L’année du brise-glace

Malgré tous les petits avortons du réchauffisme en hyperventilation à propos la superficie des glaces

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L’année du brise-glace

Publié le 20 mars 2011
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Malgré tous les petits avortons du réchauffisme en hyperventilation à propos de la superficie des glaces, tout ceci commence à ressembler à l’année du brise-glace. Nous avons eu la mer d’Okhotsk, puis la mer Baltique et maintenant Saint-Pétersbourg à l’extrémité orientale de la mer.

On nous signale de là-bas que les brise-glace ont été appelés pour libérer des dizaines de navires, prisonniers dans la glace du Golfe de Finlande. Au moins 97 navires attendaient toujours de l’aide ce mardi, bien que ce nombre s’élevait à 160 deux jours plus tôt.

Le Golfe de Finlande oriental n’a pas connu une glace si épaisse depuis 1992, selon l’Agence fédérale du transport maritime et fluvial. À certains endroits, la glace est épaisse de plus d’un mètre. La force de la pression exercée par la glace est mesurée à trois points — une menace sérieuse pour les coques des navires, on ne parle pas vraiment d’une sympathique promenade de santé ; pensez plutôt métal tordu, trous béants et bulles.

Les conditions glaciales ont aussi un impact économique significatif ce qui rend les transporteurs plutôt partisans de plus moins de réchauffement… pour réduire la quantité de glace.

La plupart des navires immobilisés sont des cargos, mais certains sont des ferrys transportant des passagers. Nombre d’entre eux ont été bloqués pendant plusieurs jours. Parmi les navires libérés ce week-end, un ferry a été immobilisé pendant six jours avec 12 personnes à son bord, dont une femme enceinte. Ce ferry effectue la liaison entre Saint-Pétersbourg et la région de Kaliningrad.

Le Princess Maria qui effectue la liaison entre Saint-Pétersbourg et la capitale finlandaise, Helsinki, a été suspendu depuis le 9 mars, mais devait reprendre son service ce mercredi.

L’agence fédérale indique que dix brise-glace, dont le Vaigach à propulsion nucléaire basé à Mourmansk, menaient les navires en eaux dégagées en convoi. Andrei Kovalyof de Rosmorport, une compagnie publique supervisant les ports maritimes, a indiqué que les ferrys et les cargos contenant des marchandises dangereuses sont considérés comme prioritaires. Selon lui, la situation pourrait s’améliorer d’ici trois semaines si les conditions climatiques sont favorables.

Étant donné le pic soudain de réchauffement climatique, pour ceux considérant leur futur à long terme et une carrière stable, avec des opportunités, « marin de brise-glace » a l’air pour le moment extrêmement prometteur (bien que cela semble difficile de convaincre les gens que vous étiez sérieux si vous dites avoir travaillé sur le Mudyug – le brise-glace en photo ci-dessus). La pêche sur glace (en photo) semble aussi pas mal.

Repris d’EU Referendum avec l’aimable autorisation de Richard North.

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  • Cherry-picking classique de ceux qui se font appeler « sceptiques ». « Vague de froid aux Etats-Unis », « grosse couche de glace en Finlande », « mon pare-brise est couvert d’une extraordinaire épaisseur de glace très très froide ». La moindre des choses serait de rendre compte de l’évolution à long terme des températures et des glaces au niveau mondial, mais si la bonne foi et la rigueur scientifique avaient leur place sur Contrepoints, ça se saurait.

  • Dans ce domaine, chacun a l’impression de ne faire que répondre à la faute de l’autre. Autrement dit, les sceptiques mettront en avant les évènements froids parce qu’ils auront l’impression que les alarmistes auront outrageusement mis en avant les évènement chauds. De plus, certains scientifiques britanniques avaient fait l’erreur dans leur déclaration de parier sur une neige de plus en plus rare ce que l’hiver dernier n’a pas confirmé…

    Concernant l’évolution des températures et des glaces, on peut se référer au site (sceptique) pensée unique qui présente une page de mesure à ce sujet (les organismes qui font ces mesures ne sont dirigés par des sceptiques pour la plupart).

  • « les organismes qui font ces mesures ne sont dirigés par des sceptiques pour la plupart » : en effet, difficile d’être « sceptique » quand on dispose d’informations de première main. Difficile d’être « sceptique » tout court, apparemment, puisque 95 % des vrais spécialistes sont « réchauffistes ».

  • Je ne suis pas persuadé par ce que vous affirmez.

    Tout d’abord, les courbes de températures ne permettent pas en elle-même d’attribuer le réchauffement à l’homme ou à la nature. Ce ne sont pas ces mesures en elles-même qui permettent de forger l’opinion de ceux qui en sont responsables. Les spécialistes appuient leurs convictions essentiellement sur des modèles.

    Quant au chiffre de 95 % que vous utilisez, sur quelle donnée repose-t-il ?

    • Les données accumulées permettent d’être pratiquement certain que le réchauffement est d’origine anthropique. Aucune autre explication que le CO2 n’est valable pour expliquer les observations, ce qui n’empêche pas les théories fumeuses impliquant le soleil, le magnétisme ou les variations naturelles d’être inlassablement ressassées.

      Le chiffre de 95 % provient du sondage Doran 2009 (http://tigger.uic.edu/~pdoran/012009_Doran_final.pdf). A ma connaissance, aucun organisme scientifique reconnu doute sérieusement du RCA.

      • « Vraiment ? Ces données indiquent surtout que l’augmentation de la température précède l’augmentation du CO2. » : ce n’est pas parce que par le passé les réchauffements (dus au soleil) ont précédés l’élévation du CO2 que le CO2 ne cause pas un réchauffement. Au contraire, on sait que dans ces conditions s’installe un cercle vicieux, et peu importe que l’élément déclenchant ce cycle soit le réchauffement ou l’élévation de la concentration de CO2.

    • Modèles dont aucun scénario n’incluait la période de 12 ans sans réchauffement, actuellement en cours. La seule façon de valider ces modèles est de les comparer la réalité. A ce stade ils ne sont pas validés.

      • 12 sans réchauffement ? Je ne sais pas où vous avez été pêché vos données, mais un minimum de recherche vous aurait permis de les remettre en question. Évidemment, quand on sait à l’avance ce qu’on veut trouver, on déniche l’aiguille sans même apercevoir la botte de foin.

  • Alex : « Le chiffre de 95 % provient du sondage Doran 2009 (http://tigger.uic.edu/~pdoran/012009_Doran_final.pdf). »
    —————————–
    Euh, sérieusement, vous lisez un peu vos propres sources ?
    On y lit que votre chiffre de 95% (plus précisément 96,2%) a été trouvé sur un échantillon de … 79 répondants (« 79 individuals in total ») qui peuvent être spécialistes en géochimie, hydrologie, géophysique (Allègre et Courtillot en sont), océanographie, etc, etc… soit un chiffre infinitésimal par rapport au nombre de spécialistes des sciences de la Terre (rien que l’Année Polaire a mobilisé plus de 20.000 scientifiques!)

    Et vous transformez un résultat d’un sondage cherry-pické d’un sous-groupe de 79 individus sur plus de 10.000 sondés (soit moins de 1%!) en « 95 % des vrais spécialistes sont réchauffistes », vous n’êtes pas de Marseille par hasard (‘savez, là où les sardines bouchent le port) ?

    —————————————————
    Alex : « Les données accumulées permettent d’être pratiquement certain que le réchauffement est d’origine anthropique. »
    —————————————————
    Les données ne permettent en aucun cas de dire l’origine du réchauffement, si elle est anthropique ou pas. Aucune donnée ne permet de dire une telle chose, vous prenez vos désirs pour des réalités !
    Lisez par ex. le chapitre 9 du 4AR (« Understanding and Attributing Climate Change »), ça vous évitera de faire des affirmations aussi risibles mais que tous les réchauffistes répètent sans la moindre pudeur. Affirmer 100x une chose archi-fausse et sans jamais l’avoir vérifiée ne la rend pas plus vraie.

    • « Il est facile de démontrer que la terre ne se réchauffe pas.  »
      ————–
      La température de la Terre n’a jamais été stable, elle n’a que deux choix, soit se réchauffer, soit se refroidir. Dire ou faire dire aux autres que la Terre ne se réchauffe pas (ou que Napoléon pourrait être nié) relève au mieux de la stupidité au pire de l’escroquerie intellectuelle.

      QCM pour altercomprenant :
      Interprétez ces 4 phrase « il n’y a pas de réchauffement », « l’homme n’y est pour rien dans le réchauffement », « on ne connait pas la part de l’homme dans le réchauffement », « on ne sait pas si l’homme peut empêcher le réchauffement »
      a) elles sont pareilles
      b) elles sont différentes
      c) ta gueule négationniste.

      • 76 auteurs spécialisés soumis au peer-review sur 79 vous semblent insuffisant ; l’échantillon est en effet réduit. Qu’en est-il des organisations scientifiques mondiales ? Quel pourcentage nie le RCA, d’après vous ? Le fait est que parmi les vrais spécialistes, les pseudo sceptiques sont une toute petite minorité.

        « Les données ne permettent en aucun cas de dire l’origine du réchauffement, si elle est anthropique ou pas. Aucune donnée ne permet de dire une telle chose, vous prenez vos désirs pour des réalités ! » Les données ne permettent pas de démontrer par A + B, mais elles suggèrent très fortement. Cela dit, si vous avez d’autres hypothèses solides que le CO2, je suis preneur.

        • « l’échantillon est en effet réduit »
          Le mot qu’il fallait employer est « insignifiant ». Un échantillon de moins de 80 personnes, c’est statistiquement insignifiant.

        • Et quelle serait la probabilité que parmi 79 personnes choisies au hasard figurent 76 filles et 3 garçons ? Vous qui me semblez expert en la matière, vous pouvez peut-être me la calculer ? Le résultat du sondage est sûrement imprécis, mais dire qu’il est insignifiant n’est pas très malin. Encore une fois, quelles organisations scientifiques sont «  »sceptiques » » ?

        • Alex : « 76 auteurs spécialisés soumis au peer-review sur 79 vous semblent insuffisant  »

          ———————————–

          Il ne s’agit pas de 76 auteurs sur 79. Il s’agit de 76 auteurs sur 10.000 sondés. Les auteurs ne sont arrivés au pourcentage de 96% qu’après avoir retenu leur critère qui les arrange à postiori en sélectionnant un sous-groupe d’un sous-groupe ! Sans compter le biais statistique dû à un conflit évident qui n’a pas été corrigé (un climatologue ouvertement sceptique qui pourrait maintenir ses subventions et financements quasiment tous de source gouvernemental, vous y croyez réellement vous ???).

          En statistique (la bonne, pas celle des climastrologues), on détermine D’ABORD ses critères d’évaluation et ses méthodes de calculs AVANT de faire les sondages, on ne fait pas du cherry-picking sur un sous-groupe de sous-groupe (!) ***après-coup*** parce que les données ne vont pas dans son sens, ça s’appelle de la soupe. Ce n’est pas pour rien qu’on dit « il y a des petits mensonges, des gros mensonges et des statistiques ».

          Dans votre exemple atterrant, avec un cherry-picking de 79 individus sur 10.000, ce n’est même pas des stats, c’est de la bouffonnerie. Si ce genre de soupe avait une quelconque pertinence, ce serait fait par des statisticiens et publié dans une revue de statistique et non pas dans une revue de seconde zone dévoué au réchauffisme. Un statisticien qui co-signerait une telle bouse est soit un incompétent, soit escroc.

          Quant aux organisations scientifiques climato-sceptiques, il y a par exemple l’académie des sciences polonaise http://www.staff.livjm.ac.uk/spsbpeis/Com%20%20Ge… ou l’american association of state climatologists http://www.stateclimate.org/publications/files/aa

          Mais même s’il y a zéro « organisation » sceptique, ça ne change rien. En science, la vérité ne vient pas du consensus, il suffit d’un seul homme pour la trouver, le plus souvent avec l’opposition quasi-systématique de l’establishment. S’il vous faut recourir à l’argument du consensus ou à des exagérations permanentes (dans le genre « Les données accumulées permettent d’être pratiquement certain que le réchauffement est d’origine anthropique ») pour défendre un théorie prétendument scientifique, c’est qu’il est grand temps de vous poser des questions.

        • « Les auteurs ne sont arrivés au pourcentage de 96% qu’après avoir retenu leur critère qui les arrange à postiori en sélectionnant un sous-groupe d’un sous-groupe » : non, c’est moi qui sélectionne le pourcentage de leur sondage qui concerne les auteurs publiant régulièrement dans des revues soumises au peer-review. Mais si vous jugez plus pertinent de vous focaliser sur l’avis des bouchers chevalins, c’est comme vous voulez. Bref, ce sondage, qui n’est qu’un sondage, ne fait que confirmer ce qu’on sait déjà, à savoir que parmi les spécialistes, les pseudo-sceptiques sont « très minoritaires » (pour rester vague).

          L’American Association of State Climatologists n’est pas résolument « sceptique », elle est seulement moins catégorique. Quant à l’académie des sciences polonaises (vous avez cherché du côté de l’Ouzbékistan et du Burundi ?), elle est à ce que je vois adepte des gros poncifs élimés. Bel effort quand même, merci.

  • Mon cher Alex, ce genre de probabilité n’est pas calculable sans hypothèse sur la population substrat. Et c’est différent selon que vous faites votre sondage « au hasard » dans une école de sage-femme, une école militaire, une maison de retraite, une boutique de fringue, un stade de foot, … Ce genre de probabilité peut vraiment varier de 0% à 100 %.

    Comme d’une part les climatologique ont un intérêt professionnel à être alarmiste, d’autre part ils ne deviennent pas climatologues par hasard mais en fonction de leurs intérêts et inquiétudes, l’échantillon est biaisé. Pour la même raison que, curieusement, les spécialiste du nucléaire sont majoritairement pour cette énergie…

    Et surtout, en matière de science le nombre n’a strictement aucune importance. Un Einstein ou un Galilée a raison contre 10, 1000 ou un trillion de gens, fussent-ils scientifiques.

    • On attend toujours l’Einstein ou le Galilée « sceptique ». Arf, Courtillot peut-être ? Lindzen ? Pour reprendre votre logique, je peux affirmer n’importe quelle connerie en invoquant le génie incompris : l’évolution est un mensonge, si vous ne me croyez pas vous êtes comme l’Eglise face à Galilée. Brillant.

      • Ne changez pas de sujet. Je n’ai pas dit que les anti-catastrophistes étaient des génies (rares) et les catastrophistes des brèles (nombreuses), je dis juste que juger de la validité des thèses scientifiques aux nombres d’adhérents ce n’est pas scientifique.

        • C’est évident. Le principal problème des so-called sceptiques est qu’il est difficile de se convertir en Einstein ou Darwin quand on se contente de nier sans rien proposer de consistant.

          • Mais l’avantage d’un sceptique, c’est qu’il n’a pas besoin d’être génial. La charge de la preuve incombe aux porteurs de la thèse réchauffistes anthropiques catastrophiques (triple preuve difficile, surtout la dernière étape : quand bien même il y aurait réchauffement et quand bien même il serait d’origine humaine, ne serait-il pas plus dommageable de prendre des mesures pour y mettre fin que de s’en accommoder ? Pour prendre un langage écolo : Gaïa respire, elle souffle le CO2, qui sommes nous pour l’en empêcher…)

            Les sceptiques n’ont aucune obligation scientifique d’apport de preuve, ils peuvent se contenter de pointer les déficiences des affirmations des porteurs de la thèse. Einstein, Galilée, Darwin devaient être des grosses pointures puisqu’il leur fallait convaincre ex nihilo, et malheureusement pour eux les catastrophistes n’ont absolument rien de comparable.

  • « En raison de décisions étatiques irresponsables » : évidemment, tout bon libéral commence son raisonnement par « Sachant que célafôtaléta » et le conclut avec « Ce qui démontre que célafôtaléta ».

  • @AynRandSucksBigTime
    En parlant de « pas gérable », pour l’instant, ce qui part en sucette, c’est la propagande réchauffiste, que ce soit dans les mesures politiques, dans la crédibilité du GIEC, dans la bourse du carbone, dans l’adhésion de l’opinion publique… Tout ce qui a été imaginé et passé par le lobby écolo-financier (trader de l’air, miammm) avec le prétexte climatique finit systématiquement par foirer lamentablement, sans exception. Même le lobby nucléaire, qui a soutenu à bout de bras le réchauffisme pour se redorer le blason, est maintenant dans les toilettes avec l’hystérie autour de « l’apocalypse » imaginaire de Fukushima. Echec, échec et encore échec, ce qui n’est que le sort mérité pour toute arnaque.

    Par conséquent, les libéraux n’ont nullement besoin de quelque « ligne de défense » que ce soit puisque les faits leur donnent raison. Votre pathétique procès d’intention n’est donc que la projection de vos lubies sur les autres.

    • « Par conséquent, les libéraux n’ont nullement besoin de quelque « ligne de défense » que ce soit puisque les faits leur donnent raison. » : c’est beau l’autosuggestion.

  • Ne soit pas con. Le libertarien de base veut juste qu’on arrête de le faire chier avec des dangers hypothétiques alors qu’il y en a des avérés et urgents (la faim dans le monde par exemple), et, surtout, avec des solutions liberticides et inefficace à ces dangers (aussi bien les hypothétiques que les réels).

    Et le libertarien, ou même le libéral de base, à un peu tendance réfléchir tout seul, donc à douter ; quand on lui dit qu’une solution qui lui déplait (en bref : le rationnement sévère, puisqu’on parle de diviser par 4 la consommation) est la seule possible face à un problème, il a tendance à se demander si on ne serait pas en train de chercher à l’entuber et d’inventer un problème là où il n’y en a pas en réalité, voire, si il n’y aurait pas plutôt lieu de se réjouir au lieu de se lamenter. Ce qui le rend probablement climato-sceptique en moyenne. Cela dit, il existe des libertariens ou libéraux qui sont persuadés que le réchauffement anthropique catastrophique (trois conditions cumulatives quand même !) existe, et je pense qu’il n’y en a pas beaucoup pour estimer normale la transformation de l’environnement (l’atmosphère, les océans, etc.) en dépôt gigantesque d’ordure, exemple typique de « tragédie des communs ».

    • Qui ça « on » ? Mais il suffit de suivre l’argent. S’ils gagnent, le coût de la vie va exploser, via les factures d’électricité, le prix des carburants, (et par rebond, tous les biens et services), et de nouveaux impôts et taxes dans tous les sens. Ces sommes folles ne vont pas aller nulle part. Suivez cet argent et vous trouverez ces « on ».

      Je vais vous aider un peu : au départ, les idées de trading de quotas de CO2, ça vient de l’équipe à la tête de Enron. Si si. Voir aussi les investissements d’un certain Al Gore. Les subventions monstrueuses aux soit disant renouvelables. Les dizaines de milliards en budget de « recherche » sur le réchauffement anthropique et surtout pas sur d’autres causes. Suivez l’argent.

      • A deux ou trois ordres de grandeur de moins. Le lobbying anti réchauffiste se compte en centaines de millions, et encore, le pro-réchauffiste en dizaines de milliards.

    • « Qui ça, « On » ?  »
      —————-
      Bah
      – le lobby nucléaire (pourquoi les propagandistes réchauffistes qu’on voit sur tous les antennes comme Jouzel ou Masson-Delmotte sont « ingénieur CEA » et non ingénieur IFP, d’après vous ?),
      – les écolos (il y a des centaines de « papiers » du WWF cités dans les rapports du GIEC, qui soit disant ne font appel qu’à des publis peer-reviewed, dixit Pachauri),
      – la haute finance : le promoteur original de Kyoto, c’est Enron ! Goldman et Sachs est un des lobbyists les plus actifs de la bourse du carbone qui lui permettrait de se faire une montage de blé en tant que trader, même un journal gauchiste comme Rolling Stone s’en est ému
      – les gouvernements, taxe carbone toussa
      – les médias, toujours avide de senationnalisme et de catastrophisme
      – les profiteurs des renouvelables : ventures capitalistes, opportunistes des subventions… Même BP ou Total sont parmis les premiers investisseurs en photovoltaïque, du moins avant que tout ça se casse lamentablement la figure.

      etc, etc… Bref, pas la peine de voir une conspiration, une convergence d’intérêt et beaucoup de cynisme suffit largement. Tsss, il faut tout vous expliquer…

      • Bein oui, tout ça est évident. D’ailleurs, le gouvernement qui menace de faire monter le prix de l’énergie tient un argument électoral décisif. Et le lobby pétrolier et de toutes les autres industries qui reposent sur les combustibles fossiles, c’est de la gnognotte. C’est pas comme si Exxon dépensait 100 millions de $ en lobbying en 5 ans (sans parler du financement direct d’organisations « sceptiques »), par exemple.

    • Si je peux me permettre (excuse dans le cas contraire), tu devrait t’interroger : en quoi la simple existence des libertariens, pourtant rarissimes et à l’influence complétement négligeable, perturbe-t-elle tant ta propre « paix » intérieure (entre guillemets parce que tu ne semble pas si paisible…) ?
      Tu sais ce qu’on dit des homophobes qui rôdent dans les endroits remplis de gay : que se seraient des refoulés qui n’assume pas leur côté homo.

      « On » n’est pas un homme, ni même un groupe d’humains ; c’est Big Brother, le grand golem étatique, la Mère Noël qui prend soin de son troupeau. Pour la jouer théologique, on peut aussi bien l’appeler Satan ; Satan dont Légion n’est qu’un serviteur. Oui, il y a un côté complotiste, mais comme dit l’autre, « only paranoïde will survive », les trop confiants se retrouvent plus facilement du mauvais côté des barbelés, voire des fours, ou simplement à bouffer sans malice des produits pas touchés par le_nuage_qui_s’est_arrêter_aux_frontières.

    • ça se confirme, pour toi, l’ennemi est forcément un humain, un individu, et surtout l’idée qu’une collectivité a une existence et une volonté propre, indépendante de celle des individus qui la compose, t’es étrangère.
      Tu n’as rien d’un collectiviste. Anar, je parie, sachant qu’un anar a toujours l’impression qu’il y a un monde entre lui et un libertarien, alors qu’il n’y a qu’une feuille de papier à cigarette.
      Banal.

  • alex : « Bref, ce sondage, qui n’est qu’un sondage »
    ———————————-
    Un « sondage » qui n’est pas fait par des statisticiens, qui est publié dans une revue écolo-réchauffiste de seconde zone et qui cherry-picke 79 individus sur 10.000 sondés, ne s’appelle pas un sondage, ça s’appelle de la soupe. Personne qui n’a un minimum de décence oserait appeler une magouille statistique sur un sous-échantillon de sous-échantillon de 79 individus choisi APRES-COUP sur une cohorte de 10.000 un « sondage ». Sauf les escrocs et/ou les ignares.

    Votre rhétorique du prétendu « consensus » s’appelle l’argument d’autorité. Si on s’en tenait encore à ce genre de raisonnement, on en serait encore à la théorie géocentrique, à la saignée, au lavement, à la phlogistique, à l’éther, à de l’homme de Piltdown… tous des exemples d’obscurantisme soutenus pendant des décennies voire des siècles par le « consensus ».
    Si vous y êtes accroché comme une bernique à son rocher, c’est parce que vos arguments scientifiques sont nuls. On s’en serait douté avec vos exagérations grotesques dans le genre « Les données accumulées permettent d’être pratiquement certain que le réchauffement est d’origine anthropique » que vous balancez gratuitement et dont vous n’assumez pas le SAV.

    • Comme toujours, on a droit à des comparaisons à deux balles sur le consensus.

      « Si vous y êtes accroché comme une bernique à son rocher, c’est parce que vos arguments scientifiques sont nuls. » : l’avantage de vos arguments, c’est qu’ils sont inexistants et que votre seule tâche et de saper le travail des autres en attirant l’attention sur le détail. Si vous voulez être constructif, dites-moi pourquoi le réchauffement est plus marqué la nuit que le jour et pourquoi la stratosphère se refroidit.

  • « Extrait du rapport indépendant sur le « climategate » :  »
    ———————————-
    Rapport « indépendant » dirigé par Muir Russel, qui a été payé 278.000 livres ( http://www.whatdotheyknow.com/request/49914/response/127907/attach/3/Response%20letter%20Holland%20112%20101119x.pdf ) anglais par l’Université d’East Anglia pour enquêter sur les malfaisances de … l’Université d’East Anglia, rapport « indépendant » dont un des membres est prof Boulton, qui a travaillé pendant plus de 20 ans à … l’Université d’East Anglia.

    C’est « l’indépendance » à la mode réchauffiste, un peu comme la Banque du Sang qui charge Dracula d’enquêter sur la disparition de poches de plasma quoi !
    Ouarf, ouarfff, décidément, le povre AynRandSucksBigTime, n’importe qui peut lui faire gober n’importe quoi du moment qu’on lui raconte ce qu’il a envie d’entendre. Autant de crédulité, c’est à faire pitié. C’est ce qu’on appelle un big time sucker.

    Dites, AynRandSucksBigTime, j’ai de la poudre d’os de requin qui guérit le cancer, les probèmes d’érection et l’acné. Ca immunise aussi contre les rejets de la centrale de Fukushima, ça vous intéresse ? C’est ISO10000 et je fais moitié prix pour les posteurs sur contrepoints.org, dépêchez-vous, la promotion s’arrête dans 3 jours.

    • Quand on prétend que l’enquête est « indépendante », on ne doit pas choisir par soi-même les enquêteurs chargés d’enquête sur soi-même et encore moins les payer grassement (presque 300.000 livres pour moins d’une semaine de travail pour 4 « enquêteurs », le tout pour produire un « rapport » de moins de 30 pages !!!). Dans n’importe quel domaine judiciaire, ça s’appelle collusion, conflit d’intérêt et manque d’impartialité et si c’est passible de la tôle.
      Donc appeler ça enquête « indépendante », ce n’est seulement un manque total d’éthique, c’est vraiment du foutage de gueule et ce n’est pas certainement pas vos arguties et vos prétextes à 2 balles pour excuser l’inexcusable que ça rendra l’enquête « indépendante ». Si une telle enquête peut être qualifiée « d’indépendant », alors blanc est noir, grand est petit.
      Décidément, vous n’avez même pas une trace de décence.

  • « Liste, très très partielle de climato-sceptiques, soit disant « bouchers chevalins » (deux nobels en science quand même !) » : la liste des réchauffistes ne doit pas exister, trop longue. J’ai arrêter de lire votre liste après Allègre, faut quand même pas pousser. Quant aux questions précises, je les attends.

    • Alex : « Quant aux questions précises, je les attends. »
      ————-
      Bah vous relisez mes questions et vous y répondez (savez, les phrases que je termine par « ? »).
      Pour l’instant, tout ce que vois comme réponse, c’est du vent, encore du vent.

  • AynRandSucksBigTime : « Où avez vous vu une explosion en plein vol ? Je trouve que le vol se déroule bien… »
    ——————————
    Ah oui ? Avec la taxe carbone retoquée, le Grenelle qui part en lambeaux, l’industrie du PV et des éoliennes en plein naufrage, Coppenhague qui a accouché d’une souris, Cancun qui part en canc.uille, Kyoto qui a ZERO chance d’être renouvelé (comme prédit depuis des années par les sceptiques), la bourse du carbone européenne truffée de magouilles et scandales et dont le nombre de transactions est infinitésimal (celle aux USA avait été fermée en 2010 pour cause de faillite !) et maintenant, l’industrie du nucléaire en pleine implosion grâce à l’hystérie nucléophobe des médias et des politiques, ce qui veut dire qu’on va construire à tire-larigot des centrales électriques à base de fossiles émettrices de gaz sataniques. Et tout ça avec que le climat qui refuse de coopérer et l’opinion publique qui est toujours plus sceptique sondage après sondage.

    Mais à part ça, le vol se déroule bien, nous assure AynRandSucksBigTime.
    Et après, c’est les sceptiques qu’on traite de « négationnistes », non mais méga lol quoi.

    • Alors là je suis assez d’accord. La science est solide, l’application pratique, par contre…

      • @Alex,
        Ah oui, la science est solide ? Alors montrez nous vous d’où vous tenez que « Les données accumulées permettent d’être pratiquement certain que le réchauffement est d’origine anthropique. » Je vous ai donné le lien sur la « science solide » du GIEC, citez nous le paragraphe où le GIEC aurait dit, suggéré ou laissé entrevoir une telle chose ?

        Ah oui, tant qu’on y est pour la « science solide », quelle est la hausse de température (en °C) qu’on va éviter en respectant (on y croit très très fort !!!!) le protocole de Kyoto depuis le début jusqu’à 2100? Pour quel coût ?
        Questions précises demandées, réponses précises demandées. SVP.

        • Si vous n’avez pas compris que la position du GIEC est que le RCA est « très probable » et même « de plus ne plus probable », je ne peux rien pour vous.

          « Ah oui, tant qu’on y est pour la « science solide », quelle est la hausse de température (en °C) qu’on va éviter en respectant (on y croit très très fort !!!!) le protocole de Kyoto depuis le début jusqu’à 2100? Pour quel coût ? » Je n’en sais absolument rien.

  • alex : « C’est pas comme si Exxon dépensait 100 millions de $ en lobbying en 5 ans (sans parler du financement direct d’organisations « sceptiques »), par exemple. »
    ———————————-
    Exxon n’a jamais dépensé 100 M$ en 5 ans en lobbying climato-sceptique, cessez donc de mentir effrontément avec des sous-entendus aussi grotesques. Ou alors, montrez des preuves. Où sont elles vos preuves svp ?

    D’ailleurs, c’est balot de faire un mensonge aussi grossier. Il suffit de deux clics souris pour voir sur le site d’Exxon que sa position officielle est qu’il croit au réchauffement anthropique !
    Mais visiblement, aucun mensonge, aucune exagération n’est à écarter pour la propagande réchauffiste. Mentir, mentir il restera toujours quelque chose, telle est la devise du réchauffiste de base. Pas étonnant qu’une telle escroquerie intellectuelle convainc de moins en moins de monde et que ses promoteurs soient désespérés au point de mentir encore plus.

    • http://www.opensecrets.org/lobby/clientsum.php?ln… pour ce qui est du lobbying. J’ai pas dit « lobbying climatosceptique », c’est juste pour donner une idée de la puissance financière de ce genre de groupes, qui sont forcément « sceptiques ».

      http://www.guardian.co.uk/environment/2009/jul/01… pour les groupes climatosceptiques.

      « Il suffit de deux clics souris pour voir sur le site d’Exxon que sa position officielle est qu’il croit au réchauffement anthropique ! » : je suis sûr qu’ils parlent aussi de leur responsabilité sociale et de leur lutte incessante pour un monde meilleur. Pour un « sceptique », vous êtes un peu « naïf ».

      • Alex : « pour ce qui est du lobbying. J’ai pas dit « lobbying climatosceptique », c’est juste pour donner une idée de la puissance financière de ce genre de groupes, qui sont forcément « sceptiques  »
        ————————
        Oui donc vous faites de l’amalgame délibérée. Donc je maintiens, c’est du mensonge (et pas de la bêtise).
        Et pourquoi vous ne parlez pas du lobbying réchauffiste de Goldman Sachs : http://www.skyfall.fr/?p=378, de (feu) Lehman Brothers, de Soros, de Ted Turner… qui ont donné largement bien plus ? C’est bizarre comme vous balayez sous le tapis les faits qui ne collent pas à votre dogme…

        • « Oui donc vous faites de l’amalgame délibérée. Donc je maintiens, c’est du mensonge (et pas de la bêtise). » Exxon possède un pouvoir financier énorme, qu’il exploite libéralement pour peser sur les décisions politiques. Et on imagine facilement dans quel sens il veut faire pencher la balance. Ce n’est ni un mensonge ni de la bêtise.

          « Et pourquoi vous ne parlez pas du lobbying réchauffiste de Goldman Sachs » : c’est vous (ou un des vos semblables) qui avez soulevé le problème des pressions réchauffistes en ignorant superbement celles « sceptiques », ne m’attribuez pas vos erreurs.

    • De rien. Site très utile en effet, mais qui ne nous aide pas à savoir si Exxon dépense son argent pour défendre ses activités pétrolières ou pour lutter contre le réchauffement afin d’aider la planète. Si j’en crois minitax, cette dernière solution est la bonne.

  • Extrait accablant, quand on sait lire un rapport. La précision « as scientist » dans la phrase « I find that his rigour and honesty AS SCIENTIST are not in doubt » est un coup de pied de l’âne, ça ne fait que reconnaitre que les CRU scientists n’ont pas bidonné les résultats scientifiques (c’est le minimum syndical !) et implicitement suggère qu’ils ont manquer de rigueur et d’honnêteté dans leurs autres fonctions (qui justement étaient seules mise en cause).
    Idem, la phrase « we did not find any evidence… » : quand on estime qu’il faut conclure qu’il n’y a pas de problème, on écrit « à notre avis il n’y a pas de problème », on n’écrit pas « nous n’avons pas trouver de preuve qu’il y avait un problème » parce que ça, ça veut dire « tout cela est bien douteux mais nous n’avons (malheureusement) pas de preuve ».

    En clair, ce rapport est au mieux un bottage en touche…

  • Extrait du site du journal « The Australian » (20/08/10):

    « ONE of the world’s largest oil companies has broken its pledge to stop funding groups that promote scepticism about man-made climate change.

    ExxonMobil gave almost £stg 1 million ($1.75m) last year toorganisations that campaigned against controls on greenhouse gas emissions.

    Bob Ward, policy director at the London School of Economics’ Grantham Research Institute on Climate Change, who has been monitoring Exxon’s links to sceptic groups, said: « Exxon has engaged in a public relations campaign to convince the world that it has stopped funding climate sceptic groups. But this has turned out to be pure greenwash. Exxon has continued to provide financial support for many groups that are engaged in activities to persuade the public and policy-makers into wrongly believing that climate change is a hoax. »

    • 1 million d’argent d’Exxon, wow, c’est énorrrmmme, à côté de l’enquête « indépendante » de Muir Russel payé 400.000$ par l’UEA pour enquêter… sur l’UEA, pour un rapport de moins de 30 pages ! Vous n’avez vraiment pas honte Alex.
      Et Bob Ward et son Grantham Research Institute chargé exclusivement de faire la propagande réchauffiste (et dénoncer Exxon fait parti de son boulot), il est payé combien par an et par qui d’après vous ? C’est vraiment le camerbert qui reproche à la Vache qui Rit de puer.

  • Le concept de golem étatique a été inventé pour légitimer l’Etat, justement. Sa création n’est pas une invention des libéraux, mais bien une intention avouée des étatistes conséquents.

    On crée un personnage qui n’existe pas, l’Etat, grand cerveau d’une autre entité qui n’existe pas, la société.

    Il ne faut pas inverser les rôle.

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