À peine arrivée, Ségolène donne le ton, et sans demander rien à personne, a mis un bémol à l’un des morceaux de bravoure des écolos rouges, la symphonie de l’écotaxe. Elle inaugure la série de couacs que l’orchestre de bal popu que nous a concocté Pépère Ier va nous infliger dans les semaines qui viennent.
Déjà, problème de (ré)partition entre Montebourg, alto, et Sapin, baryton manquant de coffre du soprano de l’Intérieur qui en plus ne connaît pas le solfège de la maison Poulaga, mais de plus la Castafiore de Guyane va encore pousser le contre-ut du barreau scié, le prof de musique Hamon va devoir harmoniser ses chorales, Le Foll réer dans les(haut) bois, Le Drian sonner de la bombarde (jeu de mot breton), Filippetti justifier ses intermittences pour toucher son cachet, Najat vérifier la parité des airs envisagés. Bref une belle cacophonie qui ne nous changera guère de l’orchestre précédent, dont les spectacles devant des salles de plus en plus vides avaient justifié la nomination d’un nouveau chef, lequel a amené sa matraque pour tenter de mener à l’unisson une musique à adoucir les notes salées pour le Festival des Européennes.
Au programme, la symphonie inachevée (du quinquennat) de Franz van Hollanden. Mélomanes s’abstenir.
il paraîtrait que la symphonie va s’achever avant que prévu… enfin on peut toujours espérer… espérer coûte pas cher aux cons-tribuables, en tout cas moins cher que les subventions accordées à l’opéra-comico-bouffon
valls avec la matraque : C’est très bon!
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