Hollande sait-il qu’il n’est pas en bonne santé ?

Le Délirant de l’Élysée entend les voix de la Croissance et du Retournement économique dans les couloirs du Palais…

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Chirac malade (Crédits : René Le Honzec/Contrepoints.org, licence Creative Commons)

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Hollande sait-il qu’il n’est pas en bonne santé ?

Publié le 8 mai 2014
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Le regard de René Le Honzec.

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Les femmes n’oublient jamais, et Bernadette s’en va de confidences en confidence sur l’évolution de la décrépitude de Jacques « trois minutes douche comprise ». Ce qui est inquiétant, c’est qu’elle rappelle que son AVC, c’était deux ans avant la fin de son mandat mais il est vrai que les actions de la plupart de nos dirigeants alimentent régulièrement les spéculations quant à leurs capacités intellectuelles. Pour ma part, quand Chirac avait dit devant les médias, lors d’une visite de Hollande en Corrèze, qu’il voterait Flanby, le diagnostic était plié.

Depuis, on a l’impression que les malades-qui-ne-s’en-rendent-pas-compte ont envahi le gouvernement. On ne peut que s’inquiéter pour Montebourg qui casse tout ce qu’il touche ; pour Peillon (actuellement en maison de repos en attendant de faire valoir ses droits à la retraite au Parlement Européen) qui n’est même pas arrivé à changer les horaires des pendules dans les cantines scolaires ; pour Valls qui a laissé s’enfuir un million de fascistes de la Manif pour Tous, de Trierweiler qui a essayé de violer Flanby devant des milliers de supporters sur la scène de la fête à la Bastille et qui a cru qu’elle ne serait pas cocue à son tour ; pour Taubira qui ne sait pas lire les papiers qu’on lui donne, et qui permet la réinsertion de condamnés socialistes divers aux plus hautes fonctions de l’État ; pour Cahuzac qui vire sa femme alors qu’elle sait tout sur ses comptes ; pour Aquilino Morelle, fétichiste de la brosse à reluire jusqu’à pratiquer à l’Élysée ; pour Ségolène Royal qui veut crever les pneus des camions étrangers à la frontière pour compenser les handicaps des routiers Français, et réintroduire le port de la guêpière pour ses sujettes.

J’ai gardé pour la fin le plus inquiétant, le Délirant de l’Élysée, le Jean d’Arc de Socialie, le type qui entend les voix de la Croissance et du Retournement économique dans les couloirs du Palais, qui voit la courbe du chômage s’inverser sur les rideaux de l’alcôve (pas forcément à l’Élysée, là), qui se travestit en social-démocrate dès qu’Ayrault ferme la porte et veut jouer à l’album de coloriage avec les Régions. Mais pas d’illusions, même avec ce Jean d’Arc, les socialistes ne sont pas près d’être boutés hors de France.

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