Réchauffement climatique : pourquoi c’est facile d’y croire

Difficile de faire comprendre les changements climatiques. Il est tellement plus simple de se laisser bercer par les discours faciles…

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Desert scene By: oatsy40 - CC BY 2.0

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Réchauffement climatique : pourquoi c’est facile d’y croire

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 20 novembre 2016
- A +

Par Michel de Rougemont.

Réchauffement climatique
Desert scene By: oatsy40CC BY 2.0

Plus je me démène contre l’hystérie climatique plus je constate que l’opinion publiée est devenue totalement insensible à toute critique. Je n’ai aucun moyen de savoir où en est l’opinion publique. Des interlocuteurs privés me disent bien qu’ils ne croient pas trop à ces histoires mais aussi, paresseux et escapistes, ils ne désirent pas en comprendre davantage et acceptent la décarbonation de la même manière qu’il est nécessaire de se purger avant une opération. Il faut bien convenir qu’y comprendre quelque chose et se faire sa propre opinion n’est pas tâche facile.

Les climato-sceptiques qui arrangent tout le monde

Les plus raisonnables ne croient pas au dogme climato-anthropique1. Ils sont en général solitaires car aucun groupe ne fédère cette hérésie. Mais parmi eux, certains, plutôt agnostiques, se réjouissent des interventions décarbonisantes car cela apporte de l’eau à leur moulin à vent.

Les pro-nucléaires utilisent sans restriction l’argument de zéro émission de matières fissiles. Je suis moi aussi pro-nucléaire, mais pour d’autres raisons, économiques, technologiques, et de pondération des risques. Je reste persuadé que l’usage d’arguments fallacieux dessert la cause que l’on prétend défendre.

La grande cause du réchauffement climatique

D’autres sont occupés dans des affaires où un positionnement vert-frais leur donne bonne figure ; ils publient allègrement leur footprint, s’abreuvent aux subventions de toutes sortes et finissent par se croire écolo-responsables.

D’autres encore instrumentalisent la causa climatica comme plateforme politique, le Conseil fédéral helvétique par exemple. C’est désolant de malhonnêteté intellectuelle et de manque de courage, au point même qu’ils se mentent à eux-mêmes. La climato-crédulité les arrange et ils s’en arrangent.

Mais attention, jusqu’ici je n’ai cité que les plus raisonnables ! C’est dire que les autres le sont moins ou pas du tout.

Les adeptes extrémistes du réchauffement climatique

Il y a les soucieux de Gaïa qui y croient vraiment et veulent à tout prix que l’humanité se positionne au dernier rang de la Nature.

Il y a les effrayés de l’apocalypse qui s’inventent un djihad climatique : retarder le moment de la destruction ultime et se gagner des billets d’accès au paradis sous forme de certificats carbone ou autres brevets de bonne conduite. Et tuer les hérétiques, bien sûr.

Il y a les scientifiques dont la carrière dépend de la continuation des programmes pour ou contre le climat. Ceux-ci occupent le terrain en se posant comme experts et en excluant toute recherche n’allant pas dans le sens désiré ; ils pratiquent l’advocacy research, celle qui se met au service du résultat escompté.

Il y a les collectivistes universalistes qui voient dans la causa climatica la meilleure opportunité, le meilleur pied dans la porte, le meilleur cheval de Troie pour enfin instaurer une gouvernance mondiale. C’est par un droit écolo-climatique contraignant que les États-nations vont être réduits au rang de vassal, et les peuples au silence.

Il y a les médias, qui jouent les vierges effrayées mais sans opinion, qui sont objectivement les idiots utiles de la causa climatica, au point même de refuser aux sceptiques et hérétiques toute possibilité de se faire entendre.

Cela fait bien du monde n’ayant aucun intérêt à ce que ce cirque s’arrête. Pour chacun d’entre eux la croyance dans le réchauffement climatique est leur meilleure stratégie. Et on en arrive au facho-climatisme.

  1. Théorie considérant que c’est l’homme qui est à l’origine des modifications climatiques
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  • Le père noël est aussi une croyance ridicule pourtant chaque année il revient…….l’homme a besoin de croire pour avancer d’où le succès du mouvement ecolo, de la médecine alternative etc……..franchement notre monde est vraiment trop horrible pour ne pas rêver d’un monde meilleur peuplé de super héros tel Hulot,le cdt Cousteau le WwF greenpeace et autres pieds nickelés plus fun que Jésus bouddha ou Mohammed !

  • Pas sur de comprendre la thèse… il me semble que le réchauffement est mesuré (banquise, températures), donc difficile à remettre en question, non? La marge de manœuvre qui nous reste est : l’homme en est-il la cause? Et franchement, il devient difficile de croire le contraire…mais chacun est libre de penser ce qu’il veut!

    • @mouais
      La thèse que vous ne comprenez pas, c’est l’ignorance. Je soupçonne que vous ne connaissez strictement rien de la « science » climatique en dehors de ce que vous raconte la télé et autres médias subventionnés par l’Etat.
      Mais même un peu de bon sens suffit à douter du dogme climatique. Les « experts » vous disent « le climat » se réchauffe… Par rapport à quand ?
      1) La Terre s’est formée il y a 4,5 milliard d’années.
      2) Des données à peu près fiables et globales de température existent depuis les premiers programmes de mesures satellitaires (1979 au mieux).
      3) Nous n’avons aucune idée des températures avant (2) qui soient scientifiquement utilisables pour décréter un état à 1 ou 2 degrés près dans le passé (strictement personne ne peut vous donner la température moyenne de la Terre durant le 12e siècle par exemple, ni durant les deux derniers millions d’années depuis que l’homme est apparu).
      Ces trois points suffisent à éclairer un agnostique, pour le reste c’est de la croyance.
      Enfin, si pour vous « penser » revient à « croire », alors vous êtres très loin d’être libre.

    • L’homme était aussi responsable des réchauffements ayant eu lieu des millénaires avant son apparition sur Terre? Ne soyez pas ridicule! La Terre n’a jamais eu de climat stable!

    • Ben, en fait, les droites de tendance Hadcrut, RSS et UAH sont quasiment à pente nulle de 2002 à 2015 :

      http://www.woodfortrees.org/plot/hadcrut4gl/from:2002/to:2015/trend/plot/rss/from:2002/to:2015/trend/plot/uah6/from:2002/to:2015/trend

      J’ai sorti l’année 2016, perturbée par un El Nino particulièrement intense, pour avoir la tendance de fond. Bien sûr, cette information fort instructive est frappée d’omerta par la doxa réchauffiste.

      Or, sur cette période, il y a eu inflation de nos émissions de gaz satanique…Bizarre, bizarre…

      • Je me demande vraiment, mais vraiment pourquoi jipe a choisi 2002 à 2015 : http://www.woodfortrees.org/plot/hadcrut4gl/from:2002/to:2015/trend/plot/hadcrut4gl/mean:12 ! (et même 2002 à 2014, parce que c’est pas tout de tripoter à des graphiques, il faut aussi comprendre ce qu’on fait)

        • Pour illustrer que malgré l’augmentation continue des émissions de CO2 sur cette période, les températures sont restées à peu près stable sur cette période ? Ce qui ne collerait pas avec la théorie de liant directement les émissions de CO2 à l’élévation de la température ?

          Parce que c’est pas tout de tripoter à des graphiques, il faut aussi comprendre ce qu’on y lit 😉

        • Fastoche, cher VB, qui ne savez pas bien lire ma prose. Je répète donc pour vous et pour ceux qui ne suivent pas : « J’ai sorti l’année 2016, perturbée par un El Nino particulièrement intense, pour avoir la tendance de fond ».

          • Et pour faire bonne mesure, vous avez sorti l’année 2015 aussi ! On ne sait jamais, elle aurait pu perturber votre « analyse ».

          • Il faut aussi remarquer que le récent El Niño n’était certainement pas plus intense que celui de 1997-1998 ou celui de 1982-1983, et pourtant la température globale moyenne (hadcrut4) de 2016 sera plus élevée de 0,3°C que celle de 1998, et de plus de 0,6°C que celle de 1983. Sans doute un effet du réchauffement qui s’est arrêté.

      • « J’ai sorti l’année 2016, perturbée par un El Nino particulièrement intense, pour avoir la tendance de fond. Bien sûr, cette information fort instructive est frappée d’omerta par la doxa réchauffiste.
        En savoir plus sur https://www.contrepoints.org/2016/11/20/272138-rechauffement-climatique-cest-facile-dy-croire#xdSAt2qJcG8Jlloo.99 »

        autrement dit, si je retire les données qui ne collent pas avec ma théorie, j’arrive à la conclusion que je désire

        • El Nino est un phénomène naturel récurrent. Donc toute année El Nino est particulière, et ne reflète pas la tendance de fond. Elémentaire, mon cher Watson ! …La contre-réaction La Nina est en cours, et attendons 2017 pour voir si l’on revient aux températures des années précédant 2016.

      • Pour avoir un El Nino particulièrement intense il doit y avoir des causes…

    • Vous avez tout à fait raison, et vous allez dans le sens global de l’auteur, il me semble.
      Oui, un léger réchauffement est mesuré (même si depuis quelques années les mesures tendent à être ouvertement et publiquement tripotées pour entrer correctement dans les modèles rechauffistes).
      Non, ce léger réchauffement ne provoque ni catastrophe ni danger pour la planète, pour les animaux ou les plantes, ni pour l’homme : en revanche, certains fabriquent de toutes pièces des problèmes afin parfois de se poser en sauveur. Un exemple est celui des ours polaires. Leur population a été multipliée par plus de 5 depuis 1950, alors que nos grands médias nous parlent d’une espèce en déclin…
      Oui, votre question est légitime : l’homme est-il, même partiellement, responsable de ce réchauffement. C’est tout le débat. La science pourrait répondre à cette question. Mais aujourd’hui la science climatique est représentée mondialement par le GIEC et ses rapports (celui pour les décideurs, médiatisé, rédigée par des délégués des gouvernements, et le rapport scientifique, dont les conclusions ne sont pas les mêmes, mais que personne ne lit).
      Le problème du GIEC est que dans sa « lettre de mission » donnée par l’ONU, il lui est affirmé que l’homme est responsable du réchauffement, et d’en apporter des éléments de preuve. La chose est dite : le GIEC a pour mission d’alimenter une hypothese préalable, pas de rechercher ce qu’il se passe réellement.
      Ainsi, tous les médias (particulièrement en France, ce n’est pas le cas à l’étranger) ne relaient que les éléments rechauffistes de la science, et relèguent les scientifiques ou les penseurs critiques dans la catégorie des « climato septiques ». De fait par opposition aux « climatologie rechauffistes ».
      Ainsi, plutôt que comprendre de quoi il s’agit, le quidam que nous somme sur tous n’a plus que la possibilité de « croire » ce qu’on lui dit.
      Et oui, en ce sens vous avez encore raison : qui peut dès lors « croire » le contraire de ce que nous rabâchent les médias et les politiques depuis tant d’années.
      Oui, chacun peut penser ce qu’il veut.
      Mais la ou vous êtes dans l’erreur (et la majorité de la population l’est aussi, pour les mêmes raisons), c’est qu’on est en principe dans un domaine scientifique, pas un domaine religieux.
      En science, non, chacun ne peut pas penser ce qu’il veut, ni se contenter de « croire ».
      Et la science climatique est loin de faire consensus (consensus qui n’est pas une caractéristique de la science mais de l’idéologie).
      L’état de la science actuelle irait plutôt à l’encontre de la doctrine rechauffistes, de plus en plus fragilisée (sauf en France).
      S vous voulez vous faire une « opinion », et pourquoi pas un avis argumenté sur le sujet, allez faire un tour sur le site « pensée unique », une référence en la matière.
      Il fut un temps où j’étais rechauffistes, scandalisé que les USA ne signent pas le protocole de Kyoto.
      Et puis j’ai lu le site en question.
      J’ai vérifié les éléments cités, je suis aller rechercher les sources de données (toutes fournies).
      J’ai fait des révisions en physique, en chimie, en math, en science générale.
      J’ai abandonné ma foi dans le réchauffement climatique imputable à l’homme, et je sais maintenant que j’étais dans l’erreur.
      Je suis allé au Groenland, au Spitzberg, deux fois en Antarctique, pour constater ce que l’on me disait par mes yeux.
      On se fait enfumer par les médias en France, voilà ma conclusion du jour !

      • @ PukuraTane

        Avant tout « chapeau très bas » devant votre curiosité scientifique aussi motivée que motivante, pour atteindre, au moins, votre « vérité » personnelle claire ou, à défaut, des contre-vérités bien constatées. C’est « grand » mais bien sûr pas à la portée de n’importe quel quidam. Je vous encouragerai bien sûr, à partager ces connaissances acquises, largement autour de vous, selon les modalités qui vous conviennent!

        • Merci pour les encouragements…
          Pas facile en effet de se construire ou reconstruire un avis argumenté.
          Le premier pas pour moi a été la lecture du « petit cour d’autodéfense intellectuelle », paru en 2006. Ça permet de se refaire un esprit ouvert et de re-apprendre à utiliser son bon sens.
          Ensuite, par accident, je suis tombé sur le classique (mais vite lu car c.est petit) « L’art d’avoir toujours raison » de Schopenhauer. Accessible a tous, sans pré-requis littéraire ou philosophique. On peut le lire et le comprendre des le collège.
          Avec ces deux ouvrages, on est déjà bien armé pour repérer tous les cas où on essaie de nous « enfumer ».
          Partant de la, le,sujet du réchauffement climatique était à l’évidence truqué de toute part, il ne restait qu’à trouver des sources valides et probantes.
          J’essaie de propager la « bonne parole » autour de moi depuis lors, et ça marche plutôt bien.
          Depuis 2 à 3 ans j’ai appliqué les mêmes recettes à l’économie et à la politique, ce qui m’a conduit sur Contrepoints…

      • Il fut un temps où j’étais rechauffistes, scandalisé que les USA ne signent pas le protocole de Kyoto.

        Même chose, j’étais même assez très actif sur un autre forum il y a 8 ans (ou j’ai même balancé le bon vieux « 97% » 🙂 ). C’est justement en allant chercher des arguments dans les rapports scientifiques pour « contrer les sceptiques » que la vacuité de la construction catastrophiste m’a sauté au visage.

        C’est dire si je ricane quand j’en vois un se ramener avec ses « 97% » en 2016.

      • fred: en clair ils avaient tout faux

        Ça ne me fait ni chaud ni froid personnellement.

        Mon scepticisme est basé sur le fait qu’on ne sait pas grand-chose du climat actuellement : les marges d’erreur sont énormes, les instruments peu précis, mal réparti, trop peu nombreux, les « reconstructions » de données sont la norme avec tout ce que ça implique de biais. Biais qui sont d’ailleurs confirmés par les mesures a posteriori et de nombreuses affaires qui ne font vraiment pas honneur à la science.

        Qu’un « refroidiste » se plante aussi dans ce contexte scientifique incertain me paraît absolument normal.

        « Nous ne savons pas ce que le climat fait. Nous pensions le savoir il y a 20 ans. Cela a conduit à des ouvrages alarmistes – y compris de ma plume – parce que cela semblait clair, mais cela ne s’est pas produit » – James LOVELOCK – Scientifique – Père de la théorie Gaïa

        « les activistes du réchauffement climatique, comme des fourmis qui considèrent que le monde est fait de rochers de 1 mm de diamètre, regardent les 3 derniers millionièmes de 1% de l’histoire de la Terre et font des conclusions extravagantes sur le climat et en particulier sur leur compréhension du climat » Howard Hayden, professeur émérite de physique à l’Université du Connecticut.

    • mouais… : il me semble que le réchauffement est mesuré (banquise, températures)

      Justement non. Les gens seraient effarés de constater la vérité de ces « mesures ».

      Le réseau USHCN par exemple dont 64% des stations ont une précision >2°C
      http://www.surfacestations.org/

      Je vous rappelle que les réchauffistes nous sortent des « records » de « température globale » de 0,04°C… comme en 2014.

      Le GIEC insiste bien sur le rôle crucial des océans…qu’on mesure avec une station tous les 32 millions de km2 comme dans les océans australe…
      https://i.imgur.com/oJ8YZ9n.jpg

      Quant à « l’acidification des océans », dont les données au centième remontent jusqu’à Louis XV (voir wiki) c’est encore plus ridicule.
      Il y a un prix de 2 millions de dollars offert à qui trouverait un pH-mètre fiable et stable pour mesurer le pH des océans
      http://oceanhealth.xprize.org/about/overview

    • 1) Le réchauffement est insignifiant…à peine 0,85 oC en 135 ans. 2) Les banquises ont toujours fondue, l’antartique gèle plus qu’avant….de la bullshit!

  • Monsieur, voulez vous dire que le CO2 et le CH4 entre autres ne provoquent pas une augmentation de température par réfraction du rayonnement infrarouge? Voulez-vous affirmer que l’activité humaine ne libère pas de grandes quantités de ces gaz dans l’atmosphère ou que ces quantités sont négligeables? Arrêtons de croire ou de ne pas croire. Donnez-nous des arguments sérieux et mesurables. Dans l’attente de votre réponse. Cordialement.

    • par réfraction? vous êtes certain?
      ne vous trompez pas…croire au rca ce n’est pas croire à des idées générales ,c’est croire que les modèles sont capables de simuler l’évolution à venir ( et passée) du climat en fonction de scénario d’émission et là Il y a comme un doute …un gros…dans le meilleur des cas ( d’un point de vue catastrophique) vous avez quelque chose comme « les modèles n’excluent pas qu’il se passe une catastrophe à cause des gaz à effet de serre » ça fait peur sauf que si on avait pas de modèles…on ne pourrait pas exclure une catastrophe non plus… bon alors vous avez de jolie zones grisées qui jouent le rôle d’incertitude ou qu’on associe à des probabilités mais je ne vois pas pourquoi….donc les modèles n’annoncent pas vraiment la catastrophe, ils la disent possible en prétendant quantifier la probabilité.

      Une grande partie des climatologues acceptent un réchauffement de l’ordre du degré avec un doublement du CO2 ( si rien d ‘autre ne change ,, ce qui est évidemment irréaliste), ils admettent qu’il s’est produit une réchauffement des températures de surface ( sauf que si on admet la théorie la chaleur devrait surtout aller dans les océans…en on mesure pas très bien et depuis pas longtemps).. ils admettent tout un tas de choses …

      ce n’est absolument pas aux sceptiques à apporter des preuves!!! il n’y pas de preuve de la validité des modèles!!!

    • Monsieur, j’ai toujours beaucoup de mal avec les déclarations péremptoires surtout quand elles concernent une mauvaise compréhension des choses.
      Jamais le gaz carbonique, le méthane ou n’importe quel gaz ayant une bande d’absorption dans l’infrarouge ne provoque une réfraction de ce type de rayonnement. Ces gaz absorbent bien le rayonnement infrarouge provenant de la terre et en réémette une partie en direction de notre planète mais ce n’est en aucun cas un phénomène de réfraction qui supposerait des variations d’indice de réfraction bien plus importantes. Cette réémission de rayonnement ne peut (sauf phénomène physique fort improbable ici) qu’à une longueur d’onde plus faible (et donc moins énergétique que la longueur d’onde absorbée).
      L’absorption par le gaz carbonique se produit dans l’infrarouge sur 2 pics étroits vers 4,3 µm et 15µm de longueurs d’ondes ; ces 2 pics très étroits ne sont pas au voisinage de la bande d’émission infrarouge terrestre que l’on assimile à un corps noir et dont le maximum est vers 10µm de longueur d’onde. L’étroitesse de ces pics et leur position excentrée expliquent que le CO2 est un mauvais gaz à effet de serre contrairement à ce beaucoup veulent faire croire ; le méthane serait potentiellement plus dangereux mais sa présence dans l’atmosphère est encore très faible. L’effet de serre principal (terme très mal choisi mais adopté pour impressionner le public) est très largement dominé par la vapeur d’eau.
      Seul un certain nombre d’interactions positives associées aux modèles des climatologues peuvent conduire à une augmentation des températures et non l’effet direct de la réémission des rayonnement infrarouge par le gaz carbonique. Or ces interactions positives sont encore assez mal connues ce qui explique qu’il existe des énormes différences de prévisions entre les modèles pris en compte et qui dépendent du poids accordé à ces différentes interaction. De plus il existe aussi des interactions négatives, elles aussi mal connues, mais qui sont la plupart du temps non introduites dans les modèles. Au final les prévisions d’augmentation de température liées à l’augmentation du taux de gaz carbonique varient suivant les modèles de moins de 1°celsius à plus de 6°celsius : bien entendu seuls les modèles pessimistes sont mis en avant tout particulièrement en France.
      Par ailleurs, les climato-sceptiques ne contestent en général pas le fait que les températures globales (la aussi concept peu satisfaisant mais simple à comprendre pour le public) augmentent depuis un peu plus de150 ans. Ils font remarquer simplement les points suivants :
      -L’augmentation observée expérimentalement est globalement faible (de l’ordre de 1°C sur un peu plus d’un siècle avec une incertitude non négligeable de l’ordre de 0,1°C) ; elle est très inférieure à l’augmentation prédite par les modèles en particulier si on se reporte 30 ans en arrière ou le GIEC nous annoncé déjà l’apocalypse pour les années 2010.
      -Cette augmentation globale survient après une période de refroidissement (minimum de Maunder) dont à ma connaissance la climatologie actuelle ne donne pas d’explication (corrélation avec l’activité solaire mais pas d’explication physique cohérente).
      – D’autre périodes assez récentes ont aussi présentées un climat terrestre aussi doux qu’aujourd’hui (optimum médiéval, empire romain…) sans que l’on puisse relier ces périodes douces à une quelconque activité humaine et encore moins à des rejets irresponsables de gaz carbonique.
      – L’atmosphère terrestre a par ailleurs connue des périodes avec des taux de gaz carbonique 20 fois plus fort que ceux mesurés aujourd’hui sans que le climat terrestre soit devenu une fournaise. Il doit donc y avoir des interactions négatives sur lesquelles les climatologues devraient se pencher.
      Personne n’affirme que l’homme ne libère pas de grande quantité de gaz dangereux dans l’atmosphère (le gaz carbonique n’étant pas à ma connaissance un poison aux taux de concentration observés actuellement mais au contraire un gaz indispensable à la vie). Par contre, il est aussi admis que la part attribuable à l’homme dans l’augmentation actuelle du taux de CO2 se situe probablement entre 3 et 6% suivant les années : les phénomènes naturels alimentant la plus grosse partie de la concentration de ce gaz dans l’atmosphère. Il est donc un peu vain de se polariser sur l’activité humaine pour inverser la tendance. S’il s’agit de diminuer la pollution dans les zones à forte densité humaine, nous sommes d’accord, si l’ambition est de faire baisser le taux de CO2, cet objectif ne me parait certainement pas raisonnable.
      Je ferai enfin une simple réflexion. Si comme le montre les relevés expérimentaux, la température globale augmente pour quelque raison que ce soit, ce réchauffement va renforcer le dégazage des océans qui représentent tout de même 2/3 de la surface terrestre ; Il est donc tout à fait normal d’observer une augmentation du taux de CO2 atmosphérique dans une période de réchauffement globale. Il y a donc bien corrélation entre température et concentration de CO2 mais cette dernière va suivre et non précéder la hausse des températures : c’est ce miracle qu’a semble-t-il découvert l’équipe de Jean Jouzel et ce qu’Al Gore a inversé de façon hautement malhonnête dans sa célèbre présentation ‘ une vérité qui dérange’ par ailleurs truffée d’erreurs élémentaires de physique.
      Enfin dernière réflexion, une théorie aussi belle soit-t-elle n’a de sens que si elle est confirmé par des prédictions expérimentales ; cela ne signifie pas que la théorie soit exacte en tout point mais en tout cas qu’elle apporte une vision du monde qui permet d’expliquer et de prédire des observations expérimentales non contestables. C’est le cas de la théorie de la relativité générale (explication de la déviation de rayons lumineux par une masse, avance du périhélie de mercure ou plus récemment ondes gravitationnelles…). Ce n’est malheureusement pas le cas pour l’instant des modèles de climatologie qui sont incapables de prévoir des évènements futurs ni de donner des explications cohérentes aux observations du passé.

      • @jardinier
        Je pense que la lecture du premier rapport du GIEC devrait vous instruire …..http://www.ipcc.ch/ipccreports/1992%20IPCC%20Supplement/IPCC_1990_and_1992_Assessments/French/ipcc_90_92_assessments_far_overview_fr.pdf … et vous éviter de debiter des contres vérités sur ce qui est dit dedans

        • Bonjour Fred, pouvez-vous préciser ces contres-vérités de façon claire et précise pour que nous puissions en discuter? merci d’avance car je n’ai pas vu à quoi vous faites allusion dans la référence citée!

        • Bonjour fred

          Merci pour votre reference du giec de 1990

          « Cela aura probablement pour conséquence que la température globale moyenne dépassera de 1 °C environ la valeur actuelle en 2025 »

          Sur le trend actuel on est à 0.5°-0.7° suivant les références.

          « La température globale moyenne augmentera en moyenne au cours du siècle à venir de 0,3 °C environ par décennie (avec une marge d’incertitude de 0,2 à 0,5 °C par décennie)

          On est à 0.18°-0.16° par décennie.

          On voit bien que le réchauffement existe mais inférieur à la fourchette basse.

          Attendons 2025 pour voir si la tendance se retourne.

    • N’oubliez pas les émissions d’un autre gaz, autrement plus polluant réchauffistiquement parlant : H2O. À voir en cette saison (dans l’hémisphère nord) la différence de température le matin après une nuit claire ou une nuit couverte, l’effet ne saurait faire débat. Pourtant, personne n’en parle, à qui profite ce scandale?

      • Je crois que vous n’avez pas bien compris le débat qui a amené une polarisation sur le CO2 dans le cadre du débat sur le réchauffement climatique. Il est bien évident que l’essentiel du mal nommé ‘effet de serre’ est dû à la vapeur d’eau. La différence c’est que pour la vapeur d’eau le bilan de présence dans l’atmosphère n’est pas globalement modifié par l’activité humaine alors que dans le cas du CO2, cette activité humaine ajoute une quantité de gaz qui était sous forme inactive (ou si vous préférez seulement potentielle) auparavant (charbon, lignite, gaz, pétrole…). Certes, cet ajout reste actuellement faible en comparaison des quantités mises en jeu au cours des phénomènes naturels et correspond à un effet d’absorption infrarouge très inférieur à celui de la vapeur d’eau, mais il y a bien transformation de composés carbonés en gaz carbonique qui vient s’ajouter à la concentration existante.

    • Monsieur, voulez vous dire que le CO2 et le CH4 entre autres ne provoquent pas une augmentation de température par réfraction du rayonnement infrarouge?

      Pouf pouf pouf ❗ Il ne s’agit pas de réfraction. Plutôt de diffusion. L’énergie lumineuse convertie en IR met plus de temps à s’échapper vers le haut.

      • Le phénomène principal avec les gaz dits à effet de serre n’est pas non plus un phénomène de diffusion mais un phénomène d’absorption-réémission du rayonnement infrarouge émis par la terre. Les molécules absorbent certaines longueurs d’ondes dans le spectre d’émission infrarouge de la terre et réémettent un rayonnement à des longueurs d’ondes en général moins énergétiques dans toutes les directions dont une partie va donc revenir vers la terre. Un phénomène de diffusion se produira à la même longueur d’onde que celle reçue, le phénomène d’absorption-réémission se fera à une longueur d’onde inférieure ou égale (sauf cas très particulier qui ne semble pas intervenir ici).
        Ce sont certes des nuances mais qui sont fondamentales pour modéliser correctement des phénomènes complexes

  • Alors qu’on sait que la théorie du réchauffement climatique est un grand complot visant à établir un gouvernement mondial, ourdi par les Nations Unies, les scientifiques du monde entier, George Soros et Barbra Streisand !
    Heureusement que les Chevaliers de la Terre Plate de Contrepoints sont là pour rétablir la Vérité.

  • Excellente analyse. C’est vraiment plaisir de vous lire et consolant aussi. Je me sens moins seule!

  • Causa climatica= delirium carbonum et energeticum….

  • C’est vraiment drole cette theorie du complot, un complot manipulant des dizaines de millions de personnes, sans que personne ne nomme clairement les comploteurs. Cependant, ce qui est sur, c’est que certains climatoseptiques ne le sont pas pour l’amour de la science
    http://www.sciencepresse.qc.ca/actualite/2015/02/23/climatosceptique-recherches-livrables

    • La facture des mesures « anti-réchauffement climatique » est estimée à 51’000 milliards d’euros en 30 ans soit 7700 fois les bénéfices 2016 du no1 mondial ExxonMobile.
      À votre place je laisserais tomber ces arguments puériles, on n’est pas sur jeuxvideo.com ici.

      J’ai un peu de science amusante à vous soumettre.
      Il y a un prix de 2 millions de dollars offert à qui trouverait un pH-mètre fiable et stable pour mesurer le pH des océans
      http://oceanhealth.xprize.org/about/overview

      Pourtant les réchauffistes nous présentent des données précises au centième prêt sur l’acidification des océans, y compris sous Louis XV, 140 ans avant que la notion de pH ne soit inventée par Sørensen et 240 ans avant qu’on ne cherche à construire des pH-mètres fiables.

      Hop, PLS

    • Cet article est justement intéressant parce qu’il explicite assez bien la convergence de certains intérêts… nul besoin de théories complotistes.

  • l;’attaque systématique contre les climato-sceptiques montre à l’évidence que les carbocentristes ne sont pas sûrs de leur fait. sans doute que l’augmentation du CO2 augmenté les températures, mais la théorie donne un impacte de l’ordre de 1°C pour un doublemeent. Les prévisions alarmistes sont basées sur une rétroaction positive via la vapeur d’eau qui n’a jamais été observée sur le terrain. Evidemment ceci ruine les politiques climatiques et les bénéficiaires multiples qui ne veulent pas voir tarir la source de leurs revenus immoraux

    • Mais qui sont ces bénéficiares multiples ? Des noms, des sommes, et expliquez ce qu’il y a d’immoral . Ne restez pas dans le flou, dans l’a peu près,

      • @ fred

        Vous avez bien raison! Je suis un « climato-ignorant »: je n’ai aucun moyen, ni intellectuel, ni « d’accès scientifiques, ni d’informations suffisantes, pour décider et choisir objectivement et rationnellement « qui je dois « croire ». J’entends bien qu’on puisse croire, que l’on ait une « foi » sur le plan religieux suivant qu’il y aurait ou pas un Dieu: aucune preuve rationnelle ne peut trancher cette question. Dont acte!

        Donc, en « écologie », je pense qu’il y a de « bonnes choses »:
        * « diminuer toute pollution » (imaginez Paris sans pot d’échappement!! avec des chauffages dans le bâti, sans rejet de fumée!)
        * triage des ordures, récupération, recyclage, diminution des prélèvements sur les ressources dites « naturelles »
        * un élevage et une agriculture plus spontanées, avec moins d’additions « d’intrants » (prétendument « naturels » ou réellement synthétiques)
        * diminution de la consommation de papier par la numérisation
        * etc … etc …

        Et d’autres choses moins évidentes … et sans doute plus idéologiques (derrière chaque idéologie se cache une soif de pouvoir sur ses semblables, quelle que soit la voie ou le domaine pour y arriver)!

        Bref toutes choses répondant aux règles du bon sens, d’une certaine économie, de l’énergie, bien sûr, mais aussi de toutes ces taches inutiles et chronophages qui sont loin d’apporter le mieux-être que tout le monde espère, avec le retour à « l’humain », ses apprentissages théoriques et/ou pratiques, ses « plaisirs », le développement de ses « talents » avec moins d’entraves et plus d’initiatives libres (la consommation annuelle d’anxiolytiques, somnifères et autres psychotropes en serait un indicateur précieux). (Et je ne suis pas un « bisounours »! Juste un quidam qui n’a pas vécu qu’en France mais a glané aussi ailleurs, les « façons de faire » qui lui convenaient. Je crois que c’est ce dont on parle quand on dit que « les voyages forment la jeunesse » – et pas qu’elle! -!

        Donc que les chercheurs continuent à chercher, loin de toute influence ou financement « parasite », et quand ils auront du concret, clairement établi et largement confirmé par leurs pairs, toujours loin de financements et d’influences suspects, alors qu’ils parlent, si possible, d’une voix claire sans cacher les zones d’ombres persistantes ou les questions toujours pendantes!

        • Je crois que pour se faire une idée c’est assez simple, il suffit de comparer les prévisions faites par les diverses theories émises il y a dix ou 15 ans, et de comparer tout cela avec la réalité. Beaucoup de climato septiques prévoyaient un maximum des températures en l’an 2000, puis en 2007, puis en 2010 etc… (voir entre autre akosofu)

          • Fred: Beaucoup de climato septiques prévoyaient un maximum des températures

            Source ?

            • la liste est longue mais on peut commencer par
              on peut commencer par http://www.scirp.org/Journal/PaperInformation.aspx?paperID=3217&JournalID=69#abstract qui lui prévoit la fin du rechauffement en 2000
              pousuivre par tim patterson
              puis par joseph d’aléo http://icecap.us/index.php/go/joes-blog/the_great_pacific_climate_shift_ii
              on put encore citer parmi les plus connus Klyashtorin et Lyubushin
              cette liste n’est absoluement pas limitative, si vous en voulez d’autres, cela se trouve très facilement

              ce qui est par contre constaté, c’est que les températures actuellement mesurées sont toujours dans les limites des premiers scénarios du GIEC sortis il y a 25 ans.. Ces scénarios, pour insuffisants qu’ils soient, résistent quand même pas mal aux faits

              • Amusants, certains papiers ne disent pas du tout ce que tu racontes, mais bon… J’explique plus haut ce que j’en pense, merci de confirmer.
                Dois-je te rappeler que les trois-quarts des modèles réchauffiste sont ridiculement au dessus ?

                fred: Ce qui est par contre constaté, c’est que les températures actuellement mesurées sont toujours dans les limites des premiers scénarios du GIEC sortis il y a 25 ans..

                Et en plus, Jésus apparaît sur des toasts, il parait. C’est beau les mensonges la foi !
                Pour sortir vraiment « des limites » de tous les modèles, il aurait presque fallu que le soleil s’écrase sur Terre tellement ça ratisse large.

        • Ne restez pas dans le flou, dans l’a peu près,

          miky stouffs par exemple, grang pourfenseur du nuk et propriétaire de son éolienne au pied de sa ferme 🙂

    • Vous avez raison, tous ces scientifiques qui s’accrochent à leur CDD à 2000 boules obtenu après 10 ans d’études, alors qu’ils pourraient se faire cinq fois plus comme conseiller pour le Heartland Institute ou la GWPF. C’est immoral.

  • « Pourquoi c’est facile de croire… »

    Nous sommes dans des situations de crises à répétitions. Pour sortir du cercle, il faut poser un diagnostic qui permettra d’agir.
    On cite souvent Patton : « mieux vaut un plan tout de suite qu’un bon dans une semaine ».
    L’hypothèse de la crise climatique est un bon choix : Des statistiques, l’onction de scientifiques, une grande menace qui donne légitimité d’intervention…

    Le contexte posé, il est alors possible de croire qu’on peut diriger le futur, etc… même si tout est faux. L’important est d’être rassuré.

  • Bonjour, pouvez-vous préciser ces contres-vérités de façon claire et précise pour que nous puissions en discuter? merci d’avance car je n’ai pas vu à quoi vous faites allusion dans la référence citée!

    • On peut commencer par celle ci
      vous ecrivez « si on se reporte 30 ans en arrière ou le GIEC nous annoncé déjà l’apocalypse pour les années 2010. » a quelle page du premier rapport du GIEC trouvez vous ces annonces ?

  • J’ai juste une question à poser à tous les participants à ce forum. Les glaciers que ce soit dans les alpes ou chez moi dans les Pyrénées que je connais bien depuis 40 ans que je les photographie, ont perdu 50 à 75% de leur surface ou volume. Et on a des vieilles photos les montrant vers 1900_1920 c’est encore plus spectaculaire. Il n’y a pas de réchauffement. Ok . Qu’est ce qui leur arrive ?
    Votre avis ?

    • On va vous répondre qu’il fait plus sec, que d’autres glaciers augmentent ailleurs, que vos photos ne sont pas certifiées, que c’est cyclique, qu’au moyen-âge il faisait plus chaud, que le groenland veut dire pays vert !

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