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Manuel Llamas est le responsable économique de Libertad digital et membre associé de l’Institut Juan de Mariana.
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Cela fait des décennies que l’Argentine vit sous le joug du socialisme, enveloppé sous le manteau qu'étendit Perón et sa femme Evita. Une politique quasi fasciste qui a fini par condamner le pays à la catégorie des économies en voie de développement. Si certains se demandent encore à quoi est dû la débâcle de l'Argentine, Cristina Fernández de Kirchner vient de leur donner une bonne leçon.

Par Manuel Llamas

C'était joué d'avance. Dès la fin de l'année dernière, la nouvelle mandataire argentine, Cristina Fernández de Kirc... Poursuivre la lecture

Au-delà de cette anecdote, le tragique de la question se trouve dans le fait qu'une multitude de jeunes, de politiciens et d'intellectuels continuent de louer les vertus de cette idéologie totalitaire et génocide, en même tant que de proclamer avec une complète facilité leur esprit "antifasciste", quand, en réalité, communisme, fascisme et nazisme forment un front commun. Ils sont, par essence, des manifestations diverses de la pensée anticapitaliste la plus extrême.

Un des aspects les plus frappants et contradictoires de ces mouvement... Poursuivre la lecture

L'empire britannique était au bord de la ruine économique au début du 19e siècle, après de longues années de luttes contre l'armée de Napoléon. À la fin de la guerre avec la France, après la défaite définitive de Bonaparte à la bataille de Waterloo en 1815, le gouvernement de Londres se trouvait dans une situation de faillite technique après avoir accumulé une dette publique proche des 250% du PIB.

Durant les années de la campagne militaire, la Grande-Bretagne opta pour l'abandon de l'étalon-or pour s'embarquer, comme c'est de traditio... Poursuivre la lecture

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En substance, les Baltes ont démantelé partiellement ou, tout au moins, réformèrent en profondeur le mal nommé État providence. Tandis que le secteur privé accepta avec résignation l'inévitable réduction des salaires et des prix.

Pendant que la Grèce se trouve dans la salle d'opération sous respiration artificielle, la crise de la dette reprend de plus belle au sein de l'Union monétaire pendant que d'autres pays – Portugal, Espagne ou Italie – attendent leur tour dans la salle d'attente. Les bureaucrates de Bruxelles continuent à se cr... Poursuivre la lecture