Le réchauffement climatique en question

Premièrement, est-ce que la terre se réchauffe? La réponse est évidemment que oui

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Le réchauffement climatique en question

Publié le 30 juillet 2011
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J’ai souvent affirmé que concernant le réchauffement global, il y a plusieurs questions à prendre en compte lorsque l’on évalue le débat.

Premièrement, est-ce que la terre se réchauffe? La réponse est évidemment que oui, et ce depuis plusieurs millénaires. Cependant, cela n’est pas suffisant pour justifier une quelconque politique coercitive.

Deuxièmement, est-ce que la terre se réchauffe à un rythme alarmant et exponentiel? Malgré ce qu’affirme la propagande des médias pro-écolos, il ne semble pas que ce soit le cas. Le graphique suivant [NDLR : portant sur les USA] montre que si la tendance se maintient après les premiers 6 mois de l’année 2011, il semblerait que cette année confirme la retour à la normale après quelques années de températures anormalement chaudes.

La troisième question qui me vient ensuite à l’esprit concerne l’impact de l’humain sur ledit réchauffement. Les modèles pseudo-scientifiques des chercheurs écolos semblent avoir isolé le CO2 comme grand responsable. Pourtant, d’autres chercheurs ont trouvé des alternatives très plausibles, comme par exemple les rayons cosmiques. Cependant, les propagandistes verts contrôlent les médias, c’est pourquoi nous n’en entendons par parler. Le graphique suivant montre pourtant que leur modèle semble tenir la route.

La quatrième question concerne évidemment les conséquences du réchauffement, comme par exemple la fameuse hausse du niveau des océans. À cet égard, il est évident qu’on tente de nous faire peur pour rien.

Tout d’abord, ce qu’il faut savoir est que le niveau des océans a toujours augmenté et ce depuis la fin de la dernière glaciation. La vraie question est de savoir si l’augmentation a été plus accentuée ces dernières années et, si c’est le cas, quelle différence ça fera. Le graphique suivant résume bien les données qui sont disponibles présentement sur ce sujet et présente l’augmentation annuelle du niveau des océans provenant de trois sources différentes.

Ce que les observations démontrent est que l’augmentation varie de façon cyclique autour d’une moyenne d’environ 1,8 mm/an. Comme l’indique l’observation satellite récente, nous sommes présentement dans le haut du cycle, en baisse vers la moyenne, et le cycle dans lequel nous sommes semble tout à fait normal. Faîtes l’expérience suivante: mettez un glaçon dans un verre (un glacier) et mesurez le niveau de l’eau. Ensuite, attendez que le glaçon soit complètement fondu et re-mesurez le niveau de l’eau: il n’aura pas changé!

La peur est un bon moyen de faire vendre (voir ceci). D’où ma cinquième question: qui essaie de nous vendre quoi? La réponse est multiple: les politiciens veulent nous vendre des votes, les fonctionnaires veulent nous taxer pour continuer de grossir leur empire, les chercheurs scientifiques veulent être publiés et subventionnés, les ONG environnementalistes veulent des dons (pour payer leurs salaires exorbitants, voir le tableau ci-bas), les sociétés d’électricité et d’ingénierie veulent nous vendre des éoliennes et des panneaux solaires, les banques veulent les financer à grands coup de dette.

Finalement, on ignore complètement de mentionner que le réchauffement global n’a pas que des conséquences négatives, il engendre aussi des bénéfices.

Cela nous amène à ma sixième question: est-ce que le réchauffement global est présentement le problème le plus important de l’humanité, au point tel qu’il faille réduire notre niveau de vie et dépenser des milliards pour le régler? La réponse à cette question est un NON catégorique! Cependant, les autres problèmes de l’humanité ne permettent pas une telle convergence entre les intérêts des politiciens, des fonctionnaires, des chercheurs, des ONGs, des corporations et des banques. C’est pourquoi ils sont rapidement balayés sous le tapis.

Par ailleurs, de là émerge une sous-question: est-ce que tous ces efforts peuvent vraiment avoir un impact significatif sur le climat et notre qualité de vie future? Là aussi, les doutes sont élevés. Vaut-il vraiment la peine de réduire notre niveau de vie et de dépenser des milliards pour ne ralentir le réchauffement que de quelques centièmes de degrés après cent ans? Sinon, cet argent serait peut-être mieux dépensé pour nous adapter au changement plutôt que d’être gaspillé à le combattre en vain…

Pendant ce temps, le simple fait de se poser ces questions et de tenter d’y voir clair à travers toute cette propagande et ces débats polarisés fait en sorte de nous stigmatiser et de nous faire traiter de toutes sortes de qualificatifs péjoratifs.

Un article du Minarchiste

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  • Si je suis globalement d’accord avec le contenu de l’article, je signale à l’auteur d’être prudent pour ne pas prêter son flanc aux attaques. Lorsqu’il donne la comparaison du glaçon dans le verre d’eau, il s’agit bien entendu d’une erreur : la glace concernée ne se trouve pas dans l’eau des océans mais sur la terre ferme, comme le Groenland ou le Pôle Sud. Cette glace, si elle fond, contribuera bien entendu à la hausse du niveau d’eau général. Mais si on parle de réchauffement et d’eau, il faut également prendre en considération qu’une hausse de la température provoque une hausse de l’évaporation et donc… une baisse du niveau d’eau ! Ennuyeux…

    D’autre part, si ce terrorisme écolo est à combattre, ce n’est pas pour autant qu’il ne faut pas lutter contre la pollution atmosphérique, et chercher des sources d’énergies alternatives afin, éventuellement, de diminuer notre dépendance vis-à-vis des pays du Golfe. Mais ce n’est certe pas une raison suffisante pour laisser les écolos planter des moulins à vent dans mon jardin ! A ce sujet, le peu d’enthousiasme qu’on observe au sujet de la recherche sur la fusion nucléaire me laisse complètement pantois…

    • Voilà un discours plein de bon sens. Je sais que vous savez, mais on ne rappellera jamais assez que le CO2, n’est pas une pollution. Par ailleurs, le charbon ne vient pas du Moyen-Orient. Enfin, le gaz est en plein boum (si on me pardonne l’expression) et vivement l’exploitation des nouvelles réserves découvertes en France, une fois que le caca nerveux débile sur le fracking aura fait son temps (une fois la présidentielle passée, je suppose).

      Une dernière chose : il est urgent que les éoliennes soient soumises au même examen sur la question de la destruction des espèces menacées, que toute autre industrie. Pas de traitement de faveur. http://www.masterresource.org/2011/07/wind-turbines-whooping-cranes/

    • La recherche sur la fusion nucléaire est faite à grands coups de subventions étatiques ou européennes. Il faut donc faire un choix ici : elle est a priori trop chère pour qu’une entreprise s’y risque, sans aucun espoir en fait que ça réussisse. Donc malheureusement, s’il faut y faire de la recherche, seul le terrorisme écolo peut s’en occuper.

    • Sans parle de la recherche sur la maîtrise de l’hydrogène !

    •  » la température provoque une hausse de l’évaporation et donc… une baisse du niveau d’eau !  » Et l’évaporation produit du froid, ou, retranche de la chaleur.L’idée d’un emballement genre plus de chaleur donne plus de chaleur est contraire aux lois de la physique et consiste à inventer le mouvement perpétuel à rendement positif d’un moteur dont le réservoir se remplit d’autant plus qui’il tourne .!

  • la toute première question est:
    quelque soit la nature d’un problème rencontré et l’analyse de la part anthropique de responsabilité… que pouvons-nous faire nous pour nous y adapter?
    constats, évaluations de délai d’action, des moyens de mise en oeuvre, campagnes de sensibilisation, mesures à prendre…
    et s’il faut que je laisse des écolos planter des moulins à vent dans « mon » jardin, pour que notre descendance (toutes espèces confondues) survive un peu plus… pourquoi pas…
    seuls types de qualificatifs acceptables:
    responsable/pas responsable
    clairvoyant/pas clairvoyant
    prudent/imprudent

    mais « égoïstes, impertinents, àquoibonistes,jemenfoutistes » et autres…
    ou encore, « opportunistes de capitalistes verts »… d’ailleurs…
    c’est pas totalement démérité tout de même…
    ou bien?!!
    ^_^
    n’attendons pas que le ciel nous tombe sur la tête, hein?
    d’ici là, soir bon!

    • Oui ! Des moulins à vent dans les jardins. On ne va pas se priver de moyens de transformer l’énergie du vent avec un rendement minable et une esthétique détestable permanente pour une production aléatoire et calamiteuse et à un coût économique effarant ? Pourquoi ne pas faire de choses compliquées, fumisteuses, aberrantes quand on, peut faire simple et efficace.
      Le bon emploi de l’éolienne c’est de danser autour comme les sauvages autour du totem pour appeler la pluie.

  • Le destin de la terre est de devenir un glaçon immobile et sans vie à une température proche du zéro absolu, vu que notre planète perd progressivement toute l’énergie emmagasinée depuis sa genèse, que ce soit la chaleur de son noyau en fusion, qu’elle irradie dans l’espace intersidéral, ou son énergie cinétique, avec une diminution progressive de sa vitesse de rotation sur son axe.

    A long (très très long) terme donc, il est faut de dire que la terre se réchauffe…

  • On en aura entendu des âneries sur le prétendu réchauffement climatique d’origine humaine. S’il y a au moins trois choses à retenir :
    1) La notion de température globale ne veut strictement rien dire et à partir de la on pourrait déjà arrêter le débat.
    3) Le co2 n’est ni un polluant ni un gaz à effet de serre. Il représente 0.038% de la composition de l’air et il est indispensable au cycle de la vie sur terre.
    2) Il existe depuis des milliers d’années des alternances de cycles entre les périodes glacières et inter glacières. Dans ces périodes il y des variations de températures très importantes sur des échelles de temps démeusurées au regard d’une vie humaine. Se focaliser sur un an, une décénnie ou même un siècle ne présente que très peu d’intérêt en climatologie. Pour rappel, la terre a 4.5 milliards d’années et elle a connu des variations de températures au cours de sa longue histoire autrement plus significatives que cette très légère augmentation sur une période réduite du 20 ème siècle.
    3) Enfin les écologistes et consorts veulent régler les problèmes climatiques selon la logique keynésienne. De la dépense publique, des taxes et impôts et de la réglementation. On connait la suite.

  • Que de bon sens dans cet article et ses commentaires..
    D’habitude, je suis las de redire et redire encore ce que tous vous dites plus haut, donc, là, cool.. ce qui me permet un peu de liberté: vivement quelques degrés de plus pour que j’ai enfin mes cocotiers et mon récif de corail sur ma plage (et faire pousser de la vigne dans mon coin pour fêter ça ! héhé).
    Le froid est l’ennemi de la vie.
    Une petite des collègues du Minnesota ^^
    –>

  • Mais bon.. c’est pas demain la veille… (smiley triste)

  • Commentaire de JP sur mon blogue:

    La montée du niveau des mers en raison de la fonte des glaces a eu plus d’adeptes il y a quelques années. De nos jours, effectivement, on privilégie l’explication de la dilatation thermique de l’eau.

    On peut diviser l’eau de mer en différentes strates selon la profondeur. On parle souvent de couche superficielle (environ 200m), thermocline (environ 800m) et eau profonde (le reste). C’est la couche superficielle qui risque de s’échauffer: l’eau profonde ne dépasse pas 5 degrés et la thermocline est la zone de transition entre le 23 degrés de surface et le 5 degrés en profondeur (qui tend vers 3,7 degrés dans les fosses profondes).

    Un réchauffement de 3 degrés de la couche superficielle entraînerait une dilatation de l’eau contenue dans le premier 200m de profondeur ce qui causerait une augmentation du niveau des mers.

    Si l’eau passe de 23 à 26 degrés la dilatation du volume serait de l’ordre de 0,075% soit une augmentation de 15 cm du niveau des mers. Or le niveau des mers a augmenté de 20 cm lors des 100 dernières années (http://www.windows2universe.org/earth/climate/cli_sea_level.html).

    Pour ceux qui veulent des détails sur mon calcul: j’ai utilisé la densité de l’eau non salée (http://www.colvir.net/prof/carl.brabant/chim101/D_eau-air.pdf), j’ai supposé une hausse uniforme de 3 degrés sur 200m de profondeur, j’ai négligé l’effet d’entonnoir de la distribution de l’eau (c’est effectivement négligeable) et j’ai négligé l’évaporation supplémentaire possible d’une eau plus chaude. L’idée n’est pas d’arriver à une valeur exacte (des nobellisables pourraient avoir ce but) mais simplement un ordre de grandeur. Et le voilà, l’ordre de grandeur: élévation de 5 cm du niveau des mers à toutes les fois que les 200 premiers mètres de profondeur se réchauffent uniformément de 1 degré. Ça prendrait une élévation de température de 20 degrés pour causer une élévation du niveau des mers de 1m.

    • La montée des mers !
      Je suis étonné que personne, concernant la montée du niveau des mers, n’évoque la grève des éponges.

  • Je crois plutôt que le destin de la terre est de finir vaporisée par le soleil, quand ce dernier enflera vers la fin de sa vie avant de devenir une naine blanche.
    Là, ce sera du réchauffement…

  • En fait, les mesures des 3350 sondes océaniques ARGO, qui mesurent diverses grandeurs physico-chimiques, dont T, depuis la surface jusqu’à 700 m de profondeur, montrent que, depuis 2003, les océans se sont légèrement refroidis. Les mesures satellitaires de niveau (ce qui est un problème complexe, car de nombreux facteurs entrent en jeu, dont les gyres -zones de hautes pressions) montrent un ralentissement de la montée des niveaux, ce qui semble cohérent avec les mesures ARGO.

    Bref, les prophètes de cataclysmes peuvent continuer à prêcher dans le désert : seul le vent qui passe entendra leurs inepties…

  • Concernant l’évolution de la température, mieux vaut se référer aux données globales moyennées plutôt qu’aux températures des USA, non significatives aux niveau planétaire (quoique le concept de Température Moyenne Globale n’ait aucun sens thermodynamique en milieu hétérogène – mais utilisons les mêmes indicateurs que le GIEC).
    http://www.woodfortrees.org/plot/hadcrut3vgl/from:1998/offset:-0.15/plot/gistemp/from:1998/offset:-0.24/plot/uah/from:1998/plot/rss/from:1998

    • 1998 est un pic de chaleur, c’est de la manipulation de chiffre que de le prendre comme base. Prenez 1990 ou encore 1980, et vous avez une hausse très très claire.

      Je ne suis pas un écolo-fan, je me fiche un peu du réchauffement, mais stop de considérer 1998 comme une année de référence, quoi…

  • Cet article serait « intéressant » s’il ne présentait pas le même défaut que ce qu’il dénonce : il est politiquement orienté et on ne retiendra surtout que les invectives comme « pseudo-scientifiques des chercheurs écolos « , « les propagandistes verts contrôlent les médias » ou « la propagande des médias pro-écolos » !!!… Ces médias sont au service de grossiums et ils n’ont pas changé de maître !… Ce sont les grossiums ( qui ne vous sont certainement pas inconnus ) qui se sont emparés de certaines conclusions des écologistes et s’en servent pour réaliser de nouveaux bénéfices : ce ne sont pas les « écolos » qui ont fait signer le protocole de Kyoto , mais les grossiums qui ont créé un marché de « permis de polluer  » !…
    Ainsi l’écologie a été détournée de son objectif premier, la lutte contre la pollution, pour devenir un « expert » en climatologie , qui est une discipline scientifique totalement différente : quand Arrhénius déclarait que la fumée des usines empêcherait la prochaine ère glaciaire, c’était par plaisanterie et pour lui, ce changement climatique s’étendrait sur des siècles !…
    Le GIEC n’est pas un organisme « Vert » , mais une machine de propagande des puissants de cette planète, qui tentent une nouvelle Réunion des Etats Généraux … en oubliant de prévenir le « bas-peuple » !… Sauf que les « Cahiers de Doléances » ne restent jamais confidentiels !…

  • Un leader d’opinions dans un milieu.

  • La base 1998 montre effectivement un pic de température (pas de chaleur, qui est une autre grandeur physique). Après 1998, T est un peu plus basse, et reste constante depuis 12 ans : c’est cela le plus important, et c’était l’objectif essentiel de mon propos et du lien (regardez-le, si vous ne l’avez pas encore fait).

    Il est exact que 1980-1998 a été une période de réchauffement, tout comme 1910-1940. Les pentes d’augmentation de T sur ces deux périodes sont identiques, mais seule 1980-1998 a été en covariation CO2-T. Pour 1910-1940, le taux de CO2 est monté légèrement de 10 ppm environ, ce qui est très faible. Se baser sur la seule période 1980-1998 pour en déduire une relation causale CO2—>T est parfaitement déraisonnable.

    Kenavo

    • Dans ce cas, un peu d’honnêteté: arrêtons de ressortir 1998 à tout bout de champ. Les températures ne bougent effectivement plus depuis… 2002. Ca fait donc 8/9 ans qu’il n’y a pas de réchauffement, pas 12 ! Pas la peine de tendre le baton pour se faire battre en faisant la même chose que ce qu’on reproche aux autres, non ? 😉

      Par contre de mémoire, les membres du GIEC ne font pas de corrélation entre l’augmentation du CO² avec l’augmentation de température sur ladite période, mais incluent un temps de décalage. Je ne sais plus combien exactement mais quelques décennies au moins, du coup personne ne lie l’augmentation CO2 des périodes 10-40 et 80-98 avec leurs augmentations respectives en CO².

      • 1) Oui, si l’on prend 1998 en compte, alors T a baissé, et c’est ce que montrent les courbes. En fait, quand je dis que T est stable depuis 1999, donc depuis 12 ans, c’est exact (et pas depuis 2002: regardez bien les courbes). Je n’ai jamais écrit que T avait baissé depuis 1998, car 1998 est une année spéciale avec un important El Nino. Mais, pour vous faire plaisir, il vous suffit de paramétrer à partir de 1999, et votre souci sera réglé. Je ne fais pas une grosssesse nerveuse sur 1998….
        2) La constante de temps CO2—>T devrait, si la causalite existe, devrait être très faible. C’est du reste pour cette raison que le GIEC a insisté sur la seule période de co-variation nette CO2-T (1980-1998), avec pour objectif évident de faire croire que cela suffisait à en déduire une relation de causalité incontestable. Les courbes présentées aux politiques vont en ce sens, alors que la relation de causalitén’a JAMAIS été prouvée (on le saurait !…). Et tout le monde : politiques, médias, écolos radicaux, institutions internationales, … considère donc que 80-98 est LA preuve de cette relation de causalité (pour 1910-1940, T est monté avec une faible augmentation du CO2, d’environ 10 ppm). Et tout ceci enclenche le bazar du dogme du RCA! Absurde, non?

      • Patit addendum arithmétique : le nombre d’années de 1999 à 2010 est bel et bien de 12 ans. Il sera donc de 13 ans à fin 2011…

        Cordialement

  • A noter la diffusion sur Arte (!) vendredi soir en deuxième partie de soirée, d’un documentaire danois précisément consacré au rôle des nuages dans les changements climatiques…

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