20 minutes : le racisme introuvable

Le journal 20minutes a été accusé de racisme pour avoir parlé de 4 blancs morts dans un attentat.

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racisme (Crédits : Daniela Hartman alles-schlumpf, licence Creative Commons)

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20 minutes : le racisme introuvable

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Publié le 16 mars 2016
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Par Guillaume Nicoulaud.

racisme (Crédits : Daniela Hartman alles-schlumpf, licence Creative Commons)
racisme (Crédits : Daniela Hartman alles-schlumpf, licence Creative Commons)

« 14 civils, dont 4 de race blanche ». C’est par ces mots qu’Hamed Bakayoko, ministre de l’Intérieur de Côte d’Ivoire, confirmait le bilan macabre de l’attaque terroriste de Grand-Bassan.

On comprend donc que dix des victimes étaient vraisemblablement de race noire, puisque le ministre ne juge pas utile de préciser plus, et que la nationalité des quatre de race blanche n’est pas encore tout à fait établie ; ce que le ministre s’empresse d’ailleurs de confirmer : « nous avons identifié une d’elles de nationalité française et une allemande », il reste donc deux victimes de race blanche dont on ne connait pas à ce moment la nationalité.

Alors bien sûr, on pourrait rétorquer à M. Bakayoko qu’en français moderne, le terme de race ne s’applique qu’aux espèces animales domestiques et donc, que l’usage de ce mot n’est pas approprié. On pourrait mais on ne le fera pas, parce qu’avec deux doigts de jugeote, on imagine bien, d’une part, que le ministre de l’Intérieur ivoirien a un peu autre chose à faire que de se perdre en considérations sémantiques alors que son pays est victime du terrorisme et on comprend bien, d’autre part, qu’il nous donne les informations dont il dispose à ce moment : concrètement, dix victimes ont la peau, à peu près, noire et quatre autres ont la peau, à peu près, blanche.

Pas de microagression

racisme rené le honzecPersonnellement et étant blanc moi-même, je ne me sens en rien micro-agressé par cette référence à des personnes de race blanche ; je n’y vois aucune forme de racisme ni de volonté de dénigrer l’histoire de ma famille et encore moins ma culture. J’y vois un ministre sous pression qui expose des faits. Point barre.

Sauf que voilà, quand 20Minutes.fr reprend cette déclaration ministérielle en omettant, il est vrai, de la mettre entre guillemets, cette même phrase prend étrangement une toute autre dimension. Le canard a peine le temps de publier son papier, son titre « Côte d’Ivoire : l’attaque d’une station balnéaire revendiquée par Aqmi, 14 civils tués dont 4 blancs. » fait immédiatement l’objet d’une campagne d’indignation dont seuls les Guerriers de la Justice Sociale ont le secret. « Quoi ? Comment ? Vous n’avez pas honte ? » s’insurgent en chœur les chasseurs de fascistes et autres suspects habituels.

Pourtant, 20Minutes.fr a essayé de bien faire. Si vous y prêtez attention, vous observerez que le mot race a disparu de la citation (telle qu’elle apparaît dans le titre et dans l’article original) ce qui, incidemment, explique parfaitement bien pourquoi les guillemets ont disparu dans les deux cas.

Alors quoi ? Que reproche-t-on à 20Minutes.fr exactement ? De ne pas avoir remplacé blancs par de type caucasien ? Un ministre ivoirien pourrait donc utiliser la notion de race blanche sans que personne ne s’en offusque tandis qu’un journal français n’aurait pas le droit de parler de blancs ? Accuse-t-on 20Minutes.fr de donner plus d’importance à la mort de quatre blancs qu’à celle de dix non-blancs ? Fait-on le même procès d’intention à M. Bakayoko ?

Non. En réalité, on ne reproche rien à 20Minutes.fr. Ils n’ont fait que leur métier : informer un public français que, lors d’un attentat commis dans un pays d’Afrique dans lequel vivent beaucoup de nos compatriotes, quatre blancs figurent parmi les victimes.

Bref, cette micro-vague de micro-indignation collective confine au ridicule le plus achevé ; elle est, encore une fois, le fait d’un quarteron d’indignés professionnels qui se sont jurés de dénicher des racistes partout ; même s’il n’y en a objectivement pas la moindre trace ; même si, pour se faire, ils diffament publiquement des innocents ; même si, à force de jouer à ce petit jeu, ils crédibilisent le discours de ce même Front National qu’ils prétendent combattre.

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  • En ce qui me concerne, ce genre de propos révèle bien une vision raciale des personnes…et pourquoi pas raciste … car on ne peut pas dire que ce dénombrement basé sur la couleur de peau soit objectif.
    toutefois, le racisme n’est pas un crime c’est une façon de voir le monde qui me semble erronée c’est tout.

    Alors certes la vision raciale du monde existe encore en France, mais qu’est ce que ça peut bien faire????

    Personne n’est victime de racisme, les gens sont victimes d’agressions supposément motivées par leur racisme..

    Je préfère désormais dire « oui oui je suis raciste », car attendre le verdict du procès absurde que se permettent de m’imposer tout militant cherchant à m’exclure d’un débat me fatigue..
    SI il me reste des préjugés racistes après tout je m’en fous.. je n’ai jamais agressé personne pour sa couleur de peau tandis que les antiracistes ont déjà agressé des tas de gens bien pour peu qu’ils aient appartenu à un groupe qui a commis des crimes en les justifiant par des théories raciales.
    Quand taubira, ministre de la justice, a dit que le racisme est un délit, elle a fait de la majeure partie de la population française âgée des délinquants qui pourront être jugés à l’occasion.

    Vivement que le racisme disparaisse on sera débarrassé et du racisme et des antiracistes !

    • et j’ajouterais puisqu’un des arguments , tout à fait valable et determinant, contre le racisme est de demander à un raciste de lui définir sans ambiguïté un » noir « d’un « blanc », donnez moi les critères objectifs qui me permettent de distinguer un raciste d’un non raciste.

    • Taubira ne s’est pas gênée pour dire qu’elle appartenait à la « race créole ». Aucun media ne l’a questionnée pour lui demander ce qu’elle entendait par là. En fait certains ont le droit de parler de race ( les gens de gauche ) et d’autres non ( Morano…).

      • oula chouine victimisation, alerte, alerte !

        D’une manière générale, on sait que l’on peut dire ce que l’on veut pourvu que ca soit gentil bisounours… ca on est d’accord, maintenant, ne faites pas comme si vous ne compreniez pas la différence entre :
        « je suis corse et fier de l’etre »
        et :
        « je suis Francais et les corses ne sont pas Francais, ils n’ont rien en commun avec nous »

        Si vous ne comprenez pas la différence, ca va etre compliquer. Morano, en parlant de la race blanche n’a pas établi un fait pour établir un fait, mais pour retirer le droit a certains de pouvoir se revendiquer de notre pays… quand Tuabira dit qu’elle est de race créole (si elle l’a dit) elle parle juste de son sentiment d’appartenance. Si morano avait juste dit « je suis de race blanche » personne n’aurait trouver rien a y dire, mais la ce n’est pas ce qu’elle a dit, elle a dit que « la France est un pays de race blanche de racine judéo-chretienne » et outre l’erreur complète sur le terme « judéo » qui n’est pas anecdotique, et qui est bien la pour opposer ceux qu’elle ne veut pas, donc les musulmans…

        Après il y a en effet personne pour condamner les termes de la gauche car la gauche controle les associatiosn qui portent plainte, preuve ne est, l’homme le plus raciste est le premier ministre (avec ces notions de races supérieures « les juifs sont l’avant-garde de la France », ces notions de races inférieures « les roms ne peuvent pas s’intégrer »,…) dans le sens réel du mot « racisme » contrairement a de nombreuses paroles qu’on qualifie de raciste, mais qui ne le sont pas… car je le rappel, le racisme est le fait de considérer sa race comme supérieure à une autre, idéologie d’Adolf Hitler… et a part Valls, je n’ai pas entendu grand monde faire preuve de racisme en France depuis bien longtemps.

    • « En ce qui me concerne, ce genre de propos révèle bien une vision raciale des personnes…et pourquoi pas raciste … car on ne peut pas dire que ce dénombrement basé sur la couleur de peau soit objectif. »

      Eh bien non, ici il n’y a aucun rapport avec du racisme. Le principe est simple, l’attaque visait, comme souvent, à effrayer un public occidental, en s’en prenant à des occidentaux. Leur dénombrement prend donc tout son sens. D’autre part, la CIV ayant une population noire, compter les blancs, ça veut simplement dire compter les morts étrangers, ceux appartenant à d’autres pays donc, dont la France, ce qui nous concerne en premier lieu, il est parfaitement normal qu’on nous prévienne qu’il pourrait bien y avoir des ressortissants de chez nous parmi les victimes…. Le drame, c’est que, n’ayant pas encore identifié les nationalités des victimes, il n’y a guère autre chose à constater que leur couleur de peau pour simplement supposer qu’elles sont étrangères. Le « race blanche » sera remplacé par des noms de nationalités quand elles seront identifiés. En attendant, il s’agit bien d’individus blancs sans autre étiquette.
      Et qu’on le veuille ou non, non ce n’est pas la même chose noir ou blanc, puisqu’il s’agit ici du décès de ressortissants étrangers sur le territoire ivoirien. Il est administrativement impossible de les considérer comme les ivoiriens mort en même temps (qui sont du ressort de leur propre administration).

    • « ce genre de propos révèle bien une vision raciale des personnes…et pourquoi pas raciste »

      Tout à fait. On ne peut pas dire « les races n’existent pas » et encourager le métissage. Faut être cohérent.

  • les chasseurs de faciste n’ont sans doute pas grand chose à faire de leur journée , ils faut bien que ces gens là s’occupent ; ils faut bien qu’ils se fassent remarquer via des chipotages qui n’ont d’intéret qu’à leurs yeux ;

  • « Que reproche-t-on à 20Minutes.fr exactement ? (…) Accuse-t-on 20Minutes.fr de donner plus d’importance à la mort de quatre blancs qu’à celle de dix non-blancs ? »

    Ça me parait ultra évident que c’est ça le principal reproche.

    Or penser qu’un tel reproche n’a pas le moindre fondement, c’est croire naïvement qu’il n’existe aucune différence de traitement médiatique entre les attentats commis en Occident (exemple: attaques contre Charlie Hebdo en janvier 2015) et les attentats commis dans le tiers-monde (exemple: innombrables massacres au nigeria commis par Boko Haram en janvier 2015)

    Contrairement à ce qu’affirme l’article, ne pas être dupe face à cette différence de traitement médiatique ne fait pas le jeu des politiciens antilibéraux. C’est au contraire le fait d’y être dupe qui tend à faire le jeu des politiciens antilibéraux.

    Par exemple : Obama perdra du pouvoir si les médias occidentaux s’intéressent aux enfants pakistanais qui meurent à cause de drones américains. Mais Obama gagnera du pouvoir si les médias occidentaux ne font que s’intéresser aux enfants américains qui meurent à cause d’un tueur fou et aux larmes d’Obama que ces évènement tragiques suscitent.

    C’est dans l’intérêt d’Obama que cette différence de traitement médiatique existe. C’est donc dans l’intérêt des libéraux de la dénoncer au lieu de feindre de ne pas la voir par peur d’être ethnomasochiste.

    • Bien sûr, le traitement médiatique des attentats est totalement proportionnel au lieu des attentats et à l’origine des médias en question dont la puissance n’est pas la même partout.

      Le massacre de 100 personnes à Paris hystéries les médias français mais contrairement à ce que vous laissez entendre, ce n’est pas l’origine ethnique des victimes qui prédomine mais le lieu de l’attentat, sa proximité avec les lecteurs/auditeurs/téléspectateurs qui se projettent elles-mêmes en victimes potentielles.
      Qui connait les humains sait qu’ils réagissent d’abord en fonction de ce qui les touche au plus près, et cela quelle que soit leur origine.
      Glisser de la différence de traitement médiatique d’un évènement dramatique à une importance plus ou moins grande donnée aux victimes relève de la mauvaise foi et les libéraux ou non libéraux n’ont rien à voir là dedans.

      • « contrairement à ce que vous laissez entendre, ce n’est pas l’origine ethnique des victimes (…) »

        @libresechanges : On s’est mal compris.

        Mon propos n’était pas : « les médias s’intéressent aux drames qui touchent les occidentaux et s’en fichent des drames qui touchent les tiers-mondistes. »

        Mon propos c’était davantage : « les médias s’intéressent aux drames qui touchent ceux dont les intérêts sont les mieux défendus politiquement. »

        Ce qui signifie par exemple que si un homme blanc riche, et une femme noire pauvre, sont tous les deux victimes de violences policières absolument identiques, les médias s’en ficheront des violences subi par le riche homme blanc dans le cas où les intérêts de celui-ci sont moins bien défendus politiquement que ceux de la femme noire pauvre.

    • Mais il est parfaitement humain et légitime d’être touché davantage par la mort d’êtres qui vous sont proches (ne fût-ce que parce qu’ils partagent la même nationalité).
      Si mon enfant tombe dans l’escalier et a une bosse, je serai davantage touché que par la mort de plusieurs personnes à l’autre bout du monde. Celui pour qui ce n’est pas le cas a vraisemblablement un problème.
      Toutefois, que cette émotion soit un mauvais guide pour l’action politique, et que les journalistes exploitent cette émotion sans vergogne, c’est un fait, mais je ne pense pas que ce titre de 20minutes soit racoleur à cet égard. Je suis largement plus mal à l’aise devant les gros plans obscènes sur les familles des victimes, ou les « émissions spéciales » interminables où la même information (ou le même manque d’information) tourne en boucle pendant des heures…

      • « Mais il est parfaitement humain et légitime d’être touché davantage par la mort d’êtres qui vous sont proches (ne fût-ce que parce qu’ils partagent la même nationalité). »

        Bruno Dandolo : Justement, il se peut que l’on se sente plus proche des gens en fonction de leurs centres d’intérêts qu’en fonction d’une nationalité arbitrairement définie par l’État. Par exemple : entre un communiste ou un frontiste Français, et un libéral qui n’est pas Français, on peut se sentir plus proche du libéral.

  • Bientôt on ne pourra plus dire « homme » ou « femme » parce que ce sera jugé « discriminant » . On nous a expliqué que le concept de genre n’existait pas tout comme le concept de race . Bientôt ce sera le « concept » de tour de taille de de poitrine .
    Je vois bien la fiche de description pour trouver un suspect : on cherche un individu , il est comment ? on ne peut pas le dire !

    • +1, sauf pour « bientôt »…

    • Il est clair que le « politiquement correct », dans le langage (déjà très vieux), est une hypocrisie et, progressivement, un frein à la liberté, mais pas seulement d’expression: je crois savoir qu’on n’a pas le droit légal de faire des études sociologiques suivant les critères: origine géographique, ethnique, religion, aspect visible, vêtements, etc …

      N’étant pas raciste pour un sou, je pense pourtant que les résultats de ces études pourraient devenir des arguments forts pour combattre justement ces discriminations qu’on retrouve, peu ou prou, dans toutes les couches de la société , d’une part.

      Et, d’autre part, si on veut « intégrer » (« assimiler », « mettre au courant » ou simplement « apprendre à mieux se débrouiller ») les étrangers fraîchement arrivés et dépaysés, il faut savoir où les trouver, donc où les chercher. Beaucoup se débrouillent seuls ou, souvent, grâce aux contacts avec voisins, amis ou « alter ego’s » arrivés avant eux. (le travail est sans doute le meilleur moyen d’intégration, quand on n’est pas « exploités »).

      Comme d’habitude, tout ce qu’on « cache » obstinément, se paie de conséquences toxiques difficiles à prévoir.

      • Les statistiques ethniques étant interdites en France, demandez-donc à vos opposants de prouver que ce que vous avancez est faux. Ils donneront uniquement dans l’argument d’autorité pour se justifier.

  • Le racisme est une théorie scientifique obsolète, fruit du besoin au XIXÈME siècle, de tout vouloir ranger dans des petite case. A la même époque, appaissaient les theories sur les zones du cerveau (d’où l’expression bosse des maths), la forme du crâne, le socialisme (classement des individus selon des classes sociales), les espèces vivantes. Depuis, on a constaté qu’il n’y a pas de rupture entre des goupes ainsi definis : Des virus plus gros que des bactéries, les méduses entre l’animal et le végétal, un cerveau beaucoup plastique qu’annoncé, des classes sociales totalement mouvante et des races impossibles a délimiter.

    Le problème, c’est que certains s’appuient sur ces notions mal digérées, pour affirmer que telle catégorie vaut plus que telle autre, les »aryens » soit disant supérieurs ou les prolétaires soit disant plus vertueux et méritants.

    Ce sont ces idees stupides qu’il faut combattre.

    Il y a aussi, souvent, une confusion entre racisme et xénophobie. Le premier est une théorie, le second est un réflexe animal, comme la peur du vide, le dégoût pour certains aliments. Il s’agit de la peur de l’autre de ce qui est inconnu. Ce réflexe peut être vaincu par la culture et la raison. Quand un chien aboie après un étranger, c’est ce réflexe qui est à l’oeuvre. Quand il reconnait la personne, il se calme.

    C’est donc par l’échange qu’on peut vaincre ce sentiment.

    Enfin, ce qui est décriée par les réseaux sociaux est simplement la description factuelle d’un individu : Il est grand/petit, noir/blanc, chevelu/chauve … Cela n’a rien à voir avec le racisme.

    Il n’ait qu’a entendre surnommer Sarkozy de nain par les mêmes, ou pire, entendre une première ministre socialiste parler de « fourmis jaunes » pour designer les japonais !

    • si , noir et blanc ne sont pas des couleurs de peau…plus exactement elles sont héritées d’une vision raciale des gens…
      alors c’est malheureux de les utiliser …je crois, mais ô combien dérisoire dans le cas d’Espèce..
      et je préfère dire que je suis raciste….pour couper court à tout procès en racisme…

    • Et là bam, un commentaire trollesque à propos de « The Bell Curve » :v

  • Le mot « race » c’est l’éléphant dans le salon que l’on ne veut pas voir, en faisant comme s’il n’existait pas. Mais cela ne l’empêche pas d’être là.

  • mieux vaut en rire…

  • Ou comment se rapprocher encore, si possible, des limites de la bêtise humaine !

  • D accord avec l analyse.
    Les anti racistes, sont des « petits blancs » selin les critères populaires africains, ce qui n a rien à voir avec la couleur de peau.

    Les anti racistes sont des ignorants dangereux et dogmatiques.
    Stop aux anti racistes

  • J’y vois pour ma part la manifestation du syndrome socialiste qui veut voir en toute différence un rapport dominant/dominé. De là à vouloir nier les différences, il n’y a qu’un pas.

  • « 14 civils, dont 4 de race blanche »

    Il fallait lire « 14 civils, dont 4 toubabous ». C’est probablement ce qu’à voulu dire le ministre. Mais que pouvait-il dire d’autre ?

    C’est déjà pas si simple pour le ministre sans que des intellectuels européens bien-pensant viennent y mettre leur grain de sel.

    • Attendez!

      Ce ministre a sans doute appris le Français soit sous le régime colonial soit selon le Français pratiqué et hérité de cette époque, sans trop se soucier des subtilités plus récentes.

      Et les colons, dont une partie était franchement raciste, ne se gênaient pas pour vivre de façon clairement discriminatoire, non seulement suivant la « race » mais aussi de façon clairement hiérarchique.

      De plus, quand ils voient maintenant arriver des blancs, c’est soit pour le business, soit une O.N.G. « bonne conscience » compensatoire: rien n’est « gratuit »!

      J’aime bien ce proverbe africain: « Il est difficile de manier du beurre sans se graisser les doigts »: inutile de les prendre pour des naïfs!

      • Il n’a pas appris le français sous un régime colonial mais dans un monde post-colonial qui se cherche entre une culture ancestrale et une culture rapportée. On a du l’envoyer « au village » dès son plus jeune age pour vivre parmi les membres de son ethnie. Le chemin qui mène d’un village de brousse à un ministère est particulièrement difficile …

        En CI, les enfants étaien brassés à leur entrée au collège pour imposer une ouverture entre les ethnies. Il y a 30 ans c’était comme ça : il débarquait au collège parlant à peine le français, coupé de leurs racines, avec peu de moyens pour étudier – et le plus souvent pas d’éclairage électrique chez eux.

        Il y a longtemps qu’ils sont (en théorie) indépendant. Pour eux le blanc est surtout devenu une sorte de bourgeois : il n’a pas les valeurs africaines et il a l’argent. Avec un minimum d’éducation et de moyens financiers, il est facile pour des « blancs » qui se regroupent en communauté de profiter de paysans, guère soutenus par une administration corrompue. Sorte de neo-colonialisme qu’on n’a pas vraiment cherché à résoudre car on était bien content d’en tirer les fruits – mais qu’on paye maintenant en France par une inadaptation au marché libre.

        Pour moi, les africains (au dela du Magreb) sont tiraillés entre leur culture et la culture occidentale plus encore que dans les autres pays. Le racisme s’exprime plus entre les différentes ethnies qu’envers les étrangers, malgré le passé colonial. Le problème économique reste cependant la clé : développer les infrastructures, l’éducation, la richesse.

        Autre vieux proverbe africain (raciste – désolé) : les blancs on peut pas les manger, ils sont comptés … Alors 4 toubabou sur le carreau, ça doit surtout faire désordre, comme quand une Lady se fracasse chez nous dans un tunnel.

  • Il y a des milliers de façon d’appréhender une personne, ses qualités, ses défauts, son aspect, éléments qui s’intriquent pour lui donner cette individualité.
    Le raciste ne définit la personne que par sa race ou sa couleur. A ce jeu, l’évidence est que ceux qui le font systématiquement sont de très loin les anti-racistes.

  • C’était juste pour préciser que sur ces quatorze victimes, quatre n’étaient pas africaines. Où est le problème? Evidemment, il aurait pu dire: il y avait dix bronzés et quatre livides!

    • Ou « 10 Africains et 4 livides », car il n’est pas nécessaire de se caractériser soi-même.

      Le problème est que la différentiation blanc/noir est inverse en Afrique : alors que chez nous il s’agit de décolonisation et d’intégration, il s’agit pour eux de post-colonisation, d’identité et d’ouverture.

    • Ou il aurait pu dire…
      10-4

  • Dieu Merci les Africains ne sont pas gagnés par cette hystérie sur les races. Ils ont gardé leur bon sens pour caractériser les personnes sur des apparences physiques évidentes. Ils sont ( pour combien de temps? ) préservés des absurdités du politiquement correct. Le fait de parler de blancs ne fait pas d’eux des racistes!
    Alors que si nous ( blancs ) on parlait de noirs pour un cas similaire en France on serait catalogué.
    les mêmes qui nous bassinent avec les diversité refusent le fait qu’il y a des différences évidentes aux yeux de toute personne sensée.

    • Vous avez bien raison. Je vis en Afrique, et la plupart des locaux (je n’ose pas dire Noirs!) m’interpellent ainsi ; Eh, le Blanc ! 3 fois par semaines je vais marcher dans les collines où je croise régulièrement les villageois et ont fait un brun de causette. Quand on se voit :
      – Salut le blanc !
      – Salut le Noir !
      – Alors, c’est comment ? etc.
      Et on bavarde de bonne humeur.

      Concernant votre phrase sur la « diversité » qu’il faudrait promouvoir, c’est une vision au contraire tout à fait consciente de la couleur de la peaux (je ne dis pas raciste, car je ne les crois pas racistes, quoique certains lorsqu’ils veulent « plus de diversité » veulent simplement plus de gens comme eux), car diversité n’aurait aucun sens alors.

      Quant au mot « race » soi-disant anti-scientifique, il faut distinguer. Le mot est aussi vieux que l’Antiquité et signifie « même origine », pour distinguer une famille. Quand on l’emploie, on ne se prétend pas scientifique, on utilise le sens courant pour dire même origine au sens large. C’est ce qu’ont fait Morano et le ministre Ivoirien. Pas de quoi fouetter un chat.

      Cela étant, les théories pseudo-scientifiques du XIX étaient bien délirantes. C’est d’ailleurs un Francais Vacher de Lapouge, et aussi le comte Gobineau qui en sont les pères, dans la suite des idées de Darwin. Les penseurs racistes allemand les ont reprises (en oubliant d’ailleurs volontairement que les « Germains purs » pour Vacher étaient les Français au sang bleu, et qu’il expliquait que les actuels Allemands étaient tous ou presque des sang mèlés Celtes-Germains au Sud et à ‘Ouest, Slaves-Germains à l’est, presque que Slave en Prusse d’ailleurs).

      Un dernier mot : le racisme est une chose grave, il importe donc de ne pas accuser légèrement de raciste ceux qui ne le sont pas. L’idée raciste est la supériorité, pas l’existence de différences accessoires. Idem pour « extrême droite » employé à tort pour dénigrer et éviter de discuter des choses. Le tweet de Cambadélis dimanche soir que, dans la même phrase « l’alarme brune » et les deux attentats est tout bonnement immonde. La presse devrait lui sauter au cou dans un monde sain.

  • « le fait d’un quarteron d’indignés professionnels qui se sont jurés de dénicher des racistes partout »

    Et cela est facile : Je ne sais plus le nom de ce Saint Just, qui affirmait qu’il lui suffisait de 2 lignes d’une lettre écrite par un individu pour l’envoyer à l’échafaud !

    NB: Quarteron – en dépit d’une célèbre phrase d’un célèbre général – signifie « un quart de qqchose ». Ne pas confondre avec un quatuor …

  • Je dois être un affreux raciste réactionnaire colonialiste car je n’ai toujours pas compris ce qu’il y avait de choquant dans la phrase et ce que les gendarmes de la pensée y ont vu de scandaleux…
    Que en Afrique dans un attentat, la majorité des victimes soient noires est une lapalissade.
    Vraiment, je ne comprends pas.

    • Ils n’ont rien vu de scandaleux, juste une occasion de se faire du fric gratuitement. Parce que pour écrire une lettre répugnante à un policier martiniquais ou guadeloupéen, les guignols de SOS Racisme ne sont jamais les derniers.

      Quand le gouvernement donne les chiffres du chômage en métropole et dans les Dom-Tom, on n’entend jamais les proxénètes de l’anti-racisme dénoncer cette façon de faire.

  • arrêtez d’accepter le politiquement correct, le racisme c’est pas beau, mais vouloir ostraciser des gens car ils ont un reste de préjugés racistes est pire…
    Pourquoi avoir à affirmer » je ne suis pas raciste »??? croire stupidement que les individus sont si facilement discernable est il un crime?

    ça je ne le supporte plus…les gens qui font du mal à des gens qui n’ont jamais fait de mal à une mouche car ils veulent affirmer leur appartenance au camp du bien plutôt que de s’efforcer de ne pas faire de mal aux autres m’insupportent.

    raciste ce titre ou plus exactement un tel titre laisse t il à penser que celui qui l’écrit voit le monde selon de façon raciale….oui un peu et alors???

    j’ai fait le test,j ‘ai écrit « je suis raciste » dans des commentaires à divers articles au début de longues explications montrant que je suis intiment convaincu que les préjugés raciaux sont absurdes …censuré…
    e trouve ça si vain que je suis désolé si je vois un antiraciste, je lui dit je suis raciste… mais si dire e suis raciste prouve que je le suis…alors le monde est tellement simple…

  • Je suis résident au Sénégal depuis quelques années et, c’est logique, y vis au milieu de Sénégalais avec lesquels j’entretiens des relations cordiales voire amicales. Contaminé pas la sémantique qui a été imposée par les « antiracistes dogmatiques » en France, j’éprouve encore quelques difficultés à appeler un noir un noir. Pourtant lors des nombreuses discussions ou même bavardages (la palabre est une tradition africaine), cela ne pose aucun problème à mes interlocuteurs Sénégalais. En toute logique pour eux, un homme à peau noire est un noir et un « caucasien »(comme disent les bien pensants) est un blanc ou un toubab (tout blanc en wolof).
    Même le mot nègre n’est pas tabou ici, c’est tout dire de la crétinerie des miliciens de l’antiracisme. Il est évident que ces mots dans l’acception qu’ils avaient du 17ème siècle au début du 20ème étaient employés dans un esprit raciste, lequel était entretenu par l’obscurantisme de la science et de la religion, les blancs étaient certains de l’infériorité de ceux qui n’avaient pas leur apparence, et exploitaient économiquement ce concept qui facilitait les choses. Cela, à leurs yeux, justifia l’esclavage, une des pires horreurs que l’humanité ait connue. Bien qu’encore pratiquée dans certains pays musulmans et pas seulement vis à vis des noirs, cette abomination est en voie de disparition. Le passé est écrit et nous ne pourrons pas le modifier, ni réparer les erreurs commises en pratiquant une autoflagellation stérile, à commencer par celle que l’on veut nous imposer par le vocabulaire.

    • raciste est différent d’esclavagiste,de colonialiste , meurtrier de masse…

      noir et blanc sont des termes marqués par le racisme c’est certain, mais en soi c’est anodin, ce qui est marrant selon moi c’est la trouille de se voir qualifier de raciste… vous donnez un pouvoir excessif aux inquisiteurs antiracistes.

      arrêtez donc d’affirmer votre non racisme c’est absurde…

      il n’y a que taubira qui assimile le racisme à un délit..

      je suis sans doute un un peu raciste quelque part, sexiste, radin, con, borné , chauvin etc…

      les antiracistes sont très souvent racistes mais d’un racisme victimaire… avec en gros le racisme du noir esclave est moins « grave » que le racisme du blanc esclavagiste…
      non…le racisme c’est le racisme…
      A titre d’exemple dire que les policiers blancs aux usa sont racistes est soit le signe que d’une anomalie statistique, soit le fait qu’on puisse taxer de racisme qui on veut, soit que les gens qui tiennent ses propos sont racistes… et ça détourne de la solution qui est qu’un policier est tenu de faire respecter la loi qu’il soit raciste ou non.

      • « …arrêtez donc d’affirmer votre non racisme c’est absurde… »

        Oui c’est assez drôle cette négation pour se définir.

        J’ai personnellement des amis racistes… mais ils ne se réduisent pas à cela. Mais c’est leur droit.

        • « J’ai personnellement des amis racistes… »

          @sam player : Quelle surprise ! 🙂

          • Un préjugé degôche. Quelle surprise !

            • @theo31 : Je n’ai émis aucun jugement. J’ai juste dit que j’étais surpris. 🙂 C’est pas interdit à ce que je sache ?

              Il semble qu’en réalité c’est vous qui avez des préjugés, puisque c’est vous qui assimilez le fait d’être surpris avec le fait d’émettre un jugement de gauche. 🙂

          • Oui Commando, c’est des sujets qu’on aborde au cours de conversation sans que ça en soit le sujet principal.
            Certains à des degrés différents. Y en a même qui votent front national. Si vous vivez qu’entre vous vous donnez dans la consanguinité, en vase clos, et êtes incapable de comprendre le monde qui vous entoure… ou du moins vous le croyez mais vous n’y êtes pas.

            D’ailleurs parmi mes amis le plus raciste est un tunisien (Habib si tu nous lis) et aussi un Sénégalais au prénom imprononçable, on l’appelle John. Bon y a ma fille aussi mais elle en a marre de se faire reluquer le cul quand ça n’est pas carrément se le faire toucher. Y a vraiment un problème avec la frustration sexuelle des africains du Nord.

            • @sam player : Votre fille est victime de sexisme. Sur contrepoints force est de constater que c’est moi, le méchant progressiste, le méchant bobo, qui suis le plus intransigeant face au sexisme. Pour preuve : un message posté l’année dernière, dans lequel je suis l’un des rares à fermement s’opposer au harcèlement sexiste que subissent beaucoup de femmes dans la rue :

              https://www.contrepoints.org/2016/02/08/214815-100-des-femmes-harcelees-dans-les-transports#comment-1147028

              Outre le problème d’une mentalité sexiste, selon moi l’autre cause du harcèlement de rue c’est le chômage. La plupart des harceleurs ont décroché scolairement, sont peu qualifiés, n’ont aucun diplôme, ne travaillent pas, sont chômeurs.

              Pour lutter contre le harcèlement de rue, la solution la plus efficace n’est pas le racisme ou la xénophobie, mais des mesures libérales réduisant le chômage.

              • Et voilà, vous savez mieux que les personnes concernées.
                Il faut appeler les choses par leur nom et ce n’est pas du sexisme ni du harcèlement de rue, termes beaucoup trop généraux, mais le comportement d’une partie de la population nettement identifiée et ne se réduisant pas uniquement au simple mot « homme » mais au sous-groupe »homme de culture arabo-musulmane nord africaine ». Quand on veut régler un problème il faut déjà lui mettre un nom correct dessus.

                J’adore comme vous avez éludé le lien évident avec la frustration sexuelle qu’engendre cette culture et qui fait que ces hommes se défoulent sexuellement hors de leur environnement social et culturel proche (sur les autres quoi!).

                Pas de problèmes avec des personnes d’autres origines : ni les européens, ni les africains, ni les asiatiques, ni les hispaniques, ni même les musulmans d’autre origine.

                J’ai vécu en Australie quelque temps à Melbourne, une ville qui est un brassage de 150 nationalités différentes. Pas de racisme bien évidemment vu le mélange, pas même de frictions culturelles, juste du nationalisme de la part des primo-arrivants qui voient les autres comme des pilleurs, sentiment compréhensible (par moi) vu qu’en général les immigrés sont mieux payés car mieux diplômés.
                La relation hommes-femmes est très différente de ce que l’on connaît en france : les femmes draguent autant que les hommes. Mais même en fin de semaine quand les filles et femmes peuvent être lourdement alcoolisées (c’est culturel) et habillées très court, même en hiver, elles ne se font pas harcelées et il n’y a aucun geste déplacé ni même frottement dans les transports… sauf que les deux seules fois où j’en ai été témoin c’était de la part de 3 jeunes marocains parlant français qui reproduisaient exactement le même comportement qu’en france (il y a très peu d’africains du nord en Australie).

                PS : comme je me doute que vous allez me sortir que n’étant pas une femme je ne peux pas m’exprimer à ce sujet, sachez que ma fille (majeure) était avec moi et qu’elle n’a jamais été importunée.

                • « Quand on veut régler un problème il faut déjà lui mettre un nom correct dessus. »

                  @sam player : Sauf que le problème c’est pas : « les hommes de culture arabo-musulmane nord africaine. »

                  Le problème c’est : « les harceleurs , qu’ils soient ou non de culture arabo-musulmane nord africaine. »

                  Si un Marocain harcèle une femme dans la rue, je suis entièrement d’accord avec vous pour dire que c’est complètement stupide de prétendre que ce harceleur est un Norvégien blond aux yeux bleus.

                  CEPENDANT, la chose qu’il ne faut pas oublier, c’est que c’est tout aussi stupide de croire qu’il est impossible qu’un Norvégien sans diplôme, sans travail, éprouve de la frustration sexuelle et harcèle une femme dans la rue.

                  C’est également stupide de faire l’erreur de penser que la culture norvégienne n’a pas besoin d’être remise en question du fait qu’elle est beaucoup moins sexiste que, par exemple, la culture saoudienne.

                  • Je vois, pour Commando il ne faut pas stigmatiser, vaut mieux rester dans le flou.

                    • @sam player : Faux. J’ai dit qu’il fallait appeler un chat un chat : si un Marocain harcèle une femme il n’y a rien de mal à dire que c’est un Marocain.

                      Le problème c’est que les conservateurs occidentaux, contrairement aux progressistes, affirment la chose suivante : »la culture du Marocain est plus sexiste que ma culture, DONC ma culture n’a pas besoin d’être remise en question. »

                      Ce « DONC » est un sophisme, plus précisément un « non sequitur ».

                    • Non Commando vous n’avez jamais dit qu’il fallait pas appeler un chat un chat, mais uniquement que ce n’était pas un canidé.

                      Bon Monsieur est progressiste, ça veut tout dire et les autres c’est des méchants conservateurs.

                      Avec vous la recherche des terroristes ou de suspects, le contrôle aux frontières serait assez cocasse… Pour ne pas stigmatiser on contrôlerait tout le monde. En cas de viol d’une femme je vous verrais bien déclencher une recherche ADN sur toutes les personnes d’un village… quel que soit leur sexe… pour ne pas stigmatiser.

                      Il semble bien qu’en ayant interdit les statistiques ethniques (etc…) certains arrivent à croire qu’il n’y a pas de différences de comportement. Bah oui on croit qu’en faisant disparaître les notes à l’EN les élèves seront tous meilleurs, c’est pareil en fait, même raisonnement. Faudrait interdire la connerie…

                      Quand on m’a piqué mon vélo devant chez moi, je suis allé direct au camp de roms qui s’était installé peu avant sur un terrain communal… gagné… mais je suis juste un vilain raciste…

                • Se faire mettre une main aux fesses une fois, ce n’est pas du harcèlement, c’est juste une main aux fesses.

              • « l’autre cause du harcèlement de rue c’est le chômage »

                N’importe quoi. Beaucoup de hooligans ont un boulot, une famille et sont bien intégrés. La Creuse est le département le plus « pauvre » de France, il n’y a jamais d’émeutes mais surtout ses habitants ne se considèrent pas comme des victimes

                En Egypte, le harcèlement des femmes est devenu une plaie.

  • Pourchassons la bête immonde du racisme partout !

    L’autre jour, un vendeuse a eu l’outrecuidance de me recommander un pull « qui allait si bien avec mes yeux bleus » !

    J’ai fait de l’esclandre, et réclamé son renvoi immédiat!!! 🙂

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