Les opposants au PS doivent cesser leur allégeance aux valeurs républicaines

La France souffre d’un consensus autour des « valeurs républicaines »

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Etat PS

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Les opposants au PS doivent cesser leur allégeance aux valeurs républicaines

Publié le 11 mars 2014
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Par le Parisien libéral.

Etat PSLe parti socialiste est au pouvoir. Démocratiquement élus ou nommés dans le cadre des dispositions prévues par la constitution de la Vème République, des socialistes sont à l’Élysée, à Matignon, à la Défense, à l’Intérieur, à la tête des villes de Paris, Lille, Lyon, Nantes, à la tête de 21 régions sur 22, dans une majorité de départements ainsi qu’à la tête de nombreuses agences para publiques, de préfectures et de rectorats.

Peut-on parler d’un véritable état PS ? Oui selon des magazines aux idées aussi différentes que Challenges ou Valeurs actuelles. Mais jusqu’ici, tout est normal, c’est le jeu de la démocratie. En France, les élections sont libres et les citoyens ont fait leur choix, parfois par défaut (le Président Hollande), parfois avec enthousiasme.

Ce qui est en revanche très fort avec le PS au pouvoir, c’est aussi le fait de forcer la droite à mesurer son discours à l’aune de son allégeance aux « valeurs républicaines ». On sait tous ce que sont les valeurs républicaines, théoriquement. Elles sont contenues dans la devise de la République : liberté, égalité, fraternité, ainsi que dans le préambule de la constitution. Mais à ces valeurs héritées de 1789, la vie politique récente a rajouté quelques éléments comme la laïcité ou le consentement à payer toujours plus d’impôts sans poser de questions. Au même moment, la gauche socialiste a préempté les valeurs républicaines et a réussi à imposer à ses opposants son discours.

Ainsi, une Une de Valeurs Actuelle titrant « Roms, l’overdose » est qualifiée d’anti-républicaine par le Parti Socialiste alors que ce même PS au pouvoir expulse autant de Roms que son prédécesseur. Le Parti Socialiste veut « révéler l’imposture du FN et combattre son projet antirépublicain » alors que le FN est au contraire ultra républicain et joue le jeu de la démocratie représentative, à la différence des mouvements à la droite de l’extrême droite. Le Parti Socialiste affirme qu’être contre le remboursement de l’avortement, c’est être anti-républicain, alors que la situation issue de la loi Veil était un équilibre qui satisfaisait tout le monde jusqu’ici. Pour Bernard Cazeneuve, l’impôt participe au pacte républicain mais néanmoins on adopte une niche fiscale pour la presse en ligne. Les revendications autonomistes des Bonnets Rouges ? Anti républicaines ! La demande par 700.000 citoyens français d’un référendum ? Anti-républicaine ! La critique du président de la République ? Anti-républicaine !

Dans ce contexte, puisque le PS a pris l’avantage, par rapport à l’UMP, sur la course au toujours plus d’État, toujours plus de loi, toujours plus d’impôts, et puisque le PS a préempté les causes telles que la lutte contre l’homophobie (paradoxalement, par le biais de thèses essentialistes), la droite n’a pas d’autre choix que de cesser son allégeance aux valeurs « républicaines ». Si les centristes, les libéraux ou les conservateurs veulent revenir au pouvoir un jour, cela ne se fera jamais sur le terrain occupé par les socialistes. NKM, par exemple, à Paris, le constate bien. Alors que la députée de l’Essonne et candidate à la mairie de Paris est à titre personnel manifestement totalement ouverte aux problématiques des militants LGBT, ces mêmes militants lui reprochent de l’ambiguïté et préfèrent finalement l’original Hidalgo à la copie, dans la presse du moins (attendons de voir ce que cela donnera sur le plan électoral dans deux semaines).

C’est pourquoi, même si cela a été exprimé de manière maladroite, il faut « saluer » l’initiative de Christine Boutin qui a osé dire à Anne Hidalgo que les barrières entre la droite et l’extrême droite étaient tombées. Cette initiative n’est pas positive dans le sens où les sympathisants de droite ne se reconnaissent pas d’une manière ou d’une autre dans les thèses du FN. C’est juste qu’ils en ont assez de se voir dicter leur agenda par des personnes qui ne les trouveront de toutes façons jamais assez proches de l’idéal PS et, qui plus est, sont alliées à l’extrême gauche, à Paris notamment (alliance entre le PS d’Anne Hidalgo et le PCF de Ian Brossat). Pourquoi accepter des leçons de gens associés à des communistes ? Étant donné que la vie politique est toujours ramenée au bipartisme, et que la gauche est alliée à l’extrême gauche, y a-t-il un autre choix pour la droite que de rompre avec les « valeurs républicaines » imposées par la gauche, quitte à se retrouver classée par les médias dans un même camp que l’extrême droite ?

Évidemment, la solution idéale serait que, comme chez nos voisins, il y ait cinq forces politiques clairement distinctes :

  • les ultra-étatistes de gauche (die Linke, Front de Gauche),
  • les sociaux démocrates, la gauche qui refuse toute alliance avec les héritiers de Marx (SPD, Labour),
  • les centristes, libéraux démocrates, fédéralistes (UDI, LibDem, FDP),
  • les conservateurs (CDU, Conservatives),
  • les ultra-étatistes de droite (FN).

Mais cela n’existe pas. La presse ramène la vie politique à un affrontement gauche/droite PS/UMP. Et dommage pour la droite : Copé est à la tête de l’UMP. Celui-ci a réussi un triple exploit :

  • ne mener aucune réflexion sur le sarkozysme, ce « socialisme républicain » de droite,
  • ne créer aucune alternative idéologique aux valeurs républicaines de la gauche,
  • ne jamais réussir à se départir des thèmes imposés par la gauche, au jour le jour.

Oui, il est grand temps que l’UMP, l’UDI et les autres cessent leur allégeance aux valeurs « républicaines ». Tous les jours, les citoyens peuvent constater par eux-mêmes que :

  • la République de Valls, Ayrault, Hollande, Taubira et Belkacem s’oppose à la démocratie (arrestations arbitraires, deux poids deux mesures, violence policière etc.) ;
  • nous avons pour voisins des démocraties non républicaines (Espagne, Royaume Uni, Pays Bas, Belgique, Luxembourg, Suède).

La France souffre de ce consensus autour des « valeurs républicaines ». L’actuelle opposition veut-elle représenter une alternative au PS ou bien préfère-t-elle voir la situation actuelle (50% d’abstentionnistes et émergence de mouvements post politiques) se prolonger ?

En réalité, le vrai problème est que l’UMP, n’est qu’un courant supplémentaire du « socialisme républicain », au même titre que le PS. Même l’option bipartisane, qui est déjà un problème, est incomplète en France, alors que face aux valeurs républicaines du PS, l’UMP (ou l’UDI, si l’UMP ne veut pas faire ce travail) pourrait dégainer des valeurs démocrates. Par un curieux truchement de l’histoire, aux États-Unis, la « gauche », c’est le parti démocrate, et la droite, le parti républicain. Comme quoi…


Sur le web.

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  • « valeurs républicaines », ça ne veut rien dire

    « République » et « démocratie » non plus

    « Le plus souvent, au cours de notre vie, nous pensons moins avec les mots que le mots et les concepts ne se pensent à travers nous ». (Heiddeger)

    • Les mots sont des symboles qui aident à la communication, ils sont indispensables.
      Ce qui peut différer, c’est la signification que chaque individu leur donne.
      Certains mots recouvrent une définition assez consensuelle parce qu’il recouvre des concepts simples et compris de tous.
      D’autres mots tels que « valeur » ou « démocratie » sont des sortes de fourre-tout où chacun y met de sa propre perception, ses jugements, sa culture et son expérience. Dès lors, dégager une définition de tels mots revient à un tour de force, tout le monde pensent parler de la même chose, mais le discours est souvent circulaire enfermé en dehors de toute sémantique.

      • Chacun sait que lorsque un socialiste évoque les « valeurs de la république », il pense en réalité « valeurs du socialisme ». Parce qu’ils déforment systématiquement le sens commun des mots, discuter sans décodeur avec les socialistes est vain. Pour cette même raison, les socialistes sont inaptes au débat démocratique raisonnable. C’est pourquoi les adeptes de l’idéologie périmée sont perpétuellement dans le rapport de force, marque des faibles d’esprit.

        • C’est une recette vieille comme le Monde. Tu es mon ennemi? Alors tu es l’ennemi de la nation, de la patrie, du peuple, de la République, du Reich, etc…
          Pour régner, il faut jeter l’opprobre sur l’adversaire, donc anti-républicain, antisémite, homophobe, ….

          Certes, c’est grotesque. Mais regardez l’affaire Dieudonné, ça a formidablement bien marché, la majorité des gens ont gobé tout de A à Z. Les bonnets rouges idem.

    • Pour votre citation, c’est pourtant le plus petit commun dénominateur de sens des concepts et des mots qui fait société.
      Au même titre de ce qu’il devrait être permis d’apprendre aux enfants à l’école de la république démocratique.

      Les valeurs républicaines sont bien ce qui fait sens commun, même si la liberté de faire varier les concepts permet d’être à l’aise aux entournures de la pensée.

  • Il suffit de qualifier de valeurs quelques préceptes, pour les sacraliser et faire de ceux qui s’y réfèrent des tenants de la bonne et vraie bien pensance.

  • En France, la République est devenue la nouvelle déesse devant laquelle se prosterner, nouvelle religion avec son clergé en général issu de l’ENA. Vouloir se libérer, aujourd’hui, de cette religion revient à vouloir se libérer de l’emprise de l’Église au Moyen-âge.

  • Il y aurait quelques belles valeurs a mettre en avant, à commencer par la liberté individuelle et la liberté d’expression. Le martelage des ‘valeurs républicaines’ a toujours pour objet de faire rentrer tout un chacun dans le rang, et d’anéantir la discussion en discréditant l’idée.

    Malheureusement, je ne suis pas convaincu que les politiciens de droite croient vraiment en la liberté de l’individu face à l’état. Ils sont donc incapables de reprendre le manche dans le débat d’idées.

    • Ils (les politiciens de droite) sont surtout (et c’est bien triste) incapables de produire une réflexion de fond.

      Et ils sont complexés par le camp auto proclamé du bien.

      A partir de là, l’auteur de l’article l’a bien observé : toutes leurs « propositions » ou « idées » se font en fonction de ce que dit le PS.

  • l’auteur se trompe de cible quand il s’en prend à la  » république  » , alors que la cause de tous les maux de la france, et de l’attitude de constant ajustement des partis de droite sur ceux de gauche n’est pas la  » république  » , mais une de ses dégénérescences historique: l’état providence !

  • « Mais à ces valeurs héritées de 1789 » sont des valeurs de monarchie constitutionnelle. La république n’est qu’un masque pour le socialisme. Nous sommes toujours en présence des jacobins et des girondins, ces derniers étant de gauche autant que les jacobins, se démarquant d’eux à l’époque par leur anti-commune insurrectionnelle de Paris. C’est la raison qui vous faire dire UMPS.

    •  » nous sommes toujours en présence des jacobins et des girondins  »

      la plupart des girondins étaient inscrit au club des jacobins, vous devez confondre entre l’opposition  » girondins contre montagnards  » ?
      il s’agissait surtout d’une opposition de personnes, les girondins et les montagnards avaient peu de différence concernant les affaires économiques et étaient tous majoritairement  » libéraux « , pour une économie de marché. la plus grande divergence portait sur l’attitude à adopter vis-à -vis des milices parisiennes. les girondins leur étaient très hostiles alors que les montagnards penchaient pour un soutient calculé.
      les girondins furent très hostile au roi au printemps 92, avant de prendre peur et de le soutenir maladroitement à l’automne. les montagnards, d’abord indifférent, furent les principaux artisants de son exécution, par calcul politique.
      finalement, c’est les milices parisiennes qui obtiennent la tète des girondins. nombreux montagnards en furent bien ambarrassé…

  • « valeurs républicaines » = une des déclinaisons de la pensée unique.

    Il y a 40 ans, on n’avait pas le droit d’être anticommuniste. De nos jours on n’a pas de le droit de conchier la république.

  • Moi qui suis belge, je n’ai bien évidemment jamais subi le matraquage de ce que les Français appellent « l’école républicaine ». Je n’ai jamais été sommé non plus d’adhérer, depuis ma plus tendre enfance, à des « valeurs républicaines ». Je ne suis pas tenu de voter pour des « partis républicains ». J’essaie juste d’imaginer ce qu’aurait été mon enfance si, plutôt que de me laisser choisir mon réseau d’enseignement, l’Etat belge m’avait envoyé à « l’école monarchiste », où j’aurais été sommé – ne fût-ce que de faire semblant – d’adhérer à des « valeurs monarchistes », faute de quoi j’aurais eu à subir l’opprobre généralisée du corps enseignant. Hé bien, je crois sincèrement que je serais devenu anti-monarchiste. Et je me demande donc comment il se fait que les Français ne soient pas plus anti-républicains. Les anti-républicains français doivent-ils cacher leurs opinions ?

    • ayant suivi les cours de l’éducation nationale entre 4 et 15 ans avant de suivre des études agricole pendant 5 ans, je n’ai pas eu l’impression de subir un matraquage prorépublicain ( pas de salut du drapeau , l’histoire était enseigné de manière neutre et la période de la monarchie française y avait toute sa place… ) peut-etre que ça a beaucoup changé depuis, ou alors c’est plutot un fantasme ?

      ce qui a le plus changé je pense, c’est le nombre de jours de grève. ça reste à prouver que c’est la république qui favorise la grève. Clemenceau, grand républicain , a fait tirer sur les grèvistes en 1908

      • oui et clemenceau avait raison … personne n’a suivit et on a vu les conséquences de ce « je m’enfoutisme » en 1914 …

        •  » et on a vu les conséquence de ce je m’enfoutisme en 14  »

          vous etes sur de ne pas confondre avec 1940 ?

      • guigui: Aujourd’hui, ça dépend, disons qu’il y a une certaine partie de l’Education Nationale qui fait du prosélytisme socialiste. Et ça c’est vrai. Je l’ai moi même vécu, les profs qui t’obligent a adopter la valeur officiellement bonne.
        Certaines matières y sont particulièrement sensibles: l’économie, l’histoire, la philo, voir dans une moindre mesure, le français. Ce qu’ils appellent l’ECJS aussi.

        Mais ce qui est plus inquiétant, c’est les récentes évolutions, qui tendent à laisser penser que les choses prennent une toute autre tournure. L’affaire sur la théorie du genre a été très révélatrice. Surement que tout ça a été monté en épingle, néanmoins, les réactions des membres du gouvernement furent riches en enseignements. Ces gens considèrent qu’il est normal de donner a des enfants de 4 ans des réponses à des questions qu’ils ne se sont pas posés. C’est très grave. Car c’est le fondement idéologique de mouvements comme les Hitlerjugend. Prendre des enfants encore incapacité de se poser telle ou telle question, et lui donner une réponse toute faite, de manière a ce que l’enfant, dépourvu d’esprit critique sur la question, l’intègre comme vérité et valeur absolue. C’est une façon de forcer l’écriture sur un disque dur vierge.
        Ce qui est d’autant plus inquiétant que compte tenu du monopole de l’Education Nationale, ça peut facilement déraper.

        Quant à la théorie du genre elle même, si l’affaire a été exagérée, il s’agit malgré tout d’inculquer des valeurs socialistes, soit disant républicaine, a des enfants. On formate une future génération de socialistes ainsi. Idem pour l’écologie. On ne laisse pas les enfants se construire un avis petit à petit, on les manipule dès le plus jeune âge pour qu’ils suivent la ligne idéologique officielle sans poser de questions.

        Si les indicateurs démocratiques ne sont pas encore au rouge vif, ils sont déjà bien orange. Les français devraient se méfier.

        • Tout à fait d’accord!
          père d’un enfant de 5ans, c’est l’angoisse.
          école privée plus catholique n’empêche pas grand chose. Les programmes obligatoires, 2014/2015 ne sont pas fixés ou communiqués, et les réponses des cadres est évasive…..
          Il faut les circulaires et autres conseils/ biblios de L’ed. nat. à destinations des instituteurs pour s’inquiéter
          du bourrage de mou. Les parents seront le seul rempart, mais il faudra être encore plus fondé et convainquant avec les enfants pour lutter contre l’évangile socialiste.

          • Désolé pour les fautes de frappe!
            Tout à fait d’accord!
            père d’un enfant de 5ans, c’est l’angoisse.
            L’école privée plutôt catholique n’empêche pas grand chose. Les programmes obligatoires 2014/2015, contrôlés en cours d’année, ne sont pas encore fixés ou communiqués, et les réponses des cadres sont évasives dès qu’on aborde le sujet, même astucieusement…..
            Il faut lire les circulaires et autres conseils/ biblios de L’ed. nat. à destinations des instituteurs pour s’inquiéter du bourrage de mou. Les parents seront le seul rempart, mais il faudra être encore plus fondé et convainquant avec les enfants pour lutter contre l’évangile socialiste ou partir pour qu’ils apprennent ailleurs (c’est une question qui se pose).

  • M’enfin, UMP PS FG FN tout ça c’est nourri par le même système. Rgeradez le FN, plus rien ne le distingue des autres partis.
    Z’avez pas encore compris. Ce ne sont pas les politiques qui font danser le pays, pas plus que les flics font la loi. C’est la fonction publique et son système mis en place en deux temps, comme la Valse du même nom. Un pemier temps, Thorez aprés guerre et son statut hyper super protégé de la fonction publique, en prévision de l’arrivée du Petit Père de Peuples. Mai 68 et ses leaders aujourd’hui recasés dans la haute admnistration, comme Très haut fonctionnaires. Et vous v oulez qu’ils vous laissent détruire tout ce beau système hyper super réac.? M’enfin, vous êtes fous !

  • Arrêter de dire que Sarkozy est un socialiste. Il a fait la loi TEPA, il lutte pour réduire l’immigration et avoir une politique d’immigration choisi, ccorrespondant aux besoins du pays (défense de la Nation, comme idéal républicain démocratique), il supprime des postes de fonctionnaires (c’est être socialiste). Le paquet fiscale n’est pas antilibérale.
    A la rigueur, dites qu’il est social-démocrate.
    Sarkozy se fait insulter pas Mélenchon et par tous les leaders de la gauche du PS.

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