Radicalisme écologiste : pourquoi tant de haine ?

Préfacé par Yves Cochet, un ouvrage collectif d’écologistes radicaux préconise sans complexe un malthusianisme débridé. Terrifiant.

Partager sur:
Sauvegarder cet article
Aimer cet article 0
Yves Cochet à l'INSA de Toulouse (Crédits Guillaume Paumier, licence Creative Commons)

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

Radicalisme écologiste : pourquoi tant de haine ?

Publié le 14 mars 2014
- A +

Par Thierry Levent.

 

yves-cochet
Pour Yves Cochet, député EELV, sauver la Terre exige de punir les hommes. Beau programme.

 

Les écologistes tutoient les sommets. Si, si c’est possible… mais dans le pire.

Un collectif d’humanistes pur jus vient de publier un ouvrage inoubliable préfacé par Yves Cochet, qui est une ode à un malthusianisme débridé et pour tout dire décomplexé1. Benoît Rayski en a fait une analyse impitoyable2.

 

De grands humanistes à l’œuvre

moins nombreuxL’écolocentrisme a fait la peau de l’anthropocentrisme, l’Homme prolifère et est coupable de tout. Cette idée était déjà défendue par Hans Jonas, philosophe prophétique des écolos3.

Le Saint commandant Cousteau, icône des poissons et des crevettes, préconisait de réduire la population de 300 000 personnes par jour4 sans nous préciser les moyens. À sa disparition, la Terre s’en est remise, mais son fidèle second, Yves Paccalet, a commis un ouvrage humaniste inoubliable5 (encore un) et nous affirmait que « la disparition de l’Homme, au fond serait une bonne nouvelle. »

Autre amoureux d’homo sapiens, Philippe d’Édimbourg déclarait en 1998 à l’agence de presse Deutsche Agentur :

« Si je devais être réincarné, je voudrais que ce soit sous la forme d’un virus mortel afin d’apporter ma contribution au problème de la surpopulation. »

Rappelons que ce cher Philippe est l’un des fondateurs du WWF, ONG adoratrice du Saint Panda.

Toujours plus fort et nettement plus viril, James Loverlock, le père de l’hypothèse Gaïa, s’est prononcé pour une réduction de la population mondiale à 500 millions d’individus.

Plus social, Yves Cochet proposait en 2009 une inversion du montant des prestations familiales à partir du troisième enfant au motif qu’un nouveau-né « aurait un coût écologique comparable à 620 trajets Paris-New York6

Tant pis pour l’aéronautique et les gamins parasites.

Un allumé sévère tendance radicale affirmait que le véritable écologiste est celui qui ne laisse aucune trace de son passage sur Terre. Toujours la célèbre empreinte carbone…

 

Les faits

Nous sommes loin de ces prédictions apocalyptiques malthusiennes de Paul Erlich.

« Le XXIe siècle ne sera pas celui d’un prétendu surpeuplement, mais celui d’un phénomène inédit par son ampleur : le vieillissement de la population. La transition démographique, passage d’un régime de forte natalité et de mortalité élevée à un régime de basse mortalité puis de faible natalité, est portée par les progrès techniques, économiques, sanitaires et par de meilleurs comportements sanitaires. La croissance démographique des deux derniers siècles n’est nullement due à une augmentation de la natalité ou de la fécondité, mais à la diminution de la mortalité. Les populations adaptent leur comportement de fécondité aux changement structurels de la mortalité et entrent dans la seconde étape de la transition démographique, celle de la décélération, baisse du taux de natalité dans le monde de 45 % en 25 ans, baisse de la fécondité mondiale de 44 % sur la même période, baisse du taux d’accroissement et du solde naturel7 »

L’urgence alimentaire est évidemment mise en avant pour justifier la réduction des populations sauf que « les géographes sont unanimes pour dire que la planète est loin d’avoir atteint ses possibilités maximales en termes de production alimentaire8. »

La Terre est largement suffisante pour nourrir la population mondiale, le problème se situant davantage au niveau de l’accessibilité et de la répartition que de la production. Le réchauffement climatique qui se fait attendre, permettrait en outre d’augmenter les surfaces cultivables, la Russie voyant d’ailleurs d’un très bon œil cette éventualité.

 

Tentative de réflexions philosophico-sociologiques

Jacques Julliard s’inquiète de « La réintroduction en contrebande d’une philosophie irrationaliste, anti-industrialiste, réactionnaire, à relent fasciste9 en parlant de l’écologie politique qui découle d’une conception romantique de la nature et d’un refus des Lumières. Elle est une philosophie conservatrice, empreinte de pessimisme.

« Le radicalisme écologique ambiant ne serait-il pas une mode, une idéologie dans l’air du temps, tout comme le fut le marxisme durant une époque ? Un faisceau d’indices va dans ce sens10

Il existe en outre au sein du mouvement écologiste, des courants ouvertement antisémites11. Rappelons pour mémoire que la structure fondatrice des Verts allemands en 1980, l’AUD, comprenait un nombre important de militants de la droite radicale. Ces derniers ont participé à l’élaboration du programme des Verts12, et à la revue, Die Grünen, qui a été dirigée un temps par les néo-droitiers allemands.

Des écologistes suisses mettent en œuvre le partage citoyen, mais en militant pour l’entre soi[L’homme-phobie.]. Tout en se défendant de xénophobie, ils s’inquiètent que les migrants atteignent le même niveau de vie que les Suisses car ce développement n’est pas durable à la longue. C’est donc du principe de précaution appliqué : que les pauvres restent pauvres car nous ne sommes pas certains que leur enrichissement soit bénéfique pour la Terre.

 

Conclusion

Sauvons la Terre et punissons les Hommes, beau programme. Merci monsieur Cochet.

  1. Collectif, Moins nombreux, plus heureux. L’urgence écologique de repenser la démographie, Éditions le Sang de la Terre, 2014.
  2. Qu’est-ce qu’il y a de plus con qu’un écologiste ? Douze écologistes, Atlantico, 7.03.14.
  3. Hans Jonas. Le principe de responsabilité, « Champs », Flammarion, Paris , 1998.
  4. Courrier de l’Unesco, novembre 1991.
  5. Yves Paccalet, L’humanité disparaîtra, bon débarras, Éditions Arthaud.
  6. Gilles Finchelstein, La dictature de l’urgence, Éditions Fayard, 2011.
  7. Gérard-François Dumont, in Le ciel ne va pas nous tomber sur la tête, 15 grands scientifiques géographes nous rassurent sur notre avenir, Éditions Lattès, 2010.
  8. Gérard-François Dumont, op. cit.
  9. Le Nouvel Observateur, 3 décembre 2009.
  10. Stéphane François, L’écologie politique, Une vision réactionnaire du monde ? Éditions du CERF, 2012.
  11. Gilles Finchelstein, op.cit.
  12. Pierre Milza, L’Europe en chemise noire, Les extrêmes droites en Europe de 1945 à nos jours, Fayard, 2002, p. 219.
Voir les commentaires (122)

Laisser un commentaire

Créer un compte Tous les commentaires (122)
  • Ces écologistes (ceux décrits dans l’article) sont très dangereux. J’espère que les français vont sortir de leur torpeur pour définitivement enterrer ce mouvement politique et son influence démesurée sur les autres partis.
    Il faut aussi éradiquer leurs relais dans les médias qui vendent de la peur à longueur d’années : quand la météo est à la pluie et au vent, c’est l’horreur; quand il fait beau, c’est l’horreur…
    Il faut arrêter le délire!

    • Aux écolos, N’avez-vous pas l’impression que vous n’êtes simplement que les derniers catastrophistes en date et à la mode?

      On peut remonter autant de siècles que l’on veut, on trouve toujours, même si les ressorts diffèrent selon les époques, des maitres à penser et autres constructivistes pour commander à leurs semblables leur mode de vie. Et à chaque fois, si on ne plie pas, on ne se plie pas jusqu’à se mettre à genoux devant le dogme, assurément de grands malheurs nous attendent…

      En ce qui concerne les thèses malthusiennes, il suffit de remonter 50 ou 60 ans en arrière, faire un peu de lecture, et on a de quoi rire (jaune).

  • Ouf ! Vous avez réussi à le placer. Quoi ? Le « Point antisémite », comme son cousin le « Point Godwin ».
    Tout va bien donc.

    Pour le reste, si vous épinglez la détestation de l’homme par les écolos, vous, vous proposez quoi ?

    Ca vous fait rire les bonnes âmes qui :
    -sauvent des millions d’enfants africains (via nourriture, vaccinations)

    -pour ensuite se satisfaire de les voir grandir dans la misère la plus absolue ?

    -cette explosion démographique donnant ensuite du grain à moudre si j’ose dire, voire du carburant, à des massacres à l’échelle industrielle, à coup de machettes et autres joyeusetés ?

    Huit milliards d’hommes sur cette planète.

    On s’arrête quand ? Jamais ?

    Encore plus de bidonvilles, des milliards de pauvres hères encore une fois condamnés -par vous et votre idéologie mortifère à rebours- à une vie terrifiante, faite de souffrances objectives ?

    Eprouvez-vous une jouissance « libérale » à cette idée ? Ne voyez vous pas là une perversité absolue ?

    On sauve un individu, on lui permet de naître et de survivre à cette naissance… pour ensuite se délecter de le voir souffrir pendant de longues années après ?

    C’est ça le progrès ?

    Bref, avant de dégommer les « écolos » et de voir des antisémites partout… vous devriez également faire votre examen de conscience.

    Le vrai.

    • christophe : « -sauvent des millions d’enfants africains (via nourriture, vaccinations)
      -pour ensuite se satisfaire de les voir grandir dans la misère la plus absolue ? »
      ——————
      Ah parce que vous croyez que quand on sauve les enfants africains, c’est pour rien d’autre ? Soit vous manquez totalement d’imagination, soit vous être un gros pervers qui projetez votre sadisme sur les autres.

      Et puis, comme visiblement, ça vous a échappé, les écolos ne veulent pas du malthusianisme juste pour les Africains, mais pour tout le monde, surtout ceux qui vivent prospères sur des surfaces minuscules en Europe ou en Asie. Ils ne veulent pas la décroissance pour les miséreux mais pour les riches ! Ah, ça calme hein ?

      « Pour le reste, si vous épinglez la détestation de l’homme par les écolos, vous, vous proposez quoi ? »
      ————————
      Pourquoi vouloir proposer des solutions à un non-problème ? Rien n’est pire que l’ignorance en action, disait Goethe.

      • Vous êtes dans l’incantation, mélangée à de la réthorique à 2 francs 50.

        -« non-problème » ?
        Tout va bien. Il n’y a pas de chômage. L’énergie est abondante. Huit milliards d’individus mènent une vie heureuse, remplie de joie, c’est la corne d’abondance. Pas de guerre, aucune violence. L’amour universel.

        Citer Goethe n’enlève rien à la confondante bêtise de vos propos : au contraire, ça la révèle, comme une eau-forte.

        -« sauver un enfant africain… pour quoi » ?
        Vous inversez la question que je pose. Vous tournez sur vous-même dans une figure de réthorique, très cheap.

        Je note que vous ne répondez pas. Car vous n’avez rien à dire.

        Si vous voulez sauver un enfant africain en sachant qu’il vivra ensuite une vie de misère et de souffrances, afin d’acheter votre place au Paradis, parce que vous avez arrêtez l’alcool et que vous cherchez un substitut, parce que ça vous « fait du bien », libre à vous.

        Mais ayez au moins la décence de le dire : c’est pour vous, et pour vous seul. Certainement pas pour lui.

        Quant à Nick, et son lapidaire « la surpopulation c’est un mythe », ça n’appelle même pas de réponse.

        Nick pense l’homme comme une simple bactérie ; peu importe son nombre. Entassons-les dans la boîte de Pétri, sans se soucier de leurs conditions de vie, c’est secondaire.

        • Tous les poncifs, tous les prêts à penser accumulés chez un seul ! Le bobo malthusien dans toute sa splendeur. On a même pas envie de répondre.

        • Pourquoi répondre sans lire l’article du lien ? Et votre crédibilité?

        • @christophe : vous avez entièrement raison

          on est trop et ça se voit : il n’y a qu’a regarder par la fenêtre pour voir l’immense nuage de pollution a la chinoise, les bouchons a perte de vue, le béton et le goudron à perte de vue… je suis sur que la majorité des gens qui postent ici vivent dans un clapier sans même un jardin… mieux vaut la qualité à la quantité…

          de toute façon la population devra s’adapter a la finitude des ressources humaines et notamment énergétiques, il eut mieux valu que ce fut un choix plutôt que d’y être contraint…

          • Moui, pour l’instant on a dans les 10.000 ans de réserves. Rien qu’en hydrocarbures, des siècles. Dans l’état actuel de la technologie. On en reparle dans 100 siècles alors ?

          • @marcel : «  »immense nuage de pollution »
            Savez-vous que les villes d’Europe au siècle dernier étaient bien plus polluées (à cause du charbon) qu’aujourd’hui ?

            « mieux vaut la qualité à la quantité »
            Et donc ? Vous allez montrer l’exemple je suppose ?

            • un peu con con cet article : il base son raisonnement sur le taux d’augmentation de la population, qui décroit un peut mais reste encore largement positif, ce qui veut dire clairement que la population augmente encore, et avec un taux de 3.3 enfants par femme c’est pas prêt de s’arrêter…

              second point, tout dépend des ressources pour nourrir tout ces gens, pour le moment ça va, lui pense que ça va durer moi pas.

              troisième point, tout dépend ce qu’on entend par surpopulation… vivre dans un clapier dans une ville qui s’étend a perte de vue dans un brouillard de pollution, faire la queue pour tout, lui s’en contente, moi pas.

              finalement je crois que je suis entièrement d’accord avec cet article.

              bref tout dépend des sensibilités de chacun, moi des gens a perte de vue c’est pas mon truc.

            • marcel : « lui pense que ça va durer moi pas. »

              Oui, cette incompréhension basique fait de vous un Malthusien. Il est mort ruiné après avoir parié sur la raréfaction du bois.

              Malthus est loin évidemment, mais on sent bien que certain à l’instar de Christophe n’ont aucune capacité d’abstraction face au déferlement de catastrophisme issu des médias alors qu’objectivement aucune des prédictions « ohlala » ne ce sont jamais réalisées.

              marcel: « c’est pas prêt de s’arrêter… »

              Oui oui…. (soupir)

              “En 1985, la pollution aura réduit de moitié la lumière du soleil qui nous atteint. » – Life magazine, January 1970

              soupir…

          • l’augmentation de la population n’est pas un probleme grace à la science et aux innovations technologiques. selon l’ONU rien qu’avec l’agro-écologie, on pourrait doubler la production mondiale en moins de 10 ans ! Ceci dit, cela nécessiterait des investissements conséquents…
            Mais il y a aussi d’autres voies à explorer ! Comme l’augmentation des capacités naturelles des plantes par la science. Par exemple : améliorer la photosynthèse ou augmenter la fertilité des sols

            • mais pourquoi vouloir proliférer a outrance ?… on s’arrête quand sachant qu’on sera un jour obligé, autant le décider plutôt que de le subir non ?…

            • « mais pourquoi vouloir proliférer a outrance »

              Mais pourquoi vouloir régenter le monde, et en particulier dans les autres pays où l’on n’a aucun pouvoir d’action ?
              Pourquoi vouloir imposer son point de vue culturel aux autres ?
              Mais comment peut-on prétendre prédire l’évolution de la population, des ressources disponibles, des coûts de production et des prix alors qu’aucun économiste n’est capable de faire une prévision fiable pour l’année en cours.
              Mais comment peut-on oser imposer aux autres des mesures drastiques aux conséquences incertaines et potentiellement catastrophiques sans aucune certitude sur leur utilité et leur efficacité.
              Mais comment peut-on se focaliser sur un des milliers de problêmes potentiels pour l’avenir de « la planête », sans se poser la question : est-ce que je déconne pas totalement en projetant mes propres angoisses sur le monde.

              Rejoignez les « Ecologistes Anonymes » pour vous faire aider. Nous sommes à votre écoute …

            • ah enfin pragma, ca ne volait, encore, pas très haut (vous ne pourriez pas intervenir plus vite sur ce genre de sujet sensible pour hausser un peu le niveau ?…)
              alors point 1, on va se contenter de régenter la France (ce n’est pas très différent dans le raisonnement)
              point 2 : difficile de prédire l’évolution de la population en effet mais facile de prévoir qu’avec un pic de pétrole pas très loin, le pic de la population le suivra… je vous retourne donc la question : comment peut-on oser imposer aux autres une croissance de la population aux conséquences incertaines et potentiellement catastrophiques sans aucune certitude sur leur utilité et leur efficacité ?…

              sans parler que l’on vivrait beaucoup mieux si on était moins nombreux…
              ++

            • marcel : « comment peut-on oser imposer aux autres une croissance »

              Ça ne s’impose pas une croissance.
              De ton coté il va falloir interdire au gens de faire des enfants et d’améliorer leur niveau de vie et il faudra venir armé pour cela.

              marcel : « sans parler que l’on vivrait beaucoup mieux si on était moins nombreux… »

              C’est vrais qu’est ce qu’on vivait mieux quand on était 300 millions…
              Sans rire, tu résonnes comme si les ressources étaient une quantité finie à l’échelle de l’homme alors que c’est lui qui la génère par le progrès.

              Exemple: Le pétrole et l’uranium ne peuvent servir à rien en l’état, avec certaine technique on en tire un certain travail avec de meilleurs on en tire encore plus. L’homme créé de la ressource. Être plus ne signifie absolument pas moins de ressources, au contraire. Le problème de la pauvreté est politique avant tout. (Régimes de merde, absence de liberté et de droits)

              D’ailleurs la famine et la pauvreté ce sont réduite au fur et à mesure de l’augmentation de la population, tu n’a pas seulement tort en théorie mais aussi dans les faits.

            • marcel : « sans parler que l’on vivrait beaucoup mieux si on était moins nombreux… »
              ————————————–
              Mais oui, bien sûr, on vivait beaucoup mieux il y a 100 ans, quand il y avait 3x moins de terriens. Bien moins de guerres, de massacre, de famines, de pénurie, de déforestation, de génocides… comme chacun sait. Mais keskilecon !

              Ah tu veux dire qu’on vivrait beaucoup mieux s’il y avait moins de QI d’huîtres comme toi. Là, on est d’accord.

            • @minicervo : mouarf, le temps et la population sont décorrélés

              @illmrym :
              si les chinois n’avaient pas fait la politique de l’enfant unique nul doute qu’on serait mal en ce moment… au dela de l’interdiction d’avoir des enfants, tu peux imaginer des dispositifs beaucoup plus doux : suppression des allocs, allocs décroissantes en fonction du nombre d’enfants, etc…

              « l’homme crée la ressource » : concept intéressant qui se défend et que je ne sais pas infirmer… ma formation scientifique me hurle que c’est faux et je trouve que les faits actuels (crise depuis 6 ans maintenant) me donnent plutôt raison…

              « D’ailleurs la famine et la pauvreté ce sont réduite au fur et à mesure de l’augmentation de la population, tu n’a pas seulement tort en théorie mais aussi dans les faits. »
              la famine peut être, la pauvreté surement pas… tout dépend de comment tu mesures la pauvreté, si tu mesures qu’un paysan avec son lopin de terre qui était autosuffisant mais ne gagnait rien, maintenant qu’il vit dans une favela et gagne quelques euros d’allocs est moins pauvre, c’est sur qu’il va y avoir un biais…

              de toute façon la population ne pourra pas croitre a l’infini et on sera bien oblige de la limiter un jour ou l’autre a moins que la pollution générée finisse par avoir raison de notre fertilité… si c’est le manque de ressource qui la limitera l’histoire nous montre que ça ne sera pas pacifique… alors autant choisir tant que c’est encore possible…

            • @marcel : On attend toujours que vous montriez l’exemple.

              Pas le courage de vos opinions ?

            • marcel: « ma formation scientifique me hurle que c’est faux »

              C’est une blague ? En principe déjà après la deuxième semaine de formation on doit pouvoir comprendre les potentiels énergétique et l’histoire des technologies humaine.

              marcel: « la famine peut être, la pauvreté surement pas… »

              Tu es en deuxième semaine de statistique aussi ?

              marcel: « De toute façon la population ne pourra pas croitre a l’infini et on sera bien oblige de la limiter un jour ou l’autre a moins que la pollution générée finisse par avoir raison de notre fertilité… si c’est le manque de ressource qui la limitera l’histoire nous montre que ça ne sera pas pacifique… alors autant choisir tant que c’est encore possible… »

              Ou alors de grand nounours verts viendront la limiter, ou mieux, mieux… des poulpes géants avec de grandes dents et des perruques vertes. J’ai gagné à ton jeux de « je regarde trop la télé » ?

              -Quand on lui garanti les droits et la liberté l’homme créé de la prospérité et de nouvelles technologies qui lui permettent d’avoir bien plus avec moins, il s’enrichit, vit mieux et avec l’allongement de la vie il n’a plus envie de se faire chier avec 8 gosses et on tombe en dessous du taux de renouvellement comme partout dans les pays développés. (sauf immigration)

              Comme les pays non développés rejoignent les autres petits à petits (sauf régime politique de merde=non libéraux) on voit bien que la croissance démographique n’est absolument pas « infinie » ni les ressources prêtes de s’épuiser.

            •  » selon l’ONU, rien qu’avec l’agroécologie, on va doubler la production…  »

              les écologistes ont une vision toute particulière de l’agroécologie: on reste sur son cul à regarder que ça pousse tout seul, surtout pas d ‘engrais ni de pesticides, des variétés  » population  » ( faible la population… ) du 17ième siècle. résultat: deux tonnes d’agrostis à l’hectare, de quoi nourrir une vache, et zéro quintaux de céréale… avec de telles méthodes, le problème de la surpopulation va etre vite règlé, mais il faudra sacrément agrandir les cimetières…

        • il y a bcp moins de guerre qu’avant.

        • il y a tjs eu de la violence et des guerres et il y en aura tjs…

        • si vouq trouvez qu’il y a trop d’etres humains, alors suicidez vous…

        • la théorie selon laquel plus il y a de personnes sur le marché de l’emploi plus il y a de chomage date des annés 60 (c’est cela qui a poussé à mettre la retraite très tot et à faire les 35 heures,…) cette théorie a depuis longtemps été démonté…

        • C’est sûr que si on mesure le bonheur avec Christophe comme indicateur, le seuil est bas.
          Un peu comme celui de la pollution qui n’arrête pas d’être revu à la baisse depuis des années, ce qui permet de dire qu’il y a de plus en plus de pollution, alors que la réalité est tout autre.
          Ce qu’on voit aujourd’hui dans le bas ciel, c’est de la vapeur d’eau et du pollen principalement.

          • « Ce qu’on voit aujourd’hui dans le bas ciel, c’est de la vapeur d’eau et du pollen principalement. »

            mouarf ! un point ! ya des intellos ici !… allez je parie que tu vas te sentir un peu seul avec des réflexions pareilles !

            • Ce ne sont pas des réflexions, mais la simple constatation des faits.

            • Sur les 4 indices d’Airparif, un seul a atteint le seuil « critique » d’après ceux qui ont créé le seuil et le font baisser d’années en années; c’est celui des PM10.
              Parmi ces particules, on compte le pollen et d’autres sources naturelles. Entre mars et mai, il parait que c’est l’explosion du printemps…

            • Abitbol: « Sur les 4 indices d’Airparif, un seul a atteint le seuil « critique » d’après ceux qui ont créé le seuil et le font baisser d’années en années »

              Oh zut, les faits contredisent encore Marcel « Ohlala ».

            • Abitbol : « Ce ne sont pas des réflexions, mais la simple constatation des faits. »

              Les faits et les constats, ça ne veut rien dire pour des crétins comme Marcel.

        • En même temps, tenter de répondre à des questions insensées, c’est y apporter une importance qu’elles n’ont pas. Faites vous soigner, franchement : tout le monde ne voit pas et ne vit pas la nature humaine comme vous, alors accordez donc aux autres leur propre vérité.

          Si vous êtes insatisfait du nombre de personne qui vivent sur cette planète, vous êtes responsable d’une seule : vous même. Et si vous étiez réellement altruiste, vous appliqueriez avec courage la solution que vous imaginez pour les autres : après tout, vous êtes le pauvre de bien d’autres personnes qui pour certaines pensent peut être bien comme vous. Plutôt que de les laisser vous voir souffrir de votre pauvreté, faites leur donc plaisir…
          Bonne journée.

        •  » sauvez un enfant africain ? …  »

          il y a une heure de ça, en panne avec ma voiture, j’ai fait du stop pour gagner du temps en vu de me dépanner en allant chercher un tracteur à ma ferme: six ou sept voiture mon doublé sans s’arreter avec dedans, des blancs ( ou des blanches, courage fuyons… ) bien catholique, comme tout le monde, avant que finalement un noir s’arrète, et me prenne en stop:

          VIVE LES AFRICAINS !!!

        • ben oui l’énergie est abondante et le chômage est dans les pays riches en tous les cas un symptôme de blocage social plus que de pauvreté, on bosse beaucoup moins..mais on produit plus…la retraite ou les vacances ou le chômage c’est dans le fond kif kif…

          mais de toutes façons on s’en fout, un zig qui arrive chez vous en disant il faut 500 000000 d’être humais sur terre …ne mérite ‘qu’un « ah ouais? »..un type qui vient chez vous et qui vous dit je vais te stériliser ou je t’interdis d’avoir un deuxième gamin …mérite « un va te faire voir »…

          Un écologiste n’a literalement ni queue ni tête..il a la trouille de tout MAIS se plaint de la surpopulation.

        • Vous avez absolument raison ici se prétend des libéraux mais en réalité on voit pensée chrétienne du reproduisez vous qu importe les effets il y a pas plus égoïste que ces comportements , mais ils peuvent philosopher ils ont la chance d être ne dans le bon continent , et pas dans une famille africaine de 9 enfants ou indienne dans un bidonville bref hypocrisie toujours dans certains commentaires

    • « Huit milliards d’hommes sur cette planète.

      On s’arrête quand ? Jamais ? »

      Allez montre l’exemple…

    • l’augmentation de la population n’est pas un probleme grace à la science et aux innovations technologiques. selon l’ONU rien qu’avec l’agro-écologie, on pourrait doubler la production mondiale en moins de 10 ans ! Ceci dit, cela nécessiterait des investissements conséquents…
      Mais il y a aussi d’autres voies à explorer ! Comme l’augmentation des capacités naturelles des plantes par la science. Par exemple : améliorer la photosynthèse ou augmenter la fertilité des sols

      • L’agro écologie, c’est du marketing pur et simple. C’est joli, mais surtout, très creux.
        Et puis, l’expertise de l’ONU peut être sujet à caution…

        • ça ne veut surtout rien dire de clair…tout comme l’agriculture » biologique  »

          ou comment mettre de l’idéologie partout.. et l(art de détourner le sens des mots…biologie, environnement , nature, produit chimique etc…

    • bientot, il y aura des fermes verticales….

      • Et des plantes OGM beaucoup plus productives (Ah ? on me dit dans l’oreillette que les OGM, les escrolos n’en veulent pas ?!) .

    • >>> Message modéré. Les appels au meutre, qui plus est, de masse, ne sont pas tolérés. Ceci est un dernier avertissement.

    • D’accord avec toi sur le « point godwin » il faudrait vraiment arrêter avec ce genre de connerie.

      Sur le reste, euh…

      C’est contre la pauvreté qu’il faut lutter pas contre les pauvres, en voulant les réguler comme on le ferait avec un troupeau d’animaux. Les citations d’écologistes qui sont données en début d’article sont véritablement consternantes en terme de respect de l’humanité et je ne vois pas bien comment on peut les défendre.

      • Quand on lutte contre la pauvreté, on fabrique des pauvres. Il ne faut pas lutter contre la pauvreté, mais laisser les pauvres s’enrichir. Et les autres aussi, tant qu’on y est.

        • Oui, oui, ok, si tu veux. Je ne dis pas autre chose.

          Car laisser les pauvres s’enrichir c’est bien lutter contre ce qui aujourd’hui les en empêche.

  • Moi je suis pour un malthusianisme drastique. Chez les écolos.

  • Et ils n’ont même pas honte, ces salauds. Comme « Christophe », qui préfère un pauvre non-vivant à un pauvre tout court, parce qu’il ne veut pas « le voir souffrir pendant de longues années ». Sic. Ce qui le dérange, Christophe, c’est le spectacle de la misère. Même si le miséreux, lui, il préfère endurer tout ça plutôt que se suicider, et jouit autant qu’il peu de tous les plaisirs de la vie (qui restent nombreux, même dans la misère), et n’hésite même pas à avoir autant d’enfant qu’il peut ; Christophe, lui, son âme est trop noble pour supporter tout ça. il trouve ça « une perversité absolue ». Mieux vaut les empêcher de naitre (parce que les tuer, ça serait trop méchant quand même… encore que, c’est pas ce qui le dérange vraiment ; non, ce qui le dérange, c’est que les gens n’adhérerait pas si il proposait une chose pareille).
    La simple logique voudrait pourtant que ces gens, sans aller jusqu’à se suicider, n’aient pas d’enfants eux-même et les fasse stériliser si ils en ont déjà, et que par suite, une fois eux-mêmes mort (car ils mourront), ce qui arrivera ne les concerne absolument plus. Ils n’ont qu’à attendre la mort.
    Ces gens sont des salauds ou des fous.

  • J’aime bien les carpes. Les lapins aussi. Et surtout leur mariage…

  • L’écologisme est un néo-paganisme comme le socialisme est un néo-esclavagisme. Ces deux survivances barbares dans la civilisation moderne se conjuguent pour forger une société inhumaine, parfait négatif de la civilisation du progrès.

  • EELV { Un collectif d’humanistes pur jus…} m’apparait une appellation très inappropriée.
    L’ex-URSS soviétique fut-elle humaniste ? Non bien sûr. Ceci n’ayant pas empêché certains pseudo-intellos et militants obscurcis d’Europe occidentale d’appuyer le mouvement jusqu’aujourd’hui… en dépit de la connaissance qu’eurent tôt leurs instances (dès le milieux années ’30s) d’une existence de camps concentrationnaires (leurs sordides GOULAGs, imités par Himmler & consorts) !
    Bis repetita placent « Ce qui est répété, redemandé plaît. » .
    A 80 ans de distance, seuls les activistes ont changé de forme et de thème !
    Au fond, ces adeptes d’une réduction drastique de l’espèce homo sapiens sont des tenants de solutions génocidaires et apparentées. Ainsi les trouve-t-on proches des maoïstes années ’60s (le « Grand Bond en …Arrière »).
    Probablement est-ce pour cette même cause qu’ils aiment tant l’espèce homo homo enculus (celle-ci n’ayant génétiquement pas de moyen naturel de se reproduire, donc bien contributive à une natalité absente) ? Paradoxalement, le taux de natalité étant trèèèès élevé, là où ils n’ont aucun influence significative : en islam dictatorial (qu’ils appuient de leurs voeux?), en Asie et en Afrique (là où le Sida les aide à l’élimination accélérée de l’espèce humaine). Bref des groupuscules d’infâmes qu’il serait bon d’éliminer par quelque solution radicale : exploration massive de la planète Mars (elle se rapproche de la Terre en 2014), là où vivent des traces de marsiens verts et rouges !!!

    • Donc parce que les gouvernement islamiques sont anti homo , cela explique la forte natalité de ces pays dans le genre connerie t es un bon toi le nombre d homo dans le monde en pourcentage est équivalent dans tous les pays nombre d étude le prouvent enfin je vais pas
      Commencer a instruire un idiot

    • « celle-ci n’ayant génétiquement pas de moyen naturel de se reproduire »

      N’importe quoi. Tant qu’il y a des femmes, les homos peuvent se reproduire. Vous seriez surpris du nombre d’entre eux qui ont des enfants.

  • C’est bien ce genre de livre, ça permet à l’agenda politique des écologistes de sortir du bois. J’espère qu’il sera bien médiatisé, qu’on fasse le trie entre les naïfs et les vrais psychopathes qui veulent détruire notre espèce et la civilisation.

    Le terme fasciste pour désigner cette engeance est parfait, c’est bien d’un caractère fasciste (lire Wilhelm Reich) que provient ce type d’idéologie qui nie l’animalité de l’humain et donc son droit à la vie. Personne ne juge la réussite évolutive des fourmis ou des oiseaux, la même loi doit s’appliquer à l’humain. La seule chose qui nous distingue de l’animal c’est l’acquisition par la technique de confort matériel permettant ensuite de développer des activités culturelles.

  • En lisant certains commentaires, j’ai comme l’impression qu’il y a des nostalgiques du Lebensraum aryen, avec élimination des « indésirables ». Le discours a quelque peu évolué, on ne parle plus de camps d’extermination, mais l’idée reste la même: faisons de la place, et un humanisme de circonstance dissimule des idéaux fascistes inquiétants. Intéressant de constater à quel point l’être humain peut se donner bonne conscience quand il se croit dans le camp du « bien », quitte à vanter la stérilisation de force de certaines populations (idée pas nouvelle non plus: un petit moustachu y l’avait appliquée en son temps).

    • Si ça sent comme du fascisme, que ça fait le bruit du fascisme, c’est du fascisme, même si ça se défend d’en être.

    • Comme leurs idoles d’il y a 70 ans les fascistes/khmers verts défendent l’idée de l’espace vital. Ils sont pour la décroissance à condition qu’elle ne concerne que les autres, en général pas européens, parce que pas question de remettre en cause leur petit confort. C’est pas Greenpeace qui organise des voyages à 60 dollars pour que des riches bobos aillent vivre la vie des pauvres dans les pays émergeants.

      Les fascistes sont comme les ordures : recyclables.

  • Ah, le petit Hitler fait des émules.
    Que ne disait-il pas qu’il fallait détruire les populations de l’Est Européens pour permettre à ses petits aryens de proliférer.
    Rien de nouveau sous notre beau ciel, ne garder qu’une population réduite pour permettre aux élus de vivre en toute tranquillité, c’est beau.
    Si je dis la même chose avec la croix gammée en fond d’écran, je vais en taule. Si je le dis sous couvert de l’écologie, je suis un prophète, un dieu…. Cherchez l’erreur.

    • tany: « Si je dis la même chose avec la croix gammée en fond d’écran, je vais en taule. Si je le dis sous couvert de l’écologie, je suis un prophète, un dieu…. Cherchez l’erreur. »

      Et tu n’y vas pas non plus si tu prônes un système qui a exterminé 100 millions de gens pour peu que tu portes un joli drapeau rouge.

      Oh wait…
      Beaucoup se sont recyclés dans le vert, ça explique…

  • Au fait, Attali n’est toujours pas euthanasié ? Pourtant à son âge il coûte plus qu’il ne rapporte.

  • excellent article:

    la mouvance écologique a effectivement ses grands ancètres trés à droite, elle nait en mème temps que le mouvement romantique, qui, rappelons le, est une réaction aux mouvement des lumières. Chateaubriand peu etre considéré comme faisant parti de ces pionniers:
    quand il émmigre en amérique, il est subjugué par les grand espace vierge, et redoute qu’ avec le flux migratoire qui va s’intensifier, tout cela soit bientot détruit… à la mème époque, son compatriote Talleyrand fait le mème voyage, avec une réaction opposé: ce fin spéculateur comprend tout de suite qu’il faut acheter des terrains car le prix de ceux-ci va s’envoler pour etre mis en valeur par les nouveaux arrivants…
    quelques années plus tard, en france, lorsque les aristocrates rentrent dans leurs chateaux, grace aux troupes de la sainte alliance, ils commencent une politiques de revanche sur les ruraux qui les ont malmenés 20 ans auparavant: mis en défend de nombreuses parcelles pour des plantations forestières, avec souvent , l’expulsion des manants, perte de leurs droits coutumiers… des plants de résineux sont plus dociles que des paysans avec des torches et des fourches ! dans bien des endroits, la lutte contre l’érosion sert de prétexte. on en profite pour revenir sur les droit de chasse acquis dans le grand chambardement révolutionnaire. pour ces gens là, un cerf à plus de valeur qu’un plouk…

    le mouvement écologique est clairement réactionnaire, contrerévolutionnaire, conservateur, voire régressioniste.
    que certains écologiques soit antisémites est possible, mais le comble de la détestation pour ces idéologues, doit bien etre le chinois: ces derniers sont trés nombreux, et quand on visite l’asie des moussons, on comprend tout de suite que la terre correctement mise en valeur peut nourrir un trés grand nombre de gens. l’agronome japonais fukuoka estimait que la planète pouvait nourrir 50 milliards d’etre humain.

  • J’ai l’impression que je sers de source d’inspiration à Contrepoints. J’en suis flatté !
    Billet publié le 2 mars 2014 sur mon blog :
    http://jacqueshenry.wordpress.com/2014/03/02/la-terreur-malthusienne-des-ecologistes/

  • L’écologisme est un communisme vert: il collectivise tout ce qui appartient à des individus ou à personne au profit de certains.

  • Qu’ils donnent donc l’exemple en organisant leur suicide collectif !!!!

    – Mamere, Duflot Cochet et tous ces extrémistes pastèques disparus, l’air sera plus respirable !

  • Intéressants ces quelques commentateurs qui se disent libéraux tout en voulant planifier la croissance de la population…

  • Je propose que Yves Cochet se suicide. Ceci sera salvateur non seulement pour la planète, qui devra supporter un hominidé de moins, mais aussi pour l’humanité entière, qui n’aura plus à entendre ses sornettes.

  • Au final, ni l’article présent, ni l’article d’atlantico ne nous apprennent grand chose sur le bouquin en question.

    Si je ne connaissais pas déjà la « philosophie » de michel tarrier, je n’aurais aucune idée même lointaine du contenu du livre.

    Et malgré les excès, il y a un principe pourtant sain à la base, celui du planning familial. A savoir faire en sorte que chaque enfant né ait le maximum de chance de s’épanouir.

    Même en libéralie la plus utopique, il y aurait toujours un (auto)contrôle des naissances.

    Le problème (en fait, le crime) vient de l’éventuelle volonté d’imposer des choix aux gens via la coercition (individuellement ou collectivement).

    Ici, la vrai question est donc de savoir si ce bouquin a été écrit dans un but de lobbying politique afin de convaincre des décideurs de violer l’intimité des gens.
    Si ce n’est pas le cas … pourquoi tant de haine ?

    A noter au passage qu’un application stricte des principes libéraux conduirait au moins à court terme à une chute drastique des naissances, puisque l’état providence et l’immigration qu’il engendre soutiennent à bout de bras la natalité Française. Et qu’à l’échelle du globe, les pays les plus performants sur le plan économique ont aussi plus tendance à se retrouver du côté de la dénatalité. Vilipender les « dénatalistes » d’un côté et promouvoir des politiques qui ont cet effet de l’autre, ça ne fait pas grand sens.

    Bref, sachons raison garder.

    • FabriceM: « Vilipender les « dénatalistes » d’un côté et promouvoir des politiques qui ont cet effet de l’autre, ça ne fait pas grand sens. »

      Ça ne fait pas grand sens pour des gens qui pensent que le chiffre de la population est le but.

      Hors les libéraux s’en tapent complètement du chiffre, on n’est pas en train d’élever un cheptel et le chiffre ne fait pas grand sens de toute façon, dans des sociétés libres au droits garanti on peu aussi bien trouver une humanité prospère avec 1 milliards comme 20 milliards d’individus.

      • Je suis d’accord pour dire que :
        1/ Le chiffre de la population totale, en lui même, n’a pas grand sens
        2/ Fixer des objectifs chiffrés à l’avance est non seulement une absurdité mais une absurdité criminelle

        Après, à chacun et à chacune de faire les meilleurs choix possibles en fonction du contexte local. Par contre, dire ça, c’est assumer que les enfants se prennent entièrement dans la tronche les erreurs de leurs parents. Ce qui est triste, mais pas injuste. Ce qui serait injuste, ce serait que les enfants doivent subir en plus des erreurs de leurs parents, celles de tous les fonctionnaires, et autres professionnel du recyclage de la misère qui leurs veulent prétendument « du bien ».

      • « on n’est pas en train d’élever un cheptel »

        Cela résume bien l’abusrdité de l’idéologie écologiste. La croissance de la population n’est que la conséquence des progrès en matière de santé et de nutrition. L’augmentation du niveau de vie (ou du moins le mode de vie occidental) provoque l’effet contraire.

        Le chiffre final importe peu, seule la tendance à un intérêt mais cette tendance est amenée à évoluer de façon lente (enrichissement) ou rapide (famines). Les écologistes font une fois de plus une confusion sur les causes et les conséquences. Agir sur les conséquences n’a pas de sens (l’avenir est flou), agir sur les causes est du pur fascisme (vouloir perpétuer l’état de prédominence actuel – sans même savoir s’il est réellement menacé).

  • Charité bien ordonnée commence par soi-même
    Que les écologistes se suicident en masse et on aura déjà fait un pas vers la solution
    On connaissait déjà l’écologie politique, moyen efficace pour les cons à la vue basse de faire parler d’eux et d’avoir l’illusion du pouvoir
    Mais l’écologie philosophique, là, c’est du lourd: le petit livre vert, le soleil vert, la galaxie verte, le big-bang et le big-crunch verts, l’uni-vert en somme…
    Prochaine étape: le vert messie va descendre sur Terre (pardon sur Gaïa) et nettoyer tout ce vilain caca humanoïde multicolore
    Après l’ère du Verseau, voici venue l’ère du Vert Sot, ah, ah…

    • Je rajouterai que personnellement étant un libéral je crois a la sélection naturelle et la loi des marchés et de l offre / demande qui reglera par les prix des matières premières le problème de surpopulation mais j ai pas envie d être du côté des pays moins riche voir même nous en Europe car va être du sang qu il va y avoir pour se partager le butin

      • vous inversez la causalité, les pays ont une forte natalité car ils sont pauvres ce n’est pas l’inverse. les pays tant qu’ils ne sont pas développés ont une forte natalité, une fois développé la natalité chute. à la base, dans les pays pas dévelopés et le taux de natalité et le taux de mortalité sont très fort mais quand le pays commencé à se développer le taux de mortalité chute et on entre dans une période de transition, avec un taux de mortalité fort et un taux de natalité élevé puis le taux de natalité baisse. en occident, cette période commence avec la révolution indistruelle et se finit dans les années 70. cette période est l’age d’or de l’occident. au japon, cette période de transition va de 1900 à 1970. en afrique, le taux de mortalité a fortement baissé (en grande parti grace à toute l’aide internationale), mais le taux de natalité reste élevé.

      • en occident, le taux de natalité est trop bas, ce qui entraine des problèmes lies au vieillisement de la population. il serait complétement suicidaire de mener des politiques antinatalistes ou d’arreter de mener des politiques natalistes. en plus, le probleme vient essentiellement de l’Afrique et de l’asie. pour arreter que la population mondiale croit il n’existe que 3 solutions (complétement irréaliste et immorales): la premiere est de s’arranger que le taux de mortalité dans les pays à fort taux de natalité (asie, afrique,…) augmente, la seconde est d’obliger ces pays à mener une politique antinataliste (et vu que l’influence de l’occident a fortement diminué, je doute qu’on puisse les obliger), la troisieme est de s’arranger qu’un grand nombre de personnes meurent en propagant par exemple des virus, en provoquant des guerrres, des famines,…. personnellement, je ne crois pas que l’augmentation de la population soit un si gros probleme. les écologistes ont une vision du monde figé, statique,…. et comme les socialistes (et tout les étatistes), n’ont pas confiance en la nature humaine et le génie humain, ils croient que tous les hommes sont des crétins, des incapables,… or avec le progres immense des sciences et des technologies,… je crois qu’il n’y aura pas de problèmes et pas d’apocalypse comme le croit les écologistes. perso, je ne crois pas qu’une époque soit moins pire qu’une autre, il y aura tjs des guerres, de la pauvreté et les hommes seront tjs confronté à des problèmes. l’avenir de l’humanité ne sera ni pire ni meilleur que le présent ou le passé

      • Surpopulation par rapport à qui ou à quoi ?

        Expliquez-moi comment Hong-Kong, avec plus de 6000 hab/km² et sans la moindre parcelle agricole, est une des villes les plus prospères du monde.

    • Liberal : « mais en réalité on voit pensée chrétienne du reproduisez vous qu importe les effets »

      Absolument pas, c’est « faites vos choix en toute liberté » et c’est tout.
      La décision de faire des enfants (souvent une assurance vieillesse dans les pays pauvre) ne revient qu’aux individus eux-même. Ni vous, ni personne n’avez à le juger, le contraindre ou le décider.

      Quand aux effets, les systèmes dirigistes ou/et collectiviste sont meurtriers économiquement et souvent directement, les systèmes de castes de tribu ou de clans sont aussi meurtriers, la taille de la population elle n’a rien à voir, on trouve des pays surpeuplés avec un très haut niveau de vie et des pays sous peuplé avec une misère considérable.

      Le « marché » le choix libre des gens régule la population qui peut parfaitement s’en sortir qu’elle que soit le chiffre —avec un bon système politique libéral, qui garanti les droits et permets les échanges mutuellement profitable.—

      Liberal : « bref hypocrisie toujours dans certains commentaires »

      Non.

  • J’ai attendu, attendu et…rien.
    Rien sur le scandale des allocations familiales, du quotient familial, des crèches subventionnées, etc..
    D’habitude on est très chatouilleux ici en ce qui concerne les aides PUBLIQUES sonnantes et trébuchantes.
    Mais sur ce sujet précis, silence radio. Curieux, bizarre. Incohérence ? Hypocrisie ?

    Pourtant, si j’ai bien tout compris, la liberté (d’engendrer) devrait s’accompagner obligatoirement de la responsabilité (d’assumer la progéniture) et ceci évidemment en dehors de toute intervention publique, non ?

    • En quoi serait-ce un scandale ?

      • Que ceux qui veulent engendrer l’assument dans la sphère privée et comme on dit ici ne me fassent pas les poches.

    • c’est pas le sujet de l’article qui est le radicalisme écologique et la surpopulation. si il y a une augmentation de la population, ce n’est pas à cause des politiques natalistes (qui sont menés essentiellement dans les pays occidentaux qui sont les pays qui ont un taux de natalité très faible). le probleme de l’augmentation de la population vient des pays ayant un fort taux de natalité (surtout en asie et en afrique). dans les les pays tant qu’ils ne sont pas développés ont une forte natalité, une fois développé la natalité chute. à la base, dans les pays pas dévelopés et le taux de natalité et le taux de mortalité sont très fort mais quand le pays commencé à se développer le taux de mortalité chute et on entre dans une période de transition, avec un taux de mortalité fort et un taux de natalité élevé puis le taux de natalité baisse. en occident, cette période commence avec la révolution indistruelle et se finit dans les années 70. cette période est l’age d’or de l’occident. au japon, cette période de transition va de 1900 à 1970. en afrique, le taux de mortalité a fortement baissé (en grande parti grace à toute l’aide internationale), mais le taux de natalité reste élevé. en occident, le taux de natalité est trop bas, ce qui entraine des problèmes lies au vieillisement de la population. il serait complétement suicidaire d’arreter de mener des politiques natalistes. donc je suis pour les allocations familiales qui incitent les gens à avoir des enfants, tout en leur laissant la liberté.

      • Le sujet de « l’article » c’est un livre dont rien n’est dit.
        La théorie de la transition démographique est en l’état inconsistante : expliquez moi, par exemple, pourquoi la population française est quasi stable entre 1870 et 1940 alors que celle de l’Allemagne connait une forte progression.
        Tout baby boom conduit nécessairement à un papy crash.

    • et ce n’est pas parce qu’il recoit une aide pécunière, que les parents n’asssument pas leur progéniture . les allocations familiales ne sont qu’un investisssement. le vieillisement est l’un des plus gros problemes auxquels l’occident sera confronté dans un futur plus au moins proche, cela amènera des problemes économiques considérables.

  • Pourquoi les écolos ne font pas un suicide collectif ? Qu’ils mettent leur propre idées en pratique.
    Mais non, nous ont est au dessus de ça, ce sont les autres qui doivent mourir pour nos idées personnelles.
    Misère.

    • @ l’auteur de l’article, une question que j’emprunte à votre titre: « et vous, pourquoi tant de haine ? »

      c’est donc le radicalisme écolo-alarmiste qui vous énerve à ce point ? bah faut pas s’énerver, cela nuit à votre plume… votre parti pris n’est pas sans rappeler un tract cgt… chez eux des « salauds de patrons », chez vous des « allumés sévères »…

      c’est comme lire un article sur sarkozy dans rue89, ou sur hoillande dans atlantico, y’a pas beaucoup de surprise… votre haine en revanche est communicative… à en juger par les commentaires

      comme vous êtes sans doute loin d’être bête, j’imagine que vous en êtes conscient et que c’est donc ça votre but… haranguer un auditoire conquis d’avance et vous faire plaisir avec cet édito…

      c’est un passe-temps comme un autre, et d’ailleurs si vous vous m’objectiez qu’on peut trouver des tonnes de sites écolos qui écharpent le libéralisme à longueur de blogs, vous auriez entièrement raison !

      ça vous fait un point commun avec eux 😉

      • Le libéralisme ne cause aucun tord aux écologistes.
        Les écologies causent du tord à beaucoup d’humain.
        Ils agressent, malgré le fait que les premier ne les ont jamais agressés. J’estime compréhensible que parfois les premier s’énervent contre les deuxièmes.

      • Vous pouvez vous garder votre jugement de Salomon à la mord moi le neutron, et, éventuellement, vous l’administrer en suppositoire.

      • moi j’aime les êtres humains alors désolé, si je n’apprécie pas une idéologie basé sur la haine de l’etre humain. l’écologie radicale est une idéologie totalitaire. et le libéralisme s’est tjs opposé au totalitarisme

  • En fait ds votre critique de l’ouvrage il n’y a rien que de la mauvaise humeur mais pas vraiment d’argument contre le pour et le contre de la surpopulation. Pourtant l’épuisement des ressource, la pollution des eaux et les émissions de Co2 sont des faits indéniables ? Et vraiment cette vieille histoire d’Édimbourg par ailleurs scandaleuse, n’a rien à voir là-dedans. On voit que l’article est écrit à la va vite sans vraiment une réflexion sur le sujet pourtant sérieux.

    • « pourtant l’épuisement des ressource » n’importe quoi. La pensée malthusienne part toujours du principe qu’il n’existe qu’une quantité limitée de quelque chose (travail, ressources naturelles…) et que, face à une augmentation continue de la population qui consomme cette ressource, une « pénurie inévitable » s’ensuivra. Les tenants de ce credo réclament ensuite des mesures drastiques à prendre au plus vite pour enrayer la trajectoire. Simple, séduisant, et faux.
      L’erreur est dans le postulat de base, l’idée que les ressources soient en quantité limitée. Entre les approvisionnements alternatifs, les progrès technologiques diminuant la consommation, le recyclage ou bien d’autres solutions sorties de l’inventivité humaine, cela ne s’est jamais vérifié, même pour des ressources prétendument rares comme le pétrole. De plus, les êtres humains ne sont pas des robots et face à la rareté, ils adaptent leur comportement en conséquence. le génie humain est infini. Pour faire du papier, il faut abattre des arbres mais on plante d’autres arbres pour avoir les ressources nécessaires à la production de papier plus tard. Et depuis quelques années, on recycle le papier, ce qui permet une croissance de la production de papier sans augmenter la ressource arboricole ou bien permet de réduire la production arboricole pour la même quantité de papier produite.
      Les ressources minières (métaux, gaz, pétrole…) peuvent un jour devenir très rares mais là aussi, les métaux se recyclent et les sources actuelles d’énergies pourront être remplacées par d’autres. La simple application de E=mc² vous donnera une idée du potentiel d’énergie qu’on peut tirer d’un seul gramme de matière. Un jour, l’Homme sera capable de tirer beaucoup plus d’énergie de la matière qu’aujourd’hui et il est vraisemblable qu’il utilisera en premier les déchets.
      Ce qui freine la croissance, ce sont les contraintes étatiques, les conflits, les catastrophes.
      La décroissance est un mythe.

    • Les prévisions d’épuisement des ressources sont tout le temps exagérées car elles minimisent la capacité de l’esprit humain à toujours inventer de nouvelles solutions avec le progrès scientifique, à trouver de nouvelles énergies, à toujours découvrir. On en voit un exemple avec l’intensité énergétique des pays développés.
      Comme Karl Popper l’a montré, il faut laisser la place au débat, à un cheminement par tâtonnement, avec des erreurs nécessaires.
      Prenons l’exemple de Nicolas Hulot. Ce dernier entend imposer son idéologie comme une vérité supérieure, refuser toute possibilité de discussion, d’échange, de débat et il ouvrait ainsi son « pacte écologique » par ces mots inquiétants : « le temps de l’information, du débat, des controverses est révolu ». Non seulement il fait l’erreur d’embrigader la science et de faire de ses « vérités » des actes de foi, mais en outre il rend impossible tout progrès de la science, justement. Loin d’être la solution, un contrôle supérieur de l’écologiquement correct ne ferait qu’empirer les choses. Plutôt que ces mesures liberticides, c’est une plus grande liberté qu’il faut pour laisser émerger les idées les plus innovantes et efficaces.
      On peut également souligner que grâce au progrès, l’intensité énergétique des économies développées a fortement décru depuis plusieurs dizaines d’années. La courbe de Kuznets offre également un fondement scientifique à cette perspective.

    • quel crédit apporter à ces prévisions au vu de l’absence totale de fiabilité des prévisions passées ?
      Cécile Philippe de l’Institut économique Molinari en donne de nombreux exemples dans son livre C’est trop tard pour la Terre : elle rappelle que, par exemple, dès 1914, le Bureau des mines aux États-Unis estimait que la production future de pétrole était limitée à 5,7 millions de barils, soit peut-être dix ans de consommation. Elle ajoute également, entre autres exemples, que le Rapport Meadows prévoyait en 1972 pour avant la fin du XXe siècle un épuisement de certaines ressources dont la substitution paraissait impossible. À chaque fois les erreurs n’ont pas été minimes mais énormes, toujours dans un excès d’alarmisme.
      De même, Daniel Yergin, spécialiste américain de l’énergie a montré que, grâce aux réserves et aux progrès de la technologie, « le monde n’est pas près de manquer de pétrole ». Les techniques nouvelles permettent d’extraire davantage de pétrole des nappes et de mettre en valeur de nouveaux gisements, de sables bitumineux par exemple.
      En outre, le recyclage des matières premières est une solution mise en place depuis longtemps avec succès : 50 % du fer utilisé est recyclé, 90 % du platine et 80 % de l’or[5]. Le géochimiste Claude Allègre appelle de ses vœux un développement de ces filières pour toutes les ressources terrestres : « À une économie unidirectionnelle à ressources infinies (on produit – on utilise – on jette) doit se substituer une économie cyclique à ressources finies. ».
      Dans les deux cas, c’est… le marché qui permet le développement de ces solutions, par le mécanisme des prix.

  • Les commentaires sont fermés.

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

L’INSEE vient de publier un bilan démographique pour l’année 2023 qui met en évidence un affaissement de la natalité française. Selon des sources concordantes, celle-ci n’est plus guère soutenue que par la fécondité des femmes immigrées. Ce qui laisse entrevoir à terme une diminution de l’effectif global de la population, et une nouvelle configuration de sa composition ethnique et culturelle.

Faut-il s’en inquiéter ? Pour la plupart de nos concitoyens, cette question n’a pas de conséquence directe et immédiate, encore moins pour les re... Poursuivre la lecture

L’agression russe contre l’Ukraine a déjà des conséquences démographiques dramatiques. La stratégie militaire archaïque de l’armée russe consiste à envoyer au front une masse de soldats mal formés et mal équipés. La jeunesse russe est décimée. Mais les jeunes les mieux formés, pouvant travailler à l’étranger, ont quitté le pays pour ne pas être mobilisés. Pour les Russes, il en résulte une vision sombre de l’avenir, peu propice à un sursaut nataliste.

 

Le déclin démographique russe ne date pas d'hier

Le graphique suivant f... Poursuivre la lecture

Sommes-nous heureux ? Qu’allons-nous devenir ? Pourquoi j’existe ?

Des questions bien trop nébuleuses pour le penseur de l’économie, des questions qu’il préférera résumer en une seule : quel PIB par habitant ? Un indicateur critiquable, mais quantifiable.

Le PIB par habitant reste l’indicateur le plus utilisé pour évaluer nos progrès, notre rang, notre niveau de vie. Or, c’est justement sa mesure qui inquiète aujourd’hui. Le PIB par habitant croît toujours, mais de moins en moins vite, et l’horizon pourrait s’assombrir davantage... Poursuivre la lecture

Voir plus d'articles