G20, la jungle

Dans la jungle de la finance internationale apatride, l’expédition d’Obama progresse, avec ses fidèles porteurs

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G20 Safari dette (Crédits : René Le Honzec/Contrepoints.org, licence Creative Commons)

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  • Tous les hommes seraient nés égaux. Le continent noir n’a qu’à s’éveiller. Il semble que sa terre aurait encore besoin de sang, du sang de ses enfants. Que le courageux ne manque pas de le verser pour ne plus vivre à genou. Ils ont droit à la dignité. Celle-ci ne leur sera pas offerte, il faut qu’ils apprennent à la faire respecter. PAr les moyens pacifiques, mais aussi par les moyens auxquels les autres ont eu recours pour l’affirmer. Je rêve. L’Afrique dort d’un sommeil profond et se fait avoir dans toutes les positions! Vidée de son intelligentsia, elle va longtemps croupir sous le poids des dirigeants qui lui sont imposés. Les pseudo-démocrates, élus à la courte paille dans des élections truquées et vite reconnus comme vainqueurs par des capitales occidentales, au grand damne de la morale et de la soi disant démocratie, jouissent d’une renommée honteuse. A l’Afrique de se réveiller!!!
    L’argent étant le nerf de la guerre, la France est vite intervenue au Mali mais sans nous dire ses interets. Elle a pretexté venir au secours des populations, soit, mais son silence en Centrafrique est plus que coupable. Je ne demande pas à la France d’intervenir, mais aux Africains friands d’aide et paresseux de se magner pour la vrie liberté.

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Le « plafond de la dette »

Aux États-Unis, le montant de la dette publique que le gouvernement peut accumuler est plafonné par une limite fixée par le Congrès.

Théoriquement, le but de ce « plafond de la dette » (ou « debt ceiling », en américain) est de s’assurer que le gouvernement n’emprunte pas plus d’argent qu’il ne peut en rembourser.

Ce plafond a été adopté pour la première fois en 1917 pendant la Première Guerre mondiale, et depuis lors, il a été relevé à plusieurs reprises pour tenir compte de l'endettement croissant du... Poursuivre la lecture

Un article de l'Iref-Europe

 

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Un pilier... Poursuivre la lecture

On attendait une rencontre sportive, on a droit à un numéro de cirque tragico-comique supervisé par le Qatar et ses différents soutiens. Entre les faux supporters qui défilent, les sponsors floués au dernier moment et un président de la Fifa qui joue grossièrement la carte de l’antiracisme woke pour répondre aux critiques adressées au Mondial dans le domaine des droits de l’Homme, le spectateur a droit à une suite de sketches en marge des matchs programmés.

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