Jusqu’ici, tout va bien

Autisme : trouble du comportement social, absence de réaction et absence d’adaptation

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Tornade aux Etats-Unis (Crédits Daphne Zaras/NOAA, image libre de droits)

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Jusqu’ici, tout va bien

Publié le 5 décembre 2010
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Définition : l’autisme se manifeste par un trouble du comportement social avec une absence de réaction aux émotions et une absence d’adaptation du comportement.

Christine Lagarde au sujet de la contagion de la crise en Europe : « Il n’y a aucun risque »

François Baroin : il y a une « inscription dans la durée d’une détermination absolue de l’Europe et de l’Allemagne et de la France à sauver l’euro ».

Après la Grèce, l’Irlande, c’est au tour du Portugal, et de l’Espagne d’entrer dans la tempête autorégulatrice. Dans le viseur également : la Belgique et l’Italie. Et déjà, la France apparait sur les écrans radar avec une menace de plus en plus réelle de dégradation de sa note financière. Selon l’agence Reuters :  » Avec les difficultés de l’Irlande, l’ensemble des spreads des pays de la zone euro vis-à-vis de l’Allemagne se sont écartés mais celui de la France a dérivé plus que ceux des Pays-Bas et de l’Autriche, un des autres pays considérés comme les plus sûrs de la zone.  »  Tous ces gouvernements qui ont agi de manière irresponsable, en faisant exploser leurs dépenses publiques largement à crédit, vont devoir faire payer à leurs concitoyens leurs erreurs dans la douleur. Les Français vont bientôt découvrir la violence du retour nécessaire à la réalité. Ils pourront remercier la classe politique au pouvoir depuis 30 ans sous Mitterrand, sous Chirac et sous Sarkozy.

Trente ans d’immobilisme vont devoir être corrigés en quelques mois lorsque le cyclone nous atteindra. Peut-être la réflexion libérale interessera-t-elle nos médias ce jour-là ? Il sera trop tard pour pleurer, pas pour penser à l’avenir.

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  • VGE aussi, si j'ai bonne mémoire.

  • Figaro :
    D'autre part, l'activation des garanties apportées par la France au Fonds de stabilité européen aura forcément un impact négatif sur la solvabilité du pays – le coût est estimé à 90 milliards d'euros-».

  • Les commentaires sont fermés.

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Un article de l'IREF.

En janvier dernier, dans un entretien accordé au Journal du Dimanche, le ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, annonçait la fin du « quoi qu’il en coûte ».

L’examen parlementaire en cours des projets de loi de finances de fin de gestion pour 2023, et de loi de finances pour 2024 montrent à l’inverse que, loin d’être fini, le « quoi qu’il en coûte » se poursuit. Et ce en dépit d’un goulet d’étranglement appelé à se resserrer du fait de l’aggravation de la charge de la dette dans les prochai... Poursuivre la lecture

Un article de l'IREF.

En 2022, pour alimenter un fonds pour le climat et la transformation énergétique  – KTF – de 212 milliards d’euros, le gouvernement allemand avait puisé à due concurrence dans les réserves non utilisées d’un autre compte, constitué en 2021 pour contribuer à l’amortissement de l’impact du coronavirus. Mais celui-ci avait bénéficié d’une suspension des règles du « frein à l’endettement », en raison de la pandémie. Ce qui ne pouvait plus être le cas du fonds KTF.

La CDU/CSU, les conservateurs dans l’opposition... Poursuivre la lecture

gouvernement électricité carburants taxes remaniement Bruno Le Maire
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Un article de l'IREF

La dette publique française a dépassé le seuil de 3000 milliards d'euros.

Elle a atteint 3013,4 milliards d’euros le 31 mars 2023, selon l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee).

Le gouvernement voudrait réduire le déficit public de 4,9 % en 2023 à 4,4 % dans le budget 2024. Mais le défi est considérable, alors qu’en août 2023 les taux d’emprunt de l’État français à dix ans ont dépassé le seuil de 3,25 %.

Selon les prévisions de Bercy, la charge annuelle de la det... Poursuivre la lecture

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