Réchauffement climatique : réponse libérale ou volontarisme dirigiste ? (1/5)

Quelle est la meilleure réponse à apporter aux défis du réchauffement climatique ? Dossier de fond en cinq parties pour y répondre.

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Réchauffement climatique (Crédits : The meanMRmustard, licence CC-NY-NC-SA 2.0), via Flickr.

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Réchauffement climatique : réponse libérale ou volontarisme dirigiste ? (1/5)

Publié le 25 janvier 2016
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Par Vincent Bénard.

Réchauffement climatique (Crédits : The meanMRmustard, licence CC-NY-NC-SA 2.0), via Flickr.
Réchauffement climatique (Crédits : The meanMRmustard, licence CC-NY-NC-SA 2.0), via Flickr.

Cette analyse a pour but de trancher la question suivante : un décideur politique doit-il dépenser dès aujourd’hui des milliards pour tenter très hypothétiquement de changer ce que sera le climat dans 80 à 100 ans, ou doit-il se préoccuper de ses problèmes immédiats, et parier sur les progrès technologiques et  les capacités d’adaptation des humains d’aujourd’hui et de demain pour régler les éventuelles conséquences d’un changement climatique ? Autrement dit, face au changement climatique, faut-il privilégier une approche dirigiste ou libérale ?

Avertissement : bien que l’auteur soit ouvertement climato-sceptique, les éléments qui suivent seront développés comme si l’on pouvait faire confiance aux conclusions et aux marges d’incertitudes figurant dans les sous-rapports 1, 2 et 3 du rapport complet du GIEC de 2013.

———-

 

Première partie : hausse des températures à l’échelon 2100, les rapports du GIEC moins pessimistes que les synthèses médiatiques

Malgré les incertitudes encore nombreuses sur l’influence réelle du CO2 sur le climat, dans le monde occidental, de nombreux politiciens ont choisi de faire comme si ces incertitudes n’existaient pas, et ont décidé d’adopter en totalité le point de vue exprimé par les dirigeants du GIEC (organe émanation de l’ONU en charge de la promotion de la lutte contre les émissions de CO2), à savoir la nécessité d’agir maintenant à coups de centaines de milliards, pour décarboner notre économie, c’est-à-dire réduire considérablement et dans un délai court nos consommations de combustibles fossiles.

Nous allons voir qu’il existe de nombreuses raisons de penser que même si vous validez les postulats du GIEC concernant la relation entre CO2 et température, et même si vous pensez les rapports scientifiques du GIEC plus exacts que les points de vue concurrents, pour les gouvernements français et européens, la meilleure conduite à tenir serait surtout de ne rien faire, c’est-à-dire ne pas dépenser d’argent public pour réduire nos consommations d’hydrocarbures au-delà des gains d’efficacité énergétique normaux que toute économie libre engendre par simple progrès technologique.

Autrement dit, un décideur politique européen qui choisirait d’analyser le problème la tête froide, et prendrait le temps de se faire lire et décrypter les rapports du GIEC et pas uniquement les résumés ultra-alarmistes destinés aux médias, arriverait à la conclusion qu’agir contre le CO2 aujourd’hui est inutile.

Élévation des températures : le GIEC reconnaît des incertitudes significatives, et des fourchettes d’évolution probables modérées.

Au lieu de prendre pour argent comptant les communiqués alarmistes du GIEC, un décideur politique en charge de budgets se chiffrant en milliers de milliards devrait au moins s’assurer que ces communiqués sont conformes avec l’esprit des trois sous-rapports scientifiques (WG – Working Groups – 1,2,et 3) qui en fournissent la matière. S’il ne peut lui même comprendre ces pavés scientifiques arides, il peut demander une lecture objective à ses conseillers. Que découvrirait-il ?

Surprise : il existe des divergences subtiles mais tout à fait substantielles entre les sous-rapports WG1 et WG2, et la synthèse pour décideurs qui fait les délices des médias en mal de sensationnalisme climatique. Lors de la COP21, les médias ont claironné que la hausse de température en cas de doublement du CO2 à la fin du siècle (ce qui correspond peu ou prou au scénario on continue comme avant et aucun progrès technologique majeur ne change la donne) serait comprise entre 1 et 4,5°C. Or, c’est faux, le rapport WG1 du GIEC ne dit pas cela, même si le jargon employé est de nature à entretenir la confusion.

Le GIEC distingue deux températures cible pour un doublement du CO2 entre 2080 et 2100 : la TCR (traduisible par réponse transitoire du climat) et l’ECS (Hausse de température stabilisée à l’équilibre). La TCR est la hausse de température au moment ou le doublement du CO2 est constaté. Mais l’ECS est une température obtenue plusieurs centaines d’années, voire mille ans après (on ne sait pas très bien quand, d’ailleurs), une fois que tous les mécanismes d’adaptation très lents (océaniques notamment) de la terre se sont stabilisés.

Et si le rapport du GIEC évoque bien une fourchette de 1-4,5°C, il le fait pour l’ECS, qui correspond à une évolution à plusieurs centaines d’années… Mais la TCR, elle, à l’échéance de la fin du siècle, n’est comprise que entre 1 et 2,5°C. Toutes ces fourchettes sont évoquées avec un intervalle de confiance de 95 %, façon de dire que la probabilité pour que cette TCR soit supérieure à 2,5°C n’est que de 2,5 %.

Le politicien doit-il, tout d’abord, agir en fonction de la hausse possible de la TCR ou de l’ECS ?

Compte tenu de la vitesse des progrès technologiques envisageables sur un siècle (pensez à tout ce qui n’existait pas et n’était même pas concevable en 1915…), il va de soi que l’horizon de la TCR, évalué vers 2080 à 2100 selon plusieurs scénarii du GIEC, est le seul à pouvoir être pris en considération d’un point de vue politique. Ne serait-ce que parce que l’ECS est purement théorique, puisque le cycle du CO2 ne s’arrêtera pas une fois le doublement de son taux atteint. Mais aussi parce que personne ne peut dire quelle sera la technologie disponible en 2100 et son intensivité en dégagement de CO2.

Prétendre agir aujourd’hui sur le monde tel qu’il pourrait être en l’an 2500 en plantant des éoliennes dont la durée de vie est de l’ordre de 20 ans est donc une absurdité qui fera beaucoup rire les philosophes des siècles futurs. La question peut d’ailleurs se poser à horizon bien plus proche, mais n’anticipons pas.

Toutefois, même en s’en tenant aux variations possibles de la TCR, le politicien est bien ennuyé à ce stade. Car 1°C ou 2,5°C, ce n’est pas la même chose.

Dans le premier cas, son instinct lui dira que ce serait un non-événement : une variation moyenne de température de 1°C en 70 à 100 ans serait exactement du même ordre que celle vécue depuis 1880 par la planète, et rien ne permet de dire que l’humanité ne s’y est pas adaptée, à en juger par l’évolution de notre espérance de vie, de nos conditions matérielles d’existence, et ce malgré une explosion démographique sans précédent. En revanche, même si ces satanés sceptiques affirment que les conséquences négatives sont exagérées par le GIEC, une hausse de température plus élevée peut faire peur. Après tout, même si 2,5 °C en huit décennies ne représentent que 0,3°C tous les 10 ans, serons- nous (et nos descendants) capables de nous y adapter, vu que ce n’est pas un rythme d’évolution habituel ? Même le plus acharné des climatosceptiques peut admettre que le politicien humble se pose la question.

Fort heureusement, la lecture attentive des travaux du GIEC permet d’obtenir des réponses intéressantes.

Deuxième partie: Les dépenses publiques climatiques : exorbitantes, contre-productives, et à faible impact

Toute la série 

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  • oui…et les médias doutent autant du giec que les climato-sceptiques en somme…

    on a affaire à une idéologie…la rationalité le les touchent pas.

  • « Même le plus acharné des climato-sceptiques peut admettre que le politicien humble se pose la question »

    L’éventualité des catastrophes centennales répond déjà partiellement à la question. Le problème est que nos politiciens confondent prévention et adaptation.

    • Qu’entendez-vous par « l’éventualité des catastrophes centennales » ?

      Une catastrophe centennale est par définition une catastrophe que se produit en moyenne une fois par siècle. Pour ne pas avoir à attendre de nombreux siècles pour calculer une moyenne fiable, on prend généralement plutôt une catastrophe dont la probabilité d’occurrence annuelle est inférieure ou égale à 1%. Cela n’empêche qu’il faut des calculs sérieux pour estimer quels sont les niveaux à ces échelles de rareté, et que les intervalles d’incertitude sont généralement très étendus. Elargir ces intervalles d’incertitude ne change pas en elle-même la valeur centennale, mais conduit souvent à des décisions politiciennes irrationnelles.

  • Le plus aberrant est qu’une augmentation de température ( que ce soit 1 ou 2 degrés) serait globalement bénéfique pour la France ( meilleur rendement agricole, réduction des dépenses de chauffage etc…. ) , alors que le consensus politique est de présenter cette hypothèse comme une catastrophe. L’homme a la capacité à s’adapter et c’est pourquoi il a réussi à coloniser toute la planète et qu’il sait vivre avec des variations de température parfois énormes ( dans le temps et dans l’espace).

    • Le plus aberrant c’est que vous croyez la France seule dans le monde? Tout est rétroactif dans ce monde globalisé. Si le réchauffement s’établit à 2° en 2100, pour donner une échelle, aller parier vos économies que la situation nationale sera meilleure en France. Tel un oracle vous sortez des prédictions un poil démago..
      « L’homme a la capacité à s’adapter  » quelques millions de nomade oui, quelques milliards de citadins surement pas.
      « il sait vivre avec des variations de température parfois énormes ( dans le temps et dans l’espace). » Vous pouvez préciser?

      • Voyagez un peu …

        Les variations climatiques affectent … le climat. Peut-être qu’en 2100 la France aura un climat subtropical moins favorable (ou pas) et la Sibérie un climat tempéré. A l’échelle de l’humanité cela a peu d’importance si vous y réfléchissez 2 secondes.

        L’argument des catastrophistes devient alors le déluge : les régions côtières vont être englouties. Et bien vous avez un siècle pour déménager et vous installer à la montagne où vous aurez les pieds au sec et où il fait plus frais. Et ça ne change toujours rien pour l’humanité.

        L’argument devient alors les catastrophes naturels … Savez vous que la première à avoir associé le réchauffement climatique aux tsunamis est NKM, l’une des rares politiciennes à sortir de Polytechniques. Si après ça vous défendez encore l’honnêteté des catastrophistes, alors allez trollez ailleurs.

        • Que viennent faire NKM, les tsunamis et les déluges? Vous me faites un procès d’intention de catastrophisme, tel un enfumage.. voyez-vous même, vous trollez.
          Et je réfléchis 2 secondes à ce que vous avez dit, et la réponse est non, un tel changement aurait des conséquences sur nos sociétés. On emporte pas le patrimoine immobilier et infrastructurel accumulés depuis des siècles sur son dos.

          • « un tel changement aurait des conséquences sur nos sociétés. »

            Comme la plupart des choses, en gros, que ce soient l’imprimerie, le feu, l’innovation, l’organisation, les maladies…

            • Ne jouez pas sur les mots… vous valez mieux que ça

              • Je ne vois pas en quoi je joue sur les mots.
                Personne ne dit ici qu’un changement climatique sera sans conséquences.
                Il en aura, comme la plupart des changements. On ne peut prédire à l’avance s’ils seront bons ou mauvais.

              • C’est toujours le même problème : pourquoi voulez vous organiser la société du siècle prochain ou la figer tel qu’elle est aujourd’hui. Imaginez un peu qu’on ait figé la société en 1916 !

                Quant au patrimoine immobilier, les écolos se chargent de le raser pour construire des bâtiments BBC à la place …

      • @djama
        L’homme vit déjà bien avec des grosses variations de température ( – 20 degrés actuellement à Val thorens ou à Moscou) et + 35 degrés l’été . Le concept de moyenne n’est donc pas pertinent et parler de + 1 degré ( au niveau du sol dans 100 ans est tout simplement stupide d’un point de vue statistique). Par contre investir ces milliers de milliards $ dans le médical ou autre chose aurait un impact majeur sur la vie des gens. Lors des dernières glaciations il y avait 1km de glace sur la scandinavie mais au moyen âge le groenland était tout vert. De toute façon l’homme est totalement incapable de faire varier le climat , que ce soit à la hausse ou à la baisse , pour un bon moment encore. Les politiques sont machiavéliques car le réchauffement catastrophique annoncé ne se produira probalement pas et ils diront que ce sera grâce à eux et à leurs actions ( si il se produisait ils diraient qu’ils l’avaient prévu mais que les méchants chinois n’ont pas joué le jeu).

        • Premièrement, vous parlez de vos sens. Encore une fois, personne n’a dit que l’on ne pouvait supporter une différence au point de vue physique. Il va falloir répéter combien de fois qu’une variation sur la moyenne mondiale n’a rien de comparable avec ce que vous dites. Pour le reste, j’ai pas grand chose à ajouter sur les généralités sorties du chapeau que vous dites ( à part que le groenland tout vert est un mythe).

  • Tout est dans le titre : « volontarisme dirigiste ».

    Regardez leur dernière niaiserie avec la création d’un « os souverain ». Aucune compréhension du problème, aucune limite à l’arrogance, aucune prise en compte des ressources nécessaires au projet et de l’aspect temporel (délai de mise en place par rapport à l’évolution du problème).

    Cela n’étonnera évidemment personne ici : les politiques répondent à des pressions clientélistes ou cherchent à marquer leur passage par le lancement de projets sans aucune intention de les mener à terme.

  • il me semble que les hausses envisagées par le GIEC sont calculées par rapport aux niveaux préindustriels donc il faudrait diminuer de 0,7 à 1°C les 1 à 2,5°C donnés pour la TCR …..

    • C’est ce que j’ai compris également. 2,5° par rapport à l’époque préindustrielle, cela fait environ 1° par siècle. Donc aucune accélération significative de l’augmentation de température depuis le 19e siècle, compte tenu des incertitudes de mesures.

      • Le réchauffement actuel atteint 0.8°/0.9° par rapport à 1850, or chacun sait que l’essentiel de cette hausse s’est déroulée ces 40 dernières années. 1.7° de plus en 85 ans est tout sauf une non accélération significative.

        • D’abord, chacun ne sait pas ça, mais faisons comme l’article et supposons que les thèses farfelues soient vraies. Alors comme l’élévation au rythme que vous avancez de 2° par siècle n’a pas soulevé de problème sur les 40 dernières années, pourquoi voudriez-vous que ça en pose dans les 85 prochaines ? De plus, sur les 40 dernières années, c’était plutôt inattendu puisque avant on envisageait un refroidissement. Vous êtes pour la préservation du verglas et du blizzard ?

          • Vous multipliez le réchauffement par 3.. ni vous ni moi ne pouvont déclarer que ça ne posera pas de problèmes. Et le coup du refroidissement.. n’a rien a faire dans ce débat. On envisageait aussi la fin du monde pour l’an 2000.

            • « ni vous ni moi ne pouvont déclarer que ça ne posera pas de problèmes. »

              Et ni vous, ni moi, ne pouvos déclarer que ça en posera.

              Vos argumentations sont tendancieuses…

              «Et le coup du refroidissement.. n’a rien a faire dans ce débat. »

              Vraiment ?
              http://www.nature.com/nature/journal/v529/n7585/full/nature16494.html

            • Pour vous, à vous lire, je pense qu’effectivement vous ne pouvez rien déclarer. Pour moi, je ne vois pas en quoi mes compétences internationalement reconnues en statistiques, climatologie, processus stochastiques, théorie des extrêmes, etc. ne me le permettraient pas, et je demande bien au nom de quoi vous prétendez leur préférer des dogmes quasi-religieux.

              • Arrêter avec les dogmes religieux. Ne jouez pas les vierges effarouchées. On baigne dans un océan de dogme politique et économique…
                Et amusez vous à prendre au mot à mot cette expression, chose prévisible, cela n’en reste pas moins puissant. Et vos compétences internationales, j’hésite entre manque de modestie, vantardise voir mythomanie. Vous tentez de jouer au plus gros qui en sait plus. Moi je sais juste mettre en déroute vos affirmations par quelques faits logiques.

                • Et l’écologisme, avec ses prédictions apocalyptiques, sa lutte contre le péché humain et sa voie vers la repentance n’a absolument rien de religieux…

                • Vous n’avez jamais mis en déroute personne, mon pauvre ami, ni aucun argument.
                  Tout ce que vous avez fait depuis que vous sévissez par ici sous ce pseudo ou d’autres c’est vous couvrir de ridicule par des déclaration péremptoires, fausses ou indémontrables. Bref par de l’anti-science sur des sujets plus ou moins scientifiques.

                  Quant à la modestie ou autre, si on est effectivement un expert internationalement reconnu dans un domaine, quel est le problème ? Ça vous étonne qu’il puisse y avoir sur internet autre chose que des lycéens en première littéraire comme vous ?

                  • Lycéen en 1ere L allons bon… écoutez il vaut mieux se couvrir de honte (avec votre référentiel) que de gloire ici.
                    Relisez vous même votre commentaire, il est d’une arrogance sans pareille.

                    • Réaliste et arrogant ce n’est pas pareil.
                      Si vous êtes plus vieux et plus « scientifique » que lycéen en première L, il est temps que vous vous remettiez en cause, parce que ça ne transparait pas dans vos postes.

                • Et vos compétences internationales, j’hésite entre manque de modestie, vantardise voir mythomanie.

                  Ah, vous êtes bien le seul qui soit compétent sur ce site…

            • Bah, il y a plus de 2°c d’écart en moyenne entre Paris et Melun. Que je sache les habitants de Paris arrivent à vivre correctement. Et de façon assez similaire à ceux de Melun, d’ailleurs. Alors que le temps pour passer de l’un à l’autre atteint péniblement la demi-heure.

              De même qu’il y a en moyenne plus de 15° d’écart entre l’été et l’hiver, avec 6 mois de transition, au maximum, et très étrangement on s’y adapte assez bien.

              Faut vraiment être soit extrêmement pessimiste, soit extraordinairement anti-humain, soit totalement doctrinaire (ou idiot, ou les deux) pour craindre une variation de température moyenne même de 5°c sur une centaine d’années.

              • Vous êtes l’éclatante démonstration que vous n’avez rien compris au sujet. Vous faites exprès?
                Je ne vais pas répéter ce que j’ai dis en bas.

                • Vos commentaires ici et plus bas montrent au contraire que comme nombre « d’experts » vous n’avez pas compris le problème. Ils ont le nez dans le guidon et ne voient pas le champs large. Vous… euh… vous n’avez rien compris du tout, je crains.

        • « or chacun sait que l’essentiel de cette hausse s’est déroulée ces 40 dernières années. »
          C’est faux.
          Chacun sait qu’il n’y a eu aucun réchauffement les 20 dernières années, et que toute la hausse a été observé entre un point relativement bas, au milieu des années 70, et la fin du XXème siècle.
          Aucun des enfants du monde à qui on bourre le mou à l’école avec le réchauffement n’en a connu…

          • C’est vous qui le dites! Et la nouvelle décennie semble confirmer la tendance.

            • En effet, à part une variabilité forte autour d’un gros El Nino en 2015/2016, comme en 1998 d’ailleurs, la tendance est bien à la stabilité avec même une légère baisse (pour les mesures satellitaires et les mesures de température océanique fiables -bouées).

              Vous n’avez effectivement sans doute jamais connu de réchauffement de votre vie puisqu’à vous lire vous êtes probablement né après le El Nino de 1998 ou en tout cas dans le voisinage immédiat de ce phénomène.

  • Moi je ne sais pas et au moins l’on peut en rire et verser quelques larmes sur =>
    http://www.pensee-unique.fr/index.html
    Et surtout débranchons les politiciens ………………

  • Discourir sur la base que les assertions du GIEC et de ses épigones seraient correctes, c’est ouvrir une discussion qui n’a pas lieu d’être.
    Si, comme on peut s’en convaincre sans trop de difficultés, l’impact des activités humaines sur le climat n’est pas significative, toute « lutte » devient futile.

    Alors la question que l’auteur pourrait se poser est: devant une absence de besoin quelle politique s’avèrera utile?

    Un député du Bundestag allemand avait un jour dit en substance : la différence entre le marketing et la politique est que le marketing met en évidence des besoins et s’attache à développer et offrir des solutions, alors que le politique fait le contraire, obnubilé qu’il est par la solution qu’il veut imposer aux autres sans même qu’elle ne réponde à aucune nécessité.

  • Entre le jour et la nuit il y a 10 degrés d’écart.
    Ente Biarritz et Colmar il y a 15 degrés.
    Alors 2,5 ° en 2100 … Bof.

    • Ce commentaire est une caricature. Vous parlez de votre ressenti. La moyenne est une chose que vous êtes incapable de ressentir puisque vous raisonnez avec vos sens.
      Vous savez la différence entre l’ère glaciaire et maintenant est de 5°… quand on sait que la différence de température entre le moment le plus froid et le plus chaud à Paris est de 50° dans l’année .. bof !
      2.5° de variation sur la moyenne est absolument massif.
      D’ailleurs fait intéressant, la différence de Tm entre Biarritz et Colmar est inférieure à 3°, et pourtant quelle différence ! Voyez votre approximation pour illustrer votre commentaire démago est complètement fausse et révèle votre ignorance, si commune hélas.

      • « La moyenne est une chose que vous êtes incapable de ressentir »

        Une moyenne de température est une chose qui n’existe pas. Normal donc qu’il soit incapable de la ressentir …

        • Ben voyons.. on me l’avait pas encore faite celle la. Vous êtes plutôt fortiche.

          • Vous n’avez pas du lire souvent, alors. Parce que bon, le fait que la moyenne d’une variable comme la température ne représente pas une grandeur physique est un point souligné fréquemment depuis…. le début du GIEC au moins. Le fait aussi que la façon dont la « moyenne en question » est calculée pose de très nombreux problème est très connu. Et reconnu. Y compris par les « lead authors » du GIEC, mais essentiellement en privé dans le cadre d’une discussion avec quelqu’un dont ils savent qu’il n’avalera pas la doxa toute cuite servie aux cuistres-scientifiques et autres demi-savants par les media.

            • C’est vrai que à vous lire, vivre à bamako et à Berlin c’est la même chose.

              • Avec 500 euros par mois, c’est plus agréable à Bamako.

                • « II me semble que la misère. Serait moins pénible au soleil. » (Aznavour).

                  Réjouissons nous du RCA : on sera ruiné mais au soleil !

                  • J’ai mis 500 euros parce que ça fait 10 fois le revenu national brut par habitant du Mali. Même crème solaire, parasol et bermuda déduits, il reste de quoi y vivre mieux qu’à Berlin (couvert, petites pluies, maximum 12° aujourd’hui) où ça ne représente que 15% environ du RNB par habitant.

      • « la différence de Tm entre Biarritz et Colmar est inférieure à 3°, et pourtant quelle différence »
        Différence qui n’a RIEN à voir avec la température.
        Quelle part entre Porto et Dublin, il y a une (au moins) ville côtière qui a la même Tm que Colmar, et pour tant un climat tout à fait différent.
        Inversement, Colmar et Munich ont le même climat, avec pourtant près de 2° de différence de température
        Bref : « Voyez votre approximation pour illustrer votre commentaire démago est complètement fausse et révèle votre ignorance, si commune hélas. »

        Toute cette histoire de changement de climat à base de température est juste absurde, à terre le premier déterminant d’un climat c’est la pluviométrie, pas la température, et dans les océans, c’est encore moins important.

        • Nous parlons de température.. je ne parle pas du climat. On m’avance que la différence de T est de 15° entre ces 2 villes.. non ! 3° à peine ! Les deltas de température dans l’imaginaire des gens est complètement biaisé!
          On se moque ici du fait que Colmar a un climat plus sec et plus continentale que Biarritz, n’allez pas me faire un cour de météo.. Vous ne répondez pas sur le fond, comme d’habitude, surtout pour le premier argument.. vous faites de l’enfumage.

      • @Djama

        Vous n’avez aucun argument, à part votre mantra démago, démago, démago.
        Rajoutez un bonne dose de mépris, voilà vos interventions.

        • Aucun argument? Vous plaisantez? Et vous osez parler de mépris voyez vos commentaires ! Quand on a rien à opposer on se contente de lire.

          • Si si j’argumente, vous parlez tjs de démago, c’est votre mot fétiche.

            Et puis les jugements définitifs: ‘Ce commentaire est une caricature.’ ‘votre approximation pour illustrer votre commentaire démago est complètement fausse et révèle votre ignorance’ ‘Vous êtes plutôt fortiche.’

            C’est votre style habituel de condescendance. Vous travaillez dans l’EN?

            • Oui, quand je lis des perles comme ça, c’est mérité. Et je sais que vous n’êtes pas des tendres avec ceux qui ont des opinions différentes, encore une fois, ne jouez pas les vierges effarouchées.
              Si vous appliquiez votre rigueur à me contredire à certains commentaires comme celui de climatus, vous n’en finiriez pas.

          • Alors contentez vous de lire !

          • Avec des commentaires comme celui-là, nous savons quel crédit accorder à vos écrits. L’arrogance est un signe d’ignorance scientifique et de défaut de logique.

      • Réduire le climat à des moyennes de températures sans tenir compte du reste, n’est-ce pas biaisé ?

      • Bon OK, j’ai eu la main lourde avec 15°, trop influencé par la météo qui annonce souvent un tel écart entre le nord et le sud.
        Reste que votre commentaire est intéressant : nos aïeux ont donc réussi à s’adapter à une ère glaciaire épouvantable, – 5° par rapport à nous, alors que 2,5°, dites-vous, est déjà absolument massif … et nous, hommes du XXIème siècle, avec tous les moyens dont nous disposons, nous serions plus fragiles qu’eux ?

        • Justement, nous ne sommes pas une société de nomade.. nous sommes plusieurs milliards de citadins dans des villes qui ne peuvent pas se déplacer. Cela n’a rien à voir. Comprenez l’aspect système et prenez du recul, ne voyez pas l’aspect confort où nous homme moderne avons des doudounes synthétiques et des antibiotiques. En outre, le réchauffement à l’époque était de 0.1°/ siècle, mais peu importe.

          • Expliquez aux gens qui vivent à Singapour ou Hong-Kong que le fait de vivre dans un milieu urbain empêche de s’adapter à un climat « difficile », qu’on rigole un peu. Ou alors aux gens qui vivent à Oslo ou Montreal, dans un autre sens.
            Idiot.

  • Je me demande pourquoi l’auteur se déclare ouvertement sceptique.. quand on sait que ceux le font toujours par intérêt personnel à s’opposer, dans ce cas avec l’incompatibilité des synthèse du giec avec des convictions économique et politique.
    Je ne vois pas en quoi la TCS devrait se produire vers les 2100 vu le rythme actuel.. premier élément de conclusion faux déjà.
    J’ajouterai que ne rien faire serai bien la pire chose à faire.. sous la contrainte en fossile et la modification de l’environnement, le laisser-faire va paradoxalement risquer de provoquer des baisses drastiques d’émissions.. le laisser faire n’est pas une garantie que les problèmes viendront peut être (aah ces incertitudes) après 2100, c’est l’inverse.

    • « l’incompatibilité des synthèse du giec avec des convictions économique et politique. »

      Le GIEC est de fait un organe politique et ses synthèses son politiques. Elles sont donc biaisées et en plus fortement orientées par l’étatisme qui est leur donneur d’ordre. La preuve est leur incohérence sur des points tels que le nucléaire. S’ils croyaient le centième de ce qu’ils disent, ils appellerait à un développement massif dans ce domaine pour produire l’énergie et le chauffage et synthétiser des carburants dont on ne peut pas se passer.

      • Si vous partez du principe que le GIEC est un organe politique.. vous confirmez ce que je dis. Vous ramenez tout à la politique puisque vous ne pouvez raisonner en sortant de ce mode de pensée. Pour le nucléaire, oui, c’est une option préférable.

    • « quand on sait que ceux[-ci] le font toujours par intérêt personnel à s’opposer »

      D’où sortez-vous ça ? Serait-ce une généralisation de vos propres motivations personnelles ? Les principes d’un scientifique doivent le conduire à suivre ce qu’il a observé et non les vues de café du commerce de celui qui lui a apporté des crédits. Les principes d’un politicien, comme le sont les membres du GIEC, sont exactement l’inverse. Et s’ils ne l’étaient pas, il n’aurait pas été nommé au GIEC…

      • C’est une constatation. Seul les scientifiques concernés ont vraiment légitimité à émettre des doutes ou non. Quand un spécialiste du logement d’un parti libérale ( tiens donc) se réclame climato-sceptique, permettez moi de me référer à ce que j’ai dit plus haut.

        • Moi j’ai un doute sur votre compétence en climatologie..

          • Qui peut se permettre de s’affubler de « compétence  » en climatologie ici?
            En revanche lire que 2.5° c’est pas beaucoup car il y a 10° de différence entre le jour et la nuit, ça j’ai la compétence pour vous faire part de cette absurdité. Dire que si le climat devient subtropical en France et que ça ne poserait pas de problèmes , je suis la pour vous dire que vous ne pouvez pas affirmer cela.
            Vous comprenez mon rôle?

        • Si seuls les scientifiques « concernés » — vous voulez sans doute dire « compétents » — sont habilités à émettre une opinion, alors celle du GIEC ne vaut rien. Mais un bon scientifique est normalement capable d’expliquer ses résultats avec suffisamment de clarté pour que n’importe qui doté d’un minimum de logique et d’esprit d’analyse puisse les reprendre, les relayer et en examiner les implications dans d’autres domaines : le GIEC pour la manipulation de l’opinion, M. Bénard pour une analyse libérale.
          Quand à votre référence supra, j’y ai déjà répondu.
          Enfin, je doute que vous, vous soyez scientifique, ou alors, permettez-moi de le dire, un bien mauvais dont je n’imagine pas que je recommanderais la publication des travaux dans l’une des revues où je sers comme relecteur.

          • Non non je ne le suis pas. Pas besoin de l’être pour écrire mes quelques lignes.

          • Le problème est que la « climatologie » est (pour l’instant au moins) autant une science que l’astrologie : sa capacité prédictive est identique, son rejet du principe de falsifiabilité est identique.
            Par ailleurs ces « climatologues » font beaucoup de statistiques mais ils sont à peu près aussi mauvais sur ce point que les médecins et c’est vraiment placer la barre haut.

            Bref, laisser les question de climat aux climatologues c’est comme laisser les question de dépense publique à des fonctionnaires : on a la certitude que ça ne marchera pas mais que ça coutera très très cher.

            • L’immense betise a un nom : Franz. Les climatologues sont surement aussi « mauvais » à prédire le climat que les météorologue à prédire la météo, ou que les ingénieur mécanicien à concevoir le moteur de votre voiture, ou encore les ingénieurs en microtechnique qui ont conçu l’ordinateur que vous utilisez pour me lire. Leur point commun à tous ? Etre scientifique. Leur travail ? Ne pas se laisser bêtement guider par leur émotions et suivre des règles mathématiques qui ont fait leur preuves dans tous les domaines. On fait voler des avions, rouler les voitures, fonctionner absolument tout vos appareils électronique, et on le fait de manière à ce que même un enfant ou un ignorant comme vous soit capable de l’utiliser. L’évolution du climat, on va la voir arriver, on verra bien si les prédictions ont été juste ou fausse. Un bon scientifique ne devrait pas avoir un avis complètement tranché sur le sujet. Mais la grande majorité des études sur la question nous mettent en garde contre un brusque changement de température qui pourrait avoir des effets catastrophiques. Ici une analyse de 12’000 articles scientifiques qui représente la presque totalité des 25 dernières années de recherche sur le climat, nous démontre que 97% des études ont tendance à affirmer que le changement de climat serait provoqué par l’homme : http://iopscience.iop.org/article/10.1088/1748-9326/8/2/024024
              Signé : un Ingénieur

        • « Seul les scientifiques concernés ont vraiment légitimité à émettre des doutes ou non. »

          Donc, vous dites que les personnes, à qui on veut réduire les libertés, à qui on veut imposer des utopies, des grands bonds en avant, des sacrifices, à qui on veut faire payer des taxes lourdes n’ont aucune légitimité à contester ça ?

          Vous êtes un sacré c0nnard…

          • Et comment osez vous m’insulter? Comment osez-vous? Et on me fait des leçons de civisme! C’est absolument incroyable.
            Quel est le rapport entre votre compote démago et ce que j’ai dit?

            La physique rattrape toujours l’homme. C’est normal que les chômeurs râlent, c’est normal de râler lorsque le prix de tel ou tel chose augmente, c’est normal de contester cela!
            Mais si vous croyez qu’en ne faisant rien la physique ne vous rattrapera pas (climat/énergie/environnement), vous vivez dans rêve. C’est la votre plus lourde erreur.

            • Mao était un c0nnard, Staline était un c0nnard. Maduro est un c0nnard.
              Tout dictateur est un c0nnard et vous avez bel et bien la mentalité d’un dictateur.

              « Comment osez-vous? »

              Si vous voulez qu’on vous respecte, soyez respectable. Si vous méprisez autant les gens, leurs droits, faut pas vous étonner qu’on vous manque de respect.

              « C’est absolument incroyable. »

              Allez, pauvre chou. Tu vas pas dormir de la nuit ???

              « Quel est le rapport entre votre compote démago et ce que j’ai dit? »

              Vous êtes lassant avec votre « démago » « démago »
              C’est tout ce que vous avez à sortir comme argumentation ?

              « La physique rattrape toujours l’homme. »

              Et la politique n’a pas grand chose en soi avec la science.

              D’après quelle loi physique nos institutions ou le droit romain sont-ils nés ? La politique est avant tout une question de valeurs (du moment), d’héritage, d’opportunisme, d’heuristique, de tradition, de sélection naturelle…

              Le prospérité européenne ne provient pas d’un plan imposé par une académie scientifique, mais par la concurrence entre une multitude de sociétés disparates, les meilleurs systèmes ayant survécu et évincé les autres.

              « C’est normal que les chômeurs râlent, c’est normal de râler lorsque le prix de tel ou tel chose augmente, c’est normal de contester cela! »

              Et alors, instaurons aussi les goulags. Si ça fait raler les gens, tant pis. Après tout, les gens ralent pour un tout ou pour un rien… Quels c0ns, les gens…
              Et puis, critiquer les goulags, c’est démago, hein ?

              Finalement, vous semblez vouloir le bien d’une humanité que vous méprisez…

              • A quel moment ai-je méprisé les droits des personnes? Avez-vous perdu la tête?
                Comment osez-vous citer Mao et Staline? Vous savez très bien que vous perdez en crédibilité en lachant ça..

            • « La physique rattrape toujours l’homme. »

              Non ! Ce sont les réalités qui rattrapent les rêveurs. La physique en tant que (très) modeste connaissance des lois qui régissent ce que nous sommes et nous entoure ne peut être qualifiée ainsi. Comme je l’ai dit plus haut, il ne faut pas confondre l’homme en tant qu’humanité et nos petites habitudes individuelles. Votre phrase grandiloquente n’a aucun sens pour ces 2 raisons : la connaissance actuelle ne nous permet pas de prédire l’évolution du climat (elle pose au mieux la question sur une tendance globale) et il faudrait vraiment transformer la terre en cocotte minute pour la rendre invivable sous toutes les latitudes.

    • « quand on sait que ceux le font toujours par intérêt personnel à s’opposer »

      Et oui… Les sceptiques contestent les sacrifices que les écolos veulent leur imposer… Quelle bande de salauds, les gens… On veut leur imposer le bien et ils n’en veulent pas…

      s’il y a bien une différence entre un réchauffiste et un sceptique, c’est que le réchauffiste est dans la position de celui qui veut imposer des sacrifices aux autres et doit alors convaincre de la nécessité et de la viabilité de ces sacrifices…
      Comme ils n’y arrivent pas, il ne leur reste que le mépris…

      • « J’ajouterai que ne rien faire serai bien la pire chose à faire.. sous la contrainte en fossile et la modification de l’environnement, le laisser-faire va paradoxalement risquer de provoquer des baisses drastiques d’émissions.. le laisser faire n’est pas une garantie que les problèmes viendront peut être (aah ces incertitudes) après 2100, c’est l’inverse. »

        Je ne suis pas un troll catastrophiste, disait-il…
        Mouarf

        • Quand le dogmatisme atteint ce genre d’extrémités, que voulez-vous faire… je pense que vous avez complètement tort et que vos raisonnements sont dignes des noms d’oiseaux que moi je vous épargne. Vous confondez tout, vous n’avez aucune nuance, aucun recul.

  • Le capitalisme via une économie de marché très libre lutte contre le réchauffement climatique mieux que les belles paroles et les « yakafokon », notamment grâce à la concurrence qui permet de fortes innovations et une meilleure rationalisation de l’allocation des ressources matériels et immatériels, donc une plus grande efficacité capitalistique et énergétique.

    D’ailleurs les pays les plus développés (plus libres économiquement) ont une meilleure intensité énergétique (PIB/énergie) que les pays du tiers-monde peu libres économiquement, et en retard.

    De sûrcroit la protection de l’environnement suit une courbe de Kuznets selon l’enrichissement individuel, les pays non capitalistes, collectivistes, peu libres, ne font qu’obstacle à leur adaptabilité.

    Bref l’irrationalité économique mène à l’irrationalité écologique.

    http://www.tdg.ch/suisse/La-Suisse-se-rapproche-de-la-societe-a-2000-watts/story/14202457

    • Et c’est pour ça que l’énergie qui croît le plus est le charbon.. la note en CO2 à la fin de l’année suffit pour contredire ce que vous dites.
      Vous mélangez torchons et serviettes avec votre raisonnements. Vous êtes encore une fois obliger de remettre sur la table les pays communistes, mais bon dieu, quel rapport avec une politique énergétique intelligente? C’est effarant de lire toujours la même chose.

      • Le charbon croit le plus dans des pays socialistes comme la Chine, ou suite à des politiques étatistes comme l’Allemagne…

        « Vous mélangez torchons et serviettes avec votre raisonnements. »

        Vous dites ça à tout le monde avec qui vous êtes en désaccord ?

        • Pardonnez moi, mais non, vous ne pouvez pas tirer une règle de ce que vous avancez ! C’est complètement faux. Vous voyez, on en revient toujours au même point. Socialisme, communisme, étatisme.. vous n’arrivez pas à sortir de cette spirale intellectuelle.
          « Le capitalisme via une économie de marché très libre lutte contre le réchauffement climatique mieux »
          Certes; mais pour des peanuts.
          De toute façon, le monde est tel que l’on ne fera rien, et on continuera à taper ds toutes les ressources disponibles. Alors pourquoi vociférer comme ça alors que le monde évolue comme vous l’entendez..

          • @ Djamal

            Vous devriez passer du temps (des jours ?) sur le site http:// http://www.pensee-unique.fr
            Vous pourrez, tranquillement, découvrir que tout ce que vous pensez savoir sur notre climat n’est pas forcément ce que vous disent les médias…
            Cela vous permettra (peut-être) de relativiser vos propos.
            N’hésitez pas à commenter…

  • L’évolution du climat, on va la voir arriver, on verra bien si les prédictions ont été juste ou fausse. Un bon scientifique ne devrait pas avoir un avis complètement tranché sur le sujet. Mais la grande majorité des études sur la question nous mettent en garde contre un brusque changement de température qui pourrait avoir des effets catastrophiques. Ici une analyse de 12’000 articles scientifiques qui représente la presque totalité des 25 dernières années de recherche sur le climat, nous démontre que 97% des études ont tendance à affirmer que le changement de climat serait provoqué par l’homme : http://iopscience.iop.org/article/10.1088/1748-9326/8/2/024024
    Signé : un Ingénieur

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