien de reconnaître ses torts.

        • Sinon, il est intéressant de voir à quel point quelqu’un peut passer autant de temps à chercher à convaincre ce qu’il considère comme étant « une bande de fanatiques malpolis qui passe leur temps à insulter plutôt qu’à argumenter ».

          N’est-ce pas une curiosité intéressante ?

  • Il ne l’a pas dit , mais placé comme cela dans la discussion , cela veut certainement dire que le CO2 était responsable de 100 m de plus du niveau de la mer
    « Warm, de deux choses l’une, ou tu ne sais pas que la température n’a rien à voir la dedans , mais que c’est l’acticité des rides océaniques , et là t’es excusable,mais tu ferais mieux de la fermer, ou alors t’es au courant et t’es condamnable , parce que t’es qu’une ordure »

    Bien sûr que si que la température a tout à voir la dedans: il n’y avait pas de calotte polaires à l’époque !

    • Warm, tu es une curiosité intéressante : manifestement tu es un ignare scientifique qui ne comprend même pas la notion de température (et pas la peine de chercher dans wikipedia, pour le coup !), n’a aucune idée de ce qu’est la science ni comment elle marche. Et pourtant tu viens donner des leçons sur (entre autre) le climat du crétacé, la part humaine dans le CO2 atmosphérique et la luminosité du soleil au moment de la formation de la Terre !

      J’ai du mal à comprendre comment c’est possible, et à trouver des explications à une telle attitude. Explique, ça m’intéresse.

  • Raisonnement tellement stupide que vous êtes vous même obligé de reconnaitre qu’il est faux juste après l’avoir énoncé…

    Appliquons le à une rivière pour rire :
    « Toutes les arrivées naturelles sont compensée par des sorties du même ordre de grandeur. La preuve, durant les 1000 jours avant la crue de 1910, le niveau de la Seine n’a fluctué qu’entre la cote 275 et la cote 285. Donc les arrivées naturelles sont parfaitement compensées par les sorties naturelles (en dehors de la pluie, de l’évaporation ). C’est donc la preuve que la crue de 1910 a été provoquée par le berger inconnu qui a pissé dans l’Yonne en amont de Paris »
    D’ailleurs une analyse isotopique aurait permis de prouver la présence d’urine humaine en amont de Paris en 1910, et une analyse ADN aurait même pu confondre le délinquant. Mais la technique n’existait pas à l’époque.
    ————-

    A pisser de rire votre analogie bidon, c’est le cas de le dire :-). Mais c’est n’importe quoi…

    Vous avez des études scientifiques pour étayer vos dire ?

    Actuellement, le taux d’émission (chiffre 2008) est de 8.7±0.5 Pg C yr−1. En gros 50% de cette quantité reste dans l’atmosphère, et 50% part dans les puits de carbone (essentiellement les océans). Contestez-vous ce fait ? Avez-vous d’autres chiffres ?

    « « Et alors ? à l’échelle du millénaire, le stock des océans profonds reste bien sagement où il est. »
    Heureux de le lire. Celle-là je la garde pour la fois où vous nous ferez peur avec le grand dégazage du CO2 marin. »

    Pas de dégazage de CO2 en vue.. Une baisse d’efficacité de l’uptake océanique serait déjà inquiétant. Je pense que vous confondez avec le dégazage océanique du méthane, mais là encore, il y a peu de soucis de ce côté dans l’immédiat.

    « PS : si vous savez distinguer une molécule de CO2 « humaine » et une autre « naturelle », je pense que le Nobel est pour vous. Personne ne sait encore faire … »

    Pas besoin de séparer, un simple bilan, des analyses isotopiques et la mesure de l’évolution du taux d’oxygène permet de se convaincre que l’augmentation n’est en aucun cas naturelle…

    • Des études scientifiques, c’est ce qui vous manque, c’est sûr, parce que sinon vous sauriez que la technique pour faire un bilan matière ne dépend pas du type de matière (eau ou CO2, ça marche pareil), et on n’a pas besoin études scientifiques pour étayer ce dire.

      Les facs de sciences sont accessible avec un simple bac (même littéraire), et c’est quasi gratuit (hors le temps perdu, mais du temps vous en avez, je pense). Allez donc y faire un tour, ça vous fera le plus grand bien.
      Vous apprendrez notamment à tirer les conséquences mathématiques et physique d’une relation du type « 50 % de la quantité injecté est absorbée » ; et vous comprendrez alors pourquoi vous venez involontairement de reprendre une information que Jacques Duran souligne à la date du 18 novembre 2009 : http://www.pensee-unique.fr/theses.html ; plutôt drôle, non ?

      Allez, je vous aide. Sachant qu’évidemment la nature n’a aucun moyen de savoir si une molécule de CO2 est là depuis un siècle ou viens juste de sortir d’une centrale électrique à charbon, cela implique une forte boucle de rétroaction négative qui invalide les modèles du GIEC. Mais bien sûr vous ne pourrez le comprendre qu’après de (modestes) études scientifiques.

      conclusion : ou bien ce chiffre de 50 % (grosso modo) est faux et vous pouvez vous coucher définitivement (because grosse erreur), ou il est vrai et vous pouvez vous coucher définitivement (because incohérence avec les modèles du GIEC que vous défendez). Bonne nuit 🙂

    • Warm a écrit:
      « Pas besoin de séparer, un simple bilan, des analyses isotopiques et la mesure de l’évolution du taux d’oxygène permet de se convaincre que l’augmentation n’est en aucun cas naturelle… »

      bla bla bla.

      -Avez vous pris des mesures personnelle pour réduire votre bilan co2 au niveau nécessaire ?

      Non évidemment, fin de la discussion !

      Vous pouvez agiter tout vos petits bras de catastrophiste ça ne changera pas le fait que tout le monde va faire comme vous:

      En l’absence de problèmes, quasiment rien.

      Bonne chance pour vos prochain achats chez Darty, il parait qu’ils ont d’excellente promo en ce moment.

  • Je crois qu’on aurait plus vite fait de lister ce qui n’est pas invalidé … mais voyez plutôt http://www.pensee-unique.fr/

    Ouahhh, je suis impressionné ! ça c’est de l’invalidation 🙂

    Moi aussi je peux balancer des sites par dizaine si vous voulez, ou même l’AR4… lisez, tout est validé dedans !

    En plus le site de Duran est mal fichu, et devient de plus en plus illisible au fil du temps.

    Je peux vous renvoyer ici:

    http://www.skepticalscience.com/argument.php

    où chaque soit disant « invalidation » est elle même invalidée 🙂

    • http://www.skepticalscience.com je connais, et je dois dire que c’est un site de merde, d’une mauvaise foi extraordinaire.

      Déjà, par principe, déclarer que « What the science says… », c’est du pure foutage de gueule. LA science est une technique, qui dit seulement comment on doit faire un travail scientifique ; la science ne dit rien sur le climat. Ça c’est seulement l’affaire de théories scientifiques et de scientifiques, sans que ça en empêchent d’autres de dire d’autres choses, opposés et pourtant soutenables.

      Par exemple de mauvaise foi : ce site annonce triomphalement que « 97% of climate experts agree humans are causing global warming. ». Bah oui, forcément. Le problème c’est … dans quelle proportion, ce réchauffement ? Avec cette formulation la plupart des sceptiques se retrouvent catalogués dans les 97 % puisqu’ils ne contestent pas le phénomène mais l’ampleur catastrophique annoncée et le caractère déterminant de l’action humaine !

      Ou alors ça va être l »homme de paille » : à la remarque que l’Homme ne compte que pour faible fraction des flux de CO2, on va répondre … rien du tout. Et on va parler d’autre chose : de la hausse du CO2 dans l’atmosphère.

      Un vrai site de merde.

  • « Des études scientifiques, c’est ce qui vous manque, c’est sûr, parce que sinon vous sauriez que la technique pour faire un bilan matière ne dépend pas du type de matière (eau ou CO2, ça marche pareil), et on n’a pas besoin études scientifiques pour étayer ce dire. »
    —————–

    Pour faire des comparaisons nulles, et passer son temps à faire de rhétorique en utilisant très mal les sophismes pour décrédibiliser son interlocuteur, c’est plutôt des études littéraires qu’il faudrait faire…

    ———————
    « Les facs de sciences sont accessible avec un simple bac (même littéraire), et c’est quasi gratuit (hors le temps perdu, mais du temps vous en avez, je pense). Allez donc y faire un tour, ça vous fera le plus grand bien. »
    ——————

    J’y suis allé assez longtemps, merci… Attaque ad hominem, apport nul à la discussion…

    ————–
    Vous apprendrez notamment à tirer les conséquences mathématiques et physique d’une relation du type « 50 % de la quantité injecté est absorbée » ; et vous comprendrez alors pourquoi vous venez involontairement de reprendre une information que Jacques Duran souligne à la date du 18 novembre 2009 : http://www.pensee-unique.fr/theses.html ; plutôt drôle, non ?
    ————

    Information qui figure dans tous les textbook sur l’évolution climatique, et en bonne place dans l’AR4 et dans le futur AR5..

    http://www.ipcc.ch/publications_and_data/ar4/wg1/en/ch7s7-3-2-2.html

    Un article pas trop vieux sur le sujet, qui fait le point sur la situation:

    Trends in the sources and sinks of carbon dioxide

    http://nora.nerc.ac.uk/8576/1/LeQuere09.pdf

    Ce qui est trop fort, c’est que Duran essaie de nous faire croire que les puits de carbone ne sont pas saturé. Puisque vous aimez les comparaisons aquatique, et puisque « l’eau et le Co2 ça marche pareil » (sic !), c’est comme dire qu’une baignoire ne peut pas déborder, puisque l’eau s’écoule toujours par la bonde, alors que bien sur elle peut déborder si le débit de l’arrivée d’eau est supérieur à celui de l’écoulement…. Pareil pour le CO2. La capacité d’absorption des puits de carbone est saturée: si elle ne l’était pas, on ne verrait pas d’augmentation du taux atmosphérique…

    Je vois que votre qualification scientifique se limite à trouver des infos sur pensee-unique.fr. C’est déjà très bien, étant donné le degré zéro de l’ergonomie du site !

    ——————-
    Allez, je vous aide. Sachant qu’évidemment la nature n’a aucun moyen de savoir si une molécule de CO2 est là depuis un siècle ou viens juste de sortir d’une centrale électrique à charbon, cela implique une forte boucle de rétroaction négative qui invalide les modèles du GIEC. Mais bien sûr vous ne pourrez le comprendre qu’après de (modestes) études scientifiques.
    ————

    Oulah.. C’est quoi ce charabia ! Vous affublez « la Nature » d’une capacité de décision ? Très scientifique ! Trouvez moi une étude sur ce feedback négatif, et on en discute !

    ———————-
    conclusion : ou bien ce chiffre de 50 % (grosso modo) est faux et vous pouvez vous coucher définitivement (because grosse erreur), ou il est vrai et vous pouvez vous coucher définitivement (because incohérence avec les modèles du GIEC que vous défendez). Bonne nuit 🙂
    ———————–

    Mais oui, c’est ça… Le chiffre est correcte en première approximation (en fait c’est plutôt 45/55), et figure dans le rapport du GIEC et dans toutes les études sur le cycle du carbone…

    Lire par exemple:

    http://www.gfdl.noaa.gov/bibliography/related_files/us9301.pdf

    Un grand classique de 93 (cité 700x), les infos dates un peu, mais vous y lirez qu’on savait déjà il y a 20ans qu’une bonne partie du CO2 émit était repris par les océans…

    A lire aussi:

    http://www.up.ethz.ch/education/biogeochem_cycles/reading_list/keeling_nat_96.pdf

    Un autre classique de Keeling, avec mesure de l’O2

    http://www.cccma.ec.gc.ca/papers/ngillett/PDFS/1735.pdf

    http://lgmacweb.env.uea.ac.uk/lequere/publi/Le_Quere_et_al_Tellus_2003.pdf

    http://www.sciencemag.org/content/305/5682/367.short

    • Warm a écrit
      Bien sûr que si que la température a tout à voir la dedans: il n’y avait pas de calotte polaires à l’époque !
      ———————————————-
      Si tu prends en main une charte de Vail , tu verras que pendant tout cet épisode chaud , sans calottes, long de plus de 200 millions d’années si tu rajoutes le Lias et le Jurassique, il y avait plein de variations du niveau de la mer excédant les 100 m
      Mais je veux bien qu’on rentre dans le détail des raisons de ces variations pour démontrer que t’es plus nul que nul

      • « Si tu prends en main une charte de Vail , tu verras que pendant tout cet épisode chaud , sans calottes, long de plus de 200 millions d’années si tu rajoutes le Lias et le Jurassique, il y avait plein de variations du niveau de la mer excédant les 100 m
        Mais je veux bien qu’on rentre dans le détail des raisons de ces variations pour démontrer que t’es plus nul que nul »
        ——-

        Strawman…

        Relisez le fil. Le coup de « l’époque des dinosaures » est arrivé visiblement comme démonstration que « plus chaud c’est super extra bleu ciel, y’a plein de bio-diversité dedans ! »

        J’affirme que le prix à payer d’une telle température globale, c’est un niveau de la mer très élevé.

        Maintenant, si vous voulez prouvez que j’ai tort, il va falloir vous débrouiller pour démontrer qu’on peut avoir un niveau de température comparable à celle de la fin de l’ère secondaire/début de l’ère tertiaire tout en ne faisant pas fondre les calottes polaires…

        • « J’affirme que le prix à payer d’une telle température globale, c’est un niveau de la mer très élevé. »
          On s’en fout de ce que tu affirmes, ça vaut que dalle !
          Personne n’était là pour voir comment c’était entre le secondaire et le tertiaire. Tout ce qu’on a, ce sont des théories, pas des faits observés.

          • Ce n’est pas moi qui ai parlé de ça en premier 🙂

            Mais là encore, vous tentez l’homme de paille… Ce qui compte c’est que plus chaud => moins de calottes polaires… Cette théorie vous semble farfelue ??

          • Quelle malhonnête ce Warm; personne n’a dit que la température plus élevée ne fait pas fondre les calottes; ce qui est inadmissible , c’est que tu déformes tout; tant que tu continueras avec ta relation linéaire T/CO2 et la causalité que tu penses, il est impossible de discuter paléoclimatologie avec toi, allez vaff…ulo et tutti quanti

    • constater que vous ne savez pas faire un calcul de série (calcul assez basique au demeurant) n’est pas une attaque ad hominem. Si vraiment vous avez fréquenter une fac de science (ce que je ne crois pas, à moins bien sûr qu’il s’agisse d’un département de langues d’une fac de sciences …) , c’est encore plus grave. Le niveau n’est pas toujours bien brillant, mais quand même pas au point de ne pas savoir raisonner sur une bête série temporelle où y_n+1 = y_n + 0,5 a_n

      Et vous ne vous en sortirez pas en empilant les références (que vous ne comprenez pas) pour enfoncer un clou que personne ne conteste, et surtout pas des anti-réchauffistes notoires puisque c’est une donnée qui abonde dans leur sens, comme vous ne l’avez pas compris !

  • « Quelle malhonnête ce Warm; personne n’a dit que la température plus élevée ne fait pas fondre les calottes; »

    Donc on est d’accord. Vous voyez qu’on y arrive 🙂

    « ce qui est inadmissible , c’est que tu déformes tout; tant que tu continueras avec ta relation linéaire T/CO2 »

    Relation linéaire ? Je n’ai jamais supposé de relation linéaire T/CO2 !

    « et la causalité que tu penses, »

    Peut importe la causalité. Dans la digression qui nous intéresse, la cause du réchauffement n’a pas d’importance. Relisez vos propres interventions.

    Vous avez essayez de nous « vendre » un épisode chaud comme étant un avenir radieux pour nos enfants

    Je cite:
    « nous pensons à nos enfants ; et souvenons nous qu’au crétacé, quand le taux de CO2 se comptait , non en centaines, mais en milliers de ppm, la Terre était peuplée de dinosaures et dans les océans pullulaient le plancton »

    C’est vous qui faites le lien CO2 / T, mais peu importe. Je vous fais juste remarquer que dans ce cas, il faut supporter une énorme hausse du niveau des océans. Et vous êtes d’accord avec moi. Si vous souhaitez pour vos enfants les cocotiers sur les bords de la mer arctique (ce qui était le cas à la fin du secondaire, début du tertiaire, lire: http://palaeogeography.net/about_me/refs_papers/markwick_1998.pdf ), c’est les Maldives à Paris avec la tour Eiffel comme plongeoir de luxe…

     » il est impossible de discuter paléoclimatologie avec toi,  »

    Mais si, mais si, la preuve, on arrive même à être d’accord !

    « allez vaff…ulo et tutti quanti »

    Mais quelle délicatesse !

    • On lu que les variations de la température précèdent celles de la concentration atmosphérique du CO2.
      Vous, vous semblez avancer que c’est le CO2 qui influence la température.
      Quelles sont les variations de l’efficacité de l’effet de serre du CO2 ? Je veux bien sûr parler de l’effet de seuil de cette efficacité en fonction de l’augmentation de la concentration de CO2:
      Le CO2 augmente toujours, pourtant la température n’augmente (globalement) pas, peut-être est-ce même le contraire.
      Les gens du Giec arrivent-ils toujours à dormir tranquillement ?

      Vous parlez de cocotiers aux bords de la mer arctique, mais
      1) à cette époque, aucun méchant humain pour émettre du méchant CO2

      2) Vous dites qu’il faisait chaud au niveau de la mer arctique il y a 65 millions d’années (entre secondaire et tertiaire), donc je suppose l’actuelle mer arctique puisque vous la nommez. Avez-vous envisagé que les fossiles retrouvés avaient été produits à des latitudes bien différentes ? C’est tecktonik…

      • « On lu que les variations de la température précèdent celles de la concentration atmosphérique du CO2. »

        Oui, dans le cas d’un ré-équilibrage atmosphère-océan induit par un changement de température. Dans ce cas le CO2 joue le rôle de rétroaction positive. Ce n’est pas le cas actuellement, le CO2 ne provient pas du relargage du CO2 par les océans, puisque dans ce cas on ne verrait pas de baisse de O2 (cf plus haut). Et si c’était le cas, on se demande où irait les gigatonnes de Co2 des énergies fossiles…

        « Vous, vous semblez avancer que c’est le CO2 qui influence la température. »

        Ce n’est pas moi qui l’avance, c’est toute la communauté scientifique.

        « Quelles sont les variations de l’efficacité de l’effet de serre du CO2 ? Je veux bien sûr parler de l’effet de seuil de cette efficacité en fonction de l’augmentation de la concentration de CO2: »

        En ce qui concerne l’effet primaire du CO2, sans considérer les rétroaction, l’effet du CO2 décroit de manière logarithmique, c’est pourquoi on ramène l’effet sur la température à un doublement de CO2.

        « Le CO2 augmente toujours, pourtant la température n’augmente (globalement) pas, peut-être est-ce même le contraire. »

        Mais si, elle augmente… Relisez tout au début du fil…

        « Vous parlez de cocotiers aux bords de la mer arctique, mais
        1) à cette époque, aucun méchant humain pour émettre du méchant CO2 »

        Mais plus de méchant volcans :-). Plus sérieusement, l’environnement paléogéographique était totalement différent. Pendant longtemps Il n’y avait pas, par exemple, de continent au pôle sud pour qu’une calotte glaciaire s’y constitue… On pense que le climat s’est refroidit pendant l’ère tertiaire suite à l’orogenèse himalayenne et alpine, ce qui a augmenté la dissolution des silicates et la séquestration du CO2 (eh oui, toujours lui !). Par la suite, la formation d’une calotte antarctique a amené le climat global vers un équilibre plus froid

        http://www.columbia.edu/~mhs119/Storms/Storms_Fig.18.gif

        « 2) Vous dites qu’il faisait chaud au niveau de la mer arctique il y a 65 millions d’années (entre secondaire et tertiaire), donc je suppose l’actuelle mer arctique puisque vous la nommez. Avez-vous envisagé que les fossiles retrouvés avaient été produits à des latitudes bien différentes ? C’est tecktonik… »

        La position des continents n’étaient pas si différente qu’aujourd’hui..

        http://www.columbia.edu/~mhs119/Storms/Storms_Fig.19.pdf

        Lisez l’article que j’ai mis en lien sur les crocodiles, bien des passages sont faciles à lire, et vous verrez comment par une méthode originale on peut reconstituer le climat du passé.

        • « Ce n’est pas moi qui l’avance, c’est toute la communauté scientifique. »

          -Toute ?
          -Toute !
          -On a donc tout compris au climat ?
          -Indéniablement !
          -Et on va vers une catastrophe si on ne réduit pas drastiquement nos émissions ?
          -C’est certain !
          -Mais vous vivez exactement comme tout le monde et dégagez autant de co2 ?
          -…euh…en fait… j’ai la mission divine de dire aux autre de ne surtout pas vivre comme moi car ça nous mène à la catastrophe !

          Clown spotted !

          • « Et on va vers une catastrophe si on ne réduit pas drastiquement nos émissions ?
            -C’est certain !
            -Mais vous vivez exactement comme tout le monde et dégagez autant de co2 ?
            -…euh…en fait… j’ai la mission divine de dire aux autre de ne surtout pas vivre comme moi car ça nous mène à la catastrophe ! »

            Pure spéculation, et encore une fois tentative vaine de faire dévier le débat…

          • « Pure spéculation, et encore une fois tentative vaine de faire dévier le débat… »

            Bah non c’est très exactement le centre du problème.

            Sans solution technique actuellement la seule alternative c’est la réduction drastique du train de vie. Si les gens persuadés qu’une catastrophe va arriver ne réduisent pas dramatiquement leurs emprunte carbone, qui le fera ? Qui suivra des gens qui prônent l’ascèse alors qu’eux-même ce gavent ?

            J’ai déjà tenté d’expliqué ça à un vert mais il ne voyait pas le lien entre ça maison, son chien, sa voiture et les discours qu’il nous tenait, je n’en attend donc pas plus de vous mais vous devriez y penser.

          • Cher Ilmryn,
            En vous fatiguant à répondre à l’inéffable Warm, vous m’obligez à intervenir sur deux points
            -Si, il y a quantité de climat-sceptiques qui nient l’influence prêtée au CO2: consultez « Orégon Pétition » (31 000 scientifiques signataires)
            – – les disputes à caractères pseudo-scientifiques de niveau terminale ( oui, bon, vu le niveau actuel, disons début fac)sont distrayantes et font la longueur des post-comments. A chacun de s’y retrouver ;bien qu’ayant fait géo-biologie (il y a 40 ans!) j’ai une approche climat-sceptique d’historien. Mais si on veut se la jouer scientifique, consulter « la liste de scientifiques sceptiques sur le réchauffement climatique ».
            Sceptiquement vôtre,
            Le Honzec

        • « Vous, vous semblez avancer que c’est le CO2 qui influence la température. »

          Ce n’est pas moi qui l’avance, c’est toute la communauté scientifique.

          Cesse de mentir comme un porc warm, ça devient lassant…

          • Non, je ne ment pas. Aucun spécialiste de la physique de l’atmosphère ne prétend que le CO2 n’a aucune influence sur la température globale terrestre…

          • « Aucun spécialiste de la physique de l’atmosphère ne prétend que le CO2 n’a aucune influence sur la température globale terrestre »

            Aucun scientifique sceptique ne le prétend non plus.

          • Admirons le super menteur warm dans toute sa splendeur :

            Question : « Vous, vous semblez avancer que c’est le CO2 qui influence la température. »

            warm : Ce n’est pas moi qui l’avance, c’est toute la communauté scientifique.

            Qui se transforme en :

            warm : Aucun spécialiste de la physique de l’atmosphère ne prétend que le CO2 n’a aucune influence sur la température globale terrestre…

            Donc si on résume la vérité en français : il est possible que le CO2 ait une influence sur la température parmi d’autres facteurs bien plus importants, ce que personne ne nie.

  • « Mais concrètement, tu fais quoi, toi, pour lutter contre les méchantes pollutions, le CO2 qui va tous nous tuer, etc ? »

    Et vous, que faites vous pour lutter contre le grand méchant Etat ? A part éructer sur les blogs ?

  • « « Aucun spécialiste de la physique de l’atmosphère ne prétend que le CO2 n’a aucune influence sur la température globale terrestre »

    Aucun scientifique sceptique ne le prétend non plus. »

    Attention, vous allez être accusé de (je cite)  » mentir comme un porc » !

    • Bon, le rigolo, assez rigolé.
      Toi tu soutiens la thèse officielle. Pourquoi pas, après tout. Nous, on soutient l’antithèse, point.
      On ne va pas te convaincre, on a compris ; bon, alors, tu vas pas nous convaincre non plus. Point trait. Le débat est clos.

  • « En vous fatiguant à répondre à l’inéffable Warm, vous m’obligez à intervenir sur deux points
    -Si, il y a quantité de climat-sceptiques qui nient l’influence prêtée au CO2: consultez « Orégon Pétition » (31 000 scientifiques signataires)
    – – les disputes à caractères pseudo-scientifiques de niveau terminale ( oui, bon, vu le niveau actuel, disons début fac)sont distrayantes et font la longueur des post-comments. A chacun de s’y retrouver ;bien qu’ayant fait géo-biologie (il y a 40 ans!) j’ai une approche climat-sceptique d’historien. Mais si on veut se la jouer scientifique, consulter « la liste de scientifiques sceptiques sur le réchauffement climatique ».
    Sceptiquement vôtre,
    Le Honzec »

    Ah la fameuse pétition de l’Orégon. Elle en a mis du temps à sortir !

    La vérité scientifique est donc à chercher dans les pétitions ?

    Mais regardons donc le texte de la pétition:

    We urge the United States government to reject the global warming agreement that was written in Kyoto, Japan in December, 1997, and any other similar proposals. The proposed limits on greenhouse gases would harm the environment, hinder the advance of science and technology, and damage the health and welfare of mankind.

    « There is no convincing scientific evidence that human release of carbon dioxide, methane, or other greenhouse gasses is causing or will, in the foreseeable future, cause catastrophic heating of the Earth’s atmosphere and disruption of the Earth’s climate. Moreover, there is substantial scientific evidence that increases in atmospheric carbon dioxide produce many beneficial effects upon the natural plant and animal environments of the Earth. »

    http://www.petitionproject.org/

    On y lit clairement que les signataires rejettent le fait que les émissions de CO2 vont produire « un réchauffement catastrophique », et « une disruption du climat »… Cela n’implique absolument pas que le CO2 ne produit aucun réchauffement. Du reste, la pétition est pour demander au gouvernement US de ne pas adhérer au protocole de Kyoto, ce n’est pas un sondage scientifique, c’est un pétition politique.

    Caramba, encore raté !

    Hallucinant comme les sceptiques sont prévisibles et ressortent à longueur d’année les mêmes âneries (la pétition, elle date de… 1999).

    Quand à votre liste de scientifique sceptique, où sont les spécialistes de l’atmosphère qui ont prétendu dans une publication scientifique que le CO2 ne jouait aucun rôle dans la régulation de la température terrestre ?

    • Eh ben mon vieux, au train ou vous descendez vous allez bientôt nous donner la composition du noyau terrestre.

      Personne n’a jamais nié à ma connaissance chez les scientifiques alignés ou pas que le Co2 était un GES comme de nombreux autres. C’est une question d’ordre de grandeur et de complexité.

      Mais comme vous en êtes à nier (comme un porc diraient certains) des évidences comme le fait que bon nombres de scientifiques compétent dans le sujet s’inscrivent contre le dogme officiel et qu’il ce passe des choses graves pour la science du coté sciento-politico-idéologique officiel la discussion n’a plus grand intérêt car vous ne maitrisez absolument pas les fondamentaux ni l’actualité.

      Vous trouverez ici une liste de spécialistes du climat qui ne sont pas du tout d’accord avec le dogme officiel et nombres d’études afférentes. On est très loin de quelques pelés et de vos « pétitions politiques d’il y a 10 ans LOLILOL »
      http://www.pensee-unique.fr/paroles.html

      J’en ai encore des tonnes sous le coude mais comme vous allez les traiter en bloc de clodos je ne vais pas me fatiguer non plus.

  • …  » sans doute à cause d’éruptions sous-marines récurrentes  » … , pas très scientifique pour un prof à Polytechnique qui à l’air de connaitre la météo comme un touriste l’été en vacanc …

  • « Le libre arbitre n’existe pas puisque l’univers ne peut faire de mécanismes allant à l’encontre de ses propres mécanismes. »
    Sans libre arbitre pas de responsabilité. Les humains ne sont donc responsables de rien, d’ailleurs ils ne sont même pas responsables de leur propre existence, c’est le comble tout de même!
    « La création d’une existence ne sert que ceux qui existent déjà, et quand elle n’est pas maitrisée cette création est l’oeuvre d’un idiot ou d’un sadique. »

  • La fable du « réchauffement climatique » vise à établir une dictature mondiale au profit du capitalisme apatride sous prétexte d’écologie ! D’ailleurs, s’il y avait un réel péril dû au CO2, il faudrait interdire les voyages en voiture et en avion, ce qu’on est loin de faire…

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La nécessité de décarboner à terme notre économie, qui dépend encore à 58 % des énergies fossiles pour sa consommation d’énergie, est incontestable, pour participer à la lutte contre le réchauffement climatique, et pour des raisons géopolitiques et de souveraineté liées à notre dépendance aux importations de pétrole et de gaz, la consommation de charbon étant devenue marginale en France.

Cependant, la voie à emprunter doit être pragmatique et ne doit pas mettre en danger la politique de réindustrialisation de la France, qui suppose une... Poursuivre la lecture

L’INSEE vient de publier un bilan démographique pour l’année 2023 qui met en évidence un affaissement de la natalité française. Selon des sources concordantes, celle-ci n’est plus guère soutenue que par la fécondité des femmes immigrées. Ce qui laisse entrevoir à terme une diminution de l’effectif global de la population, et une nouvelle configuration de sa composition ethnique et culturelle.

Faut-il s’en inquiéter ? Pour la plupart de nos concitoyens, cette question n’a pas de conséquence directe et immédiate, encore moins pour les re... Poursuivre la lecture

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Dans son quatrième rapport publié le 23 octobre, le Conseil national de productivité revient sur la performance économique française de ces derniers mois, les effets de l'optimisation fiscale sur la productivité et les actions pour le climat qui lui paraissent nécessaires à l'atteinte des objectifs de transition énergétique.

Sur ce dernier point, le rapport est particulièrement approfondi et mérite une lecture attentive.

En premier lieu, le rapport indique :

« Les études [...] suggèrent que l’impact à long terme de la tra... Poursuivre la lecture

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