Faut-il excommunier les climatosceptiques ?

Les récentes déclarations de John Kerry et Al Gore sonnent comme une déclaration de guerre aux climatosceptiques.

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Rodin, le Penseur, credits Steve Wilde (CC BY-NC-ND 2.0)

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Faut-il excommunier les climatosceptiques ?

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 5 avril 2015
- A +

Par Michel Gay.

L’excommunication de ceux qui doutent du réchauffement climatique d’origine humaine est en bonne voie. Ceux-là sont appelés « climatosceptiques », et parfois même « négationnistes » s’ils n’y croient pas du tout, avec une référence douteuse à l’histoire. Les déclarations du secrétaire d’État américain John Kerry, et de l’ex candidat à la Maison Blanche, Al Gore1, le 12 mars 2015 sont effrayantes. Le délit d’opinion refait surface…

Le premier, enfilant sa robe de prêcheur devant le Conseil atlantique en vue du sommet sur le climat à Paris en décembre 2015, a dénoncé l’immoralité des « négationnistes », annoncé une pluie de catastrophes et rien moins que la fin de l’humanité si nous ignorons les signes du malheur. En mêlant science et vocabulaire religieux, il en a déduit que la menace du réchauffement climatique est d’origine humaine. « De quels droits ces personnes nient-elles le rôle de l’Homme dans le réchauffement climatique ? »

Ce sermon pour condamner les non-croyants n’a certainement rien à voir avec les activités de son épouse (Teresa Heinz Kerry), une des principales instigatrices de la fondation Heinz qui contrôle le mouvement alarmiste américain AGW (« anthropogenic global warming », ie réchauffement climatique anthropique).

Le second a déclaré :

« Il faut punir ceux qui nient le réchauffement climatique […]nous devons faire payer sur le plan politique la négation de la science admise ».

Douter publiquement du réchauffement climatique serait donc un comportement déviant immoral et, pire, ce serait un péché ! L’affaire est grave. Ceux qui osent s’opposer au dogme imposé par la nouvelle religion catastrophiste mériteraient-ils d’aller brûler en enfer ?

Pourtant, le 4 mars 2015, Richard Lindzen professeur des sciences de l’atmosphère au Massachusetts institute of technology (MIT) a publié dans le Wall Street journal un article édifiant qui fustige les nouveaux prêtres du réchauffement climatique et la chasse aux sorcières parmi les scientifiques climato-sceptiques.

Extraits :

« Les dirigeants du monde proclament que le changement climatique est notre plus grand problème en diabolisant le CO2. Pourtant, les niveaux atmosphériques du CO2 ont été beaucoup plus élevés au cours de l’histoire de la Terre. Des climats tour à tour plus chauds et plus froids qu’aujourd’hui ont coexisté avec des niveaux plus élevés.

Actuellement, les niveaux élevés de CO2 contribuent à l’augmentation de la productivité agricole. En effet, avant la récente hystérie du réchauffement climatique, les climatologues avaient appelé les périodes chaudes des optima climatiques. Pourtant, les dirigeants du monde se lancent dans des politiques coûteuses qui n’ont pas la capacité de remplacer les combustibles fossiles, mais elles enrichissent de grands entreprises complices aux frais du public, augmentant les coûts pour tous, et restreignant l’usage de l’énergie pour les populations les plus pauvres du monde qui n’ont pas encore accès aux immenses avantages de l’électricité.

Des milliards de dollars ont été versés dans des études pour soutenir l’alarmisme climatique, et pour mettre à bas l’économie de l’énergie. Il n’est donc pas surprenant que de grands efforts aient été faits pour conduire à l’hystérie, au cas où les causes de l’alarmisme climatique viendraient à disparaître. »

Que le réchauffement climatique soit réel ou non, il est plus facile pour les non spécialistes d’opter pour une croyance que de se forger une opinion dans ce combat planétaire entre scientifiques. Mais si on se réfère à l’histoire du monde, et notamment au lyssenkisme en ex-URSS, ou à la science des nazis en Allemagne, la manière autoritaire et inquisitoriale d’imposer « l’évidence » du réchauffement climatique d’origine humaine ne présage rien de bon.


Source : L’assaut des politiques contre les climatosceptiques, article du Wall Street Journal du 4 mars 2015 de Richard S. Lindzen, professeur émérite de sciences atmosphériques au MIT et chercheur éminent du Cato Institute.

  1. Au festival de musique d’Austin (Texas).
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  • Il faut rechercher les intérêts politiques de cette affaire. L’Europe est en train de plomber gravement son économie. Cela fait bien l’affaire des Américains…

    • Il y a aussi les intérêts des politiques français. Une bonne p’tite écotaxe, faut pas cracher dessus.

    • Ben voyons, si les USA n’ont pas plombé leur économie comme l’Europe c’est uniquement grâce à la constitution et à une partie des républicains. Au passage on ne voit pas pourquoi les USA voudraient plomber leurs alliés.

    • Et des chinois qui leur vendent du matériel et des métaux rares.

  • Si Gore veut vraiment faire payer la négation de la science admise, il n’a qu’à commencer avec les créationnistes.

  • lu dans sciences&vie :la réduction de la pollution dans les 40 dernières années a provoqué un réchauffement climatique en Europe ,l’utilisation abusive de charbon en chine a eu pour cause de provoquer un refroidissement ,la raison la plus fréquemment évoquée étant que l’atmosphère polluée par les particules a réduit les effets de l’activité solaire . Va-t-on mettre à l’index ce magazine réputé pour la qualité de ses publications ?

    • pourquoi , c’est faux ?
      c’est trés logique pourtant, la pollution refroidit autant que l’éruption d’un volcan …bon ce n’est pas la même échelle de grandeur mais c’est sans doute responsable de quelques dixièmes de degré de réchauffement ou de refroidissement selon la saison

    • Hum.
      La qualité des publications de « science&vie » est, comment dire… très contestable. Pour ne pas dire très contestée.
      Cela dit c’est rigolo on dirait un article des années 70 où le « consensus scientifique » (lire *médiatique*) était que la pollution et les émissions de CO2 par l’utilisation du pétrole allaient causer une glaciation. Alors qu’en luttant contre la pollution et en utilisant le solaire et l’énergie des marées, on allait pouvoir réchauffer les températures.
      Bon, assez rapidement, dès le milieu des 90 S&V s’est converti au réchauffisme catastrophique. J’ai souvenir d’un numéro annonçant que « si on ne change pas », « c’est sûr dès 2012 Paris et Londres seront sous la mer ». Bien entendu, on a changé. En émettant plus. Et je reviens tout juste de Londres, avec une escale à Paname, et j’ai gardé les pieds au sec.

      • Je pensais que « la qualité des publications de S&V » était un trait d’humour, mais l’auteur du commentaire y croit peut-être effectivement.

  • je ne pense pas que l’excommunication soit l’arme préférée des adorateurs des dieux de l’olympe

  • Les croyants ne seraient-ils pas en train de paniquer?

    • Si, c’est exactement ce qui se passe.
      La grande conférence de Paris est déjà un fiasco, l’escrologie ne fait plus vendre, les gens commencent à se ré-intéresser à des sujets qui les touche (liberté individuelles, emploi, etc…).
      Et la Nature n’aide pas, surtout aux USA : 2015 est une année banale, voir carrément médiocre au niveau des phénomènes météorologiques.

      • Cette nouvelle monté de violence éco-totalitaire aux USA est plutôt du à une bonne nouvelle: comme d’habitude, contrairement aux européens, les américains ne se font pas avoir et résistent aux conneries idéologiques.

      • « 2015 est une année banale, voir carrément médiocre au niveau des phénomènes météorologiques. »

        2015 est terminée et on m’aurait rien dit ?

    • Chez moi, il y a encore des gelées le matin, comme ce matin. Alors plus de chaleur, ce ne serait pas si mal.
      La surface en glace Nord + Sud se porte bien et même de mieux en mieux, malgré tout le CO2, alors que la pente devrait être négative. L’eau devrait être réchauffée en surface et faire fondre la banquise. Cela ne semble pas fonctionner comme cela.

      • L’étendue de banquise globale (arctique et antarctique) diminue de plus de 300 000 km2 par décennie. C’est sans doute ça que vous qualifiez de « de mieux en mieux ». En volume, même si c’est forcément plus difficile à estimer, la situation est encore « meilleure » : une perte de l’ordre de 200 Gigatonnes par an. Et c’est sans compter les calottes arctique et antarctique, et les glaciers terrestres, qui perdent près de 800 GT par an. Pour les détails et les références, je vous renvoie à mon commentaire d’il y a quelques semaines https://www.contrepoints.org/2015/02/14/197749-la-fabrique-des-faux-souvenirs-climatiques#comment-1023182

        • Bizarrement, l’Antarctique semble avoir un comportement assez stable, mais qui tend vers l’augmentation de la surface.
          Même « Science et Vie » tribune réchauffiste en touche un mot, même sur l’absence de consensus. Pourquoi ❓ après 25 ans, on devrait le savoir. Avouez honnêtement que ce n’est pas si limpide.
          Les eaux bouillonnante de vapeur d’eau devraient faire fondre cette banquise, aidées par le CO2 en augmentation constante. Mais ou est passée ce bouillonnement ❓ Sous la table du bureau d’Obama ❓
          Ah non ❗ Ah, on l’a retrouvé sous le bureau d’Al Gore (science is settled :mrgreen:), tout va bien alors.

        • Mais enfin, je croyais que la banquise arctique avait déjà disparu (*). Comment fait-elle pour baisser encore ???
          (*) au dire d’un réchauffiste très sérieux et jamais démentis par personne de sérieux (les « négationnistes » ça, ne compte pas, n’est-ce pas 🙂 ), la banquise était censé disparaître en 2012 ou 2014 , je ne sais plus, Reverb va nous retrouver ça je suis sur. Il est très fort, Reverb.
          la preuve qu’il est très fort, Reverb, c’est qu’il a vu une tendance significative (par rapport au bruit normal de ces données chaotiques), et même une tendance à la baisse qu’il est capable de chiffrer précisément, dans ces graphiques :
          http://arctic.atmos.uiuc.edu/cryosphere/IMAGES/global.daily.ice.area.withtrend.jpg
          http://arctic.atmos.uiuc.edu/cryosphere/iphone/images/iphone.anomaly.global.png
          Reverb, avec des tirages du loto il serait capable de nous pondre une tendance, je suis sûr. 🙂

          • Effectivement, les données dont sont tirés ces graphiques montrent bien une tendance significative (p=0,022) à la baisse de 31 000 km2 par an. Merci de confirmer le chiffre de 300 000 km2 par décennie que j’avais posté plus haut. Ceci dit, j’ai donné toutes les références il y a quelques temps, libre à vous de les vérifier et si le coeur vous en dit, de les contester.

          • facepalm. retourne en TD de stat, moi je te colle la bulle. Tu sera en bonne compagnie avec la plupart des réchauffistes, Al gore et plain d’autres.
            Et la prochaine fois, quand tu fait le malin avec une p-value, n’oublie pas de préciser d’abord quelle hypothèse nulle tu as testé, et pourquoi celle-là plutôt qu’une autre.

  • La France est responsable de 1,4% des gaz à effet de serre c’est peanuts,le lobbying des écolos et des affairistes permet de se servir dans la poche du contribuable culpabilisé et ignare.

    • Les artistes ont l’excuse d’être un peu poètes…
      Vous parlez sans doute du CO2 quand vous parlez des « gaz à effet de serre (GES) » de l’atmosphère. Or l’atmosphère possède surtout la vapeur d’eau comme GES: La vapeur d’eau c’est 4% de l’atmosphère et le CO2 n’est que de 0,04% soit 100 fois moins.

      Et là on parle de tout le CO2 engendré sur terre, par toutes les plantes, les pourritures, les bactéries, les animaux, le krill, les volcans etc.
      Le CO2 crée par les humains n’est que 3% de tout ce CO2.
      On en est donc à 0,03 x 0,04%=>0,0012%
      Et la France dites-vous c’est 14% du CO2 anthropique soit c’est 0,14×0,0012%. Soit 0,00014% de l’atmosphère.
      Pour comparer:
      Imaginons que vous vous pesez et faites 100kg. C’est comme si vous vouliez tenir compte sur la balance d’un peu plus d’un dixième de grammes (0,17g) de votre poids pour savoir si vous avez maigri ou grossi…
      Et l’on vous dit que en doublant ce dixième de gramme sur 100 Kg la terre va devenir l’enfer.
      Et on vous dit qu’il faut d’urgence détruire notre civilisation énergivore pour ce dixième de gramme.
      (Hollande nous dit qu’il faut réduire de 50% notre consommation d’énergie, source de toute civilisation, pour 2050…)
      Et on nous taxe de partout au nom de ce 1/10e de gramme sur 100Kg.
      Et on nous fait des ministères, sous-sécrétariat d’État, l’Ademe etc… Un programme complet à enseigner à nos enfants… etc.
      Et on nous fait des éoliennes et du solaire hors de prix et intermittents.
      Et on fait une grand messe mondiale à Paris pour ça…
      etc.
      Sans parler du pourquoi d’avoir choisi de s’en prendre au CO2 et non pas à la vapeur d’eau, 100 fois plus présente dans l’atmosphère….

      Mais chut, … je ne suis sans doute qu’un horrible climato-sceptique à abattre d’urgence…
      (Merci aux matheux de vérifier mes chiffres)

    • Peanuts ? 1,4% ? Pour 0,93% de la population mondiale ? Il y a bien 0,5% de trop…

      • Si la moitié de la population mondiale est sous-développée, ne mange pas à sa fin, ne dispose pas de la santé et du confort matériel – et que « grâce » à cela elle produit moins de CO2, cela ne veut pas dire que l’on doit devenir chômeur, crever de faim, ne plus se soigner et vivre dans les bois pour s’aligner. Si vous comptez sur un progrès technologique pour baisser ce ratio, soit il ne profite pas aux pays pauvres car trop coûteux et ça ne sert à rien, soit le ratio reste inchangé.

      • Que veut dire « trop » ? Pour qui vous prenez-vous pour juger que c’est « trop » ? Mêlez-vous donc de ce qui vous regarde, au lieu de commettre vos ridicules interventions qui polluent infiniment « trop » puisqu’elles sont au mieux inutiles.

  • ces derniers temps , j’ai lu sur différents sites qu’un mini age glaciaire se profilait à l’horizon , dans un avenir proche ; je ne sais pas du tout si c’est vrai , mais si c’est le cas , il y en a quelques uns qui se prendrait une bonne giffle bien froide en pleine poire…..

    • Pour se faire une idée, un historique des périodes glaciaires et interglaciaires :

      http://geology.utah.gov/wp-content/uploads/ice_ages2.gif

    • « il y en a quelques uns qui se prendrait une bonne giffle bien froide en pleine poire….. »

      Moi, je pense que non.
      Je parie qu’ils trouveront à terme une parade, après s’être fait un peu oublier, dénigreront le réchauffisme en disant que c’était un courant marginal, diront qu’il y a consensus concernant le refroidissement, que c’est la faute au capitalisme, qu’il faut des politiques d’envergure, etc…
      Si la politique de la foi avait besoin de cohérence, ça se saurait…

      • Suivant les méthodes habituelles de ce genre d’énergumènes, lorsque leurs prédictions apocalyptiques se seront révélées fausses, ils expliqueront que c’est grâce à leur action que le pire a été évité.

  • Nous sommes dans l’ère de la pensée unique…
    Si la « world company » a décidé que le réchauffement climatique devait être notre 1ère préoccupation (enfin, partout sauf dans les pays d’asie qui produisent bien évidemment) c’est que cela doit être bon pour nous (et pour finir d’achever le peu d’industrie qui nous reste encore bien évidemment)…
    Il est clair que « Big brother » est déjà dépassé, bientôt THX1138 pour les déviants ?

  • J’ai écrit un billet sur mon blog il y a quelques jours à propos des agissements innommables d’Al Gore. L’intitulé de mon billet était peut-être trop accrocheur en parlant de fascisme ! C’est bien de cela qu’il s’agit :
    https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/03/25/le-fascisme-climatique-il-faut-appeler-les-choses-par-leur-nom/

    • Excommunier ….. non
      Les envoyer griller en enfer: oui …. ça leur apprendra !!!

      Churchill disait:

      « Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées »

  • Avec le réchauffage climatique et l’échauffement des esprits nous ne sommes pas dans le scientifique, ni le para scientifique, ni le peri scientifique, nous sommes dans le religieux, la superstition, les gris-gris des gourous

  • Il suffit d’interdire de ne pas croire aux affirmations de nos génies à la science infuse.

    Interdit d’être climatoseptique ….

    C’est l’évidence même

  • Excommunier ….. non
    Les envoyer griller en enfer: oui …. ça leur apprendra !!!

    Churchill disait:

    « Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées »

  • bonjour ,faisant référence aux déclarations de Messieurs J .Kerry & Al Gore : ne se trouvent-ils pas aux USA mêmes des braves gens pour leur botter le train arrière ,ceci pour leur remonter la cervelle à un endroit plus conforme .

  • National Geographic a aussi tenté de lier les climato-dissidents avec ceux qui nient l’alunissage.
    Buzz Aldrin, un dissident, doit pisser de rire ou s’auto flageller de facepalm.

    • D’ailleurs on trouve un magnifique reductio ad hitlerum à la fin de cet article.

    • L’article s’intitulait « La guerre contre la science ». Il passait très rapidement sur les anti-OGM et les opposés à la vaccination, ces deux sujets réduits à des anecdotes. Il s’attardait quand même davantage sur le créationnisme, avant de se répandre en long, en large et en travers sur le scepticisme climatique. Bref, l’objectif était clair dès le début: procéder à une vague introduction sur deux ou trois sujets avant de se lancer dans une charge en règle contre les sceptiques. C’était tellement grossier que c’en était pathétique. Et avoir le toupet de prétendre que les sceptiques sont opposés à la science alors que des crétins comme le Goracle se gargarisent de grandes phrases très rigoureuses et rationnelles (ahem…) relève d’une absence totale d’esprit critique et d’indépendance journalistique.

      Quant à punir les sceptiques, ça fait froid dans le dos, sans jeu de mots. A quand l’ouverture de camps de rééducation de type Treblinka? Si ces fêlés parviennent au pouvoir, c’en est fini de la liberté d’expression.

      • Treblinka était un camp d’extermination.

        • Il y avait le nom donné par les criminels pour cacher leur activité, et bien sûr, la réalité était toute autre …

      • L’Histoire retiendra que ce furent les Soviétiques qui s’étaient engagé dans la voie de la « Rééducation-refonte » de ses citoyens, opposants réels ou supposés, en les enfermant dans les camps de concentration alors nommés « camps de redressement par le travail (ITL) », au sein desquels intervenaient la « Section culturelle et éducative (KVTch) » et la « Section politique ».

        • Ce n’est sûrement pas un hasard si certains écolos sont partisans des mêmes méthodes. Quant à l’article évoqué ici et ses méthodes, les extrémistes climatiques ont clairement publié les méthodes à employer pour discréditer les « dissidents » et les athées. Et ces articles la n’ont guère fait l’objet de commentaires dans la presse.

      • Je vous félicite je n’ai pas pu le finir, j’avais honte d’avoir gaspillé ma bande passante.

  • J’aimerais que la communauté scientifique, la vraie, cad pas les ecolos, les climatologues, les politiques, essaie de nous éclairer sur le sujet.

    • Il y a eu des articles à ce sujet. Il semblerait qu’on ne sache ni démontrer qu’il y a un réchauffement climatique, ni démontrer le contraire, et encore moins démontrer qu’un éventuel réchauffement climatique serait lié à l’activité humaine. La température moyenne du globe n’est qu’une vue de l’esprit, qui dépend totalement du mode de calcul et des mesures sélectionnées.
      Les convictions se fondent surtout sur des phénomènes locaux et des périodes courtes (à l’échelle humaine), du genre « ce glacier a reculé depuis mon enfance », « les glaces de l’Arctique fondent », « il y a plus de tornades aux USA », etc. L’observateur ne fait aucune recherche sur le phénomène observé comme, simplement, « comment ce glacier a-t-il évolué ces 300 dernières années ? » ou  » les glaces de l’Antartique évoluent-elles de la même manière qu’en Arctique ? ». Bref, ce n’est pas de la science !

    • il n’y a rien à éclairer…c’est je crois que j’ai compris le climat et que mes modèles sont « bons » ou j’y crois pas…
      et pour quoi t’y crois? ..car mes modèles reproduisent « assez bien » le climat du siècle dernier..et aussi des grands événements du passé cliamtique..
      et pourquoi t’y crois pas? ben ça ne prouve rien…

      circulez le débat est fini…
      on peut réécouter freeman dyson, qui ne s’y connait pas qu’en aspirateur…

      • au passage il y a un truc très caractéristique…

        ils ont tout compris…mais si une étude leur dit que c’est pire que prévu…alors ils estiment qu’ils ont eu encore plus raison qu’avant…
        se tromper c’est quand même avoir raison pourvu que ce soit pire…les cassandre sont accueillis à bras ouverts…

      • Ce qu’ils font avec les modèles n’est guère mieux (mais beaucoup plus cher) que ce que l’on fait en travaux pratiques de physique quand on trace une droite avec 5 points passablement dispersés : on sait que le l’on est sensé obtenir une droite, alors on trace une droite qui passe pas trop loin de chaque points en éliminant au besoin les points qui sont vraiment trop éloigné.

        Les climatologues prétendent voir une exponentielle dans une montée des températures (alors que celle-ci est constatée depuis que les mesures existent et boostées par les les oscillations océaniques multidécennales AMO depuis 60 ans), alors ils fourrent ça dans une grosse chaussette et ils disent en triomphant : « vous voyez bien ça rentre dans la chaussette, yaka forcer un peu sur l’intervalle de confiance ». Et comme l’orteil sort maintenant de la chaussette, ils nous disent que c’est à cause de l’AMO.

        Il faudrait peut-être revoir la façon dont on distribue les diplômes …

        • et ce qui est vraiment surprenant, c’est qu ‘il n’y ait pas davantage de scientifiques qui disent :  » hein?!? »

  • Ca devient un problème de responsabilité des scientifiques eux-mêmes : quand les vrais scientifiques (pas les scientistes) prendront la parole pour expliquer en termes clairs et pédagogiques au grand public ce qu’est la méthode scientifique, ce que sont les faits connus et ce qu’est l’idéologie scientiste ?

    A un moment donné çà va leur retomber dessus, il faudrait qu’ils en prennent conscience et prennent leur courage à deux mains…

    • Il y a le discours scientifique, la façon dont il est rapporté par les lobbies, media et politiciens eux-même… L’AFIS avait publié à ce sujet un article qui m’avait paru de bon sens : http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article2238 .

    • « çà va leur retomber dessus »

      En fait en toute logique, cela a déjà ruiné le domaine de la science auquel ils ont consacré leur vie. Le simple fait de considérer (à tort ou à raison) qu’un problème est résolu annihile les possibilités de recherches et de progrès. Ils sont donc condamnés à étudier les détails sur les conséquences. Mais si la base admise n’est pas aussi solide qu’ils le prétendent, ils sont condamnés à errer sans fin, sans jamais ne rien pouvoir établir de cohérent.

      Bonne chance Docteur Faust, l’aporie est votre destin !

  • Excommunier les climato-sceptiques est, de mon point de vue, inutile. Ils sont en voie de disparition et, devant l’évidence, ils auront quasiment tous disparus d’ici quelques années.

    • En revanche, les prêtres ne sont pas près de disparaître : dans l’antiquité, ils sacrifiaient des vierges pour calmer les dieux, au Moyen-Age ils brûlaient des sorcières car elles avaient fait un pacte avec le diable, aujourd’hui ils enferment les « sceptiques » car ils renient Gaïa.

      L’évidence change seulement avec la religion en vogue. Chez les Incas vous auriez été grand-prêtre du soleil et au Moyen-Age grand-inquisiteur. Mais aujourd’hui comme vous manquez d’ambition ou de courage, vous vous contentez de faire le Troll de service.

  • Je trouve ce genre d’articles dangereux pour l’avenir de l’humanité (la planète, elle , en a vu d’autres et nous survivra….) . J’en déduit que vous êtes financé par les lobby pétroliers, les seuls à mettre en doute le réchauffement climatique, et on comprend pourquoi !

    • A défaut d’argument, vous avancez un hypothétique financement par des lobby..
      Vous savez des hommes libres, cela existe.
      Cordialement

    • Voila maintenant que le fait de ne pas brûler les impies devient dangereux pour l’humanité.

      Quant à la mise en cause des méchants lobbys, ils ont pris la place du diable. Confrontés à un monde complexe sur le plan économique, scientifique et politique qu’ils ne comprennent pas, les bigots de l’écologie ou du collectivisme voient l’intervention d’une force du mal suprême et lui donnent un nom, à défaut de pouvoir définir précisément quelle est la force du bien ou comment et pourquoi ces forces du bien et du mal agissent.

    • Ricanet: « les seuls à mettre en doute le réchauffement climatique, et on comprend pourquoi ! »

      Oui oui….

      Ivar Giaever Prix Nobel de physique : il s’oppose tout particulièrement aux dévoiements de l’écologie à des fins politiques qu’organisent des individus comme Al Gore, Phil Jones ou James Hansen et des organismes comme le GIEC. Il a ainsi déclaré : « le réchauffement climatique est devenu une nouvelle religion »

      John Christy, professeur de sciences de l’atmosphère et directeur du centre des sciences de la terre à l’université de l’Alabama, ancien rédacteur des rapports du GIEC : « je ne vois venir ni la catastrophe qu’on nous annonce, ni la preuve évidente que l’activité humaine doive être mise en cause dans le réchauffement que l’on peut observer.

      Richard Dronskowski, professeur Lauréat du Prix Otto Hahn de l’Institut Max Planck, il est membre du Collegium de la Société de Recherche allemande, de la Société de Physique allemande et de l’American Chemical Society. Il a déclaré que « qu’il n’y a absolument aucun consensus, zéro consensus [au sujet du réchauffement climatique] » et qu’il connaît « des collègues qui financent des instituts entiers grâce au climat. Ils n’ont aucun moyen de faire machine-arrière car leurs instituts seraient ruinés »

      Delgado Domingos, professeur en science environnementale au Portugal, avec plus de 150 publications à son actif. Pour le professeur Domingos, « créer une idéologie à partir du dioxyde de carbone est un non-sens dangereux… L’alarmisme actuel sur le changement climatique est un instrument de contrôle social, un prétexte pour des batailles politiques et économiques. Cela devient une idéologie préoccupante »

      Stanley Goldenberg, météorologue à la division de recherche sur les ouragans de la NOAA, ex-directeur au National Hurricane Center. Selon lui, « c’est un mensonge éhonté colporté par les médias que de faire croire qu’il n’y aurait qu’une frange marginale de scientifiques sceptiques sur l’origine humaine du réchauffement climatique ».

      Je suis heureux d’avoir la possibilité d’ajouter mon nom à la liste de ceux qui sont en désaccord avec l’affirmation que le réchauffement climatique résulte des activités humaines. »
      John Theon – Phd ancien directeur de James Hansen à la NASA

      La liste des 650 chercheurs en désaccord: http://www.epw.senate.gov/public/index.cfm?FuseAction=Minority.Blogs&ContentRecord_id=1a5e6e32-802a-23ad-40ed-ecd53cd3d320

      etc. etc.

      • Voilà quelle est la bonne voie ! Des vrais scientifiques parlant le langage de la vraie méthode scientifique, où le scepticisme est la première loi.

        Revenir à l’esprit français, à Descartes !

        Merci pour ces références.

    • Le danger pour l’humanité, c’est l’aveuglement idéologique. L’humanité a déjà connu, du totalitarisme théologique chrétien au communisme, dont l’idéologie marxiste avait force de loi il n’y a pas si longtemps encore, et tout particulièrement dans les milieux intellectuels français (rappelons cette belle unanimité qui régnait dans les années 50, çà ne vous rappelle rien de ce qui se passe aujourd’hui ?)
      C’est donc hélas dans la nature des choses qu’une nouvelle idéologie (en l’occurrence le scientisme écologiste) tente par les mêmes travers et faiblesses humaines de dominer les esprits. Et comme d’autres en leurs temps, la dignité de tout homme libre est de la combattre.

    • ben non…

      amusant non, vous êtes persuadé d’un truc..et vous avez tort…
      je ne suis pas financé par le pétrole…je le finance …j’achète de l’essence du fioul du gaz..etc… et vous?
      mettez vous vos actes en accord avec vos paroles?
      c’est vraiment difficile de contenir l’envie de vous insulter je vous le dis tout net.. mais comme vous avez le bénéfice du doute…je me retiens…mais la probabilité est très faible que vous ne vautriez pas dans le confort donné par les énergies fossiles…tout en crachant dessus…

      vous ferez un as dans le bon sens si par principe vous doutez d’avoir raison…c’est ce qui a fait le succès de la science…ça permet de bétonner le chemin sur lequel on avance…

  • Le fascisme reposait avant tout sur la propagande et Goebbels l’avait très bien compris. Al Gore applique à l’évidence les principes mêmes du fascisme.
    http://www.mauvaisenouvelle.fr/?article=monde-le-fascisme-climatique–560

    • L’article débute en dénonçant implicitement des références douteuses.. vous n’allez vraiment pas dans le sens de l’auteur avec votre référence déplacée et honteuse.

      « Pourtant, les niveaux atmosphériques du CO2 ont été beaucoup plus élevés au cours de l’histoire de la Terre »
      Cette phrase trahi au mieux une incompréhension totale du sujet, au pire de la malhonneteté populiste.

    • arth, vous avez été victime de 2 trolls climatiques. Ne vous laissez pas impressionner par ce genre d’argument d’autorité, ils en abusent.

      • Ce n’est pas la définition d’un argument d’autorité.
        De toute façon il n’y a pas d’arguments dans ma phrases. Et le fait de dénoncer des éxagérations me permet d’être qualifié de troll climatique. haha

        • il n’y a pas d’arguments dans ma phrases.

          Vous parlez donc pour … ne rien dire :mrgreen:
          Donc Troll climatique est mérité :mrgreen:

  • En passant. C’est curieux, je suis climato-sceptique, j’ai traduit assez d’articles sur la question pour le prouver; et je ne crois pas à l’évolution, en utilisant la même démarche scientifique du doute. Comme quoi, faire un parallèle entre les deux est un abus intellectuel.

    • OK, donc Dieu a créé le monde il y a 6000 ans, en 6 jours, et il a promis à Noé qu’il n’y aura plus de déluge pour détruire la terre (Genèse 9:11), donc on est à l’aise pour la montée du niveau des océans. Okay …
      Excusez-moi si je vais exploser de rire discrètement un peu plus loin.

      • Merci de votre argumentation, oh combien scientifique !

      • on peut contester le big bang sans avoir besoin d’un dieu créateur du monde, vous riez mais riez de vous d’abord…

        ce que je ne comprends pas d’abord c’est ce que scaletrans met sous le vocable d’évolution…
        si dieu a crée le monde..il le fait » évoluer »!!!

      • Lamentable. Vous tombez dans le panneau comme un objet inerte …

    • je suis curieux de comprendre ce que vous mettez derrière « ne pas croire à l’évolution »…l’évolution on la constate tous les jours, simplement du fait que les populations changent…génération après génération..
      si certains faits sont contestables, d’où vient le changement des animaux et des plantes sinon de leur « évolution »..vous contestez quoi?
      le poids relatifs des facteurs qui influent sur l’évolution?le hasard? la nécessite de catastrophe? la non influence du milieu?

      • Je me suis souvent posé la même question, et j’ai trouvé la réponse qui suit (mais ce n’est que « ma » réponse, hein …).
        il y a deux fixismes.
        Le fixisme « a priori », qui pose que dieu a fixé les caractères des mésanges, et c’est comme ça, point barre. C’est historiquement le premier, c’est aussi le seul fixisme que les débiles comme Réverb envisagent, et ils rient, les cons.
        Mais il y a un autre fixisme. Un fixisme « ex post », pour lequel l’évolution tourne en rond et a atteint un équilibre dont elle ne peut plus bouger de façon significative. La population des mésanges peut avoir l’air de changer, mais selon ce fixisme-là, la génétique des mésanges reste coincée dans un répertoire fixé par l’environnement, comme une bille coincée dans un verre qui bougerait sans cesse. Et réciproquement, la génétique des mésanges contribue à fixer tout un tas d’autres choses dans la biosphère (insectes quelles mangent, prédateurs qui s’en nourrissent, etc.), et l’ensemble fini par constituer un tout corseté qui ne peut plus bouger (et même à l’échelle de l’Univers). Cette variante est bien plus sérieuse et bien plus difficile à réfuter. Elle rejoint une difficile question de la biologie : pourquoi y a-t-il des espèces, composées d’individus si semblables ne copulant qu’entre-eux , plutôt que des individus de toute taille et de toute forme capable de se reproduire avec n’importe quelle autre individu ?

        Paradoxalement, les climato-catastrophistes sont aussi dans un paradigme fixiste : pour eux le climat à une position « normale » et c’est l’Homme qui brise le verre qui contient la bille ; et c’est mal, évidemment, aussi mal que si l’Homme manipulait l’ADN des mésanges ou du coton ou maïs.

  • La situation est encore pire. A lire les réchauffistes, inutile d’attendre la fin de siècle pour se plaindre du réchauffement : il est comme ce battement d’aile d’un papillon qui provoque une tempête à l’autre bout de la Terre…
    Quelle que soit les problèmes actuels, ils auront la même cause : l’actuel réchauffement de … 0.1°

    On a passé un cap dans la propagande. Une simple évocation suffit pour faire une belle histoire autour des habituels bouc-émissaires, sous entendus, et surtout l’intérêt d’une politique d’états.

  • Le réchauffement climatique est une bulle (financière) qui a déjà condamné les rots et pets des vaches. Tout est bon pour transformer des gaz en « or ». Bref, la nouvelle alchimie du XXème/XXIème siècle.

  •  »
    Actuellement, les niveaux élevés de CO2 contribuent à l’augmentation de la productivité agricole
     »
    ça fait plus de 10 ans que la production des céréales stagne dans le monde, malgré l’amélioration des semences (blé – riz – mais)

     »
    Pourtant, les niveaux atmosphériques du CO2 ont été beaucoup plus élevés au cours de l’histoire de la Terre
     »
    En ces temps la, l’homme n’y vivait pas. Et quand bien même il pourrait y vivre, le plus gros problème serait la phase de transition (entre deux états d’équilibre).
    Depuis quelques décennies, on rejette chaque année dans l’atmosphère environ 6 millions d’années de fossilisation.

    • heu … c’est ça que vous appelez une stagnation de la production ?
      http://www.fao.org/worldfoodsituation/csdb/fr/
      Notez que si la production ner monte pas plus, c’est surtout parce que la demande ne suit pas aussi vite que la production pourrait le faire. Les producteurs cherche désespérément des débouchés nouveaux capables d’absorber leur production, mais ils n’ont pour l’instant trouvé que des applications pas concurrentiels face aux fossiles (bio-plastiques, bio-carburants…)

      « Depuis quelques décennies, on rejette chaque année dans l’atmosphère environ 6 millions d’années de fossilisation. » Cool. Gaïa en avait marre de cette fossilisation débile, qui prive la biosphère d’une masse importante de carbone. Mais elle avait d’autres priorités et la pénurie n’était pas suffisamment grave pour s’en occuper. Jusqu’à il y a 300 millions d’années : là, les champignons capables de bouffer la lignine et d’arrêter la perte ont pu apparaitre ; mais le stock enterré restait un problème. Il lui fallait une espèce capable de le remettre en circulation, et ce fût l’Homme moderne.
      Encore 200 ans et le problème de la pénurie de carbone sera largement réglé. Un autre se posera alors, évidemment. Ainsi va la vie…

    • Koriaendre: « le plus gros problème serait la phase de transition (entre deux états d’équilibre). »

      Le climat n’est que transition pour votre information. L’homme marchait au fond de la mer du nord il n’y a pas si longtemps.

      Koriaendre: « Depuis quelques décennies, on rejette chaque année dans l’atmosphère environ 6 millions d’années de fossilisation. »

      L’homme participant pour ~3% dans les rejets de CO2 la nature rejette 200 millions d’année de fossilisation chaque année selon vos calculs.

      L’alarmisme décomplexé, un succès millénaire !

      « En 1995, entre 75% et 85% de toutes les espèces animales seront disparues” – Dr. S. Dillon Ripley April 1970

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