Pourquoi nous sommes socialistes

Extrait d’une brochure nazie dont plusieurs centaines de milliers d’exemplaires furent imprimés et qui largement distribués à partir de 1928-1929

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Pourquoi nous sommes socialistes

Publié le 16 août 2012
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Extrait d’une brochure nazie dont plusieurs centaines de milliers d’exemplaires furent imprimés et largement distribués à partir de 1928-1929. Il s’agit d’un bon résumé des lignes essentielles du programme politique national-socialiste juste avant la prise de pouvoir par Hitler en 1933. La brochure comprenait cinq caricatures de Mjölnir, dessinateur de Goebbels.

Joseph Goebbels et Mjölnir, Die verfluchten Hakenkreuzler. Etwas zum Nachdenken, Munich, Verlag Frz. Eher, 1932.

 

Pourquoi sommes-nous socialistes ?

Par Joseph Goebbels

Nous sommes socialistes parce que nous voyons dans le socialisme, qui est l’union de tous les citoyens, la seule chance de conserver notre héritage racial et de récupérer notre liberté politique et rénover notre État allemand.

Le socialisme est la doctrine de la libération pour la classe ouvrière. Il favorise la montée de la quatrième classe et son incorporation dans l’organisme politique de notre patrie, et il est inextricablement lié à la rupture de l’esclavage présent, recouvrant la liberté allemande. Le socialisme, par conséquent, n’est pas simplement une question relative à la classe opprimée, mais celle de tous, pour libérer le peuple allemand de l’esclavage et est l’objectif de la présente politique. Le socialisme atteint sa véritable forme qu’au travers d’une fraternité de combat total avec les énergies d’avant-garde d’un nationalisme nouvellement réveillé. Sans le nationalisme il n’est rien, seulement un fantôme, rien qu’une théorie, un château dans le ciel, un livre. Avec lui, il est tout, l’avenir, la liberté, la patrie !

Le péché de la pensée libérale a été de négliger les forces de construction de la nation du socialisme, laissant ses énergies partir dans des directions antinationales. Le péché du marxisme a été de dégrader le socialisme en une question de salaires et d’estomac, de le mettre dans une situation de conflit avec l’État et son existence nationale. Une compréhension de ces deux faits nous conduit à un nouveau sens du socialisme, qui voit sa nature nationaliste, de renforcement de l’État, libératrice et constructive.

Le bourgeois est sur le point de quitter la scène historique. À sa place viendra la classe productive des travailleurs, la classe ouvrière, qui a été opprimée jusqu’à aujourd’hui. Elle commence à remplir sa mission politique. Elle est impliqué dans une lutte dure et amère pour arriver au pouvoir politique, tandis qu’elle cherche à faire partie de l’organisme national. La bataille a commencé dans le domaine économique ; ellel finira dans le politique. Ce n’est pas seulement une question de salaires, ni seulement une question de nombre d’heures de travail par jour – bien que nous ne pourrons jamais oublier que c’est là une partie essentielle, peut-être même la plus importante de la plate-forme socialiste – mais beaucoup plus une affaire d’intégration d’une classe puissante et responsable dans l’État, peut-être même d’en faire la force dominante des politiques futures de la patrie. La bourgeoisie ne veut pas reconnaître la force de la classe ouvrière. Le marxisme la corsète dans un carcan qui la ruine. Alors que la classe ouvrière, se vidant de son sang, se désintègre peu à peu dans le marxisme, la bourgeoisie et le marxisme se sont entendus sur les lignes générales du capitalisme, et ont pour tâche maintenant de protéger et défendre cet état des choses de diverses manières, souvent dissimulées.

Nous sommes socialistes parce que nous voyons la question sociale comme une question de nécessité et de justice pour l’existence même d’un État pour notre peuple, non pas une question de pitié bon marché ou de sentimentalisme insultant. Le travailleur réclame un niveau de vie qui correspond à ce qu’il produit. Nous n’avons pas l’intention de mendier pour ce droit. L’intégrer dans l’organisme étatique n’est pas seulement une affaire importante pour lui, mais pour la nation toute entière. La question est plus large que la journée de huit heures. Il s’agit de former un nouvel état de conscience qui inclut tous les citoyens productifs. Étant donné que les pouvoirs politiques actuels ne sont pas capables ni désireux de créer une telle situation, le socialisme doit se battre pour l’atteindre. Il est intérieurement et extérieurement un slogan de la lutte. A l’intérieur, il vise en même temps les partis bourgeois et le marxisme, parce que les deux sont des ennemis jurés de l’État ouvrier à venir. A l’extérieur, il est dirigé contre tous les pouvoirs qui menacent notre existence nationale et l’avènement de l’État national-socialiste.

Le socialisme n’est possible que dans un État qui est uni au niveau national et libre au niveau international. La bourgeoisie et le marxisme sont responsables de ne pas avoir atteint les deux objectifs, l’unité nationale et  la liberté internationale. Peu importe que ces deux forces se présentent comme nationales et sociales, elles sont les ennemis jurés d’un État national-socialiste.

Nous devons donc briser politiquement ces deux groupes. Les lignes du socialisme allemand sont nettes, et notre chemin est dégagé.

Nous sommes contre la bourgeoisie politique, et pour un authentique nationalisme !
Nous sommes contre le marxisme, mais pour un vrai socialisme !
Nous sommes pour le premier État national allemand de nature socialiste !
Nous sommes pour le Parti national-socialiste des travailleurs allemands !

___
Sur le web : « Those Damned Nazis » ; « Joseph Goebbels: Warum sind wir Sozialisten? »

Lire aussi : « Hitler et le Che, deux faces d’une même pièce« .

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  • ça va faire de la peine aux gauchistes, ça… hé hé hé.

    • « ça va faire de la peine aux gauchistes, ça… hé hé hé. »
      – Rien que votre utilisation du terme « gauchiste » prouve un manque de reflexion. D’ailleurs posté cet article tel quel est totalement bête.

      Rappelez moi combien de groupes combatants composés de futurs dictateurs utilise le mot « liberté » dans leur appélation en Afrique?
      Dois je également rappellé qu’un pays africain qui s’appel « libéria » a connu ses pires heures au nom de la « liberté »?
      Combien de dictateurs ont pris place au nom de la « liberté »?

      • @riku :

        Ici, le texte montre bien que philosophiquement, le nazisme était du socialisme (national) comme le stalinisme est du socialisme.

        Ce que les gauchistes/socialistes contestent encore et toujours (pour Hitler et pour Staline) car ils pensent que fondamentalement, le socialisme est « bon ».

        La liberté, même galvaudée par des dictateurs, est « bonne fondamentalement », pas le socialisme (lui aussi revendiqué par tous les dicateurs africains)…

      • Un bon paquet, et un bon paquet aussi, ont eu un programme socialiste, et s’y sont à peu près tenu.

      • Correction : « Rappelez moi combien de groupes combatants composés de futurs dictateurs +socialistes+ utilise le mot « liberté » dans leur appélation en Afrique? »

        Tous les dictateurs socialistes ont largement abusé du mot liberté.

        Est-ce que le fait de vouloir libérer la nation Allemande de la finance internationale faisait d’Hitler un libéral ?

      • @Riku : des groupes utilisent le mots liberté comme dans la rhétorique des marxismes et des socialismes (voir le texte ci-dessus), mais ils ne parlent jamais en tant que la pensé libéral ou en tant que la doctrine du libéralisme.

        D’aucun dictateur ne c’est réclamé du libéralisme, il n’y a pas de « république libéral populaire ».

  • Une provocation à la con de plus.

    Si un régime est totalitaire, peu importe la confiture de paroles dont il se tartine pour se légitimer. C’est un régime totalitaire, point.

      • Huit des dix points (du Manifeste du Parti communiste de Marx et Engels) ont été exécutés par les nazis avec un radicalisme qui aurait enchanté Marx. Seuls deux points n’ont pas encore été complètement adoptés par les nazis, à savoir l’expropriation de la propriété foncière et l’affectation de la rente foncière aux dépenses de l’Etat (point n°1 du Manifeste) et l’abolition de l’héritage (point n°3). Cependant, leurs méthodes de taxation, leur planisme agricole et leur politique concernant la limitation des fermages vont chaque jour dans le sens du marxisme

        Rappelons tout de même la politique de grands travaux du 3ème reich: autoroutes, logements sociaux (oui, oui les mêmes qu’on voit pululler dans les communes en France), réfection des cantines ouvrières, loisirs de masse tel Paris-Plage etc… Le lancement de la filière automobile avec Volkswagen, telles les subventions que reçoit renault, avec des automobiles censées être accessibles aux plus pauvres…
        Le régime imposa la planification et une stricte autarcie obligeant les industriels à respecter des objectifs et à remplacer les produits d’importation par d’autres de moindre qualité made in Germany…pas loin de ce que prétend faire Mélanchon d’ailleurs.
        L’industrie fut complètement réorganisée par une série de lois, suivant un plan de remilitarisation. Cette politique s’est appuyée dès 1933-1934 sur une série de lois économiques qui favorisèrent la réorganisation complète de l’industrie, puis fut accentuée à partir de 1936 avec le lancement du plan de Quatre Ans confié à Hermann Göring. Celui-ci constitua le tout-puissant cartel des Hermann-Göring Reichswerke, devenu très vite l’une des plus grosses entreprises d’Allemagne puis, après la mise sous tutelle des industries des pays conquises, une des plus grosses du monde.

        L’Etat nazi promulga une loi supprimant chomage et emprunta 1 milliard de marks pour refaire tous les bâtiments, c’est simple de donner du travail comme ça évidemment, il créa le livret de travail avec les administrations qu’il fallait. De manière générale la bureaucratie et son cortège de fonctionnaires grossit de manière exponentielle, le droit du travail et les compensations envers les travailleurs sont allés largement plus loin que ce que réalisa même le front populaire à la même époque en France.Au total le Front du Travail allemand a versé, de mai 1933 à la fin de l’année 1938, à titre d’assistance, une somme de 424 millions de marks.
        Les politiques sociales pour favoriser les ouvriers et les familles étaient très développées, se développèrent énormément de locaux sanitaires, l’apprentissage, les congés payés obligatoires etc…
        Bref du socialisme sur toute la ligne.

      • c’est juste la vérité historique et si vous ne le croyez pas renseigné vous aupres d’historiens.
        le totalitarisme (nazisme ,fascisme et communisme )est dérivée du socialisme.le parti nazi s’appelait national SOCIALISTE des ouvriers allemands, contrairement à ce que la plupart des gens pensent s’étaient un parti d’extreme GAUCHE (comme le fascisme et le communisme). Ce n’est qu’APRES la seconde guerre mondiale que l’on a dit que c’était d’extreme droite.Mussolini avant de fonder son parti fasciste a été rédacteur en chef d’un journal SOCIALISTE. LAVAL a été communiste avant la 2 guerre mondiale. Miterrand et son pere ont collaborer avec le régime de pétain. La tres grande majorité des collaborateurs en france étaient des gauchistes. En france, 80 % des colllabos venaient de la gauche. je vous conseille de lire Un paradoxe français, Antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance de simon epstein

      • ce sont les socialistes qui utilisent le nazisme et le fascisme alors que ce sont des idéologies proches du nazisme. il s’agit juste d’un fait historique que peu de gens connaissent. si vous ne le croyez pas, il suffit de vous renseigner aupres d’historiens

    • Mais tous les régimes totalitaires ont des points communs… Et le socialisme sous l’une ou l’autre de ses formes est l’un d’entre eux.

    • On n’a pas attendu Marx pour tenter de manipuler les foules.

      • Le socialisme ne date pas de Marx.

        • Oui, c’est justement le sens de ma remarque. Si le socialisme et la dictature sont si intimement liés, pourquoi ne reprocher au socialisme que les dictatures qui prétendent être les héritières de Marx, et pas l’ensemble des régimes autoritaires qui ont émaillé l’Histoire ?

          Remarquez, c’est déjà en route, puisqu’un article récent tentait de lier la chute de l’Empire Romain à la montée du socialisme au détriment de la République proto-libérale ( l’esclavage posant notamment quelques problèmes … ) des origines. Mais cette thèse est loin d’avoir fait l’unanimité dans les commentaires …

          En accolant toutes les formes de propagande et de démagogie à l’idéal socialiste, vous en faites une chimère impossible à définir sinon dans le fait qu’elle représente la quintessence du mal d’un point de vue libéral. Vous reproduisez ce que font les gauchistes avec le néo/l’ultra-libéralisme, avec le mêmes effet : la décrédibilisation du discours.

          • bcp de dictatures dans le monde (en particulier) en afrique sont socialiste, d’ailleurs elles font partie de l’internationale socialiste. ben ali faisait parti de l’internationale socialiste. la tunisie comme les autres pays du magreb (lybie, égypte,..) est socialiste tout comme la syrie. le parti baas a meme servi de modèle au pasok (parti socialiste grecque) qui a dirigé sur la grece ces 30 dernières années et qui a mis en place un systeme basé sur le clientelisme et la corruption et qui est responsble de la situation de la grece actuelle… tous les pays du printemps arabe avait en commun d’etre socialiste. le socialisme n’est pas spécialement démocratique…. le socialistes ont tendance à pratiquer la pensée unique qu’ils veulent imposer à tout le monde et à etre contre la liberté (économique, d’expression,…). http://www.institutcoppet.org/2012/03/25/l%E2%80%99horreur-socialiste-par-alain-laurent/

    • La plupart des régimes disent s’inspirer du socialisme, autant la social démocratie que le nazisme.

      • Ils ne font pas que le dire, ils s’en inspire effectivement. Et en profondeur.

      • La sociale démocratie allemande doit beaucoup au nazisme. Cf. le livre, qui a fait grincer des dents, de Götz Aly, Comment Hitler a acheté les Allemands. Tout comme la sociale démocratie franchouille doit beaucoup à Pétain.

    • c’est juste la vérité historique et si vous ne le croyez pas renseigné vous aupres d’historiens.
      le totalitarisme (nazisme ,fascisme et communisme )est dérivée du socialisme.le parti nazi s’appelait national SOCIALISTE des ouvriers allemands, contrairement à ce que la plupart des gens pensent s’étaient un parti d’extreme GAUCHE (comme le fascisme et le communisme). Ce n’est qu’APRES la seconde guerre mondiale que l’on a dit que c’était d’extreme droite.Mussolini avant de fonder son parti fasciste a été rédacteur en chef d’un journal SOCIALISTE. LAVAL a été communiste avant la 2 guerre mondiale. Miterrand et son pere ont collaborer avec le régime de pétain. La tres grande majorité des collaborateurs en france étaient des gauchistes. En france, 80 % des colllabos venaient de la gauche. je vous conseille de lire Un paradoxe français, Antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance de simon epstein

    • ce sont les socialistes qui utilisent le nazisme et le fascisme alors que ce sont des idéologies proches du nazisme. il s’agit juste d’un fait historique que peu de gens connaissent. si vous ne le croyez pas, il suffit de vous renseigner aupres d’historiens.

      Huit des dix points (du Manifeste du Parti communiste de Marx et Engels) ont été exécutés par les nazis avec un radicalisme qui aurait enchanté Marx. Seuls deux points n’ont pas encore été complètement adoptés par les nazis, à savoir l’expropriation de la propriété foncière et l’affectation de la rente foncière aux dépenses de l’Etat (point n°1 du Manifeste) et l’abolition de l’héritage (point n°3). Cependant, leurs méthodes de taxation, leur planisme agricole et leur politique concernant la limitation des fermages vont chaque jour dans le sens du marxisme

      Rappelons tout de même la politique de grands travaux du 3ème reich: autoroutes, logements sociaux (oui, oui les mêmes qu’on voit pululler dans les communes en France), réfection des cantines ouvrières, loisirs de masse tel Paris-Plage etc… Le lancement de la filière automobile avec Volkswagen, telles les subventions que reçoit renault, avec des automobiles censées être accessibles aux plus pauvres…
      Le régime imposa la planification et une stricte autarcie obligeant les industriels à respecter des objectifs et à remplacer les produits d’importation par d’autres de moindre qualité made in Germany…pas loin de ce que prétend faire Mélanchon d’ailleurs.
      L’industrie fut complètement réorganisée par une série de lois, suivant un plan de remilitarisation. Cette politique s’est appuyée dès 1933-1934 sur une série de lois économiques qui favorisèrent la réorganisation complète de l’industrie, puis fut accentuée à partir de 1936 avec le lancement du plan de Quatre Ans confié à Hermann Göring. Celui-ci constitua le tout-puissant cartel des Hermann-Göring Reichswerke, devenu très vite l’une des plus grosses entreprises d’Allemagne puis, après la mise sous tutelle des industries des pays conquises, une des plus grosses du monde.

      L’Etat nazi promulga une loi supprimant chomage et emprunta 1 milliard de marks pour refaire tous les bâtiments, c’est simple de donner du travail comme ça évidemment, il créa le livret de travail avec les administrations qu’il fallait. De manière générale la bureaucratie et son cortège de fonctionnaires grossit de manière exponentielle, le droit du travail et les compensations envers les travailleurs sont allés largement plus loin que ce que réalisa même le front populaire à la même époque en France.Au total le Front du Travail allemand a versé, de mai 1933 à la fin de l’année 1938, à titre d’assistance, une somme de 424 millions de marks.
      Les politiques sociales pour favoriser les ouvriers et les familles étaient très développées, se développèrent énormément de locaux sanitaires, l’apprentissage, les congés payés obligatoires etc…
      Bref du socialisme sur toute la ligne.

    • regardez le programme économique du nsdap et les réformes mises en place par hitler puis osez dire que ce n’est pas socialiste.

  • Visiblement, les »gauchistes de service » ne savent traduire l’allemand !
    Or, ce n’est nullement votre réaction mentale (les riku ; FabriceM et vos suivants)

    Affiche : «Der Denkende Arbeiter» : le travailleur (masculin!) réfléchi ?

    Propaganda de la lutte des classes : celle de tous les temps, de 1789 à Marx, celle du soviétisme du Kamarad Lénine puis Hitler, Mao, Khmers rouges et actuels coréens du Nord !!!

    Quelques erreurs sémantiques :
    1) le socialisme n’est pas «doctrine» mais « un dogme figé » !
    2) la quatrième classe ? OU plutôt ensuite la « quatrième colonne » (militarisée) ?
    3) l’esclavage était aboli depuis 1884 ; le National-socialisme l’a rétabli ensuite !

    « Nous sommes socialistes parce que nous voyons la question sociale comme une question de nécessité et de justice pour l’existence même d’un État pour notre peuple »

    Tiens, n’avons-nous pas entendu ce genre de refrain avant le 6 mai ?
    Suivra la gloire du peuple flamboyant ? Celui des ’30-40s, actualisé au plan social-économique?

    • @ The Wolff :

      c’est en 1793 que la lutte des classes est revendiquée (Robespierre et la terreur ont été le premier gouvernement socialiste de la planète, avec de suite un génocide : les vendéens).

      C’est très clair quand on lit les droits de l’homme de 1789 (libéral) et ceux de 1793 (socialistes).

      Et le socialisme rétablit l’esclavage par nature (le « travail obiligatoire » du manifeste du parti communiste) cf le goulag et les camps de travaux forcés en Chine et au cambodge.

      bien cordialement,

      • « Et le socialisme rétablit l’esclavage par nature »

        +1000.
        Le système de retraite par répartition a permis de rétablir l’esclavage et le travail de ses propres enfants.

        • « Le système de retraite par répartition a permis de rétablir l’esclavage et le travail de ses propres enfants. »

          +1
          C’est pour cela qu’il faut quitter ce système par la seule voie possible : l’exil physique et juridique. En tant que jeune de 22 ans, c’est ce que je ferai.

    • Bien sur, il ne s’agit pas du tout d’une tentative de plus d’amalgamer tout les socialistes ( donc y compris ceux qu’on a aujourd’hui ) et prétendus socialistes dans le même panier du totalitarisme. Ce n’est que du mauvais esprit …

      • @ FabriceM :

        Relisez la route de la servitude. Hayek y montre et démontre que philosophiquement, nazisme, stalisnisme, socialisme et social démocratie relèvent tous de la même conception fausse de l’état leviathan, et cela mène tôt ou tard au totalitarisme.

        En France, la social démocratie à l’oeuvre depuis la 2ème GM a quand même pondu les lois mémorielles, le délit d’opinion, l’esclavage (à 75 % d’imposition, nous somes dans les travaux forcés chers au manifeste de Marx) etc etc etc …

        C’est le despotisme mou de Tocqueville, et comme disait B. Franklin, celui qui abandonne un peu de liberté pour de l’égalité/sécurité ne mérite ni l’un ni l’autre et les perdra tous les 2 …

        Cela prends juste un peu plus de temps avec la social démocratie pour aller vers le totalitarisme …

      • @Stephane

        Allez dire à qui que ce soit que c’est un nazi « malgré lui » et vous verrez ce que ça donnera. Ce genre de rhétorique est nuisible, point barre. Les « socialistes » ne sont pas une race de demeurés imperméable à toute logique, à qui il faudrait administrer des électrochocs de comparaison avec le nazisme pour les guérir. Si le libéralisme est objectivement la voie la plus avantageuse pour tous, il n’y a nul besoin de ce genre de fadaises pour convaincre d’autres personnes.

        A moins que l’objectif ne soit pas de convaincre, mais seulement de se payer des tranches de rigolade entre libéraux pendant que le léviathan grossit …

      • @fabriceM

        +1

        Bien que je sois convaincu que le socialisme mène au totalitarisme, cet article avec nazi etc … Je trouve que ça tourne au troll.

      • Le problème, c’est que ça ne sert qu’à faire glousser un cercle restreint de libéraux en faisant enrager les socialistes. Et une discussion dans laquelle l’un méprise l’autre n’est jamais bien concluante.
        Car, rassurez moi, le but de ce site est bien de « niveler par le haut », non ?

  • heureusement que ce socialisme la n existe plus….

    • «  »Cette subtilité rend cet article complètement inepte pour critiquer la marche actuelle vers l’Etatisme… »

      1° Il ne s’agit pas d’un article qui vise la société actuelle, puisque écrit par Goebbels en 1928.
      2° Cet extrait d’un texte de Goebbels rappelle bien pourquoi les nazis ne s’appellèrent pas nationaux-chrétiens ni nationaux-libéraux ni nationaux-plombiers mais bien nationaux-socialistes. »
      – D’où le fait que je dis que l’article posté comme ca sans commentaire sans rien est totalement bête.

      « La liberté, même galvaudée par des dictateurs, est « bonne fondamentalement », pas le socialisme (lui aussi revendiqué par tous les dicateurs africains)… »
      – Tout comme la liberté, le socialisme est détourné.
      Tout cet article n’est qu’une provocation minable. Assimiler le socialisme au nazisme me parait vraiment stupide, comme si ça provoquais l’aliénation de l’individu.

      • La liberté à été pervertie dans ces système, ou bien est carrément passée aux oubliettes. Le socialisme, lui, à été appliqué, comme il est prévu qu’il soit appliqué, et en aucun cas dévoyé ou pervertit. La vraie différence est là.

        A partir du moment ou on baffoue un seul des droits naturels, la liberté est pervertie. Mais tous les systèmes totalitaires qui se sont réclamés du socialisme ont pratiqué la redistribution à grande échelle, un état central très fort et très étendu… C’est à dire qu’ils ont appliqué un programme socialiste, mais jamais un programme mettant en avant la liberté et la responsabilité des citoyens.

      • @ riku :

        pas d’accord quand vous affirmez que tout comme la liberté, le socialisme est détourné.

        Le socialisme, fondamentalement (relisez le manifeste) est violent et philosophiquement mène à la misère et au totalitarisme (relsiez la route de la servitude), tout el contraire du libéralisme…

        L’argument typique des socialistes étant que le socialisme n’a pas marché car on ne l’a pas assez appliqué.

        Curieusement, un peu de socialisme appliqué, et c’est la catastrophe, un peu de libéralisme appliqué et c’est de suite mieux.

        Sachant qu’un système ne peut être appliqué parfaitement, autant prendre celui qui marche …

        Second point où vous avez tout faux, c’est que le nazisme est parfaitement et techniquement du socialisme, on peut tout à fait les assimiler, le socialisme provoque l’aliénation de l’individu (relisez Von Mises).

        La seule différence entre le socialisme de Marx et celui de hitler, c’est le fait que Marx est internationaliste, alors que Hitler nationaliste.

        Et pour information, le fascime italien, quand vous lisez son programme, est lui aussi du socialisme …

        Croire que le socialisme n’est pas du nazisme et que cela ne provoque pas l’aliénation de l’individu montre surtout que vous n’avez pas assez étudier ces différents sujets …

      • Mais de fait ça provoque bel et bien l’aliénation (et même la folie collective). Du moins le socialisme dont on parle, le socialisme réel, celui qui prends ses leaders dans les rang de l’extrême-droite historique (Hollande, Royal, Jospin, Mitterand : tous de famille, de culture et d’amitiés d’extrême-droite) et dont la politique est fondée sur la contrainte.
        Il existe pourtant un socialisme qu’on peut dire libéral car on adhère par choix et conviction et non sous la contrainte (St Simon/fourrier : Phalanstère ; Abbé Pierre : Emmaus ; Coluche : Restaus du Cœur ; Kibboutz ; SCOP …). Il ne se maintient (souvent mal) que pour autant qu’il sait prendre en compte la réalité, mais en pratique il est marginal et ne fait que servir de caution au socialisme réel.

        • @ P :

          le socialisme que vous qualifiez de libéral est soit du socialisme utopique (simon et fourier, très dangereux) soit de la solidarité libérale (que je sache, emmaus et les restos du coeur, c’est privé, l’état n’intervient pas, donc ce n’est pas du socialisme).

          Cette conception de la charité/solidarité comem valeur de gauche est typiquement française et inculqué par les média de gauche chez les français depuis 40 ans (souvenez vous de VGE).

          La fraternité est revendiquée par 1789, c’est une valeur humaine, donc libérale avant d’être de gauche … (la solidarité de gauche est une fausse solidarité).

          Pour les kibboutz et les scop, ce n’est en rien du socialisme, ce sont des coopératives, pas du tout ouvrières d’ailleurs, et qui ne marchent pas …

        • « Maintenant, si on veut aller plus loin, on peut se poser la question de savoir pourquoi les trois grands totalitarismes qui ont ensanglanté le 20e siècle (communisme, fascisme et nazisme) se revendiquaient, d’une manière ou d’une autre, du socialisme. Parce que, hein, c’est un peu trop facile de se dédouaner à chaque fois que cela foire : « Oui mais non c’est pas du vrai socialisme ça a été détourné par des méchants ». »
          – Je vous rappel que ces 3 grands ont été amené au pouvoir par la liberté des peuples, avec leur soutien.

          « Quant à la soi-disant provocation, on se demande bien où elle est : cette traduction d’un texte de Gobbels ne dit pas que les socialistes sont des nazis, elle rappelle que les nazis se revendiquaient clairement du socialisme. »
          – N’importe qui peut se revendiquer de n’importe quoi.
          Quand les iraniens ont fait la révolution islamique, vous pensez que c’était pour avoir plus ou moins de liberté?

        • absolument, stéphane, vous dénocez ici le pire travers des socialistes, à savoir qu’ils revendiquent haut et fort être les seuls défenseurs du social. Le tout étant relayé par une presse toute acquise (subventionnée ?) à cette cause, la mayonnaise prend, du moins chez ceux qui ont perdu tout sens critique (et ils sont nombreux). Et c’est bien au nom du « social » que les socialistes ont commis les pires atrocités de l’Histoire.

        • @riku :

          en disant « n’importe qui peut se revendiquer de n’importe quoi » vous reprenez lediscours classiques des socialistes qui disent que Staline et hitler n’étaient pas socialistes même s’ils le revendiquaient.

          Bon, alors, puisque les paroles s’envoles, les faits restent.

          Pour être qualifié de socialiste, il faut au minimum :

          – être étatiste : hitler, staline et mussolini ont tout bon, l’idéologie socialiste aussi, le libéralisme commence mal,

          – penser les rapports humain en terme de lutte des classes, avec une classe ouvrière opprimée que l’on veut mettre au pouvoir : là encore, Hitler, Staline, Mussolini ont tout bon, le libéralisme tout faux,

          – taper sur un bouc émissaire, celui-ci étant riche et propriétaire (qu’il soit juif ne change rien, le stalinisme était violemment anti sémite) => hitler, staline et mussolini tout bon,

          – revendiquer l’action de l’état pour une meilleure répartition des richesses, en redistribuant, et revendiquer un état léviathan et omsnicient => les 3 ont encore tout bon

          etc etc etc …

          On continue encore où vous êtes enfin convaincu que ces 3 dictateurs sanguiaires et génocidaires :
          – se revendiquaient du socialisme,
          – étaient parfaitement socialistes,
          – ont parfaitement appliqué le socialisme tel qu’il est défini

        • La liberté du peuple, ça n’existe pas.

          N’importe qui peut se revendiquer de n’importe quoi, certes, mais ceux-là ont fait un peu plus que de la revendication, ils ont appliqué, à 100%. Tout ça c’était du socialisme parfaitement kasher.

          Le fait qu’ils soient arrivés par les urnes ne prouve qu’une chose, c’est que la démocratie ne peut être simplement définie comme le pouvoir de la majorité, et que cette conception de la démocratie ne suffit absolument pas à l’abri du totalitarisme (et donc du socialisme), comme certain cherchent à nous le faire croire.

        • @Stéphane
          vous confondez étatisme et socialisme. Les deux vont souvent ensemble, mais ça reste différent. Il n’est pas nécessaire d’être étatiste pour être un parfait socialiste ou communiste.
          Que ça marche ou pas est sans importance pour ce qui nous intéresse ici : Phalanstères, Kibboutz, Emmaus, Restaus du coeurs (et généralement les SCOP), caisse de secours syndicales, etc. sont des initiatives de socialistes revendiqués, dans un but social, une finalité communiste (« de chacun selon ses capacités, à chacun selon ses besoins ») et une organisation du même métal (mais sans et même parfois contre l’Etat). Si ça ce n’est pas du socialisme appliqué, qu’est-ce qui en est ?
          D’ailleurs, la meilleur preuve que c’est bien du socialisme, c’est que comme vous le remarquez … ce genre de truc ça ne dure pas !

          Le socialisme « utopique » a été qualifier comme tel par les marxistes, façon de dire que le marxisme ne l’était pas, lui (selon eux bien sûr).

        • « L’étatiste est un homme qui est en train de devenir socialiste, et s’il meurt sans l’être, c’est qu’il n’a pas assez vécu pour le devenir. »

        • riku replied:
          « Je vous rappel que ces 3 grands ont été amené au pouvoir par la liberté des peuples, avec leur soutien.  »

          N’importe quoi. On ne peut pas dire que la République de Weimar était une belle démonstration de liberté et une démocratie parfaite.
          Ne niez pas le contexte de l’époque…
          Concernant la prise de pouvoir du PCU, la fameuse révolution était surtout une révolution de palais.

          Qu’ils aient du soutien signifie tout simplement que la propagande et le clientélisme était au maximum.

  • « Et c’est bien au nom du « social » que les socialistes ont commis les pires atrocités de l’Histoire. »
    – Non, c’est au nom du socialisme que les pire dictateurs ont commis les pires atrocités de l’Histoire. Je ne vois pas ce qu’Hitler ou Staline avaient de socialiste, désolé.

    « Bon, comme on disait, c’est vraiment la faute à pas de bol si tous les totalitarismes modernes se sont revendiqués du socialisme. Et s’ils ne se revendiquaient pas du christianisme, du libéralisme ou d’une autre idéologie, c’est juste un pur hasard, une très curieuse coïncidence. »
    – Penser que certains dictateurs ne se sont pas proclamé du liberalisme (peut être pas au sens économique du terme) est stupide.
    En revanche ce qui des religions vous en avez de nombreux exemple, mais pas au niveau européen moderne c’est sur.

    « Ah !? OK… Donc si un régime totalitaire, liberticide, sanguinaire, belliciste, concentrationnaire, génocidaire, etc. a l’appui du peuple, alors c’est bon. Et s’il se revendique en plus du socialisme, alors, là c’est trop d’la balle ! »
    – J’ai pas trop compris mais bon.
    Ils ont été libre de choisir de perdre leur liberté, c’est également ça la liberté.

    • @riku :

      pour voir ce que hitler et staline et mussolini avait du socialisme, voir mon post juste au dessus.

      Je suis un peu stupide, rappelez moi quels dictateurs se sont revendiqués du libéralisme (qu’on rigole) ?

      => aucun, car le libéralisme, c’est le respect de l’individu et de la propriété privée, premières choses qu’un dictateur détruit …

      Que je sache, un peuple n’est pas un individu, ce n’est jamais le peuple en entier qui choisit la dictature, et c’est tjrs la majorité des individus qui en souffrent et qui ne l’ont pas voulu (allende, comme Hitler a été porté ua pouvoir par une minorité, pour mémoire, depuis quand la minorité c’est le peuple entier qui l’a voulu ???)

    • @ riku :

      « je ne vois pas ce que hitler ou staline avait de socialiste »

      ben la réponse est claire, c’est parce que vous êtes socialiste …

    • « – Penser que certains dictateurs ne se sont pas proclamé du liberalisme (peut être pas au sens économique du terme) est stupide. »

      D’abord, le libéralisme est indivisible. Il n’y a pas de libéralisme « économique » possible sans ses pendants « politique » et « sociaux », mais en plus, et là contrairement au socialisme, si ces dictateurs se sont réclamer du libéralisme, ils ne l’ont certes pas appliqué. Tout au plus, Pinochet à mis en place quelques principes avancés par les libéraux, mais Mao, Staline, Hitler ou Mussolini ont carrément appliqué le programme socialiste complet, et non seulement quelques principes.

      « Je ne vois pas ce qu’Hitler ou Staline avaient de socialiste, désolé.  »

      La quasi-totalité de leur programme.

    • «Je ne vois pas ce qu’Hitler ou Staline avaient de socialiste, désolé. »

      -réduction du chômage
      -du travail pour tout le monde
      -des droits sociaux
      -la solidarité
      -la voiture du peuple,
      -lutter contre la finance internationale
      -soumettre l’industrie à la nation
      -organiser des festivités
      -…

      C’est pas socialiste, ça ?

    • regardez le programme économique du nsdap et les réformes mises en place par hitler puis osez dire que ce n’est pas socialiste.

      Huit des dix points (du Manifeste du Parti communiste de Marx et Engels) ont été exécutés par les nazis avec un radicalisme qui aurait enchanté Marx. Seuls deux points n’ont pas encore été complètement adoptés par les nazis, à savoir l’expropriation de la propriété foncière et l’affectation de la rente foncière aux dépenses de l’Etat (point n°1 du Manifeste) et l’abolition de l’héritage (point n°3). Cependant, leurs méthodes de taxation, leur planisme agricole et leur politique concernant la limitation des fermages vont chaque jour dans le sens du marxisme

      Rappelons tout de même la politique de grands travaux du 3ème reich: autoroutes, logements sociaux (oui, oui les mêmes qu’on voit pululler dans les communes en France), réfection des cantines ouvrières, loisirs de masse tel Paris-Plage etc… Le lancement de la filière automobile avec Volkswagen, telles les subventions que reçoit renault, avec des automobiles censées être accessibles aux plus pauvres…
      Le régime imposa la planification et une stricte autarcie obligeant les industriels à respecter des objectifs et à remplacer les produits d’importation par d’autres de moindre qualité made in Germany…pas loin de ce que prétend faire Mélanchon d’ailleurs.
      L’industrie fut complètement réorganisée par une série de lois, suivant un plan de remilitarisation. Cette politique s’est appuyée dès 1933-1934 sur une série de lois économiques qui favorisèrent la réorganisation complète de l’industrie, puis fut accentuée à partir de 1936 avec le lancement du plan de Quatre Ans confié à Hermann Göring. Celui-ci constitua le tout-puissant cartel des Hermann-Göring Reichswerke, devenu très vite l’une des plus grosses entreprises d’Allemagne puis, après la mise sous tutelle des industries des pays conquises, une des plus grosses du monde.

      L’Etat nazi promulga une loi supprimant chomage et emprunta 1 milliard de marks pour refaire tous les bâtiments, c’est simple de donner du travail comme ça évidemment, il créa le livret de travail avec les administrations qu’il fallait. De manière générale la bureaucratie et son cortège de fonctionnaires grossit de manière exponentielle, le droit du travail et les compensations envers les travailleurs sont allés largement plus loin que ce que réalisa même le front populaire à la même époque en France.Au total le Front du Travail allemand a versé, de mai 1933 à la fin de l’année 1938, à titre d’assistance, une somme de 424 millions de marks.
      Les politiques sociales pour favoriser les ouvriers et les familles étaient très développées, se développèrent énormément de locaux sanitaires, l’apprentissage, les congés payés obligatoires etc…
      Bref du socialisme sur toute la ligne.

    • c’est juste la vérité historique et si vous ne le croyez pas renseigné vous aupres d’historiens.
      le totalitarisme (nazisme ,fascisme et communisme )est dérivée du socialisme.le parti nazi s’appelait national SOCIALISTE des ouvriers allemands, contrairement à ce que la plupart des gens pensent s’étaient un parti d’extreme GAUCHE (comme le fascisme et le communisme). Ce n’est qu’APRES la seconde guerre mondiale que l’on a dit que c’était d’extreme droite.Mussolini avant de fonder son parti fasciste a été rédacteur en chef d’un journal SOCIALISTE. LAVAL a été communiste avant la 2 guerre mondiale. Miterrand et son pere ont collaborer avec le régime de pétain. La tres grande majorité des collaborateurs en france étaient des gauchistes. En france, 80 % des colllabos venaient de la gauche. je vous conseille de lire Un paradoxe français, Antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance de simon epstein

  • Je vous rappelle à tous qu’en 1928, Goebbels n’est encore coupable de rien et que la liberté d’opinion prime sur toutes les conneries que vous pouvez déclamer sans gêne… A vous de donner envie… Sinon dégage !!! (remember sarko…) Votre antidémocratisme de bourgeois éclairés guidant le peuple ressemble à cette horreur fachiste qu’est devenu l’UE – qu’elle crève vite !!!
    Qu’est ce que vous voulez, si votre libéralisme à la goldmansachs fait vomir tout le monde – et ses ex à la tête de l’italie ou de la bce n’en ont plus pour longtemps – prenez vous en à ces tricheurs et faites du nettoyage dans vos rangs… Ou alors sortez les flingues pour faire marcher les peuples… Mais venez pas faire vos sucrés « on comprend pas pourquoi le libéralisme marche pas » alors que vous avez autant de casseroles àccrochées au cul !!!! C’est Hitler l’inventeur des produits dérivés pourris ? C’est Hitler qui est responsable des budgets en déficit depuis 40 ans ? C’est Hitler le patron d’une de ces banques qui a fait des placements pourris mais qui se paye royalement pour un service de merde !!!
    Vous voulez être libéraux ? Et bien acceptez de crever de faim parce que vous êtes des libéraux qui perdent !!!
    Sinon vos potins de morale à trois balles… En suppo !!!

    • Tous ces gens gens que vous citez ne se prétendent pas libéraux, mon ami.
      Et personne ici n’a dit « on comprend pas pourquoi le libéralisme marche pas ». On sait tous que le libéralisme marche.

      « Votre antidémocratisme de bourgeois éclairés guidant le peuple … »

      Faut vous faire soigner, mon vieux, vous n’avez plus toute votre tête. Ca vous prends souvent d’insulter les gens comme ça? Allez vous faire voir, mon vieux, on à pas besoin de vous ici.

      Tout ce que vous dénoncez, au milieu de vos insultes, s’applique au socialisme, pas à nous. Nous, on a la conscience tranquille. Et on est pas des vieux cons aigris dans votre genre. Et réactionnaire en plus, à voir vos réponses à d’autre postes.

    • Les libéraux.

      Ces êtres étranges venus d’une autre planète.

      Leur destination : La Fraônce.

      Leur but : En faire un enfer turbolibéral.

      Frédéric Vincent les a vus. Pour lui, tout a commencé par une nuit sombre, durant un surf solitaire sur le net, alors qu’il cherchait un article de l’immonde diplodocus que jamais il ne trouva.

      Cela a commencé par un site web abandonné, et par un homme que le manque de sommeil avait rendu trop las pour continuer son surf. Cela a commencé par l’atterrissage sur contrepoints.org, un vaisseau libéral venu d’une autre galaxie.

      Maintenant, Frédéric Vincent sait que les Libéraux sont là, qu’ils ont pris forme humaine, et qu’il lui faut convaincre un monde incrédule que le cauchemar a déjà commencé…”

    • Frederic Vincent: « Votre antidémocratisme de bourgeois éclairés guidant le peuple ressemble à cette horreur fachiste qu’est devenu l’UE – qu’elle crève vite !!! »

      C’est pour une caméra cachée ?
      C’est tellement décalé que ça en devient comique.

    • Calmez vous.
      C’est vrai que pour un socialiste, voir la similitude de la pensée nazi et de la pensée du socialisme, ça fait mal.
      D’où votre réaction.

      • « Frédéric Vincent les a vus. Pour lui, tout a commencé par une nuit sombre, durant un surf solitaire sur le net, alors qu’il cherchait un article de l’immonde diplodocus que jamais il ne trouva.

        Cela a commencé par un site web abandonné, et par un homme que le manque de sommeil avait rendu trop las pour continuer son surf. Cela a commencé par l’atterrissage sur contrepoints.org, un vaisseau libéral venu d’une autre galaxie.

        Maintenant, Frédéric Vincent sait que les Libéraux sont là, qu’ils ont pris forme humaine, et qu’il lui faut convaincre un monde incrédule que le cauchemar a déjà commencé…” »
        – Mdr.

        Bref, vous avez mixé marxisme, socialisme, fascisme et nationalisme dans un shaker et POUF ca fait du socialisme. Enfin bref.

        « Tout à fait, c’est bien pourquoi Contrepoints publie cette traduction française d’un extrait d’une brochure nazie écrite par Goebbels qui explique pourquoi il y a socialiste dans national-socialiste. Je crois que ça devrais te faire plaisir, non ? »
        – Ca doit vous faire plaisir tous les groupes armée ou de « combattants de la liberté ».

        « Tous ces gens gens que vous citez ne se prétendent pas libéraux, mon ami. »
        – La liberté de jouir de ses biens et de son statut. C’est également ça le libéralisme. Ils n’y a pas besoin de se prétendre libéral pour l’être et l’appliqué dans les règles.
        Le capitalisme sauvage russe en est le plus bel exemple. D’ailleurs remarquez que toute les périodes de libéralisme ont mené à une période d’étatisme dur.

        « Et personne ici n’a dit « on comprend pas pourquoi le libéralisme marche pas ». On sait tous que le libéralisme marche. »
        – Bien qu’il soit indéniable qu’une partie de libéralisme appliqué à une économie est bénéfique, personne ne le sait étant donné que le libéralisme n’a jamais été appliqué entièrement. Ce n’est pas parce qu’on introduit 3 poils de libéralisme que s’en est. Meme pour ceux qui s’en revendiquaient le + (Reagan et Tatcher pour ne citer qu’eux.)

        « C’est vrai que pour un socialiste, voir la similitude de la pensée nazi et de la pensée du socialisme, ça fait mal. »
        – Taper inutilement sur les socialistes ne vous mènera à rien. Enfin si, peut être à aider l’extrème droite.

        • « Le capitalisme sauvage russe en est le plus bel exemple. D’ailleurs remarquez que toute les périodes de libéralisme ont mené à une période d’étatisme dur. »

          Tout ça m’endort prodigieusement… ZZZZZZZZ

        • J’ai pas dit libéralisme sauvage. Suite à l’effondrement de l’URSS c’était une période de libéralisme. Je vous rassure ça n’a pas durée très longtemp.

          • pourqu’il y ait le libéralisme, il faut avant tout chose qu’il y ait un état de droit. or la russie post soviétique n’est qu’une période de chaos où il n’y a plus de règle. osez prétendre que la russie post communiste (que ce soit avec poutine ou boris eltsine s’est complétement faux, renseignez vous. le néolibéralisme n’existe pas, le fait que vous parlez de néolibéralisme vous décribilse complétement. la russie comme l’ukraine et bcp de pays de l’est vivent aujourd’hui sous oligarchie. cette oligarchie qui s’enrichit grace au capitalisme de connivence. cela n’a rien de libéral, il n’y a pas de libre marché car l’économie est controlé par des oligarches

      • « Le libéralisme n’a jamais conduit à aucune crise. Alors, tes petites élucubrations ironiques et péremptoires, elles sont bien gentilles, mais ça n’impressionne personne ici. »
        – Il parait que 1929 c’était les martiens qui sont venu sur terre. Je rappel que l’Etat était limité à ses fonction régalienne avant cette date?
        En 2007, c’était pas le libéralisme appliqué à la finance non plus, c’est un coup monté de l’Etat pour destabilisé la logique libéral et reprendre le pouvoir.

        • Oui, les martiens sont venus sur terre en 1929! Comment t’as deviné que j’en étais un? Je suis pris au piège!

          Sérieusement,

          1. L’Etat n’était pas du tout limité à ses fonctions régaliennes en 1929. Tiens: http://minarchiste.wordpress.com/2011/05/26/recommandation-de-lecture-americas-great-depression-par-murray-rothbard/

          2. Les libéraux ne défendent pas la théorie du complot.

          • « Oui, les martiens sont venus sur terre en 1929! Comment t’as deviné que j’en étais un? Je suis pris au piège! »
            – Seul un martien peut être ultralibéral, c’est MLP qui l’a dit.

            « 1. L’Etat n’était pas du tout limité à ses fonctions régaliennes en 1929. Tiens: http://minarchiste.wordpress.com/2011/05/26/recommandation-de-lecture-americas-great-depression-par-murray-rothbard/ »
            – Autre chose qu’un autre blog libéral, on verra.
            En attendant, depuis la révolution industrielle, il a eu une lente progression vers l’Etat providence, posez vous la question du pourquoi?
            Cette progression s’est accentué après la 2nde guerre car l’Etat a gagné en légitimité, pourquoi? Parce qu’il était le seul à avoir les moyens de reconstruire.
            Pour finir, jamais un libéralisme ne pourra être appliqué totalement que vous le vouliez ou non.

          • @riku
            …. »que vous le vouliez ou non. »
            Ca, c’est symptomatique du discours anti-libéral.
            Cela revient tout au long des interventions, cette volonté d’imposer sa vision des choses, ce refus de toutes altérité.

          • Toutes les bulles économiques ont ceci en commun, c’est la forte croissance de la masse monétaire, due aux banques centrales.
            Ce fut le cas pour la crise actuelle, la bulle internet, 1929, la stagflation, la crise de la compagnie du Mississippi, la tulipomanie,…

            La théorie autrichienne des cycles économiques démontre la constance de ces politiques.
            Bien sur, si vous attendez à ce qu’on vous donne une source marxiste et des keynésienne, cela n’est pas possible, car ils nient cette théorie, préférant expliquer la crise par une théorie de folie des marchés et donner du crédit à la théorie autrichienne les forcerait à admettre que leurs propres théories sont à l’origine des bulles.

            Faisons une analogie : le marché est similaire à un réseau informatique et l’état est un élément central de ce réseau.
            Qu’est-ce qui a le plus de risque de provoquer la panne du réseau ? La panne simultanée de tous les ordinateurs clients en même temps ou la panne de l’ordinateur central ?
            L’état étant l’acteur qui a le plus d’influence sur le marché, cela signifie qu’une politique aura toujours des conséquences considérables.

            Pouvez-vous démontrez qu’une politique économique a des gains supérieurs aux pertes, aux risques et aux conséquences morales ? Cela est impossible.

            «Pour finir, jamais un libéralisme ne pourra être appliqué totalement que vous le vouliez ou non.»

            Peut-être, mais cela ne signifie pas qu’il faille renoncer à l’idéal de liberté ou qu’il ne puisse pas y avoir un système plus libéral.

        • « Je rappel que l’Etat était limité à ses fonction régalienne avant cette date? »

          La votre consiste–t-elle à étaler un gramme de confiture sur un km carré de pain ?. Avant de parler de fascisme et national socialisme, il faut avoir lu les travaux remarquables de Sternhell, Nemo, Furet, Nolte, Burrin et Aly. Visiblement, ce ne semble pas être votre cas.

          Quand on ne sait pas…

    • @ Frederic :

      On t’as reconnu Karl Marx !!!

      Je profite de cette chance pour te demander ce que cela fait de s’être tromper sur :
      le rendement décroissant du capital
      la paupérisation croissante des masses
      la loi d’airain des salaires
      etc etc etc …
      c’est quoi l’explication déjà ?

    • Huit des dix points (du Manifeste du Parti communiste de Marx et Engels) ont été exécutés par les nazis avec un radicalisme qui aurait enchanté Marx. Seuls deux points n’ont pas encore été complètement adoptés par les nazis, à savoir l’expropriation de la propriété foncière et l’affectation de la rente foncière aux dépenses de l’Etat (point n°1 du Manifeste) et l’abolition de l’héritage (point n°3). Cependant, leurs méthodes de taxation, leur planisme agricole et leur politique concernant la limitation des fermages vont chaque jour dans le sens du marxisme.
      les anticapitalistes utilisent EXACTEMENT les meme arguments que les nazis (sauf qu’eux mettait juif: la finance juive, le 1 % juif, les banques juives,….)

    • comme par hasard les pays qui s’en sortent le mieux sont les pays les plus libérales (autriche, pays bas,..) et les pays en crise sont les pays les plus socialistes socialistes (grece, espagne, france,..) . les pays dans le monde qui ont la meilleur situation économique et démocratique sont libéraux.

    • les anticapitalistes utilisent EXACTEMENT les meme arguments que les nazis (sauf qu’eux mettait juif: la finance juive, le 1 % juif, les banques juives,….). le communisme ne marche pas et a fait plus de 100 millions de morts. le capitalisme a réduit ces dernières années de moitié la pauvreté mondiale. soutenir le socialisme ou le communisme est bcp plus stupide que de soutenir le libéralisme ou le capitalisme. la preuve que le socialisme ne marche pas est que bcp de socialistes eux meme l’ont reconnu et ont évolué vers la social démocratie voir maintenant vers le social libéralisme. http://loicgonsolin.politicien.fr/2013/07/05/716/

    • c’est juste la vérité historique et si vous ne le croyez pas renseigné vous aupres d’historiens.
      le totalitarisme (nazisme ,fascisme et communisme )est dérivée du socialisme.le parti nazi s’appelait national SOCIALISTE des ouvriers allemands, contrairement à ce que la plupart des gens pensent s’étaient un parti d’extreme GAUCHE (comme le fascisme et le communisme). Ce n’est qu’APRES la seconde guerre mondiale que l’on a dit que c’était d’extreme droite.Mussolini avant de fonder son parti fasciste a été rédacteur en chef d’un journal SOCIALISTE. LAVAL a été communiste avant la 2 guerre mondiale. Miterrand et son pere ont collaborer avec le régime de pétain. La tres grande majorité des collaborateurs en france étaient des gauchistes. En france, 80 % des colllabos venaient de la gauche. je vous conseille de lire Un paradoxe français, Antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance de simon epstein

  • Très intéressant, cette plongée dans la pensée nazie. Nécessaire, également, pour éviter de répéter les tragédies du passé.

    Quant à ceux qui y voient un « troll », qu’ils se posent la question: est-ce que qualifier de troll ce texte écrit en 1928 nous en apprend plus sur celui qui a décidé de le poster, ou sur celui qui y voit, curieusement, une mise en accusation des socialistes d’aujourd’hui ?

    • @ riku :

      sur 1929, lisez milton friedman et regardez les politiques de hoover pour voir que ce n’est absolument pas des politiques libérales qui ont conduit à la catastrophe, mais des politiques étatistes.

      Quand à la montée de l’état providence tout au long du 20 ième siècle, c’est parceque le 20 ième siècle a été le siècle de l’iédologie socialiste, présente partout, mêms aux USA et à la GB.

      Un dernier point, quand vous site que le libéralisme n’a jamais été appliqué parfaitement nullement.

      C’est une évidence, et un système humain ne pourra jamais être parfait.

      Mais, dès qu’on applique juste un peu de libéralisme, ça marche !! et bien, et tout le temps !!
      Alors que le socialisme, c’est exactement l’inverse, qu’on l’applique un peu, beaucoup, cela ne marche jamais, et c’est très mauvais.

      Avec un peu de pragmatisme et moins de fainiantise, les hommes devraient choisir le libéralisme… Mais les hommes aiment bien les belles histoires où on leur raconte qu’ils vont pouvori en profiter avec le travail des autres …

      • « sur 1929, lisez milton friedman et regardez les politiques de hoover pour voir que ce n’est absolument pas des politiques libérales qui ont conduit à la catastrophe, mais des politiques étatistes. »
        – Euh excusez moi mais impliquer un président qui était la 8 mois avant la crise, faut pas déconner, qu’il l’ai accentué (selon les libéraux) ou pas ne change pas qu’elle a eu lieu.
        Quand à Milton Friedman, et sa théorie sur la Fed, pourquoi pas mais des crises du crédit et des récessions avaient lieu bien avant la Fed même si elle a failli à sa mission. Je rappel que la logique monétariste n’est pas du tout la même que celle des libertariens. D’ailleurs je dirais que pour Friedman c’était fini et les libéraux avaient perdu.

        « Mais, dès qu’on applique juste un peu de libéralisme, ça marche !! et bien, et tout le temps !!
        Alors que le socialisme, c’est exactement l’inverse, qu’on l’applique un peu, beaucoup, cela ne marche jamais, et c’est très mauvais. »
        – C’est un avis, pas le mien, mais c’est un avis.
        Pendant les 30 glorieuses ça fonctionnait parfaitement bien pourtant.

        « Quand à la montée de l’état providence tout au long du 20 ième siècle, c’est parceque le 20 ième siècle a été le siècle de l’iédologie socialiste, présente partout, mêms aux USA et à la GB. »
        – Ne confondez pas keynesiannisme et socialisme.
        Et puis si les gouvernement occidentaux ont fournis quelques cadeaux via l’Etat providence c’était uniquement pour éviter que le peuple ne se révolte comme en URSS en demandant le communisme.

        « Avec un peu de pragmatisme et moins de fainiantise, les hommes devraient choisir le libéralisme… Mais les hommes aiment bien les belles histoires où on leur raconte qu’ils vont pouvori en profiter avec le travail des autres … »
        – Hitler avait le même discours sur le travail. D’ailleurs le FN et la droite traditionnaliste aussi là.
        « Travail, Famille, Patrie » , comme disais Pétain.

        « Un dernier point, quand vous site que le libéralisme n’a jamais été appliqué parfaitement nullement.

        C’est une évidence, et un système humain ne pourra jamais être parfait. »
        – Un système imparfait n’est pas un système idéal comme préconisé ici donc.

        • @riku :

          Mais la crise de 1929 n’aurait jamais dégénérée comme cela sans les politiques socialisantes et anti libérales de Hoover, lisez donc Friedman ou Rothbard !!!
          Il y a tjrs des crises économiques, lisez schumpeter, ce n’est pas lié au libéralisme, mais à la croissance.
          Il y aura donc tjrs des crises, le but est d’en minimiser les effets.
          En quoi le monétarisme est différents des libertariens, cela me semble au contraire très proche (pas de banque centrale et pas de manipulation de la monnaie).
          « C’est un avis » ????? pas levotre, maid c’est un avis ???
          Oh le beau relativisme socialiste que voilà !!!
          Il me semble que bien au contraire, ce n’est pas un avis, mais les faits et la réalité pure et simple …
          Pendant les 30 glorieuses, c’est le libéralisme qui a marché, pouvez vous me dire à quoi ressemblé les 30 glorieuses dans le bloc de l’est ?
          Et quelle différence entre kéynésianisme et socialisme ? si vous êtes socialistes, vous êtes keynésiens et ce ne sont pas les idées keynésiennes qui ont dominé le monde au 20 ième siècle, mais les idées socialistes qui reprenez le keynésianisme car cela les arrangez, lisez donc « capitalisme et liberté » de Friedman, il le dis bien haut : tout le monde est keynésien, et tout le monde pense que l’état est plus à même de développer l’économie que le marché libre !!

          Sur les cadeaux au peuple, c’est faux, les cadeaux venaient de De gaulle pour les syndicats communistes pour qu’ils en bloquent pas la France pour le reconstruction, ouvrez un livre d’histoire.

          Mais Hitler, comme le Front National, comme Pétain, sont des socialistes … sauf que pour eux, les fainéants sotn les patrons …

          votre dernière argumentation est absconce. « un système imparfait n’est pas un système idéal » ben oui, c’est évident.
          Mais pour qu’un système humain soit le plus parfait possible ou le moins imparfait, il faut appliquer le libéralisme, les faits le prouvent abondamment …

          Mais le relativisme socialiste vous aveugle il me semble …

          • « Mais la crise de 1929 n’aurait jamais dégénérée comme cela sans les politiques socialisantes et anti libérales de Hoover, lisez donc Friedman ou Rothbard !!!
            Il y a tjrs des crises économiques, lisez schumpeter, ce n’est pas lié au libéralisme, mais à la croissance.
            Il y aura donc tjrs des crises, le but est d’en minimiser les effets.
            En quoi le monétarisme est différents des libertariens, cela me semble au contraire très proche (pas de banque centrale et pas de manipulation de la monnaie). »
            – Friedman a été sacrément attaqué par les libertariens pour avoir justement dis qu’on pouvais modifier les taux directeurs et que ce qui était fait est fait. Qu’on ne pouvais pas revenir en arrière.
            On parle des causes de la crise pas de la politique de Hoover.

            « Il y a tjrs des crises économiques, lisez schumpeter, ce n’est pas lié au libéralisme, mais à la croissance. »
            – Non, alors déjà pour Schumpeter c’est lié à l’innovation, la notion de création destructrice.
            Dans ce cas je peux vous indiquer de lire Harrod.

            « Il me semble que bien au contraire, ce n’est pas un avis, mais les faits et la réalité pure et simple …
            Pendant les 30 glorieuses, c’est le libéralisme qui a marché, pouvez vous me dire à quoi ressemblé les 30 glorieuses dans le bloc de l’est ? »
            – Il n’y a pas eu plus keynésien que le période des 30 glorieuses, dire le contraire est absurde. Entre les plans quinquennaux, le développement de la sécurité sociale etc… il y a l’embarras du choix.
            Une politique marxiste n’a rien à voir avec le keynésianisme sauf peut être dans votre tête.

            « mais les idées socialistes qui reprenez le keynésianisme car cela les arrangez, lisez donc « capitalisme et liberté » de Friedman, il le dis bien haut : tout le monde est keynésien, et tout le monde pense que l’état est plus à même de développer l’économie que le marché libre !! »
            – L’Etat même réduit à ses fonctions régalienne sera le plus grand client des marchés de toute manière (et même offreur sur le marché du travail) et aura donc une influence sur celui-ci même si il ne le voulait pas. Donc oui tout le monde est keynésien, même les libéraux, sauf peut être les anarchistes bon ok.

            « Sur les cadeaux au peuple, c’est faux, les cadeaux venaient de De gaulle pour les syndicats communistes pour qu’ils en bloquent pas la France pour le reconstruction, ouvrez un livre d’histoire. »
            – Conneries. De Gaulle est arrivé au pouvoir en 1958, soit presque 15 ans après le début des 30 glorieuses.
            Je vous conseil à vous de rouvrir un livre d’histoire.

            « Mais Hitler, comme le Front National, comme Pétain, sont des socialistes … sauf que pour eux, les fainéants sotn les patrons … »
            – Votre haine n’a d’égal que vos raccourcis.

            « Mais pour qu’un système humain soit le plus parfait possible ou le moins imparfait, il faut appliquer le libéralisme, les faits le prouvent abondamment … »
            – Des faits? Quels faits? Mettre 3 poils de libéralismes dans un système keynésien sont des faits?

            « Mais le relativisme socialiste vous aveugle il me semble … »
            – Votre propagande libérale, enfin plutôt anti socialiste de base, la votre….
            Il faut lire tous les ouvrages pas seulement Friedman pour se faire une idée. Il y avait d’ailleurs ici même un article assez intéressant sur Keynes.

        • « – Un système imparfait n’est pas un système idéal comme préconisé ici donc. »

          Et, quel est donc ce système idéal, comment fait-on pour y arriver, quelles politiques permettent d’y arriver ?
          Et s’il n’est pas si idéal que ça, qu’il est mal conçu et aboutit au drame, on fait quoi ? On appuie sur reset et on oublie tout ?
          On ne teste pas la politique, on la vit et on la subit.

          Vous relativisez sur le fait qu’il s’agisse d’un avis contre un autre, cependant, le votre induit une théorie politique, ce qui n’est pas le cas du libéralisme, qui est l’absence de politiques économiques.
          Vous vous trouvez dans la position de celui qui a la charge de la preuve.

          Vous devez prouver que l’action politique désirée est meilleure que la non-action politique. Tant que vous ne le faites pas, vos théories doivent alors être considérées comme non viables. Et pour cela je vous souhaite bonne chance…

          • « Et, quel est donc ce système idéal, comment fait-on pour y arriver, quelles politiques permettent d’y arriver ?
            Et s’il n’est pas si idéal que ça, qu’il est mal conçu et aboutit au drame, on fait quoi ? On appuie sur reset et on oublie tout ?
            On ne teste pas la politique, on la vit et on la subit.

            Vous relativisez sur le fait qu’il s’agisse d’un avis contre un autre, cependant, le votre induit une théorie politique, ce qui n’est pas le cas du libéralisme, qui est l’absence de politiques économiques.
            Vous vous trouvez dans la position de celui qui a la charge de la preuve.

            Vous devez prouver que l’action politique désirée est meilleure que la non-action politique. Tant que vous ne le faites pas, vos théories doivent alors être considérées comme non viables. Et pour cela je vous souhaite bonne chance… »
            – Les investissements dans le cadre d’une politique économique cohérente après la guerre?
            Non parce que si on avait compté que sur le libéralisme, on ne produirait pas grand chose.
            Les politiques économiques et monétaire chinoises?
            Le protectionnisme brésilien?
            Je sais pas en fait, il y a tellement d’exemple de politique économique réussi.

          • « Non parce que si on avait compté que sur le libéralisme, on ne produirait pas grand chose. »
            Affirmation gratuite.
            Soyez plus modeste, l’état ne peut pas tout.

          • Bon d’accord, faisons reset et revivons les 30 glorieuses sans vos fichues politiques keynésiennes et comme ça on pourra comparer ce qui fonctionne le mieux. Comment ? On ne peut pas ?
            Alors, comment pouvez-vous dire que les gains des ces politiques étaient supérieurs aux pertes, qu’il n’y a pas d’imprévu, etc, que cela ne s’est pas fait en dépit de ou encore grace à un contexte spécial non identifié ou tout simplement que les gens vivaient au dessus de leurs moyens ?

            Je suis désolé, mais le monde et l’économie, ce n’est pas aussi simpliste que cela, qu’un « si l’état…, alors… »
            À moins que vous ne croyiez que l’on vive dans un monde déterministe, et que les hommes agissent de façon rationnelle et mécanique, de bons homo œconomicus, quoi…

            Peut-être qu’il y a eu un plus, mais quels sont les couts à courts, moyens et long termes ? La stagflation ? La ruine ?

            Et si parmi elles, il y a eu des bonnes politiques, comment faites vous pour distinguer la(les)quelle(s) étaient bonnes et les mauvaises ?

            Et puis, ça s’est mal terminé, avec la France en quasi faillite en 1958, qui a aboutit à une austérité au début de la Ve rép. avant de tomber dans la stagflation parce que les Américains faisaient fonctionner la planche à billet n’importe comment.

            Stagflation qui fut la démonstration de l’invalidité des théories keynésiennes qui affirment que l’inflation permet de relancer, de diminuer le chômage, etc…

  • Je n’ai pas encore lu l’article, je ne sais pas comment il a été présenté mais il faut savoir qu’il y avait pas mal de bon sens dans le national-socialisme.

  • Le nazisme c’ est du socialisme puisqu’il est collectiviste. Le nazisme privilège les races ( qui est pour les nazis un collectif d’individu ) contre d’autres races ou nationalités ou contre des groupes de personnes que les nazis considérait comme non humaine tel les juifs. Alors que le libéralisme met l’individu avant la couleur de peau, la religion et la classe sociale.

    @ Riku,

    Vous parlez de crise dans le système capitaliste parce que ce système évolue. L’innovation est l’une des cause des crises. Puisque les entrepreneurs paries sur la réussite d’une nouveauté en investissements. C’est ce que l’on appel le risque qui fait fonctionner le capitalisme. Mais le risque peut parfois virer à l’échec.

    Dans les société socialiste il n’y a pas de crise économique puisque ces sociétés n’évoluent pas, innovent peu, ne prennent jamais de risque.

    D.J

  • « Bon d’accord, faisons reset et revivons les 30 glorieuses sans vos fichues politiques keynésiennes et comme ça on pourra comparer ce qui fonctionne le mieux. Comment ? On ne peut pas ?
    Alors, comment pouvez-vous dire que les gains des ces politiques étaient supérieurs aux pertes, qu’il n’y a pas d’imprévu, etc, que cela ne s’est pas fait en dépit de ou encore grace à un contexte spécial non identifié ou tout simplement que les gens vivaient au dessus de leurs moyens ? »
    – Maintenant c’est le contexte ou les gens qui vivaient au dessus de leurs moyens.

    « Je suis désolé, mais le monde et l’économie, ce n’est pas aussi simpliste que cela, qu’un « si l’état…, alors… »
    À moins que vous ne croyiez que l’on vive dans un monde déterministe, et que les hommes agissent de façon rationnelle et mécanique, de bons homo œconomicus, quoi…

    Peut-être qu’il y a eu un plus, mais quels sont les couts à courts, moyens et long termes ? La stagflation ? La ruine ?

    Et si parmi elles, il y a eu des bonnes politiques, comment faites vous pour distinguer la(les)quelle(s) étaient bonnes et les mauvaises ? »
    – Théoriquement si il y avait croissance sur 30 ans c’est qu’il y en avait des bonnes.
    D’ailleurs curieusement, la croissance baisse et stagne dés qu’on a commencé à libéralisé dans les années 70.
    Surement le contexte…. (ps: je sais très bien que c’est le contexte mais jfais comme vous).

    « Et puis, ça s’est mal terminé, avec la France en quasi faillite en 1958, qui a aboutit à une austérité au début de la Ve rép. avant de tomber dans la stagflation parce que les Américains faisaient fonctionner la planche à billet n’importe comment.

    Stagflation qui fut la démonstration de l’invalidité des théories keynésiennes qui affirment que l’inflation permet de relancer, de diminuer le chômage, etc… »
    – Ah non, c’est le contexte ou ce n’est pas le contexte.

    Je vais vous expliquez pourquoi le libéralisme ne marchera jamais et ne sera jamais appliqué.
    L’homme se fou royalement du contexte et de l’économie en règle général. Il veut vivre mieux maintenant, pas 10 ou 20 ans voir 40 ans plus tard. Et concernant ses descendants, il s’en fou.
    Hors vu les concessions et la baisse de niveau de vie soudaine qu’impliquerai la mise en place d’un libéralisme total. Celui-ci ne sera jamais mis en application, que vous le vouliez ou non.

    Mais c’est sur, repartons au début de l’humanité lorsqu’il n’y avait ni Etat, ni relance Keynesienne, ni même de théories libérales. Après tout peut être que le libéralisme marchera, enfin… au moins jusqu’à ce qu’un groupe suffisamment puissant se forme pour se donner des avantages, il constituera un Etat pour se légitimer et hop… bah mince faut tout recommencer….
    Aspects sociologiques, non?

    • On a un peu de mal à vous comprendre. Le sujet de l’article est de savoir si oui ou non les nazis étaient socialistes. La réponse semble être oui même si les socialistes ne sont pas nécessairement nazis.

      Vous défendez ensuite des mesures étatiques sans les citer, mis à part quelques vagues allusions à la Chine, au Brésil ou aux Trente Glorieuses.

      Pour la Chine vous citez une politique économique et monétaire alors que la répression financière maintient le secteur financier chinois dans l’archaïsme. Il croule sous les créances douteuses et je vois mal en quoi c’est un exemple. (cf http://www.amazon.fr/Red-Capitalism-Financial-Foundation-Extraordinary/dp/0470825863)

      Pour le Brésil, votre défense du protectionnisme suffit à vous décridibiliser. Ce protectionnisme nuit davantage aux consommateurs et n’a pas permis au Brésil de développer une industrie qui puisse prouver la supériorité du protectionnisme sur le libre-échange. La politique monétaire du Brésil fut désastreuse (inflation élevée) et les politiques d’ISI ont provoqué de l’endettement. (cf décennie perdue)

      Les Trente Glorieuses? Contexte de rattrapage et de reconstruction d’après guerre. A coup de dévaluations et d’inflation. La Grande Bretagne plus étatiste à cette époque s’est bien plantée. Que dire aussi des pays sous le rideau de fer…

      • Ca fait bien longtemps qu’il n’y a plus vraiment de rapport avec un article qui n’est autre qu’une traduction.

        Aux secteurs financiers qui croule sous les créances douteuses, il n’est pas le seul en ce moment.

        « Pour le Brésil,…. »
        – L’inflation est à mettre en rapport avec la croissance.
        En attendant, si le Brésil n’avait pas usé de protectionnisme, ils se serait juste fait « manger ». Mais on peut prendre l’exemple de l’usine de Foxconn au Brésil afin qu’il puisse y écouler des Iphones moins cher qu’avec les taxes à l’importation.
        Ou l’exemple de Bonduelle au Brésil qui à l’origine s’était cassé la gueule en arrivant avec ses boites de mais dans le pays du mais.

        Le protectionnisme nuit à l’innovation à cause de la réduction de la concurrence, pas au consommateur à court terme. En revanche, des frontières grandes ouvertes auraient pu nuire à la demande par la destruction d’emploi à cause de l’importation massive de produit à bas coup dans un pays en voie de développement.
        Pour qu’il y ai concurrence, innovation et baisse des prix à terme, il faut qu’il y ai des concurrents, sommes nous d’accord?

        « Les Trente Glorieuses? Contexte de rattrapage et de reconstruction d’après guerre. A coup de dévaluations et d’inflation. La Grande Bretagne plus étatiste à cette époque s’est bien plantée. Que dire aussi des pays sous le rideau de fer… »
        – Le rattrapage et la reconstruction ont duré quoi? 5 ans? ça aurait duré combien de temps sans l’intervention de l’Etat dite moi.
        Pourquoi me parler des pays sous le rideau de fer? Ils effectuait des relances keynesiennes? Une politique économique Keynesienne? Ah bon.
        Quand à la GB, moi je pense qu’elle c’est bien planté sous Thatcher.

        • Vous dénoncez plus haut dans vos commentaires la libéralisation post 30 Glorieuses qui est essentiellement une libéralisation financière . Cette liberté de circulation engendre à la fois un apport de capitaux pour les pays attractifs mais aussi une modernisation des systèmes financiers dans les pays du Tiers Monde qui leur permettent d’être mieux géré (cf Travaux de McKinnon et Shaw sur la répression financière). Le secteur financier chinois est dans un sale état car il n’y a pas eu cette modernisation.

          Brésil? La décennie perdue ça vous dit rien? Le Brésil a une longue histoire d’inflation qui n’a rien à voir avec la croissance mais plutôt avec une mauvaise utilisation de la politique monétaire et un endettement excessif porté par des politiques d’industrialisation qui ont été des gouffres financiers. Vous ne savez pas ce qui serait arrivé au Brésil sans ces politiques. Dire que le protectionnisme a marché par rapport au libre échange est faux. Le libre-échange n’engendre pas la constitution de monopoles contrairement au protectionnisme (financé par l’argent de tous) et il peut permettre une transmission plus rapide du progrès technique dans ces pays(grâce à l’investissement et la concurrence). Le Mexique a davantage bénéficié de l’ALENA que des politiques d’ISI.

          Durant les 30 glorieuses, il y a encore un système monétaire indexé sur l’or qui évite une inflation mondiale. On peut ainsi dévaluer quand ça nous arrange (cf Pompidou) sans craindre d’avoir plus de 4 ou 5% d’inflation. Les dévaluation suivantes de Mitterand et de Giscard ont bien prouvé que ça ne résolvait rien. La France est toujours étatiste et pourtant la croissance a baissé et on ne trouve plus les hausses de productivité de cette période. La faute à quoi? La libre circulation des capitaux? Le change flottant? Vous avez une foi beaucoup trop grande en l’Etat qui vous fait écrire nimporte quoi.

          Les pays sous le rideaux de fer ils marchaient pas à coup de plannisme et d’étatisme? Le modèle que vous chérissez. On a vu le résultat.

          La GB des années 60-70 faisaient du keynésianisme à coup de politique de stop and go. Le pays était surnommé l’homme malade de l’Europe. N’essayez pas de réecrire l’histoire en faisant croire que Thatcher a bousillé un pays prospère. La réalité historique et des données montre tout simplement le contraire.

          Enfin, vu qu’on va pas se disputer toute la vie, je dois vous rappeler que c’est pas à moi de faire votre éducation en économie ou en histoire. Si vous voulez prouver quelquechose, c’est à vous de me montrer une situation où le libre-échange a échoué par rapport au plannisme (avec les chiffres de préférences). Dans les trois exemples que vous donnez je ne vois pas de trace d’un libéralisme qui échoue.

          Se baser uniquement sur les 30 glorieuses alors même que le débat reste ouvert sur les causes de sa fin (fin des hausses de productivité, retour de l’inflation mondiale à cause du choc pétrolier, fin de Bretton Wood), je trouve ça un peu gros pour définir une politique économique aujourd’hui.

        • « Ca fait bien longtemps qu’il n’y a plus vraiment de rapport avec un article qui n’est autre qu’une traduction »

          Cet article n’en est pas vraiment un, c’est un témoignage. TEMOIGNAGE.

          « je pense qu’elle c’est bien planté sous Thatcher. »

          Faudra vous renseigner un peu : en 1979, la GB était en situation de faillite et le gouvernement songeait à instaurer l’état d’urgence. Le propre des socialistes est de projeter leurs turpitudes sur leurs adversaires.

    • « Commencé à libéraliser dans les années 70 »?
      Ah ah ah ah!Vous vous êtes démasqué,riku,vous faites de l’ironie depuis le début!
      J’ai failli me faire avoir.

  • Il est peut intéréssant de ce poser la question suivante :

    Pourquoi des dictateurs ont-ils utilisés l’idéologie socialiste pour arriver à leurs fins qui était tout sauf le socialisme attendue par le peuple ?

    C’est probablement que celui-ci était las de ce faire exploiter par une oligarchie de puissants capitalistes et de financiers qui, à force de spéculer, a redoubler la misère du petit peuple .

    • Ils ont poursuivit des fins qui étaient exactement celles qu’ils avaient promis, au contraire. Soit le peuple est incapable de lire un programme, soit c’était précisément ça, le socialisme attendu par le peuple.

      Ça vous troue le cul, hein, que le peuple ne soit pas toujours cette chose bienveillante qui n’existe que dans vos fantasmes.

      • Insinueriez-vous que le régime Nazi n’était pas une dictature assise par la violence et la propagande de masse, mais l’expression d’une volonté populaire franche et assumée ?

        • Non, je dis clairement que le régime Nazi a appliquer son programme. Et effectivement il bénéficiait d’une bonne assise populaire. Par contre je croirais à la volonté du peuple quand vous m’aurez présenté Peuple et que j’aurais put m’entretenir avec lui.

        • Ils sont arrivés premier parti aux législatives et Hitler a été nommé chancelier tout à fait constitutionnellement. Que leur arrivée au pouvoir ait été démocratique (et constitutionnelle) ne fait de doute pour personne.

          Sinon, FabriceM, je n’arrive pas à comprendre votre sensibilité sur le fait de faire connaitre la déclaration, sans ambiguïté, d’un des politiciens les plus importants du XXème siècle (pas en bien) « pourquoi nous sommes socialistes ».

          Qu’est-ce qui justifierait de taire ça, à votre sens ?

          • « Qu’est-ce qui justifierait de taire ça, à votre sens ? »
            ————————
            Les gauchistes, c’est comme les cafards, ça n’aime pas la lumière.

          • @Nick

            L’arrivée, oui. Et tout le reste ?

            Ensuite, je ne m’oppose pas à la publication de ce texte en lui-même, mais à ce que signifie sa publication ici et maintenant. Contrepoints est sensé participer à la diffusion et à la meilleure compréhension des idées libérales. Or, je vous demande bien en quoi reproduire un tract nazi permet d’atteindre cet objectif.

            Moi je vous dis que cela ne le permet en rien, et que c’est juste l’équivalent d’une boule puante que des potaches libéraux s’amusent à balancer aux socialistes pour les faire enrager. Ce genre de publication n’induira jamais quelque socialiste que ce soit à se remettre en question. Tout le monde connait les crimes des nazis, tout le monde sait que nazi signifie « national-socialiste », pourtant les socialistes et les communistes s’en sont très bien accommodés pendant déjà plus de 60 ans.

            A moins de penser que les socialistes sont une espèce spéciale de dégénérés mentaux qui se perpétuent depuis ce temps, la conclusion devrait être que cette stratégie de la boule puante est vaine et puérile. Il y a bien mieux à faire.

          • @miniTAX

            Vous devriez vous entendre avec Mélenchon. Lui aussi affectionne ce genre d’expression : http://www.dailymotion.com/video/xp98je_j-l-melenchon-vs-le-pen-effet-dracula_news

          • « tout le monde sait que nazi signifie « national-socialiste »,  »

            Pourtant, il y’en a peu qui savent que le parti nazi était bel et bien socialiste.

            En ce moment, le libéralisme est accusé de tous les maux, la droite est assimilée au fascisme, le tout de manière mensongère. Mais ce qui vous fait réagir, c’est que contrepoints publie cet article, qui lui ne reflète que la vérité. Curieux.

          • Comprends pas. Qui projette, et sur qui ?

            A part vous.

          • Les acquis sociaux ne sont pas loin d’être la principale cause de la situation actuelle.

            C’est le genre d’acquis qui contribuent à mettre de plus en plus de monde au chômage, à dégrader de plus en plus les conditions de travail, le pouvoir d’achat, la retraite et qui creusent de plus en plus la dette. On avait pas besoin de ça.

            Ceux qui sont travailleurs et attachés aux acquis sociaux ne savent tout simplement pas à quel point ils jouent contre leur camp.

          • @Moi

            « Ceux qui sont travailleurs et attachés aux acquis sociaux ne savent tout simplement pas à quel point ils jouent contre leur camp. »

            Justement, le problème c’est qu’ils constituent visiblement la majorité de l’électorat puisque toutes les institutions sont trustées par le PS …. Contrepoints peut justement être un endroit pour leur expliquer cette erreur, si on ne les fait pas fuir en plantant des épouvantails sur le site.

    • CITOYEN : « C’est probablement que celui-ci était las de ce faire exploiter par une oligarchie de puissants capitalistes et de financiers qui, à force de spéculer, a redoubler la misère du petit peuple . »
      —————————-
      Warf, c’est bien connu, le « petit peuple » est dans la misère aux USA, en Suisse, au Luxembourg et à Monaco. Warf, warfff.
      La vraie question à ce (sic) poser, c’est quand est ce que des abrutis comme CITOYENS vont enlever leurs oeillères.

      • Si c’est un abruti c’est qu’elles sont inamovibles. Si vous demandez quand, alors pourquoi le traiter d’abruti ?

        • « Warf, c’est bien connu, le « petit peuple » est dans la misère aux USA, en Suisse, au Luxembourg et à Monaco. Warf, warfff. »
          – Lol? L’exemple des USA est très drole.
          Quand à la suisse, le luxembourg et Monaco, encore plus

      • On se demande encore pourquoi le petit peuple américain n’a pas encore fui l’enfer turbo capitaliste pour le paradis communiste qu’est Cuba.

    • le communisme ne marche pas et a fait plus de 100 millions de morts. le capitalisme a réduit ces dernières années de moitié la pauvreté mondiale. . http://loicgonsolin.politicien.fr/2013/07/05/716/

    • ce sont les socialistes qui utilisent le nazisme et le fascisme alors que ce sont des idéologies proches du nazisme. il s’agit juste d’un fait historique que peu de gens connaissent. si vous ne le croyez pas, il suffit de vous renseigner aupres d’historiens.

      Huit des dix points (du Manifeste du Parti communiste de Marx et Engels) ont été exécutés par les nazis avec un radicalisme qui aurait enchanté Marx. Seuls deux points n’ont pas encore été complètement adoptés par les nazis, à savoir l’expropriation de la propriété foncière et l’affectation de la rente foncière aux dépenses de l’Etat (point n°1 du Manifeste) et l’abolition de l’héritage (point n°3). Cependant, leurs méthodes de taxation, leur planisme agricole et leur politique concernant la limitation des fermages vont chaque jour dans le sens du marxisme

      Rappelons tout de même la politique de grands travaux du 3ème reich: autoroutes, logements sociaux (oui, oui les mêmes qu’on voit pululler dans les communes en France), réfection des cantines ouvrières, loisirs de masse tel Paris-Plage etc… Le lancement de la filière automobile avec Volkswagen, telles les subventions que reçoit renault, avec des automobiles censées être accessibles aux plus pauvres…
      Le régime imposa la planification et une stricte autarcie obligeant les industriels à respecter des objectifs et à remplacer les produits d’importation par d’autres de moindre qualité made in Germany…pas loin de ce que prétend faire Mélanchon d’ailleurs.
      L’industrie fut complètement réorganisée par une série de lois, suivant un plan de remilitarisation. Cette politique s’est appuyée dès 1933-1934 sur une série de lois économiques qui favorisèrent la réorganisation complète de l’industrie, puis fut accentuée à partir de 1936 avec le lancement du plan de Quatre Ans confié à Hermann Göring. Celui-ci constitua le tout-puissant cartel des Hermann-Göring Reichswerke, devenu très vite l’une des plus grosses entreprises d’Allemagne puis, après la mise sous tutelle des industries des pays conquises, une des plus grosses du monde.

      L’Etat nazi promulga une loi supprimant chomage et emprunta 1 milliard de marks pour refaire tous les bâtiments, c’est simple de donner du travail comme ça évidemment, il créa le livret de travail avec les administrations qu’il fallait. De manière générale la bureaucratie et son cortège de fonctionnaires grossit de manière exponentielle, le droit du travail et les compensations envers les travailleurs sont allés largement plus loin que ce que réalisa même le front populaire à la même époque en France.Au total le Front du Travail allemand a versé, de mai 1933 à la fin de l’année 1938, à titre d’assistance, une somme de 424 millions de marks.
      Les politiques sociales pour favoriser les ouvriers et les familles étaient très développées, se développèrent énormément de locaux sanitaires, l’apprentissage, les congés payés obligatoires etc…
      Bref du socialisme sur toute la ligne.
      regardez le programme économique du nsdap et les réformes mises en place par hitler puis osez dire que ce n’est pas socialiste.

  • Il faudrait que l’auteur et ses supporters se souviennent que ce qui a poussé Hitler et autres au pouvoir sont les inégalités (aristocratie russe) et en particuliers la crise de 29 en Allemagne provoquer par l’endettement et la spéculation eux mêmes facilités par l’absence de régulation des marchés.

    De plus lorsque vous parler de socialistes, vous parlez de Lula, de Roosevelt? Ou de ceux qui sont en train de remonter le Chili?

    • « Il faudrait que l’auteur et ses supporters se souviennent que ce qui a poussé Hitler et autres au pouvoir sont les inégalités (aristocratie russe) et en particuliers la crise de 29 en Allemagne provoquer par l’endettement et la spéculation eux mêmes facilités par l’absence de régulation des marchés. »
      – Ils vont vous répondre que la crise de 29 a été provoqué par les vilains keynesiens et la politique de Hoover aux USA.

    • Ben voilà, ce qui prouve bien qu’il y a socialisme et socialisme. Vous vous contredisez est ce à ça que l’on vous reconnait?

      Maintenant puisqu’on parle de la France? Où est la dictature? Allez vous oser vous décrédibiliser totalement? Soyons sérieux.

      Parlons honnêtement. Qui finance ce site? Le parti républicain?

      • Une chose difficile à nier, c’est que les socialistes Chiliens font tout sauf une politique socialiste. Dans une large mesure ils poursuivent la politique engagée par le fils de Satan lui-même, Pinochet.

        Les Nazis se disaient socialistes ce qui ne suffit pas à en faire des socialistes. Ce qui en faisait des socialistes, c’est le fait qu’il appliquaient un programme socialiste.

        Les Chiliens, eux, se disent peut-être socialistes, mais ils n’en appliquent pas le programme, pour le plus grand bonheur des chiliens.

        Par exemple, en France, l’UMP et le FN ne se disent pas socialistes, mais en appliquent le programme. Cela suffit à en faire des socialistes.

      • Pouvez-vous m’indiquer le passage on il est dit qu’en France aujourd’hui nous sommes en dictature ? Merci.

        • Le lien que l’on tente d’établir ici est que socialisme = dictature (nazisme, goulag et benito). Or la France est un pays socialiste… Le lien socialisme/dictature n’est donc pas établi.

          Je viens sur ce site pour avoir un contrepoint et confronter mes idées mais si vous voulez gagner des gens à votre cause évitez ce genre d’article inutile et haineux. Il y a du bon dans le socialisme et dans le libéralisme le problème est de trouver la juste mesure et d’éviter toute position idéologique.

          • Le principal problème semble être votre maitrise de la logique. Avec une bonne dose de surinterprétation et de projection ajoutée par dessus.

            Je comprends donc que je n’aurai jamais la réponse à la question que je vous ai posée.

          • e sont les socialistes qui utilisent le nazisme et le fascisme alors que ce sont des idéologies proches du nazisme. il s’agit juste d’un fait historique que peu de gens connaissent. si vous ne le croyez pas, il suffit de vous renseigner aupres d’historiens.

            Huit des dix points (du Manifeste du Parti communiste de Marx et Engels) ont été exécutés par les nazis avec un radicalisme qui aurait enchanté Marx. Seuls deux points n’ont pas encore été complètement adoptés par les nazis, à savoir l’expropriation de la propriété foncière et l’affectation de la rente foncière aux dépenses de l’Etat (point n°1 du Manifeste) et l’abolition de l’héritage (point n°3). Cependant, leurs méthodes de taxation, leur planisme agricole et leur politique concernant la limitation des fermages vont chaque jour dans le sens du marxisme

            Rappelons tout de même la politique de grands travaux du 3ème reich: autoroutes, logements sociaux (oui, oui les mêmes qu’on voit pululler dans les communes en France), réfection des cantines ouvrières, loisirs de masse tel Paris-Plage etc… Le lancement de la filière automobile avec Volkswagen, telles les subventions que reçoit renault, avec des automobiles censées être accessibles aux plus pauvres…
            Le régime imposa la planification et une stricte autarcie obligeant les industriels à respecter des objectifs et à remplacer les produits d’importation par d’autres de moindre qualité made in Germany…pas loin de ce que prétend faire Mélanchon d’ailleurs.
            L’industrie fut complètement réorganisée par une série de lois, suivant un plan de remilitarisation. Cette politique s’est appuyée dès 1933-1934 sur une série de lois économiques qui favorisèrent la réorganisation complète de l’industrie, puis fut accentuée à partir de 1936 avec le lancement du plan de Quatre Ans confié à Hermann Göring. Celui-ci constitua le tout-puissant cartel des Hermann-Göring Reichswerke, devenu très vite l’une des plus grosses entreprises d’Allemagne puis, après la mise sous tutelle des industries des pays conquises, une des plus grosses du monde.

            L’Etat nazi promulga une loi supprimant chomage et emprunta 1 milliard de marks pour refaire tous les bâtiments, c’est simple de donner du travail comme ça évidemment, il créa le livret de travail avec les administrations qu’il fallait. De manière générale la bureaucratie et son cortège de fonctionnaires grossit de manière exponentielle, le droit du travail et les compensations envers les travailleurs sont allés largement plus loin que ce que réalisa même le front populaire à la même époque en France.Au total le Front du Travail allemand a versé, de mai 1933 à la fin de l’année 1938, à titre d’assistance, une somme de 424 millions de marks.
            Les politiques sociales pour favoriser les ouvriers et les familles étaient très développées, se développèrent énormément de locaux sanitaires, l’apprentissage, les congés payés obligatoires etc…
            Bref du socialisme sur toute la ligne.
            regardez le programme économique du nsdap et les réformes mises en place par hitler puis osez dire que ce n’est pas socialiste.

          • bcp de dictatures dans le monde (en particulier) en afrique sont socialiste, d’ailleurs elles font partie de l’internationale socialiste. ben ali faisait parti de l’internationale socialiste. la tunisie comme les autres pays du magreb (lybie, égypte,..) est socialiste tout comme la syrie. le parti baas a meme servi de modèle au pasok (parti socialiste grecque) qui a dirigé sur la grece ces 30 dernières années et qui a mis en place un systeme basé sur le clientelisme et la corruption et qui est responsble de la situation de la grece actuelle… tous les pays du printemps arabe avait en commun d’etre socialiste. le socialisme n’est pas spécialement démocratique…. le socialistes ont tendance à pratiquer la pensée unique qu’ils veulent imposer à tout le monde et à etre contre la liberté (économique, d’expression,…). http://www.institutcoppet.org/2012/03/25/l%E2%80%99horreur-socialiste-par-alain-laurent/

          • le socialisme se base sur la jalouisie et a comme devise diviser pour mieux régner. il divise (riches pauvres, hommes femmes, minorités…) et crée un sentiment de jalouisie. il fait tout pour dresser les uns contre les autres. e socialisme est une philosophie de l’échec, le credo de l’ignorance et l’évangile de l’envie. comme disait churchill: » Le vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses. La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la misère. » L’État, c’est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde. Car, aujourd’hui comme autrefois, chacun, un peu plus, un peu moins, voudrait bien profiter du travail d’autrui. Ce sentiment, on n’ose l’afficher, on se le dissimule à soi-même; et alors que fait-on? On imagine un intermédiaire, on s’adresse à l’État, et chaque classe tour à tour vient lui dire: « Vous qui pouvez prendre loyalement, honnêtement, prenez au public, et nous partagerons. le socialisme: Si ça bouge, taxez-le. Si ça continue à bouger, régulez-le. Si ça s’arrête de bouger, subventionnez-le. L’erreur fondamentale du socialisme est de caractère anthropologique. En effet, il considère l’individu comme un simple élément, une molécule de l’organisme social, de sorte que le bien de chacun est tout entier subordonné au fonctionnement du mécanisme économique et social, tandis que, par ailleurs, il estime que ce même bien de l’individu peut être atteint hors de tout choix autonome de sa part, hors de sa seule et exclusive décision responsable devant le bien ou le mal. L’homme est ainsi réduit à un ensemble de relations sociales, et c’est alors que disparaît le concept de personne comme sujet autonome de décision morale qui construit l’ordre social par cette décision. De cette conception erronée de la personne découlent la déformation du droit qui définit la sphère d’exercice de la liberté, ainsi que le refus de la propriété privée. En effet, l’homme dépossédé de ce qu’il pourrait dire « sien » et de la possibilité de gagner sa vie par ses initiatives en vient à dépendre de la machine sociale et de ceux qui la contrôlent ; cela lui rend beaucoup plus difficile la reconnaissance de sa propre dignité de personne et entrave la progression vers la constitution d’une authentique communauté humaine. le socialisme croit que la société est mécanique alors qu’elle est organique.

          • comme par hasard les pays qui s’en sortent le mieux sont les pays les plus libérales (autriche, pays bas,..) et les pays en crise sont les pays les plus socialistes socialistes (grece, espagne, france,..) . les pays dans le monde qui ont la meilleur situation économique et démocratique sont libéraux

        • Alors là, pas d’ac. La France a bien été socialiste sous Sarkozy. Et sous Chirac.

        • « Il y a du bon dans le socialisme »

          Je serai curieux de savoir ce qu’il y a de bon dans la jalousie et l’envie qui sont le fondement de tous les socialismes.

      • comme par hasard les pays qui s’en sortent le mieux sont les pays les plus libérales (autriche, pays bas,..) et les pays en crise sont les pays les plus socialistes socialistes (grece, espagne, france,..) . les pays dans le monde qui ont la meilleur situation économique et démocratique sont libéraux.

    • le chili est comme par hasard l’un des pays les plus libérales d’amérique latine et l’un des pau=ys avec la meilleur situation économique. regardez la colombie qui est très prometteur.
      regardez la situation économique de cuba, argentine et venezuela..

  • @Fabrice : la majorité, désormais, c’est les gens qui ne votent pas. Aux dernière législatives, c’est plus des 3/4 des gens qui n’ont pas voté pour la « majorité » (terme usurpé).

    http://www.contrepoints.org/2012/06/22/87942-legislatives-retour-sur-les-vrais-resultats

    Sûr qu’aujourd’hui, ceux qui votent à gauche sont les plus difficiles à convaincre via Contrepoints (personnellement je n’essaierai même pas, mais loin de moi, bien sûr, l’idée de vous en décourager).

    • Comme je disais à Lucililo, si on utilise vos propres analyses, sont socialistes tous ceux qui tiennent aux « acquis sociaux », et ils constituent bien la majorité (et votent à droite comme à gauche, ce qui rend cohérent le fait de réunir l’UMPS dans le bain socialiste d’un point de vue libéral).

      L’élection du PS à tous les étages de l’Etat est symbolique de cet état, même si effectivement l’Etat de notre système (prétendument) démocratique est tel qu’il est difficile d’employer l’expression de majorité élue sans avoir l’impression de se rendre complice de l’usurpation.

      Si vous vous adressez uniquement aux abstentionnistes (et assimilés), vous passez à côté du plus gros morceau. Et si vous vous adressez au reste, alors il suffirait de mettre en oeuvre quelques règles de « tenue du débat » basiques pour que le message soit audible aussi bien des « socialistes qui ne s’assument pas » |a droite] – que de ceux qui s’assument [a gauche].

      P.S : Attention car en raccourcissant mon pseudo, vous créez un lien vers un autre fabrice sur twitter, qui risque de se retrouver avec des messages incompréhensibles.

  • Si on se demande pourquoi les allemands ont voté Hitler, on peut y voir un élément de réponse. Aussi le fait que nous entrions en crise, que le protectionnisme fasse sont retour et que la tension entre différents pays européens monte de jours en jours ne me rassure-t-il pas : à qui le peuple sera-t-il prêt à laisser les rênes quand la nourriture manquera ?

  • Article très intéressant ! Et vu les réactions de certains on peut effectivement se dire : il n’y a que la vérité qui blesse. Comme le disent si bien les enfants..

    A quand une petite étude historique pointant du doigt la responsabilité du Front Populaire et de leurs politiques ineptes dans la défaite de Mai/Juin 40 ? Et comment les gôchistes se sont déchargés depuis sur les clampins qui ont payés cette bataille de leur vie en les accusant de tire-aux-flancs ? Cf la production cinématographique Fr sur le sujet style « 7e cie » absolument consternante…

    Cdlt

  • Merci pour les trucs cela va m’inspirer

  • Quelqu’un peut me dire quelle MESURE socialiste a été appliquée en Allemagne? C’est beau de regarder les idées, penchons nous sur les faits. à propos de faits, qui a soutenu l’ascension d’Hitler au pouvoir? Des banquiers, des industriels…je m’abuse?

    • «Huit des dix points (du Manifeste du Parti communiste de Marx et Engels) ont été exécutés par les nazis avec un radicalisme qui aurait enchanté Marx. Seuls deux points n’ont pas encore été complètement adoptés par les nazis, à savoir l’expropriation de la propriété foncière et l’affectation de la rente foncière aux dépenses de l’Etat (point n°1 du Manifeste) et l’abolition de l’héritage (point n°3). Cependant, leurs méthodes de taxation, leur planisme agricole et leur politique concernant la limitation des fermages vont chaque jour dans le sens du marxisme »
      — Ludwig von Mises, Omnipotent Government, The Rise of the Total State and Total War

    • Tu as raison. Mais l’ultra-libéral n’a pas assez de connexions neuronales pour creuser cette question.

      Ian Kershaw dans Qu’est-ce que le nazisme ? montre que les discours « révolutionnaires » des nazis ne se sont pas traduit du tout par un bouleversement des rapports de production, pire, après 1933, la politique économique nazie a manifestement favorisé l’intérêt du patronat allemand et s’est traduite par un renforcement des grands groupes industriels privés qui « prennent une part active au pillage, à l’exploitation, à la destruction et au massacre dans les territoires occupés. »

      Hitler avait dit un jour de 1930 :

      « Ce que nous entendons par « socialisme » n’a rien à voir avec le socialisme marxiste. Le marxisme rejette la propriété privée, le vrai socialisme, non. [11] »

      En effet Hitler n’a nationalisé aucune entreprise, pire, il s’est lancé dans une campagne de privatisation à partir de 1933. Léon Dion, dans La révolution allemande au XX° siècle, écrit que « le Troisième Reich, loin d’intensifier la socialisation de la vie économique, abandonna au contraire à l’initiative privée la presque totalité des secteurs de l’activité économique ». En effet comme le montre Dion, alors qu’en 1933, la propriété publique ne représentait qu’à peine 5 % de la richesse nationale, la reprivatisation des entreprises rentables, dans la finance comme dans la production et les services publics, s’était opérée à un rythme de plus en plus rapide pour atteindre son paroxysme au cours des années 1936-1937. Comme le remarque Bettelheim dans son livre cité, ce processus s’inscrit dans la droite ligne de la logique du capitalisme qui « montre, depuis le dernier quart du XIXème siècle, que les périodes de crise sont des périodes d’étatisation, l’État se substituant à certains entrepreneurs défaillants, et les périodes de reprise économique des périodes de reprivatisation, l’État recédant aux capitalistes des entreprises à nouveau rentables. »

      De même, Daniel Guérin écrit dans Fascisme et grand capital :

      « A peine installé au pouvoir, le fascisme s’empresse de donner des preuves de sa bonne volonté au capitalisme privé. […] Hitler tient à manifester sa reconnaissance aux magnats de l’industrie lourde, aux Kirdorf, aux Thyssen. […] L’Etat leur restitue les Acieries Réunies (qui avaient été mises sous contrôle de l’Etat lors de leur relèvement sur fonds publics pour cause de faillite). […] Après le krach de 1931, la plupart des grandes banques étaient tombées sous le contrôle de l’Etat. […] La Deutsche Diskonto Bank, dès 1933, s’est vue restituer par l’Etat près de 20 millions de marks d’action […] L’Etat fasciste aide les magnats capitalistes à « produire du bénéfice » en leur accordant toutes sortes d’exonérations fiscales […] en les aidant à relever artificiellement leurs prix de vente […] en renflouant les entreprises défaillantes sans contrepartie. »
      Pour en savoir plus sur ces vagues de privatisations, voici ce dossier universitaire de 29 pages sur les privatisations nazies en Allemagne dans les années 1930.

      Au final, comme l’écrit historien spécialiste du fascisme Pierre Milza dans Les fascismes, en Italie aussi bien qu’en Allemagne, « le fascisme au pouvoir aboutit au renforcement des structures capitalistes et accélère le processus de concentration [industriel] ». En effet, entre 1932 et 1938 les profits ont augmenté de 130% alors que dans la même période des milliers de petites entreprises industrielles et commerciales fermaient, un autre gage de la situation privilégiée dans laquelle baignait la grande bourgeoisie.

      Un exemple de cet Etat entièrement au service de la bourgeoisie et de la complaisance de celle-ci à l’égard du nazisme : la société privée IG Farben a financé le camps de la mort d’Auschwitz et les nazis lui ont « loué » à prix cadeaux des détenus de camps de concentration pour sa main d’oeuvre, leur nombre était de 80 000 sur un total de 190 000 employés, soit plus de la moitié… C’est d’ailleurs une des filiales de cette sombre entreprise privée, Degesch, qui produisait le Zyklon B. Ce n’était même pas l’Etat nazi qui fabriquait ce poison directement destiné à l’extermination des juifs, mais des entrepreneurs privés !

      Dans sa préface au livre de Charles Bettelheim L’Économie allemande sous le nazisme, David Rousset affirme que « le national-socialisme n’est rien d’autre que la garde plébéienne autour du capital monopoleur ». Pour John Strachey dans The menace of fascism, le nazisme est un mouvement « pour la préservation par la violence, et à tout prix, de la propriété privée des moyens de production ». Pour Bettelheim, le national-socialisme exprime « un aspect de la décadence du capitalisme ».

      L’historien et économiste Adam Tooze qui a écrit un livre sur l’économie nazie (Le salaire de la destruction) note quant à lui :

      « De récentes études suggèrent que la coercition était loin d’être la norme et que dans l’ensemble la politique industrielle du Troisième Reich reposait sur un partenariat mutuellement profitable entre les autorités publiques et la communauté patronale… [12] »

      Mais ce qui fait parler les néolibéraux c’est que l’Etat allemand faisait des « plans », quel genre de plan ? A propos de ceux-ci Dion écrit que « Le plan de quatre ans qui visait à l’autarcie alimentaire du Reich, favorisa la grande entreprise agricole capitaliste au détriment de la petite paysannerie » pour des raisons qu’il est inutile de développer ici. Les petits paysans croulaient sous les dettes et certaines fermes fermaient pendant que la grande paysannerie capitaliste s’envolait avec la complicité de l’Etat.

      Le prétendu socialisme d’Hitler, il n’y en a aucune trace dans l’économie, et dans le social ? Dans ce domaine Hitler est réputé généreux en offrant aux plus pauvres sécurité sociale, congés payés, indemnisations… Cependant la politique sociale des nazis est à relativiser. En effet les syndicats furent interdits, seul subsistait le syndicat nazi, le Front du travail, qui a fait interdire le droit de grève et qui avait pour but de convaincre les ouvriers de collaborer avec les patrons et de travailler plus pour l’intérêt général. Dion écrit à propos de la condition ouvrière sous le nazisme :

      « Privés du droit de grève, incapables de faire valoir leurs revendications, les travailleurs furent soumis à une dure exploitation […] En 1938, le taux moyen des salaires horaires industriels se trouvait de 18 % inférieur au taux de 1929 et de seulement 9 % au-dessus de celui de 1932. En dépit d’une augmentation du nombre de travailleurs de près de trois millions par rapport à 1929 et de l’allongement de la journée de travail, le montant global des salaires, en 1938, demeurait encore inférieur à celui de 1929. Et, par rapport à 1932, en tenant compte d’une augmentation de 5% dans l’indice du coût de la vie, le revenu total réel des salariés n’avait augmenté, en 1928, que de 20 % alors que pendant la même période les profits s’étaient accrus de 127 %. »

      Hitler a, en effet, selon William Shirer, baissé tous les salaires de 5% pour ses politiques nationalistes de réarmement, ce qui est d’ailleurs à l’opposé du keynésianisme.

      Mais il est vrai que le régime d’Hitler était interventionniste, il serait ridicule de le nier, surtout apparent après 1936. Cela était nécessaire pour l’autarcie imposée par Hitler, en bon nationaliste, et pour préparer la guerre, ce qui correspondait davantage à des contraintes économiques qu’idéologiques. Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne étaient aussi interventionnistes pendant la période de guerre. Roosevelt a même fait monter le taux marginale d’imposition à 91% en 1941 ! Et les économies nord-américaines et britanniques utilisaient aussi la « planification » pendant la guerre. Il serait ridicule, là aussi, de conclure au socialisme. Dans les trois cas on a assisté à de l’interventionnisme au service de la bourgeoisie.

      http://progreshumain.wordpress.com/2013/07/08/hitler-netait-pas-socialiste/

      • Rappelons tout de même la politique de grands travaux du 3ème reich: autoroutes, logements sociaux (oui, oui les mêmes qu’on voit pululler dans les communes en France), réfection des cantines ouvrières, loisirs de masse tel Paris-Plage etc… Le lancement de la filière automobile avec Volkswagen, telles les subventions que reçoit renault, avec des automobiles censées être accessibles aux plus pauvres…
        Le régime imposa la planification et une stricte autarcie obligeant les industriels à respecter des objectifs et à remplacer les produits d’importation par d’autres de moindre qualité made in Germany…pas loin de ce que prétend faire Mélanchon d’ailleurs.
        L’industrie fut complètement réorganisée par une série de lois, suivant un plan de remilitarisation. Cette politique s’est appuyée dès 1933-1934 sur une série de lois économiques qui favorisèrent la réorganisation complète de l’industrie, puis fut accentuée à partir de 1936 avec le lancement du plan de Quatre Ans confié à Hermann Göring. Celui-ci constitua le tout-puissant cartel des Hermann-Göring Reichswerke, devenu très vite l’une des plus grosses entreprises d’Allemagne puis, après la mise sous tutelle des industries des pays conquises, une des plus grosses du monde.

        L’Etat nazi promulga une loi supprimant chomage et emprunta 1 milliard de marks pour refaire tous les bâtiments, c’est simple de donner du travail comme ça évidemment, il créa le livret de travail avec les administrations qu’il fallait. De manière générale la bureaucratie et son cortège de fonctionnaires grossit de manière exponentielle, le droit du travail et les compensations envers les travailleurs sont allés largement plus loin que ce que réalisa même le front populaire à la même époque en France.Au total le Front du Travail allemand a versé, de mai 1933 à la fin de l’année 1938, à titre d’assistance, une somme de 424 millions de marks.
        Les politiques sociales pour favoriser les ouvriers et les familles étaient très développées, se développèrent énormément de locaux sanitaires, l’apprentissage, les congés payés obligatoires etc…
        Bref du socialisme sur toute la ligne.

      • Huit des dix points (du Manifeste du Parti communiste de Marx et Engels) ont été exécutés par les nazis avec un radicalisme qui aurait enchanté Marx. Seuls deux points n’ont pas encore été complètement adoptés par les nazis, à savoir l’expropriation de la propriété foncière et l’affectation de la rente foncière aux dépenses de l’Etat (point n°1 du Manifeste) et l’abolition de l’héritage (point n°3). Cependant, leurs méthodes de taxation, leur planisme agricole et leur politique concernant la limitation des fermages vont chaque jour dans le sens du marxisme

      • « Que les syndicats ont été immédiatement interdits, que les communistes et socialistes pourchassés, torturés et condamnés à morts? »

        comme en union soviétique dé la première année.
        à Cuba, sous Mao etc….

        Vous voulez les idées socialistes d’Hitler, es voilà !

      • vous oubliez que les anticapitalistes utilisent EXACTEMENT les meme arguments que les nazis (sauf qu’eux mettait juif: la finance juive, le 1 % juif, les banques juives,….)
        le totalitarisme (nazisme ,fascisme et communisme )est dérivée du socialisme.le parti nazi s’appelait national SOCIALISTE des ouvriers allemands, contrairement à ce que la plupart des gens pensent s’étaient un parti d’extreme GAUCHE (comme le fascisme et le communisme). Ce n’est qu’APRES la seconde guerre mondiale que l’on a dit que c’était d’extreme droite.Mussolini avant de fonder son parti fasciste a été rédacteur en chef d’un journal SOCIALISTE. LAVAL a été communiste avant la 2 guerre mondiale. Miterrand et son pere ont collaborer avec le régime de pétain. La tres grande majorité des collaborateurs en france étaient des gauchistes. En france, 80 % des colllabos venaient de la gauche. je vous conseille de lire Un paradoxe français, Antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance de simon epstein

      • renseignez vous. le néolibéralisme n’existe pas, le fait que vous parlez de néolibéralisme vous décribilse complétement.

    • Rappelons tout de même la politique de grands travaux du 3ème reich: autoroutes, logements sociaux (oui, oui les mêmes qu’on voit pululler dans les communes en France), réfection des cantines ouvrières, loisirs de masse tel Paris-Plage etc… Le lancement de la filière automobile avec Volkswagen, telles les subventions que reçoit renault, avec des automobiles censées être accessibles aux plus pauvres…
      Le régime imposa la planification et une stricte autarcie obligeant les industriels à respecter des objectifs et à remplacer les produits d’importation par d’autres de moindre qualité made in Germany…pas loin de ce que prétend faire Mélanchon d’ailleurs.
      L’industrie fut complètement réorganisée par une série de lois, suivant un plan de remilitarisation. Cette politique s’est appuyée dès 1933-1934 sur une série de lois économiques qui favorisèrent la réorganisation complète de l’industrie, puis fut accentuée à partir de 1936 avec le lancement du plan de Quatre Ans confié à Hermann Göring. Celui-ci constitua le tout-puissant cartel des Hermann-Göring Reichswerke, devenu très vite l’une des plus grosses entreprises d’Allemagne puis, après la mise sous tutelle des industries des pays conquises, une des plus grosses du monde.

      L’Etat nazi promulga une loi supprimant chomage et emprunta 1 milliard de marks pour refaire tous les bâtiments, c’est simple de donner du travail comme ça évidemment, il créa le livret de travail avec les administrations qu’il fallait. De manière générale la bureaucratie et son cortège de fonctionnaires grossit de manière exponentielle, le droit du travail et les compensations envers les travailleurs sont allés largement plus loin que ce que réalisa même le front populaire à la même époque en France.Au total le Front du Travail allemand a versé, de mai 1933 à la fin de l’année 1938, à titre d’assistance, une somme de 424 millions de marks.
      Les politiques sociales pour favoriser les ouvriers et les familles étaient très développées, se développèrent énormément de locaux sanitaires, l’apprentissage, les congés payés obligatoires etc…
      Bref du socialisme sur toute la ligne.

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