Agressions à Belleville : tout va bien, ça continue.

La région parisienne est pleine de surprises, de touristes, de dangers et les agressions y sont maintenant monnaie courante. Mais heureusement, ça va mieux.
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Agressions à Belleville : tout va bien, ça continue.

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 4 octobre 2016
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Quand TF1 fait dans l’action musclée, ça ne rigole pas. D’ailleurs, ses séries peuvent mener à tout, y compris à l’hôpital. C’est en tout cas ce qu’ont pu découvrir jeudi dernier cinq techniciens qui travaillaient pour la chaîne privée à la réalisation d’un nouveau morceau de bravoure télévisuelle et qui ont terminé leur journée aux urgences.

Soyons clair tout de suite : en fait, on peut raisonnablement écarter la nature même de la série (ou son sujet délicieusement scabreux qui met en scène pour la première fois une héroïne transgenre), Une Femme d’Exception, comme cause principale des soucis survenus à ces cinq salariés de Cinétévé, la maison de production responsable du tournage en question. En revanche, la localisation géographique est bien plus pertinente : nos cinq malheureux techniciens enregistraient des séquences de cette série lorsqu’ils ont été violemment pris à partie par un groupe de jeunes dans le quartier parisien de Belleville.

Ah, Belleville ! Que voilà un quartier pittoresque qui n’a pas manqué de défrayer la chronique plusieurs fois déjà et pas seulement pour le charme désuet de ses jolis ensembles de barres immobilières dans lesquelles certains peuvent s’adonner aux joies méconnues du commerce alternatif de substances qui font rire !

On se rappellera à bon escient que ce quartier avait en effet déjà fait parler de lui il y a quelques années alors que la communauté asiatique exprimait son ras-le-bol d’une montée épuisante de l’insécurité locale. Un an plus tard, les efforts de la mairie parisienne portaient leurs fruits puisque l’insécurité y était encore pire. Depuis, les années ont passé, et on ne peut que constater l’extension des problèmes d’agressions, de vols, de viols, de rackets et de crimes mafieux en tous genres à commencer par le trafic de drogue, à tel point que les habitants sont régulièrement obligés d’organiser des manifestations, d’ailleurs soigneusement pas relayées par la presse trop gênée de ces petits prurits de non-vivrensemble embarrassants.

C’est donc ce quartier qui, une fois encore, va se charger de nous fournir matière à quelques entrefilets dans la presse, section « faits divers ». En effet, il ne faudrait pas croire que ces petits soucis survenus à une équipe de tournage pourraient relever d’un peu plus qu’un fait divers, la situation en matière d’insécurité dans ce quartier étant largement connue. Néanmoins, on peut regretter que cet entrefilet déplorable ne pourra pas trouver tout l’écho qu’il mérite dans les médias nationaux, tant il y a tous les éléments pour une bonne polémique des familles.

D’une part, on trouve dans cette histoire tous les ingrédients de la violence habituelle dénoncée par ceux qui ont encore une once de lucidité sur ce que le pays subit tous les jours un peu plus, à commencer par la démission complète des services de police et de justice : une bande de jeunes dont les plus vieux dépassaient à peine les 16 ans selon les témoins, une agression à caractère violent, des motivations exclusivement crapuleuses, et, comme par hasard, une tentative de racket.

taubira : il faut que jeunesse se passe

Les faillites impliquées par cette description sont affolantes. Faillite des systèmes sociaux qui permettent à ces bandes d’enfants (avec ces âges, on parle de mineurs qui sont encore au collège) de se constituer sans que les garde-fous moraux des uns et des autres puissent l’éviter. Faillite des familles auxquels ces ramassis de branleurs sont normalement rattachés. Bien sûr, faillite de l’institution policière qui ne permet pas de faire régner la sécurité élémentaire qu’on est en droit d’attendre dans un pays prétendant à l’état de droit. Faillite enfin des politiciens en charge (maires et députés, gouvernement) qui sont depuis plusieurs années au courant des graves dérives constatées dans le quartier et dont l’action a été remarquablement transparente (i.e. incolore, inodore, sans saveur et sans impact), malgré les sommes toujours plus dodues ponctionnées au contribuable.

D’autre part, ce fait divers est parfaitement illustratif des comportements de petits caïds dans des zones que la République semble avoir complètement abandonnées à elles-mêmes, à tel point qu’il est difficile de ne pas rapprocher cette histoire de l’intimidation musclée subie récemment par un journaliste polémique dans le cadre d’un reportage de documentaire et qui a réussi à déclencher plusieurs réactions outrées d’une presse ne sachant plus trop sur quel pied danser, coincée qu’elle est entre une recherche putassière d’audimat et le besoin compulsif et antagoniste des journalistes trop souvent boboïdes de refuser en bloc ce pan de la réalité, trop éloignée de l’idée qu’ils se font du vrai pays.

Car en effet, horreur des horreurs, tout comme à Belleville, le constat est le même : la France n’est pas uniformément douce et câline, et certains quartiers n’obéissent plus du tout aux règles communes. Certains, il n’y a pas si longtemps, ont été fustigés et vilipendés pour avoir soutenu que des cités entières échappaient complètement au contrôle des forces de police. L’arrivée dans le paysage médiatique français d’exemples concrets, précis et documentés ne ravira personne.

Bien sûr, ces faits divers ne déboucheront sur aucune prise de conscience. Et c’est parfaitement logique, bien qu’aussi parfaitement anormal : les émeutes dans les cités, régulières dans ce pays (il suffit de lire la page Wikipédia qui y est consacrée) n’ont pas non plus été capables de faire prendre conscience de l’état de pourrissement avancé de la situation et il est dès lors très improbable que quelques coups sur une équipe technique de tournage d’une série, ou le secouage un peu vif d’un journaliste documentaire y parviennent à eux seuls.

Or, si la France crève, c’est précisément à cause du refus de s’attaquer à deux problèmes : celui d’une absence totale de l’État dans le régalien qui lui échoit normalement (et combattre les émeutes régulières et l’insécurité galopante de ces quartiers fait directement partie de cette mission essentielle), et celui d’une omniprésence de l’État partout ailleurs, surtout où il est le plus nocif. Ces deux faits divers déplorables illustrent de façon exemplaire toute la pleutrerie et la couardise des politiciens qui ont masqué l’absence totale de réponse à cette disparition du régalien par un foisonnement d’actions idiotes dans des domaines qui en sont toujours plus éloignés.

À l’aune de cette analyse, et devant le vide intergalactique de toute proposition concrète pour y remédier de la part de la bousculade de candidats à la prochaine présidentielle, une seule conclusion s’impose.

Ce pays est foutu.

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  • J’ai mal à ma France

  • Merci mr le ministre de l’intérieur, avec vous et les magistrats idéologues engagés nous sommes bien protégés.

  • Ca continue encore et encore …. Et ca s’accentuera ! A Belleville, ailleurs à Paris et en banlieue et partout où il y a des quartiers sensibles, des cités de non-droit et des ZSP. Et tout ça, ça pousse comme des champignons dans notre douce France au rythme d’accroissement de la même communauté ….

  • Très bon article. Effectivement, depuis plusieurs années, peut-être plus probablement, la République dans son ensemble (aussi bien son appareil politique que ses institutions comme la police) semblent délaisser de plus en plus les banlieues. On y ressent un manque consternant de volonté, de moyens, de compétence. Bien que je sois convaincu qu’envoyer la police charger tout ce petit monde et « nettoyer le tout au kärcher » (pour reprendre les propos fallacieux d’un certain individu bien connu du paysage politique français) soit une mauvaise idée, il est en tout cas nécessaire d’augmenter la présence policière dans un premier temps.

    Ceci dit ces problèmes d’insécurité et l’augmentation du nombre de ZSP sont révélateurs de problèmes plus profonds et c’est ces problèmes-là qu’il faudra résoudre si on veut réellement corriger la situation: social, éducation, économique.

    • La présence policière serait largement suffisante s’il y a avait la peur du gendarme. C’est au niveau de la justice qu’il faut des moyens et de la volonté.
      A chaque fois que l’on entend un fait divers on parle de personne connue de la police. Demandez aux policiers, ils arrêtent sans arrêt les petites frappes qui sont mineurs et rien ne se passe au niveau punition.
      Déjà que l’on fasse appliquer la loi pour les mineurs en faisant payer les parents responsables. Que l’on exclue les fauteurs de trouble dans les lycées avec remboursement de la prime de rentrée et suppression des allocations familiales.

      • J’ai été cambriolé il y a quelques années. Des petites frappes opportunistes qui éclusaient les villages depuis des lustres. Pas des roms, des gens bien de chez nous.
        Ils se sont fait choper deux mois après au volant de ma voiture qu’ils avaient empruntée à l’occasion. Une voiture un peu voyante, la seule dans son genre en France. Qu avait fait chaque jour le trajet de leur domicile à la plage, 20 km plus loin…
        Quand le juge a été mis en présence du gugus en question, il,a dit :
        « Ah, M. Trucmuche, content de vous voir à nouveau. Il a été requis contre cousine peine minimal et une amende, votre avocat nous rappelant que vous n’avez jamais été condamné. Mais moi, ça fait plusieurs fois que j’entends parler de vous, alors aujourd’hui je ne vous lache plus : 3 ans ferme ! »
        C’était la peine maximale, il avait été requis 6 mois.
        Il est donc possible d’appliquer la loi. Il faut juste un peu plus de policiers disponibles pour ça (vaste sujet), des juges compétents (il en reste) et des prisons supplémentaires…

  • un pays ou règne l’insécurité et un matraquage fiscal dont on ne voit pas le bout est un pays foutu ; surtout quand il est gouverné par des incompétents , des pleutres en puissance , des grandes gueules qui sont des assistés qui vivent de l’argent des contribuables …ma douce france , qu’ont ils fait de toi …..même les princesses ne sont pas à l’abris , faut le faire quand même …..

  • Ce pays est foutu ou ce régime est foutu ?

  • Une autre faillite n’est pas mentionnée, celle des citoyens qui se laissent brutaliser par des mineurs sans leur refiler la claque dans la tronche et le pied au cul qu’ils méritent amplement, voire plus en cas de résistance ou de protestation, sous les applaudissements de la foule amusée par le spectacle de la vie. Et pour cause : si l’Etat est en faillite vis-à-vis de ses potes qu’il ne touche pas, il demeure sans pitié avec leurs victimes, honnêtes citoyens innocents, qui oseraient se rebeller et aurait le malheur de tomber entre ses griffes. Et pourtant, qui finance l’Obèse sous la contrainte, sinon précisément les victimes des potes ?

    Il convient de rappeler à tous que la légitime défense des honnêtes citoyens est le premier degré de la police dans une civilisation évoluée et qu’elle n’a rien à voir avec la justice, contrairement à ce qu’on a voulu nous faire croire depuis les lois désarmants les citoyens, au propre comme au figuré, pour mieux les assujettir.

    L’Etat socialiste obèse accumule jour après jour, une à une, toutes les caractéristiques d’une vaste mafia, ou pour prendre un exemple historique récent, imite à la perfection les agissements d’un occupant pas si ancien que cela : injustice et anarchie organisées, arbitraire inflexible, pillage systématique des richesses du pays, appauvrissement planifié. A quand la torture et le placement des honnêtes citoyens en camps de rééducation ?

    • Vous oubliez la condamnation à de la prison ferme que vient de recevoir Monsieur Philippe Vardon. L’Etat ne permet pas que l’on se défende. L’Etat est, en fait, notre plus grand ennemi…

      • En tentant un résumé de l’affaire évoquée, on note qu’un socialiste est condamné par d’autres socialistes. Les socialistes qui se bouffent entre eux, c’est en quelque sorte le derby, le ‘classico’ de la politique collectiviste, sans surprise depuis l’affrontement entre Staline et Hitler. Permettez qu’on exprime une certaine indifférence, pour ne pas dire de lassitude…

    • La mère de famille réunionnaise qui a corrigé son garnement délinquant de 16 ans à coups de ceinturon, fait le buz. Ok ce n’était pas trés malin à elle d’en avoir posté une vidéo sur YouTube mais la petite sal… de procureur qui a convoqué la pauvre femme au tribunal ne vaut pas mieux ! Ce pays est totalement foutu !

    • Voir cette semaine la condamnation à18 mois de prison avec sursis d’un commerçant cambriolé cambriolé 53 fois pour avoir tiré sur les cambrioleurs

  • La grande force du message de Maggy n’était pas juste le message moral et moralisateur du « back to basics ».
    C’était aussi le retour de « l’aspirational society ». Les 2 ne pouvaient aller que de pair.
    La France muselle ses forces vives, pas un scoop. Mais y compris sur ce journal, vous refusez de voir en ces jeunes paumés les forces vives qu’ils pourraient être dans une société non cancérisée par le socialisme.
    Ces jeunes tant décriés font pourtant partie de ces forces vives. Que vous le vouliez ou non, leur aspiration la plus réaliste reste le commerce de substances qui font rire, le foot ou un tirage favorable au loto. Créer sa société pour Jean, bon blanc fils de notable, est deja une gageure , que dire pour Ahmed?
    Donnez leur une autre aspiration avant de faire descendre les CRS et d’appliquer la loi républicaine.
    Libéralisez l’économie avant tout! Détaxer le travail! Et je vous parie que les juges auront moins a faire.

    A défaut, vous n’aurez au final qu’arroser le brasier. Et cet article flirte avec l’incendiaire. Bof.

    • @tintincan
      bonsoir,
      « Ces jeunes tant décriés font pourtant partie de ces forces vives. Que vous le vouliez ou non, leur aspiration la plus réaliste reste le commerce de substances qui font rire, le foot ou un tirage favorable au loto. »
      !!!??? Vous ne pouvez pas vraiment être sérieux là ? Des forces vives !? Vous les déresponsabliisez, et je ne suis pas d’accord parce que vous culpabilisez ceux auxquels ils nuisent. J’ai vécu avec certaines de ces jeunes « forces vives ». J’ai moi-même été plus en galère que certains d’entre eux. Et pourtant je suis inconnu des services de police. Non pas que j’ai été bien malin pour ne pas me faire attraper, c’est juste que je n’ai pas fait ce qui aurait pu me valoir un casier. Mon aspiration la plus réaliste restait… le foot et ou un tirage miraculeux au loto. J’avoue avoir été tenté de passer du côté obscur, mais une voix dans ma tête me rappelait que si je cassais un carreau mes parents le rembourseraient, je ne me voyais pas leur faire autant honte, en plus du fait qu’on avait pas les moyens de ce hobby. Voilà la différence entre eux et moi, et le reste du commun des mortels : le respect d’autrui. Ces « forces vives » ont 3 choix :
      – ils restent dans la m…e sans se plaindre ;
      – ils se sortent de cette m…e sans ennuyer autrui ;
      – ils mettent la m…e.
      Je suis pas allé « visiter » les villas des gens « riches » des banlieues pour leur prendre ce qu’ils avaient gagné, ni même cogner un quidam pour lui prendre son portefeuille, ni même cramer des bagnoles pour… je sais pas quel en était le bénéfice en fait, quand on tirait la langue passée la première quinzaine du mois. J’ai trouvé un boulot pendant mon année de première, je bossais 2 à 3 soirs par semaine, et le fric que je gagnais je le filais à ma mère pour acheter à manger, pas pour m’acheter des « Air Max ».
      Je ne peux pas vous laisser dire que cette racaille, (oui ! c’est de la racaille, peu importe l’origine, la couleur de peau, le statut social de ceux qui la composent) est une « force vive » parce qu’elle ne l’est en aucun cas, et que c’est ce qu’elle a choisi. Heureusement, les membres de la racaille sont minoritaires dans la plupart des lieux où elle est installée.

      « Mais y compris sur ce journal, vous refusez de voir en ces jeunes paumés les forces vives qu’ils pourraient être dans une société non cancérisée par le socialisme. »
      Vous rejetez la faute sur la société et sur le socialisme. La société n’est pour rien dans la délinquance. Le socialisme, lui, nie l’individu et la propriété privée, rend plus difficile d’avoir justice rendue pour les victimes, et moins risqué d’être un délinquant.

      « Donnez leur une autre aspiration avant de faire descendre les CRS et d’appliquer la loi républicaine.
      Libéralisez l’économie avant tout! Détaxer le travail! Et je vous parie que les juges auront moins a faire. »
      En attendant, vous donnez carte-blanche aux petites frappes, et vous laissez les futures victimes à leur merci. Avant de libéraliser l’économie, il serait plus judicieux de remettre en lumière civilement et pénalement les droits fondamentaux que sont : la Liberté, la propriété privée, la sûreté et la résistance à l’oppression. Ensuite on peut libéraliser l’économie.

    • tintincan: « vous refusez de voir en ces jeunes paumés les forces vives qu’ils pourraient être dans une société non cancérisée par le socialisme. »

      Ce n’est pas parce que cet article évoque seulement une partie du problème que le reste n’existe pas.

      tintincan:Libéralisez l’économie avant tout! Détaxer le travail! Et je vous parie que les juges auront moins a faire.

      C’est le diagnostique et la position unanime ici.
      Pour ma part je rajoute comme cause 40 ans de victimisation socialiste. EUX ne les voient que comme des victimes avec un passé de victime et un non-avenir de victime-des-autres ce qui les places dans une position sociale intenable, sabote leurs énergies positive et détourne leur juste révolte.

      Ce sont bien les socialauds qui leur ont coupé tout espoir de s’en sortir par le haut à force de répression des libertés et déni de droits.

      tintincan: avant de faire descendre les CRS et d’appliquer la loi républicaine.

      Les premières victimes du non-droit ce sont les gens des cités. C’est leurs voitures, commerces, bibliothèques, écoles, habitations et population qui subissent la casse.
      Laisser tomber le vague régalien qui subsiste ne peut leur faire aucun bien.

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