7 citations qui prouvent qu’Hitler était socialiste

Hitler était simplement un socialiste hétérodoxe. Il considérait que l’erreur de ses prédécesseurs socialistes était d’ordre tactique, pas philosophique.

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7 citations qui prouvent qu’Hitler était socialiste

Publié le 18 mai 2021
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Par Austin Petersen.
Un article de The Libertarian Republic

« J’ai beaucoup appris du marxisme […] et je n’ai pas de difficultés à l’admettre. »

Hitler a pu dénoncer publiquement le marxisme, du fait de sa guerre contre l’URSS. Mais en privé il a toujours affirmé être sincèrement de gauche.

À Otto Wagener, il affirma que le problème avec les politiciens de la République de Weimar était qu’ils « n’avaient même pas lu Marx ». Il considérait que le problème des communistes allemands était qu’ils ne comprenaient pas la différence entre principes et tactiques. Il les considérait comme des simples pamphlétaires là où il considérait qu’il avait « mis en pratique ce que ces colporteurs et gratte-papier avaient à peine esquissé ». Il affirmait franchement que « tout le national socialisme » était fondé sur Marx.

[Ma tâche est de] « convertir le peuple allemand au socialisme sans simplement tuer les vieux individualistes. »

Hitler voulait utiliser l’ancienne classe libérale, les entrepreneurs et les initiatives individuelles, pour construire le socialisme en Allemagne. Le socialisme est une système économique qui repose sur la propriété collective des moyens de production. Au lieu de faire comme Staline et éliminer les capitalistes, il s’est simplement engagé à confisquer leur capital. L’économie peut facilement être contrôlée en dépossédant la classe capitaliste et en guidant ses capacités productives via les mains de l’État.

« Si nous sommes socialistes, alors nous devons forcément être antisémites – et l’opposé, dans ce cas, c’est le matérialisme et le mammonisme, auxquels nous cherchons à nous opposer. Comment, en tant que socialiste, ne pouvez-vous pas être antisémite ? »

Extrait d’un discours prononcé par Hitler au Parti national socialiste en août 1920, à Munich, à propos des races et de la politique. Il est ainsi bien établi que les socialistes de l’époque défendaient les politiques eugénistes, comme ils l’avaient toujours fait par le passé. En effet, à cette époque, ceux qui défendaient l’idée de génocide se revendiquaient socialistes.

« Nous devons trouver et suivre la route menant de l’individualisme au socialisme sans passer par la révolution. »

En s’adressant à ses fidèles, Hitler affirmait que le problème avec le communisme russe était qu’il avait choisi la voie révolutionnaire. Si l’individualisme devait être détruit, alors la révolution était la solution la plus douloureuse et la plus difficile pour mettre à bas le capitalisme. Marx et Lénine avaient les bons objectifs en tête, ils ont simplement choisi la mauvaise tactique.

« Pourquoi avons-nous besoin de socialiser les banques et les usines ? Nous devons socialiser les êtres humains. »

La conception hitlérienne de l’unité nationale était de socialiser directement le peuple. Il voulait nationaliser, non seulement les industries, mais les individus eux-mêmes. Ceux-ci sont les serviteurs de l’État, et le socialisme est la solution de tous les maux de la société.

« Nous sommes socialistes, nous sommes les ennemis du système capitaliste actuel, exploiteur de la faiblesse économique, avec ses salaires injustes, son évaluation injuste de la personne humaine en fonction de sa richesse et de son capital plutôt que par sa responsabilité et sa performance, et nous sommes déterminés à détruire ce système par tous les moyens. »

Est-il vraiment nécessaire d’expliquer plus en détails ? Hitler se revendiquait ennemi du capitalisme.

« Nous devons être en position d’accomplir ce que le marxisme, le léninisme et le stalinisme n’ont pas réussi à faire. »

Hitler était simplement un socialiste hétérodoxe. Encore une fois, il considérait simplement que l’erreur de ses prédécesseurs était d’ordre tactique, pas philosophique.

Sur le web

Traduction Contrepoints.

Un article publié initialement le 13 décembre 2016.

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  • je vous aime bien d’habitude, mais là c’est du grand n’importe quoi. Si le programme économique du parti nazi était bien socialiste à la base, il a vite été relégué aux oubliettes du fait de son alliance avec le grand patronat et les conservateurs, puis à cause de l’économie de guerre.

    • Tout à fait, l’état nazi était faible. Tout l’inverse d’un état socialiste.

    • Hadrien dit:  » …Si le programme économique du parti nazi était bien socialiste à la base,… », c’est qu’il est d’accord avec l’article qui ne cherche pas autre chose, que de démontrer que :.. le programme économique du parti nazi était bien socialiste à la base … » . À aucun moment, il n’est fait état du futur du « parti nazi ». Donc, CQFD, on voit bien où l’idéologie du socialisme de l’époque a pu mener. On en est quand même loin.

    • @ Hadrien :

      et voilà le retour du mythe classique de l’alliance du « Grand Kapital » et du nazisme, pour faire croire que le nazisme n’était pas un socialisme parmi d’autres….

      Pour cette soit disant alliance, lire « le gouvernement omnipotent » de Ludwig Von Mises, qui l’a vécu « de l’intérieur » pour se rendre compte que c’est de la pure blague, et que les industriels étaient corsetés par les nazis et les détestaient, les prenant pour des fous.

      Pour le socialisme de Hitler, lire l’excellent  » socialisme en chemise brune » de Benoit Malbranque.

      Ces 2 livres sont téléchargeables gratuitement sur internet pour info, vous n’aurez plus d’excuses à l’avenir si vous re sortez de telles billevesées.

      • Merci pour le biais rétrospectif : le fait qu’il soit au plus proche du pouvoir politique ne constitue en aucun cas un axiome de validité de son analyse. Et prendre uniquement un auteur pour comprendre la complexité de l’intrication entre élites politiques et économiques décridiblise totalement votre propos.

        • Etant donné qu’il donne deux auteurs, et non pas un seul comme vous le dites est ce que son propos est crédible? A partir de combien d’auteur le propos sera crédible? La crédibilité est elle évaluer en nombre de sources ou en qualité du propos énoncé?

        • Il s’agit d’un auteur de plus que ce que vous êtes capables de produire.

    • Mais l’économie de guerre est justement du pur socialisme…
      par ailleurs les patrons n’étaient pas alliés mais souis au parti nazi. Ils faisaient ce qu’on leur disait de faire au prix qu’on leur disait etc…

      Lisez ça tiens: https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conomie_du_Troisi%C3%A8me_Reich

      A moins que wiki ne soit de la propagande ultra libérale bien sûr…

    • Moi j’adore ce genre d’article parce que ça met mal à l’aise beaucoup de gens, à raison.

      Quant à la vérité historique, on peut noter que l’État Nazi a développé un État Providence d’un niveau jamais vu à l’époque et a nationalisé des pans entiers de l’économie.

      • Sans aller cependant a la conclusion : nos repères d’aujourd’hui doivent beaucoup plus a Hitler, Pétain et Laval qu’a tout autre gouvernement élu: contrôle des syndicats, nationalisation des voies ferrées, sécurité sociale, nationalisation des retraites et interdiction du port d’arme (entre autres)

    • Vous ne voulez pas sortir de vos idées reçues. Mais si vous aviez eu l’occasion comme moi de lire la presse nazie qui vilipendait le capitalisme, considéré comme étant aux mains des juifs, vous changeriez d’avis. Hitler ne s’est pas allié aux capitalistes, il les a subordonné à l’état, en attendant la fin du conflit. Ne pas oublier que Albert Speer avait tout pouvoir sur l’économie.

      • J’invite ceux qui nient cette réalité à (re)voir « Les damnés » de Lucchino Visconti, réputé fidèle compagnon de route du Parti Communiste. On y voir très clairement comment s’approprier l’industrie capitaliste.

  • Le parti nazi (abréviation de national socialiste) s’intitulait en fait : Parti national socialiste ouvrier allemand. Peut-on être plus clair ?

  • Le Nazisme est la forme aboutie du socialisme découlant de la route de la servitude, merci Friedrich Hayek.

  • Oui les nazis sont socialistes antisémites, c’est évident. rien sur le baathisme. Assad et Putin et les iraniens sont entrain dexterminer un peuple, et ils sont profondement antisémites, contrepoints ne réagit pas ? Vous dénoncez le nazisme et vous vous taisez sur le baathisme qui est encore en plein action. C’est désolant …

    • Lisez vous Contrepoints ? les article contre Poutine sont légions … Quand à Assad, je pense que le problème est plus complex car si ils est remplacé, il est très probable que de purge ethnique se mettent en place, ce qui se passe en Turquie sera une simple blague à coté …

      • Oui je lis quotidienement contrepoints. Et justement je rencontre toujours cette idée que Assad est un mal pour un bien. Ce qui est contraire à l’éthoque de contrepoints. Assad est maintenu militairements par les pires criminelles de l’Histoire : Putin, les Mollahs iraniens, le Hezbollah et soutenu moralement par les socilaistes partout dans le minde.
        Assad est l’ennemi numero 1 de la liberté.
        On dirait qlq qui defend les nazis sous pretexe que les communistes sont pires ….

        • Oui dire que pour Assad c’est complexe et ne pas le traiter de criminel en est une défense. Assad et son père sont les premiers à financer les attaques suicides contre Israel et contre l’Irak après l’invasion américaine de 2003. toutes led milices extremistes au moyen orient depuis les années 70 s’y rattachent d’une façon ou d’une autre.

        • Georges: Assad est l’ennemi numéro 1 de la liberté.

          6.9 milliards de personnes s’en battent totalement d’Assad, leurs ennemis « de la liberté » a eux, ce nomment socialistes, écologistes et tous les gens qui au nom d’une idéologie ou une autre veulent utiliser la coercition d’état pour contrôler ou/et piller les gens.

          Georges: les pires criminelles de l’Histoire : Putin, les Mollahs iraniens, le Hezbollah

          Je n’ai aucune affection particulière pour eux et encore moins pour les deux derniers, mais Il y a eu 208 conflits depuis 1950 dont 64 depuis les années 1990 pour un total de quelques millions de mort qui ne sont dus à aucun des trois.

          Vous prenez vos informations dans Mickey magazine ?

          Georges: Assad est l’ennemi numéro 1 de la liberté.

          L’homosexualité est un crime dans la plupart des 47 pays à majorité musulmane, punie de morts dans 5 et 8 des 10 pays les plus dangereux de la planète en font partie.
          Pour l’instant c’est Assad qui fait la une des médias « du bien », mais la répression, les tortures, les guerres civiles ethnique ou théologique couvent dans toute la région.

          • Assad est un dictateur banal. Avant la guerre il ‘était pas si sanguinaire que ça comparé à plein d’autres y compris des contemporains. Je tiens à faire remaquer que dans le monde et dans l’histoire la dictature c’est la norme. Assad est juste un dictateur parmi d’autres. Perso Ergogan me semble bien pire. quand ce mec va se mettre à génocider Assad passera pour un bisounours. ou sont les gens qui dénoncent le roi saoudien comme dictateur? Ou sont les dénonciations de Jacob Zuma? ou sont les dénonciations de Rodrogo Dutertre? Assad il est vraiment pire que ne l’était Castro? il est pire que Kim Jong truc?C’est l’ennemi numéro un tel que désigné par la classe politique qui a foutu le bordel dans un pays où tout n’allait pas si mal et qui veut se dédouaner sur un Assad bien plus relou à faire partir que ne l’a été Khadafi, a leur grande surprise… Alors ok, Assad est une ordure… Mais si on commence à comparer la cresse je peux vous promettre qu’il y a plus urgent, a commencer un dénommé Xi Jinping, contre lequel on n’entends rien… Ah si Il n’ y a que Donald Trump qui ose le confronter… Pourtant il est clair que Xi Jingpin est une ordure bien plus grave qu’Assad, et qui fait passer ses prédécesseurs depuis Mao pour des mous du slip. Xi Jingpin a plus de sang sur les mains que dix Bachar réunis. Mais bon, on va pas se brouiller avec l’usine du monde.

            La conscience démocratique des donneurs de leçon à géométrie variable me fait gerber.

            • Je dirai même qu’Assad était globalement parmi les dictateurs les moins pires.

            • moi je compare leur bilan pas leurs arrières pensés. Oui Assad est pire que Castro, il a détruit tout le pays et a tué plus de 200.000. Erdogan est potentiellement plus dangereux (vu la popularité qu’il a et le pays qu’il tient d’une main de fer) mais pour l’instant l’urgence c’est Assad, chaque jour il tue pleins d’innocents, et arrêtez de croire à la propagande de RT que ce sont des terroristes qu’ils visent (d’ailleurs Palmyre vient d’être reprise par l’EI )….
              Contrepoints au secours, il y a une guerre entre d’une part un dictateur soutenus par les mollah, putin et les extrêmes gauches du monde entier, d’autre part des civils qui se font bombarder et fusiller tous les jours ? je ne comprends pas cette indifférence

              • Georges: d’autre part des civils qui se font bombarder et fusiller tous les jours ? je ne comprends pas cette indifférence

                Poussin de l’année hein ?
                Les « démocraties-du-bien » n’ont fait que balancer des bombes, déstabiliser des régimes et des régions et financé et armé des salopards encore pires que les précédents. Vous trouvez qu’il y a urgence à faire la même chose en Syrie ou vous regrettez qu’on ne bombarde pas nous-mêmes les civils pour que les journalistes-télévisés-du-bien™ cessent leur litanie culpabilisante ?

                Pour remettre un peu de perspective, Il y a la Guerre civile sud-soudanaise qui en est à 300’000 morts dans l’indifférence totale:
                https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_civile_sud-soudanaise
                La guerre civile somalienne qui dépasse le demi-million de victimes dans l’indifférence totale:
                https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_civile_somalienne
                Et il y a eu plus de morts au Brésil qu’en Syrie entre 2011 et 2015:
                http://www.rfi.fr/ameriques/20161029-morts-bresil-syrie-violences-ong-rapport-forum

                Vous savez que le conflit syrien n’est que la cristallisation d’un conflit bien plus vaste entre divers courants de l’islam et puissances de la région ?
                Si vous voulez vraiment faire cesser les massacres, il va vous falloir attaquer, envahir et tenir pendant des décennies une petite dizaine de pays.

                En avez-vous les moyens et qu’est-ce que le passé nous dit de ce genre d’interventions par exemple en Afghanistan ou en Irak ?

              • Georges: Oui effectivement Assad a tué plus parce qu’il a eu une guerre. A ce niveau il faudrait juger Clémenceau comme un dictateur sanguinaire. Je ne dis pas qu’Assad est un enfant de coeur je dis qu’il ne fait pas s’étonner que les dictatures deviennent sanglantes quand on les déstabilise volontairement. Il s’est battu avec ce qu’il avait.

          • Assad n’avait pas prévu de se retrouver a la tète de la Syrie, il était Ophtalmologue a Londres (Dix ans d’études) son épouse y diriger une grande banque.
            Seul des débiles incultes peuvent essayer de faire croire qu’il serait un sanguinaire avide du sang de son peuple. Si il avait choisi de quitter son pays c’est parce qu’il sait ce qu’est L’Islam. Malgré cela il a pensé qu’il ferait mieux a la tête de son pays que Daesch. Il aura eu aussi la sagesse de faire le dos rond avec Israël en abandonnant le Golan sans le dire pour ne pas réveiller les islamistes de son propre pays.

        • Quel lien et citation (exacte et non tronquée) pouvez-vous nous donner où il est dit ça ?

        • Affirmer sans pouffer que Assad et Poutine sont « les pires criminels de l’Histoire ».
          En marge d’un article sur… Adolf Hitler.
          Vous devriez faire un spectacle.

        • « l’éthoque de contrepoints »….. tic et toc !!!
          « partout dans le minde »….. minde, mind.

    • Je crois qu’on appelle ceci un homme de paille…

      En terme de dictature vous auriez pu rajouter la Corée du Nord, le Venezuela, etc. autant être exhaustif ! 🙂

  • c’etait le parti national SOCIALISTE par abreviation NA ZI

    la question etant de savoir si un parti socialiste peut rester non totalitaire

    le socialisme pronant une egalite et une similitude cela ne peut se faire qu’en retirant a ceux qui sont les plus efficaces pour donner aux autres

    et si les plus efficaces ne sont pas d’accord en employant la force

    un régime socialiste a le choix entre n’etre plus socialiste ou devenir totalitaire

  • Curieux article. Le nazisme s’est toujours proclamé socialiste. C’est dans son nom. Le S de NSPDA veut dire socialiste.

    • On est bien d’accord là-dessus, mais par les temps qui courent il est bon de le rappeler. Surtout quand l’un de nos grands partis décidé lui aussi de prendre une rose pour emblème…

    • La traduction exacte de nazi serait d’ailleurs socialiste national, sauf à adopter cette manie angloise (Jeanne, revient !) de mettre l’adjectif devant le mot.

      • Ah, enfin quelqu’un qui a des notions de langues germaniques. Dans mes bras 🙂

      • Nein,

         » Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei  »
        national et socialiste (dans l’ordre) sont tous deux des adjectifs de « Partei « …

  • Il y a quand même une petite diffèrence entre le Nazisme et le communisme, c’est que pour les Nazis, la réduction des inégalités sociales était un objectif plus lointant, alors que pour les communistes, c’est l’objectif principal.
    C’est cette différence qui est le prétexte pour les intellectuels de gauche de ne pas reconnaitre les Nazis comme socialistes.

    • hum…la différence objective c’est le nombre de morts obtenus par les 2 modèles ;mais comme l’un a gagné et l’autre perdu…l’histoire est toujours racontée par le vainqueurs.Hitler était viscéralement anti libéral car il voyait dans le libéralisme le mode d’action préféré des juifs milliardaires responsables de tous les maux de la société Allemande …il avait donc une solution pour Hitler libéraux=juifs = mauvais race à exterminer point barre .Depuis le horreurs de la seconde guerre mondiale lex racisme est devenu un crime ;lisez Mein Kampf c’est une obligation pour sauver la pureté aryenne.
      maintenant que les socialistes marxistes, trotskyste soient le socialisme d’Hitler c’est de bonne guerre mais oui il était socialiste national

    • Non il y a une différence très fondamentale entre socialisme et communisme : le socialisme c’est le contrôle des moyens de production et la redistribution totalement controllée par l’état,
      le communisme c’est une forme de société anarchique avec un droit de propriété réduit.
      les 2 sont aux antipodes l’un de l’autre.

      • L’érudit qui m’a mis -1 à des arguments je suppose?

        • La mise en commun des moyens de production c’est la définition même du communisme, votre distinction repose sur une méconnaissance profonde des bases mêmes du marxisme. Voilà pour l’érudition.

      • Oui c’est vrai que lorsque le mot « communisme » a été crée, il s’agissait d’une forme d’anarchie, le modèle transitoire était appelé socialisme. Mais il y a eu un glissement sémantique comme vous le savez: socialisme désigne une branche politique après la scission, et communisme l’autre plus à gauche.
        La signification d’origine du communisme a essentiellement disparue, car c’est une utopie irréaliste.

  • excellente piqure de rappel, à diffuser sans modération !

  • Même si je suis d’accord 7 citations ne suffisent pas à prouver, cela demande au moins une thèse.

    • On est sur un journal, pas dans un jury d’université. Ceci dit les études approfondies existent. Référez vous à Hayek et Ludwig Von Mises;

  • Histoires intéressantes, mais qui est « auteur invité »? Quelle langue avant « traduction Contrepoint » parlait-il donc?. Bref, quelles sont les sources et contextes précis de ces déclarations?

  • Argumentation haut de gamme.

    J’ai deux trois citations sous le coude de Castro, Staline, Pol Pot et même d’Hitler qui « prouvent » qu’ils sont des génies et des bienfaiteurs… Je peux écrire a Contrepoint afin de moi aussi « niveler par le haut » ?

    Merci d’avance

    • Si vous publiez un bon article en guise de droit de réponse , je ne suis pas certain qu’ils vous refusent. Après tout Contreproints c’est aussi la liberté d’expression. Par contre à mon avis les commentaires vont pas vous plaire.

      • Pourtant le libéralisme est loin d’être une idéologie dominante de la société française: il devra donc toujours composer avec l’histoire de ces dernières années, dont le mythe de la sécurité sociale est un correctif majeur au capitalisme pur et dur: en cela la France se montre un pays « européen », l’aide aux plus démunis se retrouvant dans tous les pays membres: la démocratie est le pouvoir de la majorité mais AUSSI la protection des minorités! Sinon tout humanisme disparait, ce qui n’est pas notre façon commune de penser!

        • @ miky stouffs :

          pour la démocratie qui est la protection des minorités, vous devriez relire Tocqueville avant de sortir des énormités, svp …

  • cet article me met en fureur ..!!

  • Von Mises et Hayek sont des historiens de quelle université ?
    Sinon c’est quoi un « socialiste hétérodoxe » ?
    Je vais postuler car j’admire la rigueur argumentative.

    • Hayek a reçu le « prix Nobel d’économie  » en partie pour « son analyse pénétrante de l’interdépendance des phénomènes économiques, sociaux et institutionnels ».

      Il n’y a pas de distinction plus importante pour attester de son savoir sur des sujets de ce type.

      Ceci dit, je vous encourage à juger la qualité des travaux et des arguments d’un auteur par vous même, et à ne pas subordonner votre jugement au nombre ou à la qualité de ses diplômes.

  • C’était qui Goebbels ? Il occupait quelle fonction au sein du Reich ?

  • Ok c’est bon j’ai eu peur que ce soit le ministre de la propagande. Donc c’est vrai

    • Et vous vous targuez de critiquer l’article sur un ad hominem aussi ridicule ?
      Sinon, pour mémoire, Goebbels devient ministre du Reich à l’Éducation du peuple et à la Propagande en 1933. Le texte où il rappelle que les nationaux-socialistes sont des socialistes date de 1928.

    • Raph ,

      Le texte de José sur Goebbels en français… Rappelez vous aussi que Hayek , économiste de l’école autrichienne ayant vécu sous les Nazis disait que 8 points sur 10 du programme marxiste avaient été remplis par les nazis…

      Pourquoi sommes-nous socialistes ?

      Par Joseph Goebbels

      Nous sommes socialistes parce que nous voyons dans le socialisme, qui est l’union de tous les citoyens, la seule chance de conserver notre héritage racial et de récupérer notre liberté politique et rénover notre État allemand.

      Le socialisme est la doctrine de la libération pour la classe ouvrière. Il favorise la montée de la quatrième classe et son incorporation dans l’organisme politique de notre patrie, et il est inextricablement lié à la rupture de l’esclavage présent, recouvrant la liberté allemande. Le socialisme, par conséquent, n’est pas simplement une question relative à la classe opprimée, mais celle de tous, pour libérer le peuple allemand de l’esclavage et est l’objectif de la présente politique. Le socialisme atteint sa véritable forme qu’au travers d’une fraternité de combat total avec les énergies d’avant-garde d’un nationalisme nouvellement réveillé. Sans le nationalisme il n’est rien, seulement un fantôme, rien qu’une théorie, un château dans le ciel, un livre. Avec lui, il est tout, l’avenir, la liberté, la patrie !

      Le péché de la pensée libérale a été de négliger les forces de construction de la nation du socialisme, laissant ses énergies partir dans des directions antinationales. Le péché du marxisme a été de dégrader le socialisme en une question de salaires et d’estomac, de le mettre dans une situation de conflit avec l’État et son existence nationale. Une compréhension de ces deux faits nous conduit à un nouveau sens du socialisme, qui voit sa nature nationaliste, de renforcement de l’État, libératrice et constructive.

      Le bourgeois est sur le point de quitter la scène historique. À sa place viendra la classe productive des travailleurs, la classe ouvrière, qui a été opprimée jusqu’à aujourd’hui. Elle commence à remplir sa mission politique. Elle est impliqué dans une lutte dure et amère pour arriver au pouvoir politique, tandis qu’elle cherche à faire partie de l’organisme national. La bataille a commencé dans le domaine économique ; ellel finira dans le politique. Ce n’est pas seulement une question de salaires, ni seulement une question de nombre d’heures de travail par jour – bien que nous ne pourrons jamais oublier que c’est là une partie essentielle, peut-être même la plus importante de la plate-forme socialiste – mais beaucoup plus une affaire d’intégration d’une classe puissante et responsable dans l’État, peut-être même d’en faire la force dominante des politiques futures de la patrie. La bourgeoisie ne veut pas reconnaître la force de la classe ouvrière. Le marxisme la corsète dans un carcan qui la ruine. Alors que la classe ouvrière, se vidant de son sang, se désintègre peu à peu dans le marxisme, la bourgeoisie et le marxisme se sont entendus sur les lignes générales du capitalisme, et ont pour tâche maintenant de protéger et défendre cet état des choses de diverses manières, souvent dissimulées.

      Nous sommes socialistes parce que nous voyons la question sociale comme une question de nécessité et de justice pour l’existence même d’un État pour notre peuple, non pas une question de pitié bon marché ou de sentimentalisme insultant. Le travailleur réclame un niveau de vie qui correspond à ce qu’il produit. Nous n’avons pas l’intention de mendier pour ce droit. L’intégrer dans l’organisme étatique n’est pas seulement une affaire importante pour lui, mais pour la nation toute entière. La question est plus large que la journée de huit heures. Il s’agit de former un nouvel état de conscience qui inclut tous les citoyens productifs. Étant donné que les pouvoirs politiques actuels ne sont pas capables ni désireux de créer une telle situation, le socialisme doit se battre pour l’atteindre. Il est intérieurement et extérieurement un slogan de la lutte. A l’intérieur, il vise en même temps les partis bourgeois et le marxisme, parce que les deux sont des ennemis jurés de l’État ouvrier à venir. A l’extérieur, il est dirigé contre tous les pouvoirs qui menacent notre existence nationale et l’avènement de l’État national-socialiste.

      Le socialisme n’est possible que dans un État qui est uni au niveau national et libre au niveau international. La bourgeoisie et le marxisme sont responsables de ne pas avoir atteint les deux objectifs, l’unité nationale et la liberté internationale. Peu importe que ces deux forces se présentent comme nationales et sociales, elles sont les ennemis jurés d’un État national-socialiste.

      Nous devons donc briser politiquement ces deux groupes. Les lignes du socialisme allemand sont nettes, et notre chemin est dégagé.

      Nous sommes contre la bourgeoisie politique, et pour un authentique nationalisme !
      Nous sommes contre le marxisme, mais pour un vrai socialisme !
      Nous sommes pour le premier État national allemand de nature socialiste !
      Nous sommes pour le Parti national-socialiste des travailleurs allemands !

      ___

  • Les nazis étaient bel et bien des socialistes, à savoir qu’ils commettaient la même erreur conceptuelle caractéristique de toutes les formes du même socialisme, peu importe qu’il soit écologiste, fasciste, bureaucratique, étatiste, social-démocrate… Cette erreur fondamentale est de croire, ou plutôt faire croire aux gogos, que le marché juge les individus eux-mêmes, alors que rien n’est plus faux. Le marché juge et sanctionne, non pas les individus en eux-mêmes, mais seulement ce qu’ils consentent à apporter à autrui volontairement. Ainsi, grâce à l’équilibre des prix et des quantités, le marché mesure le savoir-faire, le savoir-être, le vouloir-faire, le vouloir-être. Tout ça, mais rien que ça. Mieux, le marché libre est le seul en mesure de donner un jugement efficient sur ces critères.

    Mais voilà, les parasites ne veulent pas que leurs rapines soient mises en lumière par le marché. Ils ne veulent pas que leur prédation soit révélée au grand jour. Ils veulent continuer à voler et surtout pas produire, parce que produire est indigne de l’orgueil démesuré des voleurs. Alors ils mentent, ils déforment la vérité, ils pervertissent les mots et les concepts sans fin, ils usent de violence. Le socialisme est entaché d’une quadruple faute morale, par son mensonge déployé systématiquement pour dissimuler le vol qui satisfait l’orgueil défendu par la violence sans limite des parasites improductifs.

    Pour le reste, le marché ne s’intéresse pas à ce que sont les individus. Les individus l’indiffère. Ce n’est pas son objet. Il ne fait pas de doute que tout ne relève pas du marché. En revanche, ce qui doit relever du marché ne doit jamais lui être retiré, sous aucun prétexte. C’est ainsi qu’une société devient moderne, qu’une civilisation quitte l’arbitraire barbare hérité de l’antiquité pour entrer dans sa modernité libérale. L’idéologie socialo-collectiviste veut nous interdire la modernité en nous maintenant de force dans un passé périmé.

    • Donc, au départ, l’état national indépendant était l’objectif des nazis et le socialisme le (mauvais ) moyen d’y arriver?

  • Il restera sans doute pendant longtemps la légende noire de « l’extrême droite » du XX° siècle, classification ridicule qui n’a eu qu’un seul but : disqualifier les « réactionnaires » comme les appelaient les communistes, quite à réécrire l’histoire : faire oublier le passé de Mussolini, le pacte germano-soviétique, la doctrine économique et sociale du III° Reich, à interdire Mein Kampf, à faire oublier les encycliques Non abbiamo bisogno, Divini Redemptoris et Mit brennender Sorge et à associer dans le même panier « capitalistes », « libéralisme », « christianisme », « occident » etc… et à faire souffler un vent d’infamie sur quiconque oserait se revendiquer capitaliste, libéral, chrétien ou occidental, quiconque parlerait de civilisation, d’honneur ou de valeurs.

    Hitler était bien socialiste, il l’a dit lui-même un nombre de fois : parce qu’il pensait que le socialisme était l’outil indispensable pour convaincre le Peuple à sa cause nationaliste. Hitler était opposé à Staline et aux communistes, parce qu’il était nationaliste Allemand et considérait tout étranger et à plus forte raison tout internationaliste d’un autre pays comme un ennemi.

    Hitler a choisi d’adhérer au DAP (Parti des travailleurs allemands) et c’est lui qui l’a renommé NSDAP, rajoutant les deux lettres NS qui allaient rester, le préfixe National Socialiste, qui deviendra nazi.

    Il a choisi un parti ouvrier, parce qu’il se positionnait (et il n’était pas seul) dans le peuple et à la fois contre le capitalisme et contre le communisme, estimant que les deux étaient responsables de la défaite de 1918, que les deux avaient signé le traité de Brest-Litovsk qui était pour lui un marché de dupes, tout comme ces « ennemis de l’intérieur » avaient signé le traité de Versailles.

    Le NSDAP était un parti socialiste pour qui, comme pour tout parti socialiste, le moteur était le nationalisme et qui avait des vues internationalistes, comme tous les partis qui supportaient à l’extrême le concept socialiste d’Etat Nation.

    L’extrême droite « historique » n’existe plus en Europe depuis le milieu du XIX° siècle le tournant ayant eu lieur en 1848 lors du printemps des Peuples, période pendant laquelle le libéralisme a été balayé un peu partout par le nationalisme, et avec lui les mouvements farouchement anti-démocratiques (féodaux, fédéraux, royalistes…) situés encore plus à droite, dans ce qui à l’époque constituait l’extrême droite. Le nationalisme ayant apporté avec lui la démocratie et le socialisme.

    Le premier clivage gauche droite s’était fait avant 1848 en Europe entre populistes (la souveraineté appartient au Peuple : républicains, démocrates …) à gauche et institutionnalistes (la souveraineté appartient aux institutions : libéraux, fédéralistes, monarchistes …) à droite. Après 1848 et la constitution des Etats Nations, la notion d’institution ayant été décrétée « réglée » ou tout du moins figée, le clivage gauche droite ne se fit plus qu’à l’intérieur de la première catégorie, reléguant l’ancienne droite et extrême droite dans un no man’s land politique et en faisant des épouvantails « réactionnaires ».

    • Cette description historique pourrait sans peine être transposée aujourd’hui en France. Certains diraient qu’elle s’appliquerait bien au nouveau « parti à la rose » mais ne ne voudrais pas m’associer à une telle pensée subversive…

  • Sur un sujet aussi capital, il est bien regrettable qu’il n’y ait aucune référence sérieuse relative à chacune des citations ! Nom de l’ouvrage, page? …
    Je ne conteste pas le bien-fondé de cet article car des auteurs comme le Dr Hermann Rauschning, George Watson, Thierry Wolton ont développé ces thèmes.
    Quel dommage, ainsi présenté cet article n’a que peu de valeur car il n’est pas réutilisable.

  • Pour constater que le national-socialisme était bien socialiste, il suffit de lire leur « Programme en 25 points », dont voici quelques extraits :

    « Nous exigeons que l’État s’engage à procurer à tous les citoyens des moyens d’existence. »
    « L’activité de l’individu ne doit pas nuire aux intérêts de la collectivité, mais s’inscrire dans le cadre de celle-ci et pour le bien de tous. »
    « [Nous demandons] La suppression du revenu des oisifs et de ceux qui ont la vie facile, la suppression de l’esclavage de l’intérêt. »
     » Nous exigeons la nationalisation de toutes les entreprises appartenant aujourd’hui à des trusts. »
    « Nous exigeons une participation aux bénéfices des grandes entreprises. »
    « Nous exigeons une augmentation substantielle des pensions des retraités. »
    « Nous exigeons la création et la protection d’une classe moyenne saine, la remise immédiate des grands magasins à l’administration communale et leur location, à bas prix, aux petits commerçants. La priorité doit être accordée aux petits commerçants et industriels pour toutes les livraisons à l’État, aux Länder ou aux communes. »
    « Nous exigeons une réforme agraire adaptée à nos besoins nationaux, la promulgation d’une loi permettant l’expropriation, sans indemnité, de terrains à des fins d’utilité publique (…) et l’arrêt de toute spéculation foncière. »
    « L’extension de notre infrastructure scolaire doit permettre à tous les Allemands bien doués et travailleurs l’accès à une éducation supérieure, et par là à des postes de direction. (…) Nous demandons que l’État couvre les frais de l’instruction supérieure des enfants particulièrement doués de parents pauvres, quelle que soit la classe sociale ou la profession de ceux-ci. »
    « L’État doit se préoccuper d’améliorer la santé publique par la protection de la mère et de l’enfant, l’interdiction du travail de l’enfant (…) par un puissant soutien à toutes les associations s’occupant de l’éducation physique de la jeunesse. »
    « [Le nazisme] combat l’esprit judéo-matérialiste à l’intérieur et à l’extérieur, et est convaincu qu’un rétablissement durable de notre peuple ne peut réussir que de l’intérieur, sur la base du principe : l’intérêt général passe avant l’intérêt particulier. »

  • Les sympathisant de Vichy, comme chacun sait, avaient une certaine indulgence avec les nazis de part quelques valeurs communes… Les vichistes étaient socialistes ?

    • Proudhon ,

      Bien sûr que les Vichystes étaient socialistes , la retraite par répartition des vieux travailleurs , reprise à la libération sous un autre nom , les bases de la Sécu , les ordres professionnels encore existantes etc …

    • @Proudhon :

      Pierre Laval était socialiste. Pierre Cathala radical-socialiste, comme René Bousquet qui fut son secrétaire. Lagardelle était socialiste, comme Bonnafous, etc…

      • Les activistes de la « Révolution Nationale » étaient des soutiens de Pétain mais certainement pas des socialistes. Il y a les idées, les groupes d’adhérents et les individus.

        • si ! et même socialo-fascistes alliés de Moscou au début de la guerre …

          • Et Pétain était socialiste

            • Personne n’a dit que le pouvoir en place sous Vichy était monolithique, Pétain était proche des idées de l’extrême droite, mais pour prendre le pouvoir, il lui fallait l’appui de tous les arrivistes de l’époque…

          • Et la droite réactionnaire était socialiste !

            • Ah c’est donc ce qui vous pose problème, qu’on puisse être de droite et socialiste à la fois ? L’Histoire ne semble pas vouloir se soumettre à votre vision réductrice et manichéenne de la politique.

              • Le plus gros problème avec le socialisme, c’est ce qu’il ne dit pas, ce qu’il ne veut pas mettre en avant, il est étatiste, ce qui entraîne un certain nombre d’effets, il est contre l’individu et le libéralisme, ce qui, là encore, entraîne un certain nombre d’effets, il n’est donc jamais difficile pour un socialiste ou un communiste de rejoindre des positions communes avec une extrême droite étatiste antilibérale. Et j’oublie encore la question de la centralisation…
                Tout résumer à des positions simplistes permet de faire des distinctions de partis, de clans, mais pas forcément de pratiques effectives…

        • Ou comment des gens qui ont passé 30 ans en temps que députés, ministres, maires, sénateurs … socialistes (SFIO, radicaux, etc…) sont excommuniés d’un simple coup de baguette magique, par pur révisionnisme et totale mauvaise foi et clairement après coup vu que cela ne gênait pas grand monde à l’époque.

          Au fait Laval a été, entre autre, avocat de la CGT….

        • Laval n’était pas socialiste? Avant d’émettre des affirmations péremptoires il faudrait vous renseigner, cela vous éviterait d’écrire des inepties!

    • Doriot était socialiste. Déat, communiste, Belin ministre du travail, à l’origine des lois créant les Comités d’Entreprise, le salaire minimum, la retraite par répartition, la nationalisation des différentes caisse d’assurances santé, était l’ancien leader de la CGT.

      • Je ne saurais trop vous conseiller la lecture des mémoires de Marcel Déat (Mémoires Politiques). C’est très intéressant et écrit dans un français qui n’existe plus.

  • Voilà sept citations qui vous permettent d’écrire qu’Hitler était un socialiste… hétérodoxe. Soit ! Mais à côté de cela, combien de citations qui ne figurent pas ici, et qui indiquent qu’il était également (et surtout) nationaliste ? Des centaines ! Des milliers !

    • Et donc ?
      Depuis quand nationalisme et socialisme ne feraient pas bon ménage ? C’est au contraire un combo gagnant : suffit de remplacer « c’est la faute aux riches » par « c’est la faute aux autres ». On change les drapeaux, la couleur de l’uniforme et la taille de la moustache et roulez jeunesse !
      D’ailleurs un coup d’oeil dans le programme de la Marine suffit pour comprendre que cette funeste association a encore de beaux jours devant elle.

    • Socialisme et natonalisme ne sont pas incompatibles. Dans « La Route de la Servitude », Hayek montre que le socialisme finit toujours tôt ou tard par tendre vers le nationalisme et c’est d’ailleurs ce qu’on a constaté dans tous les régimes socialistes.

      • Il faut relire « Hitler m’a dit » du Dr Hermann Rauschning et « la littérature oubliée du socialisme » de George Watson .
        Vous y retrouverez tous des pistes de réflexion intéressantes.
        Un dictateur ne peut être libéral …
        Hitler était donc socialiste mais il voulait rester maitre chez lui
        National-socialisme essaye de traduire cette ambiguïté pour se démarquer de l’International -Socialisme des marxistes

    • Le nationalisme n’a aucun rapport avec l’extrême droite… On peut être nationaliste et ne pas se trouver supérieur aux autres races hein…

  • hitler est avant l’instigateur de crimes de masse….

    on voit l’idée…discréditer les socialistes en le associant avec « hitler »…

    comme si les crimes des collectivistes certifiés NF ne suffisaient pas…

    le petit tyran collectiviste du quotidien ,par ailleurs bien insignifian,t est capable sans se poser de questions morales de vous assener des horreurs de vous promettre la prison ou le peloton si vous défendez la propriété individuelle ou la liberté d’expression….alors..je crois que c’est peine perdue…

    penser mal est un crime…ils crachent sur les flics car ils se rêvent flic suprême.

    l’horreur est elle là… l’épaisseur de vernis qui sépare le ss du père de famille est très faible..

    jordan peterson rappelle qu’en une semaine de formation le flic de base mettait une balle dans la nuque à une femme enceinte….

    combien de fois ai je entendu qu’il faudrait interdire à « ces gens là  » de faire des gosses…de la part de « grands humanistes »..

    moi aussi, je suis un monstre….

  • En fait cet article ne nous renseigne pas sur l’essentiel : En quoi les socialistes ont des inspirations qui s’apparentent aux idées d’Hitler ?..

    • Si effectivement Hitler était un authentique socialiste en quoi poser la question de ce qu’il en resterait serait déplacée.
      Tout ça manque terriblement de courage.

  • National socialisme , International socialisme. Socialisme toujours….

  • « Le poids des mots, le choc des photos » (Slogan de Paris Match).

    Ici, j’évoque les paroles d’Adolf et les images de la guerre et des camps de concentration.

    Mais l’arrogance, la stupidité et la folie de celui-ci n’ont rien à envier à celles des autres grands « stratèges » de la « société ». Et les résultats de ces derniers sont juste un peu moins médiatisés.

  • Le crime de Hitler fut d’être socialiste sans se réclamer des droits de l’homme.

    Il appliqua pourtant avec zèle le programme de Marx.

  • National socialism, Hitler était un socialiste.. Voir Laval socialiste fusillé à la Libération.. On voit comment la gauche à tendance à mettre ses erreurs sur le dos de la droite..

    • Tout ceux qui veulent organiser la société et non simplement diriger un pays sont quelque-part socialistes. Le réservoir de « grandes idées » des philosophes utopistes permet aux plus arrogants et stupides de se forger une identité et de justifier leurs actes.

      Comme l’indique l’article, Adolf pensait être le seul à avoir lu ou compris Marx. Son arrogance lui donnait un grand pouvoir de persuasion. Sa folie et les circonstances on fait basculer le monde.

    • Françoise a raison. La gauche a l’habitude de rejeter ses crimes sur la droite! Ce qu’elle a fait après la guerre en reniant Mussolini et Hitler, leur ôtant toute tendance socialiste. Mais c’était bien des socialistes ainsi que le prouvent leur programme et leurs actes! Ainsi le terme fasciste, qui désignait à l’origine les nationaux socialistes italiens, est de nos jours accolé à l’extrême droite!

  • Quel est le différence entre Staline et Hitler ?
    L’un a gagné la guerre , l’autre l’a perdu. (Devinette que j’ai inventé il y a environ quarante ans).
    L’étude de la deuxième guerre mondiale dans le détails, (pour ceux qui ne croit pas que c’est Napoléon qui a retardé la fermeture de Fessenheim) montre que Churchill et Roosevelt, quant en début 943, ils ont acquit la conviction qu’il écrabouilleraient totalement Hitler et l’Allemagne, leur principal souci au delà était d’écrabouiller aussi Staline a la suite si nécessaire, s’i il continuait a avancer. D’où la création de l’OTAN, et Nagasaki., Et l’ordre d’arrêt de Mac Arthur.
    Ah ! le socialisme !

    • Les alliés considéraient Hitler trop stupide pour être le problème de fond et ont renoncé à l’éliminer (opération Foxley), jugeant que son « action stratégique » était plutôt bénéficiaire pour les alliés anglais et américains au niveau géopolitique une fois la guerre bien engagée.

      Les généraux Allemands étaient semble-t’il du même avis. (Tiens ça me rappelle quelque-chose).

      • Lisez la deuxième guerre mondiale de Churchill (12 tomes), pour commencer, et vous retrouverez, peut etre, ce que cela vous rappelle exactement, car la , rien ne me revient.

  • Hitler était foncièrement anti-marxiste et anti-communiste.
    Etrange pour un socialiste.
    Au début des années, au petit jeu des citations d’Hitler, en voici une autre : « notre salut ne vient jamais de l’Ouest. Nous devons chercher à nous rapprocher de la Russie nationale, antisémite. Pas du soviétisme ».
    Etrange pour un socialiste.
    A la fin des années 20, Hitler s’est associé avec les conservateurs pour contrer le socialiste Herman Muller.
    Etrange pour un socialiste.
    En 1933, 4000 militants communistes sont arrêtés, assassinés ou envoyés en camp de concentration.
    Etrange pour un socialiste.
    Le national-socialisme d’Hitler, c’est pas comme le port-salut. C’est pas parce que c’est écrit dessus que c’en est. Ca ressemble plus au pâté d’alouette : un cheval de nationalisme et une alouette de socialisme.

    • Staline a tué énormément de communistes, ça n’en faisait pas un anticommuniste pour autant.
      .
      En réalité le NSDAP avait besoin des ouvriers pour prendre le pouvoir, Hitler les a attirés par de grands discours anticapitaliste et de grands programmes socialistes qui étaient tout à fait réels.
      L’antisémitisme n’était pas un hasard non plus, les Juifs en tant qu’usuriers de l’occident pendant des siècles détenaient une bonne partie du capital, ils représentaient les « riches capitalistes ».
      .
      Les cadres de la SFIO et les communistes (jusqu’en 41) ne s’y sont pas trompé à l’époque.

  • Nous n’avons pas besoin de ces citations pour savoir que le nazisme est un socialisme national. Le tour de passe-passe a été celui-là : puisque le communisme était de gauche, il a fallu que son ennemi soit à droite.
    Le totalitarisme a été une conséquence fatale du socialisme, le nazisme n’a fait que l’imiter, ainsi que le précise Hayek dans « La route de la servitude »: « Les fascistes et les nazis n’ont pas eu grand chose à inventer. La tradition d’un mouvement politique nouveau, envahissant tous les domaines de la vie, était déjà établie en Allemagne et en Italie par les socialistes. Ce sont les socialistes qui ont mis en pratique la conception d’un parti politique qui dirigerait toutes les activités de l’individu, du berceau jusqu’au tombeau, qui lui dicterait ses opinions sur chaque chose, examinant tous les problèmes à la lumière d’une philosophie partisane. »
    Quand va-t-on remettre l’histoire contemporaine sur ses pieds ?

  • Le Nazisme voulait créer un clan dont tous les membres étaient solidaires, ceux n’appartenant pas à ce clan étaient exclus et éliminés.
    Sa politique était plus proche de celle d’une tribu paléolithique que d’une réflexion étayée sur une philosophie moderne. Chercher une once d’intelligence là ou le cerveau primaire suffisait largement est idiot.
    Par contre Hitler était un grand lecteur, et comme tout dogmatique il ne gardait de ses lectures que les éléments qui allaient dans son sens, c’est à dire la privation de liberté qui se retrouve dans la philosophie socialiste, donc il n’y a rien d’anormal qu’ils reprennent les mêmes antiennes.

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