16 ans sans réchauffement climatique

Un article dans le Daily Mail britannique revient sur la dernière publication du Met sur l’absence de réchauffement climatique depuis seize ans.

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16 ans sans réchauffement climatique

Publié le 17 octobre 2012
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Un article dans le Daily Mail britannique revient sur la dernière publication du Met sur l’absence de réchauffement climatique depuis seize ans.

Par David Rose

Commentaire préalable de Contrepoints: Le Met Office a publié une réponse disponible ici. Contrepoints a par ailleurs évoqué le sujet ici.

  • Les chiffres démontrent que depuis le début de 1997 jusqu’à août 2012, il n’y a pas eu de hausse détectable sur le total des températures mondiales.
  • Cela signifie que la « pause » dans le processus de réchauffement climatique a donc eu à peu près la même durée que la période précédente lorsque les températures augmentaient de 1980 à 1996.

Le monde a cessé de se réchauffer il y a près de 16 ans, d’après les nouvelles données publiées par le Met il y a deux semaines.

Les chiffres, qui ont provoqué de nombreux débats parmi les scientifiques du climat, révèlent que depuis le début de 1997 et jusqu’à août 2012, il n’y a eu hausse marquée dans le total des températures mondiales.

Cela signifie qu’un « plateau » ou une « pause » dans le réchauffement climatique a eu lieu sur la même durée que pour la période précédente lorsque les températures ont augmentés entre 1980 et 1996. Avant cela, les températures ont été stables ou en baisse sur à peu près 40 ans.

Les nouvelles données, compilées depuis plus de 3000 points de mesure sur terre et sur mer, ont été discrètement publiées sur internet, sans fanfare de la part des média, et, jusqu’à aujourd’hui, n’ont pas attiré l’attention.

Cela représente un contraste marqué par rapport à la publication des chiffres précédents 6 mois plus tôt qui n’allaient que jusque fin 2010 – une année particulièrement chaude.

Terminer les chiffres en 2010 rendait possible de montrer un léger réchauffement depuis 1997, mais 2011 et les premiers mois de 2012 ayant été beaucoup plus froids, cette tendance s’efface si l’on prend les chiffres jusqu’à aujourd’hui.

Certains scientifiques du climat, tel que le Professeur Phil Jones, directeur du Climatic Research Unit à l’Université d’East Anglia, la semaine dernière ont rejeté l’image d’un « plateau » des températures, prétextant que 15 ou 16 ans serait une période trop courte pour tirer des conclusions.

D’autres sont en désaccord. Le Professeur Judith Curry, qui est à la tête du département des sciences climatiques au sein de la prestigieuse université américaine Georgia Tech, a indiqué au Mail on Sunday qu’il était évident que les modèles informatiques utilisés pour prédire un réchauffement futur étaient « profondément défectueux ».

Pour en savoir plus: http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-2217286/Global-warming-stopped-16-years-ago-reveals-Met-Office-report-quietly-released–chart-prove-it.html#ixzz29E78OR9H

Complément en réponse à un lecteur : au sujet de l’importance de la période à partir de 1997, le professeur Ben Santer soutenait que 17 ans était la période nécessaire pour une étude.

Ils trouvent que les enregistrement de températures troposphériques doivent être d’une durée d’au minimum 17 ans pour faire une différence entre une le « bruit » climatique interne et le signal de changements dus à l’action humaine dans la composition chimique de notre atmosphère.

Le Professeur Richard Lindzen du MIT a également eu des propos semblables dans un article.

Il n’y a pas eu de réchauffement depuis 1997 et pas de réchauffement statistiquement significatif depuis 1995.

Bob Tisdale a fait une comparaison globale sur 17 et 30 ans ici.

La base de données HADCRUT4 4.1.1. se trouve ici

Article original : Watts Up With That – Traduction: Hélène Picq/Contrepoints

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  • Il reste tout de mêmes de nombreux signes de réchauffement sur ces 16 ans. Rien qu’en regardant la base de donnée que vous citez, ta température de l’eau continue à monter, la température de l’arctique aussi, les glaciers continuent de fondre etc. etc.

    Après ce plateau peut être interprété de deux manières :
    – Il n’y a plus de réchauffement climatique les chercheurs s’étaient trompés et leurs modèles ne valent rien.
    -Il y a toujours réchauffement climatique et les climatologues se sont trompés sur la période significative pour distinguer le réchauffement de long terme des variation de court terme.

    La deuxième réponse est quand même plus sérieuse.

    • La température de l’eau continue de monter dans des valeurs qui sont à la limite des possibilités de précison des moyens de mesurage. Cette montée n’est pas homogène et son appréciation est difficile d’interprétation et sans relation sure avec la teneur en CO2 d’origine humaine. Les glaciers alpins ont commencés de reculer avant l’ère industrielle. Que la température en altitude soit de – 25°C ou de 30°C ne change pas grand chose aux glaciers, en revanche l’humidité et les précipitations interviennent. A noter que presque 90% des glaces sont au pôle SUD, où il ne se passe rien.

      • donc la hausse du niveau de la mer n’est pas significative par ce qu’elle est difficile à mesurer, alors que la température mondiale de l’atmosphère est significative ?

        Ou avez vous vu que les glaciers ont commencés à reculer avant le début de l’ère industrielle ? En quoi cette information contredit le fait qu’ils aient diminués ces 16 dernières années ?

        Enfin voici la preuve que la quantité de glace sur le continent antarctique se réduit :
        http://www.agu.org/pubs/crossref/2009/2009GL040222.shtml

        • @Thomas, Emmanuel Le Roy Ladurie a écrit un certain nombre de livre sur le climat, vous y trouverez les informations. Il ne s’agit pas de discuter du constat, mais des causes. En quoi la teneur en humidité de l’atmosphère influence les glaciers.

    • la fonte des glaciers n’est pas forcément un signe de réchauffement climatique . Il faut également tenir compte de la pluviométrie qui elle, a pu varier d’une région climatique à l’autre. De fait , on met l’accent sur les zones glacières qui perdent du terrain. Il y en a d’autres qui en gagnent, dont on ne parle pas du tout.
      La bonne méthode est donc d’utiliser un modèle qui prend en compte les températures mondiales et les précipitations mondiales, et non pas en s’attachant à des données régionales.

  • 1er point :

    1997-1998 : très fort El Nino
    2012 : La Nina

    Retirez la variabilité naturel de l’ENSO et vous obtenez quoi ? Ooh un réchauffement.

    2eme point :
    Le choix d’un point de départ ou de fin à court terme peut être très trompeur. Prenez comme période de référence 1998-2007 : « ca y est le climat se refroidit » aurait dit un climato-sceptique. Et pourtant la Terre se réchauffe (sic Galilée) si vous prenez la tendance dans son ensemble.

    3eme point :
    Si vous utilisez une période de référence plus longue (30ans était le minimum d’une référence acceptable pour se débarrasser de la variabilité inhérente au système climatique, mais plus long encore mieux), vous obtiendrez bien un réchauffement. Partez depuis 1900, et vous obtiendrez tout autre chose.

    4eme chose :
    Le réchauffement s’est toujours effectué par palier, personne n’a jamais dit que c’était une tendance linéaire. 15 ans de période stable n’est pas inédit. Mais en regardant chaque décennies successives au cours de cette période, chaque décennie a été plus chaude que la précédente – si les années 1990 ont été plus chaudes que les années 1980 et les années 2000 ont été plus chauds que les deux. Huit des dix années les plus chaudes ont eu lieu durant la dernière décennie.

    5eme chose :
    tout ça c’est pas moi qui le dit mais le MetOffice lui-même : http://metofficenews.wordpress.com/2012/10/14/met-office-in-the-media-14-october-2012/

    • Point 1, les NINA et NINO sont des phénomènes, autrement dit des manifestions, des effets. Les extraire pour faire une démonstration tendancieuse ne correspond à rien.
      Point 2 & 3, la période de référence est ce qu’elle est. En prendre une autre peut, éventuellement indiquer la même tendance ou son contraire. Rien n’est démontré sur ce point.
      Point 4, les paliers de réchauffement sont en contradiction avec la hausse constante de la teneur en CO2 en particulier de C02 dû aux activités humaines.

      Comment expliquer la déconnexion entre la teneur en c02 et le réchauffement ?
      Cette déconnexion pose la question : Pourquoi les températures augmentent plus dans le nord que dans le sud alors que le co2 est un gaz dont la teneur est homogène.
      Enfin, les climato-sceptiques ne nient pas le réchauffement, qui a perdu son nom pour devenir dérèglement, ce qui en dit long sur le scepticisme du GIEC, les climato-sceptiques mettent en doute la relation de causalité CO2-réchauffement.

      • « les climato-sceptiques mettent en doute la relation de causalité CO2-réchauffement »

        Y’en a aussi qui, plus humblement, disent que cette relation existe bel et bien, mais qu’elle a été surestimée, et que les variations naturelles ont été sous-estimées.

        • Pourtant les modèles collent très bien

          • Ce n’est pas ce que disait le MET au départ en tout cas, pour qui 15 ans d’arrêt de la hausse des températures impliquait que les modèles sont faux.

            Après, on peut être d’accord avec le MET ou pas…

            Moi quand je vois les données observées et que je compare aux projections, je me dis que les modèles sont vraiment pas terribles…

          • Tout comme ceux-ci.

            correlations

          • « Pourtant les modèles collent très bien »

            A répéter 1000 fois… qui sait.. !?

        • La seule attitude scientifique possible, la seule raisonable qqui est par surcroit humble est la mise en doute. L’affirmation que la part humaine des gaz à effet de serre est à l’origine du réchauffement climatique est contredite par le fait que les deux courbesne sont pas parallèles et que les analyses des carotage par les glaciologues indiquent que les réchauffements devancent la hausse de la teneur en co2 par le dégazage des océans.
          On dirait les propose d’un président normal imité par laurent gera : j’en entend qui disent….. je l’ai entendu ça…… Bref, moins scientifique et moins rigoureux que le giec tu meures.
          Personnellement j’ai ma théorie : depuis 1850, époque du début du réchauffement, la courbe d’augmentation des GES est à la hausse à cause des pets des humains qui augmentent avec le nombre de trous du c..

      • Bin écoute le point 1 répond à ton point 4. Si tu ne veux étudier que l’effet du C02 sur la température, tu dois enlever les effets des tendances naturels, c’est évident.

      • C’est facile a expliquer.
        L’augmentation du CO2 dans l’atmosphère provoque une augmentation de la quantité de chaleur absorbée dans l’atmosphère, responsable de la tendance à long terme de la hausse de la température alors que de nombreux autres phénomènes naturels influent à des échelles de temps plus courtes. La température ne peut pas augmenter de façon homogène. La surface de la terre n’est pas homogène et l’eau, la glace et le sol n’absorbent pas l’énergie solaire de la même façon. De plus la chaleur est déplacées par les vents, peut diffuser dans l’océan puis être enfouie par les courants, faire s’évaporer des nuages qui réfléchissent la lumière etc etc…

        Par exemple, le fait que la glace réfléchissent la lumière alors que l’eau l’absorbe explique le fait que le réchauffement en arctique est plus rapide qu’ailleurs. La glace fond un peu, l’eau qui la remplace absorbe plus de chaleur, ce qui fait fondre la glace….

      • « Pourquoi les températures augmentent plus dans le nord que dans le sud alors que le co2 est un gaz dont la teneur est homogène. »

        Car l’inertie thermique des océans et des continents n’est pas la même, or la répartition des continents n’est justement pas égale entre l’hémisphère Nord et l’hémisphère Sud….

    • « Le réchauffement s’est toujours effectué par palier, personne n’a jamais dit que c’était une tendance linéaire. »

      Ça rappelle les menteurs pathologiques qui ont plein d’arguments à postériori.

      Ce qu’on nous vend depuis 10 ans ce sont des courbes linéaires, d’ailleurs si le climat devait les rattraper il faudrait foutre le feu à toutes les forets et atomiser les volcans pour qu’ils ce réveillent tous en même temps.

      Donc glace record au sud et arrêt pendant 15 ans au nord=preuve du réchauffement, tout est normal et prévu !

  • Les rechauffistes sont vraiment marrants, ils regardent toujours la temperature des deux derniers siecles, jamais avant… pourquoi? parce qu’au moyen-age, il y a eu un rechauffement climatique de bien plus grande ampleur que ce que nous connaissons (peut etre) aujourd’hui, mais qu’a l’epoque, il n y avait pas d’usine ni de voitures…

    • Les sceptiques sont vraiment marrant, ils regardent toujours la température qu’il a fait il y a 3 siècles ou 10000 ans, jamais après…pourquoi ? parce qu’actuellement il y a un réchauffement climatique de bien plus grande ampleur et plus rapide que ce que nous avons connu au moyen âge, et qu’aujourd’hui il y a des usines et des voitures qui l’expliquent très bien.

      Mouarf : http://www.skepticalscience.com/medieval-warm-period-intermediate.htm

      • Hum, vaut mieux éviter de citer skepticalscience si on ne veut pas se décrédibiliser 😉

         » parce qu’actuellement il y a un réchauffement climatique de bien plus grande ampleur »

        Les faits montrent que non, pourtant. Enfin pas de manière significative.

        « et plus rapide »

        Peut-être. Source?

      • Des preuves? Toutes ces theories de rechauffement climatique ne sont que des foutaises! Allez, circulez, degagez de notre vie!

      • sur le graphique de ton lien, ce n’est pas temperature, mais l’anomalie de temperature (calculée par un beau modele mathématique), ce qui ne veut rien dire. Par contre, la température, elle, était bien plus élevée au Moyen Age…

        http://tucsoncitizen.com/wryheat/2009/11/24/climategate-update/

      • C’est faux. Il y a eu dans le passé des périodes plus chaudes. En revanche, il semble qu’il n’y a jamais eu autant de C02 dans l’atmosphère depuis le début du quaternaire.
        Mais cela ne signifie pas que l’activité humaine est responsable d’un réchauffement constaté depuis 1850, car la hausse de température a toujours précédé la hausse de dioxyde de carbone. C’est assez simple à comprendre avec la loi de solubilité des gaz dans l’eau.
        En outre, la Terre a déjà connu des hausses fulgurantes de température ( à l’échelle climatique) dans un lointain passé.

      • Vhaem:
        « ils regardent toujours la température qu’il a fait il y a 3 siècles ou 10000 ans, jamais après…pourquoi ? »

        Dis en commentaire d’un article qui parle des 16 dernières années c’est délicieusement décalé.

    • Oui, ni usines ni voitures. C’est pour ça que le réchauffement climatique naturel au moyen age a été limité en amplitude, non global sur la terre et qu’il n’a pas duré longtemps, les températures étant reparties à la baissent avant de repartir à des niveaux jamais atteints avec une vitesse jamais atteinte depuis le début de l’ère industrielle.

  • Je vois qu’il y a du travail pour Minitax dans les commentaires. 🙂

  • Je suis pour le réchauffement. Je compte prochainement créer le collectif « cote d’opale sous les cocotiers » pour promouvoir l’idée.

    • En attendant le budget digue de la région NPdC est de 500 millions d’euros et l’érosion de la cote d’opale est plus que préoccupante.

      • A ce sujet, j’ai lu que l’érosion des cotes créait une rétroaction positive augmentant l’ampleur du réchauffement. La théorie de la Terre boule de neige est très intéressante pour découvrir les mécanismes d’emballement liés à l’albedo : http://fr.wikipedia.org/wiki/Terre_boule_de_neige

      • « et l’érosion de la cote d’opale est plus que préoccupante. »

        Mon Dieu mon Dieu… encore un qu’a pris tout le pack « panique »…
        Source scientifique qui lie l’érosion de la côte avec le réchauffement ?

  • On est pas aux Etats-Unis ici… En France on sait que les américains ont posé le pied sur la lune, que Elvis est mort, que la lune n’est pas une meule de fromage et qu’il y a un bien un changement climatique provoqué par les émissions humaines de gaz à effet de serre et donc c’est pas la peine d’essayer d’arnaquer les gogos avec ça pour se faire du fric… Même Claude Allegre n’a pas réussi à faire prendre cette mode américaine du grand complot mondial en France…

    troll

    • « qu’il y a un bien un changement climatique provoqué par les émissions humaines de gaz à effet de serre »

      Et allez, le même homme de paille… Vous êtes complètement débile pour être incapable de comprendre ou vous le faites exprès?

      • Soyons clair, contrepoint est juste un énième site prônant mêlant à la fois théorie du complot, ennemi intérieur et glorification du militant sensé être un surhomme… Arnaque aussi vieille que sos-racaille, on parie combien que d’ici quelques années les responsables se barrent avec la caisse après avoir arnaqué quelques gogos ?

        troll

        • Tilleul
          « Soyons clair, contrepoint est juste un énième site prônant mêlant à la fois théorie du complot »

          Ah Tilleul avec sa prose délicieusement venue d’une autre planète. Tu qualifie de « complot planétaire » les données du MET… c’est amusant !

    • (le dessin résume parfaitement l’article)

      • « (le dessin résume parfaitement l’article) »

        Au début j’ai cru que c’était du dixième degré et que tu te foutais de la gueule des catastrophistes tellement tu ressemblais à une caricature.

        J’ai du aller lire les reste de tes merdes pour être convaincu que tu étais un authentique abruti.

        • …dit le gars qui croit ce que raconte un tabloïd…

          En France il n’y a plus que les libertariens pour soutenir ce genre d’élucubrations… A un niveau d’acharnement pareil c’est donc évidemment soit de la folie soit une arnaque. Je penche sur l’arnaque mais vous pouvez toujours essayer de me convaincre que c’est simplement une question de déréglement mental…

          • Quoi, vous rencontrez encore des gens qui croient à ces salades (sans y gagner leur vie, s’entend) ?

          • « vous pouvez toujours essayer de me convaincre que c’est simplement une question de déréglement mental »

            Du coté de la réalité que tu te refuse obstinément à regarder il y a les données du MET office qui sont désespérément plate depuis 16 ans au lieu de la jolie courbe catastrophique prédite.

            Tu peux faire le moulin à vent avec tes petits bras et éructer autant que tu veux, ça ne va ni transformer la réalité ni tordre ces courbes.

  • Je me souviens d’un argument climato-sceptique que je juge toujours convaincant mais qui marche dans les deux sens : la température mondiale n’a pas beaucoup de signification. C’est comme la température moyenne dans ma maison, en tenant compte de la remise du jardin, du congélateur et de la chaudière au sous-sol. Je ne suis pas certain d’ailleurs que le calcul prenant en compte l’impact de la désertification et de la péri-urbanisation soit vraiment possible. Par ailleurs, je ne comprends pas pourquoi on n’envisage pas une adaptation optimale à une terre réchauffée : de vastes parties du Canada et de la Sibérie pourraient peut-être être réaménagées ? On n’empêchera pas les Chinois de brûler leur charbon.

    • « Par ailleurs, je ne comprends pas pourquoi on n’envisage pas une adaptation optimale à une terre réchauffée »

      C’est une partie de l’escrologie du RCA: les papiers qui osent parler des effets éventuellement bénéfiques sont soit brulés en place publique soit totalement ignorés au profits des catastrophistes.

      C’est bien une église dogmatique qui c’est emparée du sujet et ça va faire énormément de tort à la Science.

  • Baser sa réflexion sur une période aussi courte n’a aucun sens. On ne peut rien affirmer, quelque soit la conclusion.
    On tombe ici dans les mêmes travers dénoncé ailleurs, l’absence de rigueur.
    Si on consulte les données du CRU, on pourra constater que la température significativement augmenter depuis 1850.
    En revanche, de là à imputer ce réchauffement à l’augmentation de C02 elle-même constatée sur la même période, et qui serait d’origine entropique, il y a un pas.

    • gil : « Baser sa réflexion sur une période aussi courte n’a aucun sens. On ne peut rien affirmer, quelque soit la conclusion.
      On tombe ici dans les mêmes travers dénoncé ailleurs, l’absence de rigueur. »
      —————————————–
      16 ans de non-réchauffement permettent de réfuter ce que les réchauffistes avaient eux-même affirmé avec leurs propres modèles utilisés pour fabriquer l’hystérie climatique : qu’une absence de réchauffement pendant 15 ans est très peu probable selon leur théorie (cf le rapport de la NOAA en 2008).

      C’est comme ça que fonctionne la science, vous avez beau avoir 1000 faits qui vont dans le sens de la la théorie, il suffit d’un seul fait contradictoire pour ficher la théorie en l’air. Et ce n’est pas parce que vous décrétez que ce raisonnement ne serait pas rigoureux que ça marcherait autrement.

      D’ailleurs, si 16 ans d’absence de réchauffement ne permettent pas de réfuter un prétendu « réchauffement accéléré » qui n’a été observé que sur 15 ans auparavant (vous allez nier ce FAIT peut-être ?), il faudrait quoi comme critère testable pour réfuter la théorie ????
      Une théorie non réfutable n’a rien à voir avec la science et tout à voir avec la religion.

      ——————————————–
      « Si on consulte les données du CRU, on pourra constater que la température significativement augmenter depuis 1850. »
      ——————————————–
      D’abord, la température n’a pas augmenté « significativement », elle a augmenté de manière totalement ridicule par rapport à l’amplitude des variations annuelle, saisonnière, journalière, par rapport à l’écart mesurée d’une agence à l’autre (il y a 4 sources officielle, donc à boire et à manger) et surtout par rapport aux tripatouillages des données brutes qui sont constamment faits sur refroidir le passé (là encore, c’est un FAIT, vérifiable et incontestable) et réchauffer le présent pour fabriquer une hausse.

      C’est la température des thermomètres qui augmente, pas la température, nuance. On sait même l’endroit où cette hausse se produit : dans les « corrections » des données brutes par le CRU et le GHCN. Et vous ne pouvez même pas dire qu’on ne sait pas, on a toutes les preuves, il suffit de comparer les séries publiées il y a 10 ans et celles publiées maintenant et de regarder toutes les corrections faites ***a postiori *** sur les températures au début du 20e siècle : non seulement les réchauffistes réchauffent le futur mais refroidissent aussi le passé. Alors la température en 1850, pardon !

      • Quel tissu de connerie tout ça. Tu affirmes des choses, alors cite tes sources au moins, qu’on puisse tous vérifier le fondement de tes sources. Et pas un site orienté sceptique bien sûr.

        Et sinon c’est pas : « qu’une absence de réchauffement pendant 15 ans est très peu probable selon leur théorie »

        mais « selon les modélisations » ce qui n’est absolument pas pareil.

        • Vhaem
          « Et sinon c’est pas : « qu’une absence de réchauffement pendant 15 ans est très peu probable selon leur théorie » mais « selon les modélisations » ce qui n’est absolument pas pareil. »

          Et les prédictions catastrophistes sont basées sur ?….

          • Comme je t’ai répondu sur un autre post je ne nie pas que les modelisations comportent des incertitudes. Tu vois je ne suis pas un réchauffiste extrémiste. Les modeles n’avait pas non plus modelisé cette fonte aussi importante de la banquise du pole nord et je ne suis pas en train d’en conclure comme certains le fond que le RC sera donc encore plus important que ce que les modeles prédisaient. Non j’en conclue simplement que les modèles doivent encore être affiné.

            Ce sophisme que vous nous faites, c’est comme si je concluais que parce qu’un modèle météorologique est imprécis, alors les lois thermodynamiques qui gouvernent ce modèle sont faux. Bien sûr personne ne conclue cela.

            Le sujet porte sur un palier stable non modélisé aussi longtemps. En vertu de quoi ce palier (qui au passage reste sur des valeurs hautes, on ne constate nullement un retour vers des températures plus froides et normales) annulerait les fondements physiques du RC anthropique (dixit minitax) ? Déjà attendons d’avoir les chiffres définitif de 2012 avant de faire des conclusions.

          • « c’est comme si je concluais que parce qu’un modèle météorologique est imprécis, alors les lois thermodynamiques qui gouvernent ce modèle sont faux.  »

            Les lois sont certainement juste comme l’était celle de la gravité avant qu’on la découvre. C’est notre connaissance et notre compréhension de ces lois qui sont fausses.

            En science on pose des théories, on fait des modélisations suivant les domaines et on vérifie expérimentalement. Comme l’expérimentation ne valide pas les modèles on sait qu’il y a un problème mais on est incapable de dire actuellement à quel degré vu la complexité du climat. Toi tu pense qu’il n’y en a aucun, c’est fantastique, une nouvelle science émerge ou la certitude d’une prédiction se moque de l’expérimentation.

            « on ne constate nullement un retour vers des températures plus froides et normales) »

            Très amusant le coup des températures « normales ». De plus tu confond climat et chauffage électrique on dirait: On tire la prise, ça s’éteint.

      • – 16 années est trop court pour affirmer quoi que ce soit, réchauffement ou non réchauffement. Ce n’est pas parce que les alarmistes ont fait cette erreur qu’il faut la reproduire.
        – La température globale moyenne a bien augmenté significativement depuis 1850. Quelque soit la méthode employée ( océans, surface, océan +surface) , on constate une augmentation de 1° minimum selon les mesures. La moyenne de température globale de référence ( pour les anomalies de températures) tournant autour de 14°, cela est significatif ( ref http://data.giss.nasa.gov/gistemp/)
        Maintenant, je ne peux pas me prononcer sur les tripatouillages que vous évoquez, je n’ai ai pas connaissances en ce qui concerne le CRU ou du GISS.
        Mais de toutes façons, une hausse constatée ne permet pas de s’emballer sur la responsabilité entropique via le CO2 émis, puisque l’augmentation de température a toujours précédé l’augmentation de C02.

        • Amusant l’homophonie entropique / anthropique. Je n’avais jamais fait le rapprochement. 😉

        • « Mais de toutes façons, une hausse constatée ne permet pas de s’emballer sur la responsabilité entropique via le CO2 émis, puisque l’augmentation de température a toujours précédé l’augmentation de C02. »

          Même cette thèse est récemment contestée

          http://www.23dd.fr/climat/les-climatosceptiques/34-laugmentation-du-co2-suit-le-rechauffement-il-ne-le-precede-pas

          • ce n’est pas contestable : les courbes de VOSTOK montrent très clairement que l’augmentation de température précède l’augmentation de CO2.
            C’est un fait, ce sont des mesures.

          • Des mesures incontestable, peut-être, mais tout dépend comme expliqué sur le site 23dd, où elles sont faites.

            C’est dans tous les cas difficile d’avoir des certitudes dans cette affaire, il est sage de seulement se contenter de présomptions.

          • CITOYEN : « C’est dans tous les cas difficile d’avoir des certitudes dans cette affaire, il est sage de seulement se contenter de présomptions. »
            ——————————
            On n’a pas de certitude non plus qu’il n’y aura pas une attaque de zoombies. Donc il faut établir un groupement intergouvernemental d’étude, dépenser des milliards d’argent du contribuable en « mitigation », changer son mode de vie, sensibiliser les gens (toujours avec l’argent du contribuable) pour prévenir les zoombies.
            Venant d’un étatiste toujours prêt à gober n’importe quelle foutaise à la mode, quelle surprise !

        • Gil : « 16 années est trop court pour affirmer quoi que ce soit, réchauffement ou non réchauffement.  »
          ———————————–
          16 années de non-réchauffement, ça ne permet pas de conclure qu’il y a 16 années de non-réchauffement ???
          Je ne sais pas ce que vous fumez mais c’est pas de la bonne came.

          ———————————-
          Gil : « La température globale moyenne a bien augmenté significativement depuis 1850. Quelque soit la méthode employée ( océans, surface, océan +surface) , on constate une augmentation de 1° minimum selon les mesures. La moyenne de température globale de référence ( pour les anomalies de températures) tournant autour de 14°, cela est significatif »
          ———————————-
          Vu ce que vous racontez, on a la preuve que vous n’avez pas la moindre idée de comment sont les « méthodes » en question, de comment est calculée la température si c’est 14°C, 15°C voire 13°C ni encore moins comment sont calculés « les anomalies » ou les ajustements ou les intervalles de confiance.
          Alors fermez-la, au lieu de pondre de vagues généralités typiques du discours obscurantiste des réchauffistes.

          • Vos insultes ne valent pas arguments. Consultez les données du GISS ou du CRU avant de de vous énerver. Ce ne sont pas des généralités, mais des observations facilement accessibles.
            Qu’est ce qui vous dit que je suis  » réchauffiste  » ?

            Vous ne semblez pas comprendre un élément pourtant très simple :
            en physique ; le nombre de mesures et le temps d’observation sont des critères importants que l’on doit prendre en compte pour affirmer des choses. Dire que 16 ans c’est trop court ne signifie pas que l’on ne peut pas affirmer que pendant 16 ans cela n’a pas chauffé, mais cela signifie que c’est trop court pour conclure sur un non-réchauffement global ou le contraire.
            Ce n’est pourtant pas compliqué : depuis 1850 la température a globalement augmenté. Mais il y a des intervalles de temps pendant lesquelles la température est restée stable ou a même diminué. Comprendo ?

          • Gil : « Consultez les données du GISS ou du CRU avant de de vous énerver. Ce ne sont pas des généralités, mais des observations facilement accessibles.  » ?  »
            ———————————
            Non, vos généralités, c’est par exemple de décréter qu’une variation sur 1 siècle et demi de 1°C est « significative » parce que c’est par rapport à 14°C, ce qui est scientifiquement idiot.

            D’abord, la variation de 1°C doit être comparée à 287K et non à 14°C, donc c’est bel et bien insignifiant, cf programme de physique niveau seconde. Ensuite il faut la comparer à l’incertitude de la soit-disant « température globale moyenne » que personne ne connaît à 1 °C près puisque pour le CRU, elle est de 13°C, pour certains modèles elle est à 14°C voire 15°C ! De plus, contrairement à ce que vous insinuez, les anomalies (le vrai terme en statistique serait déviation mais bon, pourquoi se priver d’un terme chargé d’alarmisme jusqu’à la gueule, hé, c’est la « science » climatique) ne sont absolument pas calculées par rapport à 14°C mais selon une méthode infâme qu’il serait trop long à expliquer à un gars totalement ignare de la question. Et enfin, l’incertitude sur la température a été totalement foirée et impossible à reproduire vu que Jones lui-même a avoué publiquement qu’il a perdu une grosse partie des données brutes. D’ailleurs, les réchauffistes ne s’embarrassent même pas de la donner ! Dans quelle science expérimentale voyez-vous des mesures sans intervalle de confiance et sans qu’on ait accès aux données brutes ? Rien qu’avec la différence de température entre les différentes source GISS, CRU, NOAA, RSS et UAH et ce pour la même soit-disant « anomalie globale » et la même année , sans compter les corrections faites constamment sur les anciennes données, l’intervalle de confiance ne peut pas faire mieux que +-0,5°C. Ajouté à cela les « ajustements » faits au doigt mouillé par les 3 sources de température de surface et on dépasse largement +-1°C d’incertitude. Tout ça est amplement documenté avec toutes les preuves qu’on veut. Le plus simple, c’est de voir comment l’anomalie globale donnée par le GIEC lui-même a été « ajustée » entre deux rapports, toujours pour accentuer la tendance au réchauffement :

            Alors quand vous voulez faire croire que la hausse de température de 1°C depuis 1850 (d’abord c’est faux, c’est pas 1°C mais 0,7°C) serait « significative », c’est vraiment du foutage de gueule.
            Du reste, j’ai jamais dit que vous étiez réchauffiste, j’ai dit que comme eux, vous connaissez que dalle du sujet et que vous devriez la fermer, et je maintiens.

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            Gil : « mais cela signifie que c’est trop court pour conclure sur un non-réchauffement global ou le contraire. »
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            Bah dans ce cas on peut aussi dire que 2 siècles, c’est trop court pour conclure puisque le réchauffement ou refroidissement climatique, on en trouve à toutes les échelles de temps de l’année à des dizaines de miliers d’année. Ce qui veut dire que la théorie de l’effet de serre ne sera jamais testable, bref que ça n’a rien à voir avec la science.

            16 ans, c’est la moitié d’un cycle de la PDO qui a une influence énorme sur le climat. En constatant que la PDO avait basculé dans une phase à dominance la Nina, j’avais prédit dès 2007 qu’on rentre dans un cycle de refroidissement et qu’il n’y a aucune chance que le climat se réchauffe dans les prochaines années et décennies (cf W Gray, Joe d’Aleo…). Donc non, 16 ans, c’est pas « trop court », c’est largement suffisant pour montrer une causalité bien plus prédictive que celle des réchauffistes.

  • le crédo de l’effet de serre est très sérieusement contesté par des physiciens spécialistes, théoriciens et thermodynamiciens, qui expliquent que la théorie de l’effet de serre traditionnelle ne tient pas la route, viole les lois fondamentales de la physique et que certains calculs de température qui ont conduits aux chiffres mille fois répétés, sont absolument faux…

    Construire une théorie sur des fondations aussi fragiles et instables . il y a trop de petits scientifiques en mal de reconnaissance ….

    L’effet de serre http://www.pensee-unique.fr/effetdeserre.html

  • @CITOYEN : il n’y a pas de « présomptions » concernant le fait que l’augmentation de température prés de toujours l’augmentation de CO2. Ce n’est pas le résultat d’une modélisation. Ce sont des mesures. Certains doctrinaires voudraient bien éluder ce fait, mais ce fait est têtu.

  • @minitax :
    1. « D’abord, la variation de 1°C doit être comparée à 287K et non à 14°C, donc c’est bel et bien insignifiant, cf programme de physique niveau seconde.  » : parlant de niveau seconde, vous devriez être prudent : on ne compare pas des °C avec des Kelvin, ce n’est pas la même échelle : votre remarque est parfaitement absurde. êtes vous bien sûr d »avoir suivi la seconde ?
    2. « is selon une méthode infâme qu’il serait trop long à expliquer à un gars totalement ignare de la question  » : vous ne doutez de rien vous, hein ? les anomalies sont calculées par rapport à une moyenne de température établie sur une période d’observation , cela n’a rien d’infâme. Peut _être contestable, mais rien de trop long à expliquer.
    3. »ans qu’on ait accès aux données brutes » : Les données brutes sont parfaitement accessibles sur les sites qui fournissent les données DATA. Voulez-vous des liens ? J’en ai un paquet à vous proposer. Mais peut être avaz vous acc`s À des preuves de tripatouillage inf^me des données brutes DATA du GISS, ou du CRU ?

    4. « j’ai dit que comme eux, vous connaissez que dalle du sujet et que vous devriez la fermer, et je maintiens. » : je laisse le lecteur avec une formation scientifique qui s’amusera à lire notre  » échange » déterminer qui est le clown dans l’affaire, qui éructe et s’emporte au délà du raisonnable comme les excités convaincus réchauffistes.

    • En temps que scientifique je rigole bien, mais plutôt de vous que de minitax….

      PS: une variation de 1°K= une variation de 1°C, il n’y a que l’offset de 273.15° qui intervient, minitax a donc raison.

      • Je dois être très bête, mais qu’est-ce que ça change sur le fond qu’on parle de Celsius ou de Kelvin ? Si tu veux calculer les anomalies thermiques en kelvin ça marche aussi, d’ailleurs les données des anomalies SST sont calculé en Kelvin. Le Celsius est une échelle adapté aux conditions atmosphériques terrestres. On pourrait aussi donner la vitesse des véhicules en fonction de la vitesse de la lumière ou bien calculer les cours de la bourse en mole d’or équivalente. Mais franchement pas très adapté.
        Quant à la température moyenne globale on s’en fout, puisque on calcule des anomalies par rapport à une période donnée. D’ailleurs les sceptiques devraient être content MF à récemment changé sa période de référence en passant de la norme 1971/2000 à la norme 1981/2010. Et comme entre les deux il y a eu réchauffement, du coup les anomalies par rapport à la normale sont minorés. Bouuuh les méchants réchauffistes de MF qui minorent les anomalies par rapport à la normale, allant dans le sens des sceptiques de mauvaise foi…

        • « Quant à la température moyenne globale on s’en fout, puisque on calcule des anomalies par rapport à une période donnée. »

          Comme ça ne cesse jamais de changer comment vous distinguez une « anomalie » ?

          Ah oui, on fait des bilans, on modélise ! Et quand les modèles ne collent pas avec l’observation comment vous faites ?

          La louche, le pifomètre, l’intuition, le doigt, le jonc, le mord moi le nœud ?

          • Dire qu’on se retrouve à perdre du temps à discuter avec des attardés qui n’arrivent même pas à construire une proposition négative. Vous ne connaissez même pas le niveau le plus élémentaire de votre propre langue et vous parcourez le web pour donner des leçons de physique du globe au monde entier ?

          • « Ca prouve vraiment que vous y connaissez rien. »

            Ça prouve juste que tes capacités de compréhension sont en dessous
            de la moyenne.

            La question était pourtant *très* simple:
            Comment dans un niveau qui ne cesse de changer tu distingue une
            anomalie d’un changement normal ?

            Et avant que tu bug en boucle de moebius (vu le niveau) je te repost la
            première phrase pour que tu suive bien…

            « Comme ça ne cesse jamais de changer comment vous distinguez une
            « anomalie » ?

            Ah oui, on fait des bilans, on modélise ! Et quand les modèles ne collent
            pas avec l’observation comment vous faites ?

            La louche, le pifomètre, l’intuition, le doigt, le jonc, le mord moi le nœud ? »

            Toi avoir compris ou moi t’envoyer gros dessins pour les tout petits ?

          • « que 1°C est insignifiant par rapport à 287 K. C’est énorme d’affirmer un truc pareil ! »
            ———————-
            Bah qu’est ce qu’il y a « d’énorme » ?
            Vous allez nier que 1/278, c’est une variation relative bien plus faible que 1/14 ??? ‘comprends pas…

        • Vhaem : « Je dois être très bête, mais qu’est-ce que ça change sur le fond qu’on parle de Celsius ou de Kelvin ? Si tu veux calculer les anomalies thermiques en kelvin ça marche aussi, d’ailleurs les données des anomalies SST sont calculé en Kelvin. Le Celsius est une échelle adapté aux conditions atmosphériques terrestres. »
          ——————————-
          Parce que toute la physique radiative des réchauffistes repose la loi de Stefan-Boltzmann, qui est que l’énergie radiative de la Terre est proportionnelle à T^4 . Tous les calculs en thermodynamiques doivent être fait en unité système international, qui est le kelvin pour la température, le seul abus de langage qu’on peut se permettre quand on confond 1°C et 1K, c’est quand il s’agit de variations, n’empêche que c’est un abus de langage. Donc si la Terre s’est réchauffé de 1°C (càd 1K), la hausse relative d’énergie radiative, celle qui se traduit en impact sur le climat, doit être calculée par rapport à la base en valeur absolue, càd par rapport 287^4 et non 14^4. En %, ça change du tout au tout, dans un cas c’est négligeable, dans l’autre non !

          • Vous racontez n’importe quoi . Aucun rapport avec la problématique de départ.
            Vous avez écrit : « D’abord, la variation de 1°C doit être comparée à 287K et non à 14°C, donc c’est bel et bien insignifiant »

            C’est à dire, si c’est vraiment ce que vous avez voulu exprimer, et ça fout les jetons si vous êtes vraiment scientifique, que 1°C est insignifiant par rapport à 287 K. C’est énorme d’affirmer un truc pareil !
            Bon allez, c’est assez. J’ai vu à qui j’ai affaire…On ne s’improvise pas scientifique, même du dimanche.

      • Vous faîtes exprès ?
        Relisez la phrase de minitax :  » D’abord, la variation de 1°C doit être comparée à 287K et non à 14°C, donc c’est bel et bien insignifiant »
        Elle est absurde. Si vous êtes scientifique, vous ne voyez pas que c’est énorme ?

        • Soit vous vous exprimez mal, soit vous réfléchissez mal et par voie de conséquence vous écrivez des bêtises.

           » on ne compare pas des °C avec des Kelvin, ce n’est pas la même échelle » dans le contexte c’est idiot et c’est faux.

          La question de la pertinence de la remarque de MiniTAX est une question différente. En quoi trouvez vous cette phrase absurde? Là on pourra discuter d’aspect scientifique.

          • Je vous renvie à la phrase :  » D’abord, la variation de 1°C doit être comparée à 287K et non à 14°C, donc c’est bel et bien insignifiant »
            Si vous êtes vraiment scientifique et que vous ne voyez pas le problème, je ne peux rien pour vous.

    • gil : « les anomalies sont calculées par rapport à une moyenne de température établie sur une période d’observation »
      ——————————–
      Vous n’avez pas dit rien dit de tel, vous avez dit que « les anomalies sont calculées par rapport à la moyenne de température globale de référence tournant autour de 14°C », ce qui n’a rien à voir.
      En réalité, c’est ni l’un ni l’autre, c’est loin d’être aussi simple, parce que selon l’ago qui n’est jamais le même d’une agence à l’autre, on peut prendre la « normale » journalière (calculée sur une période de référence de 30 ans, qui est différente entre GISS et le CRU !) et la soustraire de la température journalière pour avoir les anomalies (journalières) qu’on moyenne sur le mois pour avoir l’anomalie mensuelle. Ou bien on peut prendre la « normale » mensuelle qu’on soustrait à la température mensuelle pour avoir l’anomalie mensuelle. En théorie, ça devrait être pareil car c’est des opérations linéaires, sauf qu’il y a des « homogénéisations » qui interviennent entretemps ce qui fait qu’une anomalie peut être différente selon les méthodes de calculs sur un même jeu de données brutes! Eh oui, elle est aussi abominable que ça, la « science » climatique.

      ————————————————
      gil : « Les données brutes sont parfaitement accessibles sur les sites qui fournissent les données DATA. Voulez-vous des liens ? J’en ai un paquet à vous proposer.  »
      ————————————————
      Il n’y a jamais de données ***brutes*** du CRU, cessez de raconter n’importe quoi. Si ça existe, il vous suffit de citer un lien, un seul. Mais bon, on peut être sûr que pour ce qui est de brasser du vent, vous répondez présent mais dès qu’il s’agit de rentrer dans les détails, vous allez faire le mort.
      De plus, pour les séries de température, il n’y a pas que les températures, il faut également les métas-données (qui n’ont pas été inventées pour les chiens) qui précisent les déplacements, changements d’instruments, d’environnements… afin qu’on puisse vérifier que les ajustements, parfois énormes sur les données brutes sont justifiées ou non. Or ces méta-données n’existent NULLE PART dans les bases (là encore c’est simple, contredisez moi avec un lien, un seul qui prouve le contraire) ce qui fait que les ajustements ne pourront jamais être justifiés. Là encore, ce ne serait pas trop grave si ces ajustement avaient une répartition équicentrée or ils ajustements faits massivement dans le sens d’un refroidissement de la température passée et d’un réchauffement des températures récentes (alors qu’avec l’effet des îlots de chaleur urbains, ils devraient s’appliquer dans les sens opposés) ce qui est statistiquement totalement impossible sans triche délibérée.
      Mais bon, visiblement, tout ces ***faits***, ça ne compte pas pour vous, tout ce qui vous intéresse, c’est de répéter comme un perroquet que 1°C de hausse sur 150 ans, c’est significatif.
      Répéter 100x une chose fausse ne la rend pas plus vraie.

      •  » Vous n’avez pas dit rien dit de tel, vous avez dit que « les anomalies sont calculées par rapport à la moyenne de température globale de référence tournant autour de 14°C »,  » C’est la même chose. je ne vous suis pas. L’anomalie de température est calculée par rapport à une moyenne effectivement calculée sur une période. Cette moyenne tourne autour de 14° pour les périodes de références que l’on trouve sur GISS-nasa, par exemple. Cette période peut changer, et donc la moyenne changé, et donc l’anomalie changé aussi.
        Maintenant si vous dîtes que c’est contestable, oui, je suis d’accord. Et d’ailleurs, si cette question apparaît dans le FQ du site GISS ( par exemple) avec une réponse plus ou moins satisfaisante, c’est que cette question revient tr`s souvent.
        Je comprends aussi votre définition des données brutes. Vous avez raison, il n’existe pas, si je vous ai bien compris, de données brutes de mesures de températures en ce qui concerne le carottage par exemple, mais vous admettrez que c’est un peu normal dans la mesure où il ne s’agit pas de planter un thermomètre dans la glace, mais de baser ces calculs sur des ratios d’ isotopes de l’oxygène ( d’après ce que je sais). Je vois mal comment communiquer ces résultats bruts. Y a t-il des bidouillages dés le départ pour obtenir des résultats conforme à la doxa ? les courbes de Vostok ne confirment rien dans ce sens, et ne sont pas  » faits massivement dans le sens d’un refroidissement de la température passée et d’un réchauffement des températures récentes » . Doit-on les mettre en cause ? Il en est de même pour les carottages EPICA au Groenland. Allez vous me contredire ?

        • Gil : « L’anomalie de température est calculée par rapport à une moyenne effectivement calculée sur une période. . Cette moyenne tourne autour de 14° pour les périodes de références que l’on trouve sur GISS-nasa, par exemple. »
          —————————
          NON ! L’anomalie est calculée par rapport à la « normale » de CHAQUE station puis on assemble le tout pour faire une « anomalie globale ». C’est là où se pose le problème de l’homogénéisation dont je parlais (et je n’ai même pas encore parlé du problème de pondération des anomalies). Rien à voir avec la « température globale » de 14°C, calculée à partir de modèles et que personne ne connaît à 1°C près, cf par exemple l’article « The Elusive Absolute Surface Air Temperature (SAT) » écrit par Hansen lui-même : http://data.giss.nasa.gov/gistemp/abs_temp.html
          Vous pouvez y lire par exemple cette conclusion : « For the global mean, the most trusted models produce a value of roughly 14°C, i.e. 57.2°F, but it may easily be anywhere between 56 and 58°F and regionally, let alone locally, the situation is even worse ».

          Affirmer que les anomalies sont calculées par rapport à la « température globale » de 14°C montre tout de suite que vous n’avez strictement aucune idée de ce que vous racontez.

          ————————–
          Gil : « Oui. Voilà. 1 ° ou 1 K par rapport à 287 K cela fait 0,3 % . Mais 1° C par rapport à 14 ° C cela fait 7 %, ce qui n’est pas la même chose. »
          ————————-
          Bah oui, c’est pas la même chose, cette bonne blague ! Sauf que votre 7%, et c’est ce que je vous ai expliqué et que vous mettez trois plombe à comprendre, c’est calculé avec des °C et physiquement, ça ne veut rien dire.
          Sinon, pourquoi ne pas faire les calculs avec des °F ???
          La vraie signification physique d’une variation de 1°C (ou plus exactement 1K), c’est que ça correspond à une variation de température de 0,3% et non de 7%.
          Et un changement de 0,3%, c’est bel et bien négligeable, et non « significatif » comme vous voudriez le faire croire.

          • réponse en bas. Vous rendez vous compte que pour qu’une variation soit significative pour vous, il faudrait une augmentation de température de l’ordre de 20 ° pour atteindre le même pourcentage avec une température en ° C ( 7 %) ??? Vous rendez-vous compte de cette énormité ? il faudrait que la température moyenne double pour que cela devienne significatif ?
            Vous blaguez, c’est ça ?

        • Gil : « Je comprends aussi votre définition des données brutes. Vous avez raison, il n’existe pas, si je vous ai bien compris, de données brutes de mesures de températures en ce qui concerne le carottage par exemple, mais vous admettrez que c’est un peu normal dans la mesure où il ne s’agit pas de planter un thermomètre dans la glace, mais de baser ces calculs sur des ratios d’ isotopes de l’oxygène ( d’après ce que je sais). Je vois mal comment communiquer ces résultats bruts.  »
          ————————-
          Non, je parlais de données brutes de températures instrumentales modernes càd mesurées par des thermomètres, « brut » voulant dire AVANT avoir été torturées par les climatologues pour donner la fameuse « anomalie globale ».
          Même ces données brutes instrumentales, vous ne les trouverez nulle part au CRU (pas étonnant que vous bottez en touche, après avoir insinué sans vergogne qu’elles sont publiques), ce qui rend impossible toute réplication de sa reconstruction.
          La réplication par des tierces parties, c’est un fondement de la science moderne, et elle a été mis au chiotte par les réchauffistes pour l’indicateur pourtant central de toute la religion climatique. C’est ça que vous ne voulez toujours pas comprendre !

          • Je ne botte pas en touche, je répond honnêtement, arrêter votre délire.
            Vous n’aviez qu’à préciser le type de mesures.

          • « Je ne botte pas en touche, je répond honnêtement, arrêter votre délire. »

            C’est pour ça que tu nous chie deux page de pendules sur les C°/K° en dessous tout en évitant soigneusement le problème fondamental des données brute.

            Mais à part ça il botte pas en touche le perroquet.

            « Allo Cocoooo »

  • @gil votre affirmation est purement gratuite, donnez un argument, c’est comme ça que marche une discussion. Juste dire c’est nul ou c’est faux n’a AUCUN intérêt.

    • J’ai déjà répondu, mais cela a du vous échapper.

      • Si « C’est à dire, si c’est vraiment ce que vous avez voulu exprimer, et ça fout les jetons si vous êtes vraiment scientifique, que 1°C est insignifiant par rapport à 287 K. C’est énorme d’affirmer un truc pareil ! » c’est votre justification le problème subsiste…
        Et 1° sur 287° c’est inférieur à 0.4% c’est dans le domaine du négligeable.
        Vous ne répondez sur aucun argument de fond et papillonnez allègrement sur des détails avec forces affirmations gratuites.
        Pour vous citer « On ne s’improvise pas scientifique, même du dimanche. »

        • Totallystone:
          « Vous ne répondez sur aucun argument de fond et papillonnez allègrement sur des détails avec forces affirmations gratuites. »

          Tout à fait d’accord, Gil pratique le pinaillage sur une phrase qu’il ne comprend pas dans son contexte pour ne surtout pas répondre sur le fond qui est tout à fait pertinent.

          En général c’est une perte de temps, ils partent dans tout les sens comme une savonnette sous la douche. Par contre démonter les sophismes peut être utile à d’autres lecteurs,

          • « ils partent dans tout les sens comme une savonnette sous la douche  »
            Qui ils ?
            Vous vous contredisez en quelques mots, c’est fort.
            Soit, je pinaille. Mais pas pour un détail. Mais donc je ne pars pas dans tous les sens,
            C’est un club ici ?
            C’est assez amusant qu’ici , sur un site où on devrait enorgueillir de raisonner, on y pratique l’invective gratuite, l’amalgame, le procès d’intention et on y cultive une entre-soi hermétique à la raison, tares qu’on retrouve souvent sur les sites des sectaires d’en face.
            Amusant, oui.

          • « on y pratique l’invective gratuite, l’amalgame, le procès d’intention »

            Tatatata…

            Quand t’aura fini de pleurnicher y a 50 lignes d’arguments bien touffus bien technique qui attendent ta réponse plus haut. On ce paie ta tête parce que tu botte en touche et la seule réponse que tu donne c’est des gémissements.

        • Oui. Voilà. 1 ° ou 1 K par rapport à 287 K cela fait 0,3 % . Mais 1° C par rapport à 14 ° C cela fait 7 %, ce qui n’est pas la même chose. Pourtant, oui, 1° C ou 1 K est une valeur relative. Il faut vous expliquer comment ?
          Imaginez que la température ait augmenté dix fois plus, soit de 10°C, c’est à dire, valeur relative, 10 K. Continuerez-vous à prétendre que c’est négligeable parce que cela ne représente que 3 % de 287 K ?

          • @Gil,
            Vous buggez… exactement comme prévu !

            Largué sur les faits scientifiques et incapable de raccrocher aux débat d’une manière si prévisible… La vache !

          • Écoutez on va faire quelque chose de simple,parce que là, une fois de plus la question de fond n’est pas abordée.
            Soit vous justifiez l’emploi de l’échelle Celsius par rapport à l’échelle Kelvin, par un argmument donc, soit la discussion s’arrête là.

            Je ne juge pas (encore) de l’exactitude (ou non) de vos arguments scientifiques, là c’est purement votre démarche qui est en faute. L’essentiel de la science repose là dessus, même le dimanche.

  • Ok Lymrin, expliquez le bug.

    • Totallystone : ma démarche qui est en faute…
      Non, c’est la démarche absolument inédite et « original » d’évaluer la valeur significative d’une température en K pour la minimiser qui est en cause. Je crois que l’exemple que j’ai cité est assez explicite, non ?
      Je viens de me rendre compte que cela ne pose aucun problème aux « scientifiques » de ce site de comparer 1 ° C à 287 K, pour en déduire que c’est négligeable. « Ben ouais, c’est relatif et en thermo on utilise le Kelvin, d’abord. »
      L’énormité concernant le problème d’échelle n’apparait même pas évidente !
      Reprenons les choses : imaginons que les températures soient exprimées en K. Imaginons que l’on constate une augmentation de 10 K sur une période de valeur moyenne 287 K, et supposons que comparer cette valeur à la moyenne ait un sens. On pourrait dire que la température a augmenté d’une manière bien peu significative ( 10/287) . Mais 10 K cela fait 10 ° C. Ce qui change l’appréciation tout d’un coup, non ?
      Supposons que l’on éclaire une feuille de papier par exemple avec une lampe à filament. Pendant un temps d’observation , on peut observer une augmentation de la température de la feuille. Imaginons que pendant le temps d’observation, la température de la plaque ait augmenté de 3° C soit 3K.
      Au départ, elle était à la température de la pièce, 20° soit 293 K.
      Elle a donc augmenté de 3/ 293 soit 1 % . C’est négligeable ? le transfert thermique est négligeable ? Il n’y a donc pas transfert ?
      Bien sûr que si. Car elle a augmenté de 3° soit 21 %.

      • plutôt une plaque de métal, coefficient d’absorption faible

        • Il s’avère malheureusement que vous êtes incapable de justifier l’emploi d’une échelle Celsius plutôt qu’une échelle Kelvin.
          Peut être avez vous raison et miniTAX tord, mais vous n’apportez aucun élément de justification, vous n’avez pas d’argumentaire.

          Donc notre discussion s’arrête là.
          La science est avant tout une démarche rigoureuse, sans cela ce n’est qu’une question d’opinion, même le dimanche.

          • Pardon ? C’est une blague ? je n’ai rien montré la haut ?
            En tous cas, ces échanges resteront, ils ne vous feront pas honneur.
            J’ai rarement eu affaire à autant d’étroitesse.
            C’est un club de clown. Maintenant, je les sais.
            Vous avez raison : fin du dialogue.

        • J’pense que tu perds ton temps gil. Il arrive un moment où la raison et la logique ne peuvent rien contre l’entêtement et la sottise.

          • « contre l’entêtement et la sottise. »

            Deux pages de hurlements parce que l’échelle de mesure qu’utilisent les scientifiques ne lui plait pas tout en éludant soigneusement le fond, c’est clair… on a affaire à des pointures.

      • Gil : « Elle a donc augmenté de 3/ 293 soit 1 % . C’est négligeable ? le transfert thermique est négligeable ? Il n’y a donc pas transfert ? »
        —————————–
        Le transfert thermique se fait par 3 phénomènes, la conduction, la convection et l’irradiance. Pour la conduction et la convection, la hausse est proportionnelle à la différence de température, donc qu’on utilise °C ou K, c’est pareil. Mais par contre pour l’irradiance, il faut se ramener aux fondamentaux de la physique et utiliser les K, parce que la hausse est proportionnelle à T^4. Pour la température moyenne terrestre, l’équilibre est atteint uniquement grâce aux échanges de chaleur avec l’espace uniquement par irradiance (la Terre étant dans une bouteille Thermos), donc une variation de température doit être comparée à la température physique absolue en K et non à une échelle avec un décalage arbitraire comme le °C ou °F car c’est en K qu’on fait les calculs thermodynamiques. Tu fais un calcul d’enthalpie avec les °C et c’est direct zéro pointé.

        Du reste, si tu me relis bien TOUS mes posts, je n’ai pas divisé °C par K mais une ***variation*** en °C (qui est PAREIL qu’une variation en K) par K, donc j’ai bien divisé K par K, il n’y a rien « d’énormes ». Le seul truc énorme ici, c’est ton incapacité à comprendre des explications simples et argumenté sous de multiples façons.

        En science, la terminologie et les ordres de grandeur ont une importance capitale, tu as foiré et l’un et l’autre et juste sur une seule affirmation (et je ne parle pas de tes multiples autres idioties, sur le calcul des anomalies, sur les données brutes, sur le CRU…). C’est excusable de ne pas savoir, c’est impardonnable de ne pas vouloir comprendre.

        • Merci pour la leçon de physique…Vous continuez à vous entêter dans l’absurde. Si on relit vos posts, votre principe consiste bien à négliger une variation de 1° C sur une échelle en Kelvin, c’est à dire avec un décalage de 273 °C, c’est à dire en ajoutant 273 unités sur une échelle. Évidemment, en ajoutant 273, cela minimise les variations, même des variations de 10 ou 20 °C comme je vous l’ai fait remarquer. Qu’avez -vous à dire à cela ? Qu’avez vous À dire qu’une variation de 20 ° ou K reste négligeable sur une échelle de K ? je vous écoute. Répondez.
          Au niveau climatique, et pour l’écosystème, des variations de L’ordre du degré ont leur importance.
          Vous vous bornez à répondre que le Kelvin est l’USI, que les calculs en thermo sont en K, donc il faut raisonner en K sur une échelle K’.

          L’exemple que j’ai donné est assez parlant : pour qu’une variation ne paraissent pas négligeable sur une échelle en Kelvin, il faudrait qu’elle soit de l’ordre de plusieurs dizaine de degré. Je vous parle de cette différence de 273 unité qui évidement minimise les variations en degré ou en K.
          Votre réflexion  » es posts, je n’ai pas divisé °C par K mais une ***variation*** en °C (qui est PAREIL qu’une variation en K) par K, donc j’ai bien divisé K par K, il n’y a rien « d’énormes » » prouve que vous n’avez même pas capté cette évidence.
          « En science, la terminologie et les ordres de grandeur ont une importance capitale » : oui en effet, mais c’est bien vous qui foirez le second point, les ordres de grandeurs.

        • Vous éludez dans cette argumentation l’appréciation de la valeur significative. C’est de cela que l’on parle. On parle bien de l’appréciation d’une variation et le débat porte sur les critères de comparaison. Vous affirmez que la variation de température est à comparer sur une échelle en K : « D’abord, la variation de 1°C doit être comparée à 287K et non à 14°C, donc c’est bel et bien insignifiant »
          Je vous renvoie à l’exemple cité : même une variation de 20°C reste négligeable ( d’ailleurs quels sont vos critères ? )
          Vous avez affirmé  » la température a augmenté de manière totalement ridicule par rapport à l’amplitude des variations annuelle, saisonnière, journalière » : selon vos propres critères, ces variations reste encore négligeables. Amusant, non ? En fait avec cette « méthode » tous phénomène est négligeable. Bravo.
          Bon, écoutez , envoyez un mail au NOA, au GISS et à tous les labos possibles, vous venez de découvrir un truc fantastique.

    • « Ok Lymrin, expliquez le bug. »

      Non, c’est parfaitement inutile, si tu n’a toujours pas compris après nos multiples messages tout à fait clair les chances que tu capte maintenant sont absolument infime. Relis l’échange dans 15 jours quand tes biais cognitifs seront calmés.

      Des types incapable de suivre un raisonnement et qui confondent émotion et mesure physique ça fait très crédible pour venir nous expliquer la science.

      • Mais bordel, vous parlez comme des automates !
        « Des types incapable de suivre un raisonnement et qui confondent émotion et mesure physique » : Mais où ça ? où ça ? Ou il y a de l’émotion ?

        Vous semblez si pressés de me prêter des sentiments ou des idées qui colleraient à ce vous attendez de vos détracteurs que c’en est comique ! On est chez les dingos ici ou quoi ?
        Et puis ce ton, sur la science, alors que manifestement cela vous dépasse, c’est vraiment drôle
        Allez bye les clowns.

        • « La science est avant tout une démarche rigoureuse, sans cela ce n’est qu’une question d’opinion, même le dimanche »
          Putain, celle là , je la garde.

      • Comm à Minitax : Vous rendez vous compte que pour qu’une variation soit significative pour vous, il faudrait une augmentation de température de l’ordre de 20 ° pour atteindre le même pourcentage avec une température en ° C ( 7 %) ??? Vous rendez-vous compte de cette énormité ? il faudrait que la température moyenne double pour que cela devienne significatif ?
        Vous blaguez, c’est ça ?
         »
        Commentaire définitif. Fin de ma contribution.

        • gil : « il faudrait que la température moyenne double pour que cela devienne significatif ? »
          ——————————-
          La température moyenne ne double pas quand il y a une variation de 20°C, gros beta. Elle a augmenté de 7% parce qu’il faut travailler en unités SI, càd en kelvins, et RIEN d’autre (sinon, pourquoi ne pas travailler en °F, question à laquelle tu bottes en touche, comme dab, à chaque fois qu’on te met ta tête dans ton caca).
          Ton entêtement à utiliser l’échelle °C est grotesque. Tout ça pour pouvoir maintenir à tout prix que 1°C serait « significatif », ça frise le pathologique !

          Soit dit en passant, une variation de 10°C, ça arrive à la Terre à chaque cycle de Milankovitch de 100.000 ans sur le dernier million d’années. Si on appliquait ton stupide calcul, ça veut dire qu’en passant de 4°C pendant l’âge de glace à 14°C pendant l’interglaciaire, on aurait augmenté la température de plus de 200%. Et à des échelles de temps plus grand, la Terre avait à certain moment frisé 0°C. Je te laisse faire le calcul avec une division par zéro, bon courage !

          • Le kelvin ne sert que pour les calculs physique. Ca n’a effectivement pas de sens de réaliser des % avec du celsius. Il n’empêche que ça a encore moins de sens de dire que 1°C d’augmentation n’est pas significatif. Significatif par rapport à quoi ? Par rapport au zéro absolu ? Non mais sérieux à partir du moment où l’on parle des températures qui règnent sur terre déjà ça limite énormément la signification d’un pourcentage basé sur le zéro absolu. -60 à +60°C, soit seulement 120°K. Si je réduis ça aux conditions acceptables de vie pour un être humain, on arrive à -10/+30, soit 40°K
            Donc 1°K est-ce significatif ? Si vous vous considérez comme une amibe ou un extrêmophile sans doute pas. Maintenant si vous vous considérez comme un être humain, alors oui c’est significatif de parler de 1° Celsius.

            Bref toute cette discussion c’est franchement du vent. Comme je disais, votre raisonnement n’a pas plus de sens que de parler de vitesse des véhicules en pourcentage de la vitesse de la lumière.

          • Vhaem, votre niveau d’inculquitude laisse pantois. Vous êtes le digne dernier défenseur de ces salades. Tout un symbole.

          • Les insultes n’ont jamais fait un argument. Bien au contraire, ça prouve simplement à l’auditoire que j’ai raison.

            Je rajoute d’ailleurs que si vous aviez ne serait-ce que des notions très primaire en écologie, vous sauriez que nombre de faune et flore sont très sensible, bien plus que nous à une variation globale de 1°C (plancton-corail etc…)

          • La tête dans le caca ? mais vous éludez complètement le problème de la signification d’une variation. C’est vous qui bottez en touche !
            Vous dîtes que c’est négligeable sans rien préciser. J’ai fait ce calcul pour illustrer le problème, j’ai bien préciser  » et supposons que comparer cette valeur à la moyenne ait un sens » .
            Qui a commencé à parler de rapport ? VOUS : « Vous allez nier que 1/278, c’est une variation relative bien plus faible que 1/14  » puis Totalystone : « Et 1° sur 287° c’est inférieur à 0.4% c’est dans le domaine du négligeable. »
            Je n’ai fait que tenter de soulever le problème de l’appréciation d’une valeur relative en utilisant ce calcul, celui que VOUS avez fait.

            La tête dans le caca on l’a en s’obstinant à comparer, sans même préciser ses critères, une variation en ° C sur une échelle en K dans le domaine qui nous intéresse.

  • Pour un non scientifique comme moi mais un peu intéressé par le sujet, ces débats sont on ne peut plus éclairants, sur la méthode utilisée par les rechauffistes ou leur thuriféraires (idiots utiles ou pas), merci de me permettre de les contredire avec vos réponses.

    • Clair, ce sont des perroquets, si t’attend une discussion sur les anomalies les mesures brute, l’homogénéisation qui sont au cœur du problème t’en est pour tes frais.

      Ils bloquent sur un truc secondaire (qu’ils ne comprennent pas en plus) et tirent trois pages dessus le tout entre deux chantages émotionnel sur les oursons ou l’horribleux futur et quelques appréciations peu flatteuses tout en se plaignant qu’on les insultes. (ils n’ont aucune auto-critique non plus).

      J’ai déjà tiré 20 pages avec un crétin du genre, à la relecture je me suis aperçu que j’avais déjà tout dis au 5eme post, comme MiniTax plus haut quoi.

      • Résumé :
        _ je conteste la comparaison d’une variation avec une échelle en K, ce qui rajoute un delta de 273
        – on me répond rapport , calcul de pourcentage
        – je répond en mettant en évidence le problème de ce rapport et j’insiste sur le problème de l’appréciation d’une valeur relative
        – on continue à parler du K comme USI, en éludant le problème de l’appréciation, sans préciser les critères.
        – on me rapproche un calcul que L’on a soi-même initié.
        – on continue à éluder le problème d’échelle mais on m’accuse de botter en touche
        A part ça, c’est moi la perroquet.

        • « Alloooo Cocoooo » lol

        • Il était une fois un grand auto-déclaré scientifique expert nommé Minitax qui devait s’occuper de la gestion des populations sur le littoral. Un tremblement de terre eu lieu en pleine mer et l’ensemble de la communauté scientifique se mettait d’accord pour qu’un raz de marré d’une amplitude de 20m ait lieu sur ce littoral dans les heures à venir.

          Mais Minitax leur répondit : « mais vous êtes des débiles profonds. 20m c’est pas du tout significatif, ca ne représente que 0.2% de la profondeur de l’océan (un peu plus de 11000m), y’a aucun risque, ce n’est absolument pas significatif. C’est scientifique en plus car tout le monde sait que l’amplitude d’un raz de marée est calculé en fonction de la profondeur de la mer, donc CQFD.  »
          Heureusement personne ne l’écouta et Minitax resta seul au bord de la plage a pesté contre la bêtise des catastrophistes en attendant ce ridicule raz de marée qui ne représentait aucun risque significatif selon ses calculs savants.
          Il avait en effet raison ça ne représentait que 0.2% de la hauteur de l’océan. Malheureusement pour lui il mourut à cause de ses 1.80 m de bêtise.

        • L’unité de mesure de température en physique c’est le Kelvin, toute les formules physiques utilisant la température « brut » doivent être calculées en K pour être juste..En variation 1 K = 1 C. Ce n’est pas du vent car le « fameux » 273,15 provient du zéro absolu, la température la plus froide « possible ».

          Pourquoi en pas utiliser des °F ou alors une super échelle (°Se) qui dirait que le 0 c’est 12°C ( et 1°Se=1°C=1K) et comme ça on pourrait dire dire que la T° de la Terre est passé de 1 à 2 °Se et que l’on a donc doublé la température et que c’est vraiment horrible.

          Ensuite oui une variation de 1K , énergétiquement cela représente 0,3 %, c’est peanuts, Toutes les applications de la sciences quotidiennes (automobile, électronique etc …) fonctionnent avec des marges d’erreurs plus élevées.

  • Ce qui est sûre c’est que ça chauffe dans les débats sur le réchauffement!!

    • Sur le graphique de températures de 100 ans, on coupe l’axe des abscisses pour ne garder que 15 ans et hop ! Le réchauffement disparaît.
      Technique également utilisée pour faire croire à une montée en flèche du chômage en coupant l’axe des ordonnées.

      • Remarque hors-sujet.

        Si les variations climatiques dépendaient véritablement des émissions de CO2 liées aux activités humaines, les températures auraient dû augmenter en flèche ces dernières années. En effet, nous n’avons jamais émis autant de CO2 qu’actuellement, du fait du développement économique des pays émergents.

        On sait désormais que le lien entre CO2 émis par l’activité humaine et réchauffement est faux : la cause du réchauffement n’est sûrement pas d’origine humaine. Il est même pratiquement certain que la hausse du CO2, loin être la cause du réchauffement, loin d’y contribuer, en est une simple conséquence naturelle.

        Autrement dit, nous n’y pouvons pas grand chose sinon nous adapter. Surtout, limiter avec des taxes les émissions de CO2 est très dangereux car cela réduit notre potentiel économique d’adaptation aux catastrophes naturelles.

        Le mensonge du RCA, c’est le A.

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