Chômage, victoire du socialisme

Que faire pour que la France sorte du socialisme ?

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charlie rené le honzec hollande chomage

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Chômage, victoire du socialisme

Publié le 2 juillet 2015
- A +

Il y avait une fois des entrepreneurs, ouvriers, contremaîtres, commerciaux sortis du rang et qui pour s’élever, innovaient créaient des produits depuis l’humble briquet jusqu’à la télévision en passant par la poêle sans gras.

Le métro, la photographie, la fermeture éclair, le béton armé sont les monuments à la mémoire des inconnus qui ont créé le cadre de vie dans lequel vivent les foules ; elles ignorent jusqu’à leur nom sauf lorsqu’il y reste attaché, comme la Tour Eiffel.

Mais ces inconnus ont eu le tort de devenir riches en réussissant, en exportant, en bâtissant et en faisant travailler leurs compatriotes.

Par Bernard Zimmern.

charlie rené le honzec hollande chomage
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Et tout occupés à développer leurs affaires, à investir, à prendre des risques, à inventer l’avenir, ils n’ont pas vu venir la classe parlante.
La classe parlante est un enfant de la démocratie où ceux qui comptent sont les plus nombreux, pas les riches ou les créateurs mais les pauvres, les paresseux, les timorés, les profiteurs.

La classe parlante comprend tous ceux qui ont compris cette grande faille de la démocratie et qui ont envahi l’espace du verbe pour embrigader le plus grand nombre à leur profit. On y compte en tête les politiciens, suivis par les journalistes dont 90% sont sortis des écoles du socialisme dont Sciences Po, puis les professeurs passés par Normale Sup et les hauts fonctionnaires issus de l’ENA.

Quel que soit le parti au pouvoir, c’est cette classe parlante que l’on entend dans les rapports dont on nourrit le grand public, jamais les entrepreneurs ; ceux-ci sont trop absorbés par leurs entreprises et la construction de l’avenir, par la nécessité de résister à la concurrence ou aux vents contraires de la conjoncture pour expliquer leur rôle, expliquer qui ils sont et pas le masque dont on les a affublés.

Toute la classe parlante s’est donc mise à dénoncer les riches, à expliquer que loin d’avoir créé de la richesse, ils l’avaient dérobée, qu’heureusement l’État, défenseur des pauvres et des opprimés, venait les protéger et rétablir l’équité en distribuant l’argent de ces riches.
Mais comme il fallait respecter les formes, comme il n’était plus possible de confisquer en nationalisant comme cela avait été déjà fait en 1981 car cela avait tourné à la catastrophe économique, c’était par des voies moins visiblement créatrices de chômage qu’il avait fallu procéder pour exproprier les entrepreneurs : prélèvements fiscaux au nom de la justice sociale, prélèvements sociaux pour protéger, secourir, aider, subventionner, subventionner, subventionner.

Peu importait que les riches ne puissent plus investir, l’État allait le faire à leur place. Avec une efficacité cent fois moindre. Mais qui s’en apercevrait ? Ceux en charge de distribuer ou de financer avec l’argent des autres ne seraient certainement pas amenés à se plaindre publiquement car, se servant au passage, cela aurait été avouer leur duplicité.

Le socialisme a échoué au XXème siècle parce qu’il a été trop brutal, parce qu’il a atteint une autre valeur encore plus fondamentale que la richesse : la liberté.

Mais en faisant croire au peuple que c’était lui qui reprenait au nom de la justice ce qui lui avait été dérobé, la classe parlante a su éviter l’écueil sur lequel s’était brisé le socialisme au XXème siècle.

Un seul obstacle se dressait encore devant son triomphe : les descendants anglo-saxons de Luther. Ils enseignaient que la richesse n’est pas un mal mais un bien commun, qu’être pauvre et miséreux, ambition de beaucoup de pays catholiques, n’est pas un idéal pour l’homme sauf quand il est à l’abri du besoin.

Ils avaient su créer un concurrent dangereux du socialisme, la philanthropie : permettre aux riches de ne pas consommer leur richesse en beuveries, en femmes et en voitures mais la mettre au service de leurs semblables à travers des fondations, des institutions sans but lucratif, dédiées à la santé, l’enseignement, la culture au profit des masses.

C’était une concurrence redoutable pour le socialisme, car la philanthropie qui passe par des dons spontanés et non par l’imposition forcée, exige du bénéficiaire du don de mériter ce don aux yeux du donateur, d’être meilleur que les autres, et elle introduit le poison le plus redouté par le socialisme : la concurrence, la différence par l’excellence.
C’est un poison violent pour le socialisme qui vit de l’uniformité imposée par l’État au nom de l’égalité.
Toujours à l’avant-garde des révolutions, la France avait donc mis en place les défenses qui interdisent la diffusion de ce poison : couper les vivres de la philanthropie, éviter que des cliniques privées, des universités privées, des centres de recherche privés ne viennent faire concurrence aux services publics et fassent éclater aux yeux du peuple leurs délabrements, leurs inefficacités, leurs prévarications. Et quand leur interdire leur financement s’avérait impossible, comme ce fut le cas pour l’enseignement privé, l’acheter, le corrompre.
La France est maintenant à la tête d’un mouvement mondial vers le socialisme et fière d’afficher par son chômage sa victoire sur les riches.

Elle affiche même qu’il ne s’agit pas d’une défaite du socialisme mais de son avant-garde ; il faut en remercier la classe parlante puisque ses éléments les plus avancés, ceux sortis de ses meilleures écoles, ont commencé à infecter les derniers survivants anglo-saxons de la croyance en la création, l’innovation, l’entreprise comme ascenseur social. Grâce à la classe parlante locale, ils sont parvenus à diffuser qu’il fallait enlever leur argent aux riches, que l’État était plus capable qu’eux d’investir et de la faire avec cette justice sociale dont eux, la classe parlante, sont les grands prêtres et les seuls défenseurs.

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  • « ne pas consommer leur richesse en beuveries, en femmes et en voitures  »

    Les femmes : biens de consommation …. entre la bière et les voitures. Clap clap clap …

    • je suis d’accord avec vous, adèle, on ne peut mettre sur le même plan les femmes et l’alcool et les voitures.
      l’alcool et les voitures ne sont que des plaisirs éphémères.
      les femmes sont à un tout autre niveau : elles sont le saint réceptacle de la semence des hommes qui veulent une descendance.

    • @adele

      c’est vrai, il faudrait préciser en relations sexuelles tarifées(homme ou femme) ou en entretien de l’officielle ou des maitresses(ou gigolos) ou en soirées de dragues, ou………………

      ….non,… finalement c’était très bien dit !

  • sévère, mais juste. très juste.

    ne soyez pas si méchant avec les anciens de normale sup, sciences po ou l’ena, il n’en sort pas, merci seigneur, que des socialistes.

  • Je suis beaucoup plus inquiet de la montée de l’étatisme que du socialisme. La classe parlante accapare les pouvoirs et dispose d’un réservoir quasi infini de magouilleurs en tout genre avides de se faire une place dans ce grand foutoir.

    Le fait de ne pas définir strictement la mission, de ne pas limiter et de ne pas contrôler les actions de tous ces peigne-cul (qui ne brillent ni par leur savoir, ni par leur expérience, ni par leur courage ou leur capacité de commandement) aboutit à la situation suivante : on remet notre sort entre les mains d’une « armée de colonels » qui font tous de la stratégie mais dont aucun n’est capable de gérer le présent et les réalités.

    • +1
      Un socialiste pur sucre comme l’Abbé Pierre ou Coluche ne fait que du bien tant qu’il se base sur un pur volontariat. Parce que le volontariat le soumet à une exigence de résultats, de compte rendu, et de concurrence avec d’autres bienfaiteurs voulus.
      Mais qu’on lui donne accès à la possibilité de contraindre, via l’Etat, les gens à « faire le bien » tel que LUI le définit, et la catastrophe est certaine. Personne ne résiste, en tout cas pas plus d’un Homme tous les 2000 ans.

    • « L’étatiste est un homme qui est en train de devenir socialiste, et s’il meurt sans le devenir, c’est qu’il n’a pas assez vécu pour le devenir. » Émile Faguet

  • « : permettre aux riches de ne pas consommer leur richesse en beuveries, en femmes et en voitures mais la mettre au service de leurs semblables à travers des fondations, des institutions sans but lucratif, dédiées à la santé, l’enseignement, la culture au profit des masses. »

    Pour Mr. Zimmerm, si t’as une appendicite, tu te met dans la rue, et t’attends qu’un riche au grand coeur passe pour t’emmener en rolls jusqu’à sa clinique perso.

    Aucun système de santé digne de ce nom ne repose sur la pure philanthropie ou les fondations il n’y a aucun exemple concret. Par ailleurs, on trouve aussi des fondations dans les pays à single payer, et ca ne fonctionne pas plus mal.

    Vous faites des plans sur la comète, purement théoriques. En ce sens, vous avez beaucoup de traits communs avec les « communistes scientifiques ».

    • Le bénéfice de la philanthropie doit être limité à ceux qui ne sont pas capables de se prendre en charge eux-mêmes. Les autres doivent s’assurer volontairement et non attendre dans la rue qu’un politicien pas très désintéressé augmente les taxes pour mettre en place un système de santé « digne de ce nom » et « que le monde nous envie (sans le copier pour autant) ».

      • Déjà, si on se limitait à ceux qui sont vraiment dans le besoin et non à ceux qui ont une grande gueule, on serait sauvé …

        • j’en doute. Le « besoin » médical est littéralement sans limite, on y mettrait 10 fois notre PIB actuel que ça ne suffirait encore pas.
          Du coup, tout système collectif est obligatoirement à la fois « trop couteux » (pour les uns) et « totalement insuffisant » (pour les autres, voire pour … les mêmes)

      • « Les autres doivent s’assurer volontairement »

        OK… Citez moi UN SEUL système de santé qui fonctionne tout en étant basé sur l’assurance volontaire ?

        Fin de la conversation.

        • C’était le cas en Suisse jusqu’en 1996. C’était bien, on payait des primes pas trop chères pour des prises en charge correcte. Las, les gauchistes et leur conseillère fédérale Ruth Dreifuss ont réussi, en mentant effrontément, à imposer l’obligation de s’assurer à l’assurance de bas (LAMAL). Et depuis, on voit nos primes augmenter chaque année de 3-4 % (alors que l’inflation est quasi nulle) et les prises en charge diminuer, sans compter la baisse de qualité des hôpitaux (publics bien sûr).

          Tiré de l’Office fédéral de la statistique :

          Variations par rapport à l’année précédente en % (indice, 1999=100)
          1999 : 100.0 / 2000 : 104.6 / 2001 : 110.3 / 2002 : 119.0 / 2003 : 127.4 / 2004 :134.0 / 2005 : 136.7 / 2006 : 141.7 / 2007 : 143.1 / 2008 : 142.5 / 2009 : 144.6 / 2010 : 156.3 / 2011 : 165.3 / 2012 : 168.5 / 2013 : 170.4 / 2014 : 169.0

          Soit une légère augmentation de 69 % en 15 ans !!

          Franchement, je reviendrais bien en 1995

        • Aux USA, avant les Obama niaiseries, parce que cela coûtait moins cher pour les médecins et hôpitaux.
          Et si vous avez assez d’argent, pourquoi s’assurer ❓

          • Obama est le pire président des USA ce qui n’empêche pas qu’il ne faut pas l’accuser tort. Bon son obamacare est un désastre mais les problèmes du système de santé américain datait de bien avant Obama.

            Les États-Unis ont probablement le pire système de santé qui soit parmi les pays développés. le budget de santé total est à 17% du PIB pour les USA . l’État américain a dépensé en 2009 en moyenne 3700$ par habitant. ce système de santé en plus ce système coute très cher et c’est en grande partie à cause des avocats. faire un procès pour pomper de l’argent à son médecin est un sport national. cette petite étude de 96 dont les résultats sont là http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8678157 explique le problème. SUr trois ans d’étude sur un seul campus medical du Michigan de 92 à 94, entre 28% et 35% du Chiffre d’affaire a été payé en dommages et intérêts. Pour comprendre le pillage des avocats, seul 12% de ces sommes là ont été versés aux plaignants …
            Ces chiffres sont vieux et aujourd’hui encore le pillage organisé par les Avocats sur la médecine mais aussi et surtout toute l’économie US s’est encore accéléré. EN ce qui concerne la médecine. A ce surcout énorme, il y a une pratique qui s’est développée qui s’appelle la « defensive medecine ». C’est à dire que pour limiter la ruine que les avocats font peser sur la tête des médecins, ceux ci multiplient les actes inutiles et donc fait exploser le coût pour le client final. Ce que Bastiat dans la vitre cassée disait « ce qui ne se voit pas ».
            Pour faire simple. EN france vous allez voir le médecin car vous avez mal à la tête. Il va vous renvoyer chez vous avec de l’aspirine et si ça ne passe pas, on fera des études supplémentaires … Dans 99% des cas, ça s’arrête la. Aux Etats Unis, si par malheur vous faites partie du 1% des cas, le médecin sera ruiné. DOnc il va vous prescrire pour 5000 dollars d’études diverses et variées à titre préventif. Bien entendu, c’est aussi son intérêt puisqu’au final il aura gagné plus d’argent sur votre dos dans 99% des cas !!!
            J’étais tombé sur une étude de al Duke University qui affirmait que le système légale américain coutait au pays en moyenne 1,8% du PIB chaque année … Voilà la taille de la fraude. Il faut comprendre qu’en France les technocrates sont les fonctionnaires, ils tiennent l’état et l’assemblée ils font les lois et pillent le pays. AUx Etats Unis, ce sont les avocats. Ils possèdent l’état, le parlement et le système judiciaire. Ils votent donc les lois pour leur enrichissement personnel. Là ou en France le pillage passe par l’état (ce sont des fonctionnaires), aux Etats Unis, cela passe par le privé et le vote systématiques de lois qui permettent aux avocats de se saisir de tout. Par bien des aspects le système légal américain est une poubelle. Par exemple il n’existe aucun système de responsabilité. Par exemple, vous attaquez n’importe qui pour n’importe quoi et même si vous perdez, il n’y a pas de dommages et intérêts sauf si dans un deuxième temps on vous attaque pour cela. C’est assez pratique pour permettre aux avocats de développer leur business en toute impunité.
            Nous vivons une époque ou les technocrates irresponsables se sont saisis des leviers de l’état t partout ils utilisent la loi pour piller les pays à leurs intérêts exclusifs. Les Etats Unis sont un système qui est je pense à bien des égards n’a rien à envier au pillage des énarques français.
            La loi et son usage est au coeur du problème partout.

            je vous conseille de lire John C. Goodman spécialiste du système de santé américain. aux usa, le système de santé et d’assurance maladie est loin être un système libre, et présente de nombreux dysfonctionnements qui sont non pas une conséquence du marché libre, mais des interventions étatiques. Des règlementations coûteuses sur les assurances ou l’exercice de la médecine, des montants délirants accordés en dommages-intérêts pour les patients (donc des assurances responsabilité civile faramineuses pour les médecins et hôpitaux), des pratiques inefficientes (telles que la césarienne systématique pour les accouchements…). lisez ceci (et les liens externes en dessous de l’article): http://www.wikiberal.org/wiki/Assurance_maladie_aux_%C3%89tats-Unis En 2009 aux usa, 49% des dépenses de santé étaient couvertes par l’État et 34% par les assurances privées. la santé américaine ne ressemble pas vraiment à un marché de concurrence pure et parfaite, mais plutôt à une jungle de conflits d’intérêts et de monopoles privés. Les régulations en vigueur sont titanesques et font tout pour bloquer la concurrence plus que pour l’aider.

        • Pour rappel, le système de santé de singapour est sans doute l’un des systèmes de santé le plus libéral qui existe et comme par hasard, il est considéré comme l’un des meilleurs au monde

    • en réalité, on pourrait avant d’avoir l’appendicite, contracter avec monsieur axa un contrat qui dirait « en échange d’une modeste somme d’argent mensuelle, si un jour j’ai une appendicite, tu rembourseras la clinique qui m’aura opéré à la première présentation de la facture ».
      et si monsieur axa se mettait à exagérer les prix de ses contrats, on pourrait aller voir monsieur wintherthur ou monsieur allianz…

    • Remarque de pure mauvaise foi : A quel moment M. Zimmern a-t-il suggéré de supprimer l’assurance maladie ? Nulle part, sauf dans vos fantasmes.

    • Supergolem n’a jamais entendu parler de la Croix Rouge !

      Les plus grande partie de Structures de santé aux USA repose sur des fondations. En proportion, il y a beaucoup moins de cliniques privées qu’en France.

    • La fondation BIll Gates dépense des milliards chaque année pour lutter contre le paludissme. Et, que fais-tu contre la malaria ?

      Dans les années 60, la fondation Ford finançait une chaine (parmi des dizaines d’autres existant déjà) de télé éducative pendant qu’en France la télé monopolistique d’Etat débitait les conneries du pouvoir mongaullien. C’est qui les philanthropes ici ?

  • Pour rappel, c’est ce que souhaitent une majorité de français. Et je ne parle même pas du choix d’un candidat ayant affirmé clairement qu’il n’aimait pas les riches.
    Une majorité pense être plus pauvre que les autres, trouve cette condition injuste et demande une redistribution considérée comme juste.
    Ce n’est pas juste le gouvernement actuel.
    Donc Hollande est le meilleur président pour appliquer cette demande qu’il appliqué avec soin et efficacité.

    • « Une majorité pense être plus pauvre que les autres »
      Je dirai plutôt qu’une majorité est jalouse de son plus riche voisin et considère ça injuste.

  • Le socialisme décrit par Tocqueville en 1851:

    « Le socialisme, c’est une attaque tantôt directe, tantôt indirecte mais toujours continue aux principes mêmes de la propriété individuelle ; c’est une défiance profonde de la liberté, de la raison humaine ; c’est un profond mépris pour l’individu pris en lui-même, à l’état d’homme ; ce qui caractérise [les systèmes qui portent le nom de socialisme], c’est une tentative continue, variée, incessante, pour mutiler, pour écourter, pour gêner la liberté humaine de toutes les manières ; c’est l’idée que l’État ne doit pas seulement être le directeur de la société, mais doit être, pour ainsi dire, le maître de chaque homme – que dis-je ! son maître, son précepteur, son pédagogue ; que de peur de le laisser faillir, il doit se placer sans cesse à côté de lui, au-dessus de lui, autour de lui, pour le guider, le garantir, le retenir, le maintenir ; en un mot, c’est la confiscation de la liberté humaine. À ce point que si en définitive j’avais à trouver une formule générale pour exprimer ce que m’apparaît être le socialisme dans son ensemble, je dirais que c’est une nouvelle formule de la servitude… »

    Nos Socialistes Nationaux sont a la pointe de cette lutte.

  • C’est la faute du CAC40…

  • ne soyez pas méchant avec les pauvres,ils n’ont pas forcément choisi le camp des « parlants »
    excellent article tout est dit!

  • Belle illustration des propos de Schumpeter sur le capitalisme générant sa propre caste de parasites, de ces petites merdes humaines qui, comme François, Manuel ou Ségolène, n’ont comme ambition que de faire payer à autrui leur nullité, leur absence totale de talent à créer et à enchanter le monde. Le plus triste, c’est la déférence dont bénéficient tous ces ratés.

    • Ce sont tout ce qu’on veut, sauf des « ratés ».
      S’il s’agissait de ratés, ils ne seraient pas suffisamment célèbres pour qu’on en parle en les citant juste par leur prénom.
      Ce sont des gens qui sont allés au bout de leurs ambitions- et ont réussi.

  • et dire qu’il y a encore des gens pour accuser la france d’etre ultralibérale.
    1. La France, cet enfer libéral : Record historique du taux de dépenses publiques en 2015 (depuis qu’il est mesuré) : 57,7%
    2. La France, cet enfer libéral : France, n°1 de l’OCDE (sur 34 pays) en taux de dépenses publiques /PIB
    3. La France, cet enfer libéral : Evolution taux de dépenses publiques : de 40% en 1975 à 57,7% en 2015 :
    4. La France, cet enfer libéral : n°2 de l’OCDE en taux de prélèvements obligatoires :
    5. La France, cet enfer libéral : Evolution Taux de prélèvements obligatoires : de 34% en 1975 à 44,6% en 2015
    6. La France, cet enfer libéral : Niveau global taxation PME de 60 salariés en 2015 : 66,6% du CA (177e sur 189 pays)
    7. La France, cet enfer libéral : Evolution dette publique : d’environ 20% du PIB en 1975 à 97,5% en 2105
    8. La France, cet enfer libéral : Depuis 1980, hausse nombre fonctionnaires 2 fois plus rapide que la hausse de population totale
    9. La France, cet enfer libéral : Evolution poids code du travail : 500 grammes en 1978 vs 1,5 kg en 2015
    10. La France, cet enfer libéral : Nombre de pages du Journal Officiel 1975 = 13000 / 2014 = 23000

  • la france est l’un des pays les plus socialistes d’europe, il suffit de regarder les chiffres (dépenses publiques 57%, la fonction publique représente pres de 7 millions de personnes dans la fonction publique (http://www.observatoiredessubventions.com/2010/combien-de-fonctionnaires-en-france/
    ), 73 au rang des libertés économiques selon Heritage Foundation après le Cap-Vert, le Kazakhstan ou encore la Jamaïque, l’un des plus haut taux d’imposition ( la France a un taux d’imposition total moyen de 64,7% principalement constitué (51,7%) de charges sociales, le 2 plus fort taux d’imposition en europe),….. certains partis de gauche dans le reste de l’europe (spd, parti travailliste,…) sont plus libéral que l’ump. la france est championne du monde en dépenses sociales. la france possède 60 code et est ultraréglementé (plus de 500000 lois et décrets). le pire s’est que le nombre de fonctionnaires augmentent. http://www.lepoint.fr/economie/les-fonctionnaires-sont-toujours-plus-nombreux-18-12-2014-1890940_28.php
    En 33 années, la France a fini par appliquer à peu près tous les points du programme du parti communiste de 1981. http://h16free.com/2014/04/01/30201-il-y-a-33-ans-deja

  • Les commentaires sont fermés.

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