L’impossible équation économico-politique de Manuel Valls

La France va payer au prix fort ces erreurs économiques dues intégralement aux choix erronés de François Hollande

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L’impossible équation économico-politique de Manuel Valls

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 11 avril 2014
- A +

Tribune politique de Jérôme Dubus, Conseiller de Paris, Secrétaire National de l’UMP en charge de la croissance.

Depuis l'expulsion de Léonardo, la jeune kosovare, Manuel Valls est sous le feu des critiques de la gauche.

Manuel Valls, à peine nommé et investi a-t-il déjà perdu son pari économique ? La réponse est positive et il n’y peut rien : la principale erreur du gouvernement est bien due à François Hollande qui a cru pouvoir réduire nos déficits en augmentant massivement les impôts sur les entreprises et sur les ménages.

Deux ans plus tard, le résultat a dépassé les prévisions les plus pessimistes : non seulement la croissance a été ralentie par cette nouvelle pression fiscale mais les déficits n’ont pas été réduits. Il a fallu au contraire par deux fois renégocier des prolongations de délai avec la Commission Européenne qui refuse désormais d’en autoriser un troisième. Alors que la plupart de nos concurrents voit leur croissance augmenter, la France stagne et voit passer le train de la reprise.

Cette erreur initiale majeure va coûter très cher à notre pays : peut-être même plus cher que la réduction du temps de travail mise en place par le gouvernement Jospin. Les entreprises paient 17 milliards d’impôts et de charges supplémentaires depuis 2012. Quant aux ménages, ils supportent 30 milliards de prélèvements nouveaux sans compter les nouvelles augmentations qui vont porter leur effet cette année. Aucun autre pays à structure économique comparable n’a connu un tel matraquage fiscal : c’est même le chemin inverse qui a été choisi par la plupart d’entre eux. Résultat : les déficits se réduisent partout, le cercle vertueux de l’économie de l’offre ayant été enclenché par une baisse des prélèvements financés par une baisse de la dépense publique.

La France va donc payer au prix fort ces erreurs économiques dues intégralement aux choix erronés de François Hollande et de ses gouvernements successifs.

Le chemin est d’autant plus difficile à accomplir que la majorité parlementaire, au sein de laquelle subsistent nombre d’archéo-socialistes, traîne les pieds. Ces élus ne pensent qu’à leur réélection et donc à la préservation de leurs clientèles électorales dont les gros bataillons de la fonction publique. Cette majorité attend encore le « grand soir » fiscal : la justice sociale passerait forcément par la taxation des riches, de la finance et des entreprises du CAC 40.

Cette majorité a enfin une vision purement hexagonale des problèmes économiques et n’a toujours pas intégré que depuis 1989, la compétition mondiale s’était accélérée et que toute erreur de politique économique se payait cash !

Alors, on invente en catastrophe des expédients comme le pacte de responsabilité qui ne permettrait que de revenir au niveau des prélèvements de 2011. Quant à la fiscalité des ménages, on imagine en catastrophe un « pacte de solidarité » qui ne pourra que contribuer à creuser encore un peu plus les déficits des régimes sociaux financés par la dette qui pèsera encore un peu plus sur les générations futures.

En réalité, le piège diabolique s’est déjà refermé sur ce nouveau gouvernement, à peine nommé : la croissance n’est pas au rendez-vous ; les déficits vont donc continuer de se creuser malgré la réduction annoncée de 50 milliards de dépenses publiques (ce qui est notoirement insuffisant) et la dette poursuivre son augmentation.

Les résultats économiques du 1er trimestre montrent d’ailleurs que les effets de ce piège s’accélèrent : augmentation des défaillances d’entreprises ; chômage en hausse malgré plusieurs milliards dépensés dans son traitement social ; nouvelle baisse des investissements après une chute de 7% en 2013 ; résultats exécrables de la balance commerciale.

Les recettes sont pourtant connues : il faut mener de front des mesures de court terme permettant de rétablir rapidement la confiance des acteurs économiques et à long terme des réformes de structure profondes pour une véritable politique de l’offre.

Trois décisions devraient être prises dès demain pour rétablir la confiance, une « boîte à outils » autrement plus efficace que celle de François Hollande :

  • Le vote d’une loi qui interdise toute modification de la réglementation des entreprises pendant cinq ans : le vrai « choc de simplification » ;
  • Des mesures fiscales exceptionnelles pour relancer immédiatement l’investissement des entreprises : le vrai « choc de compétitivité » ;
  • Enfin, l’accélération et l’amplification du pacte de responsabilité sans contrepartie et financé par une baisse réelle de la dépense publique à hauteur de 100 milliards sur 3 ans soit 35 milliards dès 2014.

Il n’y aura pas de rétablissement de la confiance des acteurs économiques sans ces trois mesures courageuses que de nombreux pays ont déjà engagées. Faudra-t-il attendre un changement de majorité ? Vraisemblablement. Qu’il intervienne donc le plus vite possible…

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  • 1. Une loi pour interdire les changements dans la réglementation des entreprises pendant 5 ans : tartufferie stupide ! C’est au moment où cette réglementation est la pire qu’on déciderait de ne plus y toucher ? Et ce sont ceux-là mêmes qui passent leur temps à voter ces règles idiotes qui voteraient pour se l’interdire ?

    2. Des mesures fiscales exceptionnelles pour relancer l’investissement : exceptionnelles, pour 5 ans sans doute, fiscales, c’est-à-dire interventionnistes, et d’un flou… Non, il faut des suppressions permanentes de taxes, en gros une flat tax à 15% sur tous les produits des investissements, plus-values ou dividendes. Comme la CSG fait déjà les 15%, ça veut dire suppression définitive de toute autre taxation.

    3. Accélération du pacte de responsabilité : au contraire, suppression simultanée du pacte et des aberrations qu’il est censé compenser. Il n’y a pas de raison d’y avoir de pacte entre des entreprises et l’état. Chacun ne doit prendre que les engagements auxquels il consent individuellement.

    • UN EMPLOI DE FONCTIONNAIRE SUPPRIMÉ C’EST DEUX EMPLOIS DE CRÉÉS DANS LE SECTEUR PRIVÉ ET JUSQU’À DIX OU QUINZE QUAND IL S’AGIT D’UN CADRE « ÉNARQUE » DE LA FONCTION PUBLIQUE OU CERTAINS ÉLUS À CINQ OU SIX « CASQUETTES » … ALORS IMAGINEZ POUR UN MILLION DE FONCTIONNAIRES … SUR DIX ANS TOUT DE MÊME !

      • Pas la peine de le dire en majuscules, les lecteurs de contrepoints ont vu Cameron en UK à l’oeuvre le dire, le faire et surtout le vérifier.

  • Il y a encore plus simple : que le gouvernement cesse de se mêler de tout, à commencer par l’emploi, qui n’est jamais que la conséquence de difficultés économiques. Il est donc ridicule de s’attaquer aux conséquences sans d’abord soulager les causes en amont.

    Que l’Etat se retire de tout ce qui n’est pas strictement régalien, et le pays se ré-équilibrera tout seul … Mais c’est la pire crainte des Hollandouilles : ne plus être l’alpha et l’omega de toute chose, perdre la clientèle, se retrouver face à des citoyens …

    • « la pire crainte des Hollandouilles : ne plus être l’alpha et l’omega de toute chose »

      C’est aussi la pire crainte des sarkozouilles :
      – il faut une loi pour interdire la loi
      – des mesures fiscales pour lutter contre les effets des mesures fiscales
      – une accéleration des pactes ou mesures usines à gaz inutiles et foireuses

      A croire Mr UMP, Hollande serait l’inventeur du politicien inutile, qui brasse du vent pour se faire réélire. « On va pas s’mentir » ! Qu’il balaie d’abord chez lui avant de venir nous vendre de l’alternance.

    • @mps
      C’EST EXACTEMENT CE QUE VOUS ÉNONCEZ, LE RÔLE DE L’ÉTAT C’EST D’ARBITRER, PAS DE SE MÊLER DE LA PARTIE …

      … il ne peut que nous faire perdre et c’est bien ce qui arrive tous les jours et plus encore avec les lapins crétins socialistes qui nous « gouvernent ».

  • N est ce pas l Ump qui a fait exploser les déficits, la dette et qui a créé cinquante nouveaux impôts entre 2007 et 2012 ?

    • Je compatis à votre analyse si simpliste

    • Non Théo, il faut comaprer ce qui est comparable. D’abord, ce n’est pas l’UMP qui gouvernait, mais le Président élu et une équipe de coalition assez variée.
      Ensuite, si la dette de la France a nécessairement augmenté durant la crise, elle l’a fait bien moins que les autres pays comparables. Et les finances étaient déjà en voie de solide redressement quand le français volage a voulu changer d’équipage au milieu du gué.

      Vous ne construiredz aucun raisonnement solide en partant de prémices fausses …

      • Que l’UMP ait gouverné ou qu’elle ait seulement été solidaire du président, et avec aucune proposition de limitation de la taxation, de simplification, de diminution du rôle de l’état, de liberté d’entreprendre et de commercer la discrédite tant qu’elle n’aura pas fait son autocritique et construit un programme concret crédible. Un programme qui diffère du programme socialiste par autre chose que le logo dans le coin des pages. Qui supprime l’ISF, les 35 heures, les interdictions de travail, les normes, le Grenelle verdâtre, la TTF, les monopoles, etc. Les Français ont déjà vu ce que ceux-là faisaient au gouvernement, comme Hollande, ils ont eu pour slogan « Nous faisons mieux que si c’était pire ! », la dette a augmenté, la pression fiscale aussi, la pression réglementaire aussi, et les freins débiles dogmatiques n’ont pas été supprimés. Les finances n’étaient pas en voie de solide redressement, pas plus qu’elles ne le seraient avec les changements cosmétiques proposés aujourd’hui.

        • Il faut surtout faire les choses dans l’ordre :
          – supprimer les contraintes qui torpillent la productivité et la confiance des entrepreneurs et des investisseurs, simplifier le droit du travail (et sa durée).
          – boucher les trous en réduisant les dépenses (fonctionnaires et allocations en tous genre, transition énergétique, niches fiscales) – grêves et manifestations massives à prévoir
          – simplifier l’impôt.
          – diminuer les taux d’imposition quand on a reéquilibré les comptes
          – s’attaquer aux problêmes de la sécu et de la retraite

          Il n’y a pas de miracles : ce sont les classes moyennes qui payent toujours l’impot (l’ISF est marginal dans les revenus de l’état ). Et l’impot ne baissera pas tant qu’on n’aura pas mis en place les réductions de dépenses, stabilisé la dette, digéré le contrecoup (grêves, manifestations, diminution temporaire de l’activité …)

          Un programme qui promet la lune est démagogique. Qu’on laisse la démagogie aux trotskistes, aux écolos et au FN et qu’on dise la vérité aux français en dénonçant cette démagogie.

          • Faut surtout arrêter de faire des choses parce qu’à force ça coûte cher. La principale contrainte pour tout le monde c’est l’état.

            En gros une paye par an d’impôts pour moi, plus en gros 20% sur le sac de courses, 67% (pas sûr mais c’est dans ces eaux là) sur l’essence, plus (en gros (encore)) 450€ sur chaque paye.
            Seul j’arrive à quelque chose comme 12K € juste pour bouffer et aller bosser. Et je compte pas tout, a) parce que je suis déjà assez dégoûté, b) parce que j’ai foutrement aucune idée de ce que je paie au total, je suis pas expert comptable. Toujours est-il qu’une fois que j’ai payé mon loyer blindé de charges, mon électricité et mon gaz blindés de charges eh bah j’ai plus grand chose.
            Tout ça pour quoi ? Le remboursement partiel de 4 boîtes de doliprane dans l’année et le droit d’être emmerdé par les simagrés de l’administration à chaque fois (et c’est souvent, pour pas dire tout le temps) que j’y ai à faire.
            Alors bon, être obligé de payer pour me faire enfumer grossièrement à longueur de temps ça commence à me provoquer des ulcères. C’est quand la fin du cirque ?

        • Gouverner, c’est l’art du possible. Si Sarko avait supprimé les 35 heures, le bon peuple de gauche aurait hurler à la torture, et fait grêve au finish, pendant que l’Assemblée, prise de panique, désavouait le gouvernement.

          La France réclame des changements, mais entre en hystérie dès que ces changements dépassent les doses homéopathiques. Et même à des niveaux d’une timidité extrême (déduction des intérêts d’emprunts immobiliers limités au premier bien, et à quelques années), ou défiscalisation des heures supplémentaires, ou même fermeture d’une caserne désaffectée, ou timide regroupement de deux palais de Justice proches, dont l’un quasi à l’arrêt … c’était déjà trop !

          La mauvaise foi n’ôte pas la mémoire : tout a été fait pour bloquer l’action du gouvernement, puis on vient le lui reprocher !!!

          • Je ne suis pas d’accord. Ce scénario était très peu vraisemblable en 2007. Quant un président et une assemblée viennent d’être élus, ils ont un argument de poids : vous avez perdu, et c’est nous qui décidons. Mais alors qu’on attendait de Sarko qu’il aille modifier la constitution à l’allemande pour interdire de prélever plus de 50% des revenus, il a fait passer un bouclier fiscal chiffon rouge (ou bleu) où le fisc fait un chèque au contribuable. Alors qu’on pensait passer l’automne en grèves et blocages divers, mais que ce serait la dernière fois parce que cette fois on avait tous les atouts pour ne pas céder, il a négocié pour éviter tout affrontement. Alors qu’on attendait des hommes et des mesures favorisant l’économie, il est allé débaucher les caciques socialistes pour les intégrer à son équipe et a demandé des conseils à Attali. Alors qu’il avait perdu une chambre introuvable en préconisant la TVA sociale, il a aussi renoncé aux avantages de la dite TVA : perdant-perdant.

            Sarko et l’UMP n’ont pas fait ce pour quoi ceux qui avaient voté pour eux les avaient élus. Pire, ils ont eu comme stratégie de tirer le tapis sous le PS en rendant les propositions du programme socialiste sans couleur parce que la moitié en était déjà réalisée par l’autre camp.

            Oui, tout a été fait par l’opposition pour bloquer l’action du gouvernement (quelle surprise !), et le gouvernement a répondu : bon, alors on renonce.

            • + 1 , ce sont des traitres, comme juppé en 95, je suppose que ce connard est allé verser une larme à l’enterrement de blondel ? le grand copain de chirac …

      • J ai un scoop : les députés qui ont vote les nouveaux impôts et augmente ceux déjà en place entre 2007 et 2012 venaient de l espace. Fillon n était pas de l Ump mais de l amicale des boulistes de la planète Saturne.

    • Dubus est certes mal placé. Au lieu de dire la droite c’est de la merde et que c’est pareil, il faut dire qu’elle doit expier ses fautes et comme l’écrit si bien Charles Gave, que l’attente de l’homme providentielle naturellement bonapartiste conduit à une impasse face au socialisme.

      Une fois ce constat fait, il y a des mecs au centre et à l’UMP qui sont valables. C’est à nos connaissances qu’il faut recommander l’abstention ou le vote pour des alternatives (il en existe à droite et elles poussent logiquement actuellement).

      Contrairement aux critiques primaires faciles mais néanmoins indispensables à M. Dubus, je crois plus utile aux libéraux de manifester leur désaccord de fond plutôt que d’envoyer le message fort mais stérile, « vous êtes des tocards fuck off ».

      Signé : Un abstentionniste qui rêve de revoter…

      • Mais CE SONT des tocards ET des escrocs !

        Le côté escrocs est dans la droite ligne chiraquienne : ne pas réformer, ne pas faire de vagues en affrontant les problêmes, promettre la lune, carresser l’électeur dans le sens du poil en créant de la dette.

        Pour le côté tocards, vous avez la mémoire courte. Sans son allure « bling-bling » qui faisait les chous gras de la presse anglaise entre autres, et enrager une majorité de français, Sarko aurait probablement été reélu : combien ses postures de paon lui ont fait gagner d’électeurs et combien lui en ont elles fait perdre ?

        Maintenant, au point où on en est, ce n’est plus d’une politique pragmatique dont on a besoin mais d’une cure de dégraissage massif à la Thatcher. Pensez vous que celui qui brigue le poste de commandant en chef pour affronter la fureur des syndicats, des fonctionnaires, des écolos et autres trotskistes doit nous enfumer ou préparer dès maintenant l’opinion, quitte à mettre un peu d’eau dans son vin avant les élections ? Comment espèrent’ils battre les populistes du FN s’ils ne peuvent pas dénoncer leur démagogie parce qu’ils pratiquent exactement la même, tout en niant les vrais problêmes soulevés par le FN.

        Au niveau du « message », c’est Mr Dubus qui nous prend pour des quiches avec sa « boite à outils » Playmobil alors qu’ils n’ont pas le pouvoir. Ni plus ni moins que les crétins qui gouvernent et qui nous promettent la lune pour après les élections présidentielles. Qu’ils gardent ce genre de discours pour les noeud-noeud qui vont assister à leurs meeting.

        Signé: Furax.

  • Je pense que vers 2030 ça commencera à aller mieux. Tant qu’on aura pas intégré la charia dans notre constitution on ira en s’amusant. Les anglais et les allemant ont déjà commencé. Il faut les suivre.

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